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 Liban : Elections présidentielles

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ArnaudH
Gawam
VALJEAN
Aptien
MoDem Liban
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MoDem Liban




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MessageSujet: Re: Liban : Elections présidentielles   Liban : Elections présidentielles - Page 5 Icon_minitimeMar 5 Fév 2008 - 22:36

ArnaudH a écrit:
Euh, ça sort pas un peu de nulle part cette rupture diplomatique, nan?

On
l'accuse de quoi la Syrie au juste (dans le cadre de l'élection
présidentielle libanaise, le reste on en a débatu in extenso, lol)? A
chaque fois que je pense commencer à comprendre, y'a un événement
inatendu nouveau!

Peut-etre une réponse à nos interrogations...


Un journaliste révèle les dessous de l'échec de l'initiative française au Liban


Libnanews - 4 février - Dans une interview accordée au Journal The New York Times, le journaliste James Traub qui a suivi le ministre des Affaires Etrangères Bernard Kouchner a mis responsable l’Elysée et les dirigeants de la majorité du 14 mars pour l’échec de la médiation française en novembre et décembre dernier, médiation qui tentait de résoudre la crise présidentielle au Liban.

Rappelant la connaissance profonde de Bernard Kouchner du milieu politique libanais et des différentes étapes menées dans le cadre de l’initiative française, le journaliste rappelle que la France reste très impliquée, notamment par la présence de ses 1600 soldats déployés au sein de la FINUL au Sud Liban et a estimé qu’elle a une responsabilité spéciale.

Il indique que le ministre des AF français s’est montré intéressé par la nouvelle coopération entre les partis chrétiens et chiites au cours de la 3ème conférence de presse.

James Traub a également révélé que le président de la chambre des députés se déclarait ouvert à l’idée de l’élection d’un président de consensus, maronite conformément à la constitution libanaise et acceptable pour l’opposition chiite afin d’éviter le renouvellement de la violence, faisant aussi allusion à la guerre civile qui eu lieu au Liban entre 1975 et 1990.

« Kouchner m'a déclaré qu'il leur avait rappelé tout ce que l'alternative au compromis était encore une autre spirale de la violence que lui-même, et ils savaient si bien. Mais il a également assuré que si les factions libanaises élisent un président avant la conférence de paix sur le Moyen-Orient d’Annapolis prévue, fin de novembre, " tout sera changé, le Moyen-Orient se dirigera vers une dimension, et non pas celle d conflit ou de la violence, mais, celle de la démocratie et du constitutionnalisme », peut on lire dans l’article publié par The New York time, qui met ensuite en cause l’initiative française du président de la république Nicolas Sarkozy menée par Jean David Levitte et Claude Guéant pour s’être rendu à Damas.

« Kouchner, qui décrit les Syriens comme des tueurs impitoyables, se sentait humilié. Ses interlocuteurs libanais se sont sentis trahi. Et l'offre a totalement échoué, tout comme Kouchner avait prédit. Ce fut un fiasco pour la diplomatie française, confirmé quand Sarkozy a annoncé en décembre la rupture des pourparlers avec Damas. »

Citant Bernard Kouchner, le journaliste James Traub indique que ce dernier rend responsable l’Elysée et indique que le président français a autorité l’envoi de la mission menée par Jean David Levitte après accord du dirigeant de la coalition du 14 mars Saad Hariri.

« «Le problème, a-t-il dit, était" Élysée ", non Levitte - "il était d'accord avec moi." Je lui ai dit que je venais tout juste de parler avec Levitte, qui a révélé que Sarkozy a autorisé le voyage seulement après que Saad Hariri, fils de Rafic et le chef de la soi-disante coalition du 14 Mars, a décidé qu'il devait le faire » peut on lire dans l’article.
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MoDem Liban




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MessageSujet: Re: Liban : Elections présidentielles   Liban : Elections présidentielles - Page 5 Icon_minitimeJeu 7 Fév 2008 - 18:49

Un résumé de l'interview historique diffusée hier sur la OTV entre le chef du courant patriotique libre, le général Aoun, et le chef du Hezbollah, Hassan Nassrallah.

C'est long mais pour ceux qui s'intéressent au Liban, c'est un passage obligé pour comprendre pourquoi les Chrétiens (traités de fous par l'occident?) s'entendent à merveille et sans honte avec les sympathisants du Hezbollah!

Un exemple à suivre...


Liban: Aoun et Nasrallah commémorent le 2ème anniversaire du document d'entente


Dans une émission télévisée diffusée conjointement sur la chaîne du CPL OTV et la chaîne du Hezbollah Al-Manar, le journaliste Jean Aziz a reçu le chef du CPL général Michel Aoun et le secrétaire général du Hezbollah Sayyed Hassan Nasrallah, à l'occasion du deuxième anniversaire de la signature du document d'entente entre les deux
partis précités.


Dans une première partie, le chef du bloc de la Réforme et du Changement a loué les qualités dont jouit Nasrallah, à savoir son amour envers ses combattants et sa capacité à commander, ce qui fait de lui un vrai résistant, faisant également part de son respect à sa personne ainsi qu'à tous les membres du Hezbollah. Le général Aoun a également indiqué qu'il s'est fait du souci durant la guerre de 2006 pour le chef du Hezbollah, et qu'il arrivait à le contacter surtout après les bombardements intenses sur la banlieue sud de Beyrouth.

Le général Aoun a expliqué que le Hezbollah a soutenu sa candidature à la présidence depuis le début, mais ce soutien n'a pas été rendu public pour permettre que les intentions du camp adverses soient dévoilées.
Soulignant que la majorité faisaient des promesses aux diplomates étrangers qui contredisaient leurs promesses faites au Hezbollah, le général Aoun a affirmé que la majorité faisait tout son possible pour l'éloigner de la scène politique et de ne permettre que l'élection d'un nombre très limité de députés du CPL.

S'articulant sur ces rencontres avec les hauts responsables américains, le chef du CPL a indiqué avoir expliqué à ces derniers que la question de l'armement du Hezbollah ne se résout pas par la force, et que le résultat de ces concertations sont résumés dans l'article 10 du document d'entente. Aoun a cependant affirmé que les américains n'ont pas voulu croire à une solution pacifique aux armes du Hezb, et se sont basés sur des promesses faites par le camp de la majorité.

Le secrétaire général du Hezbollah a commencé l'entretien en indiquant que son premier contact avec le général Aoun était en 1997, lorsque ce dernier l'a contacté via téléphone pour lui présenter ses condoléances à l'issue de la mort de son fils Hadi Nasrallah. Il a assuré qu'au fil du temps, le respect qu'il a envers la personne du général Aoun ne fait que croître, et ce respect envers le général est le même de la part de tous les membres du Hezbollah. Estimant que le courant est passé entre lui et Aoun depuis la première rencontre qui a eu lieu dans le salon de l'église de Mar Mikhaël le 6 février 2006, Nasrallah a certifié que le général Aoun est un homme patriotique, et ce patriotisme dont il jouit constitue un problème pour la majorité au pouvoir.

Indiquant que le Hezbollah supporte pleinement la candidature du général Aoun à la présidence parce que ce dernier ne dépend d'aucune ambassade étrangère, Nasrallah a dit avoir préférer ne pas révéler au public cet appui à cause des mauvaises intentions du camp adverse. S'exprimant sur les sessions de dialogue national, Sayyed Nasrallah a évoqué avoir aidé à organiser une rencontre entre Fouad Siniora, Saad Hariri et Ahmad Jibril, à la demande de Hariri et Siniora, pour discuter du dossier des armes dans les camps palestiniens. Il a cependant fait part de sa surprise face à la réaction des alliés de MM. Hariri et Siniora, lorsque ces derniers ont fait état de cette rencontre lors une des sessions du dialogue nationale.

En ce qui concerne les Libanais portés disparus dans les geôles syriennes, le secrétaire général du Hezbollah a indiqué avoir discuté avec tous les responsables en question afin de connaître le sort de ces détenus, et a affirmé que le rôle du Hezbollah s'est arrêté à un certain point où le gouvernement libanais devait s'occuper de ce sujet. Le chef du CPL, quant à lui, a rendu les gouvernements libanais au cours des années responsables de cette question qui n'ont pas donné à cette affaire humanitaire l'importance qui lui est due, déplorant la triste réalité qu'endurent les familles de ces personnes qui ne savent pas si leurs fils sont toujours en vie ou s'ils ont été tués.

Abordant la question des détenus en Israël, le chef du Hezbollah a signalé qu'il y a deux catégories de gens en Israël, ceux qui y sont partie pour avoir collaboré avec Israël, et d'autres qui ont commis des crimes et qui se trouvent toujours sur les terres israéliennes. Soulignant le fait que le Hezbollah n'a porté atteinte à aucune personne qui est retournée sur les terres libanaises, le chef du Hezbollah a déclaré que la Résistance libanaise a été plus civilisée que la Résistance française qui avait tué tous ceux qui avaient collaboré avec l'ennemi, alors que le Hezbollah n'a porté atteinte à aucun de ces collaborateurs libanais.

Interrogé sur la volonté de la création d'une nation islamique attribuée au Hezbollah, le secrétaire général du Hezbollah a indiqué que le Liban est un pays dont le peuple est diversifié et uni, et ayant une constitution particulière. Estimant qu'une nation et un gouvernement islamique à la lumière de la nation iranienne est une chose impossible et illogique au Liban, le chef du Hezbollah a expliqué que l'instauration d'une nation islamique est la volonté de tout un peuple, et que la diversité au Liban est un facteur que personne ne peut changer, ce qui fait qu'une telle hypothèse ne peut être mise en place. Insistant sur le fait que le pays des cèdres est le pays des libertés, il a indiqué que la diversité au Liban est la qualité qui caractérise ce pays, et que le Hezbollah bénéficie de ces libertés, et qu'une fois la liberté anéantie, le Liban n'existerait plus.

Prenant pour exemple la création de l'Union Européenne, le général Aoun a indiqué que l'UE n'a pu se former que lorsque la confiance entre les pays a été établie au cours des siècles, et au Liban, le MOU a été là pour commencer à créer cette confiance entre deux partis importants au Liban pour aboutir à un pays uni. Rappelant que la laïcité prônée par le CPL est une laïcité séparant la vie religieuse de la vie politique et qui ne nie pas les
pratiques religieuses, le général Aoun a déclaré que cette laïcité caractérisant son parti ne va pas du tout à l'encontre des principes du parti du Hezbollah, parce que dans les deux cas, c'est le Liban qui vient en premier lieu.

Quant à la question des armes du Hezbollah, le général Aoun a expliqué que la Résistance et les armes sont sacrés non dans un sens religieux mais dans un sens national, où tout mouvement pour la défense du pays et de sa souveraineté est sacré. Le chef du CPL a estimé qu'il ne faut pas laisser tomber la solidarité avec des citoyens qui résistent contre Israël, surtout à la vue des incidents qui se perpétuent à la frontière israélo-libanaise et qui peuvent, comme il a été le cas en juillet 2006, se dégénérer en guerre dévastatrice, prenant en compte que les responsables israéliens ont eux-mêmes avoué avoir préparé cette guerre depuis mars 2006.

En ce qui concerne la victoire de 2006, le chef du Hezbollah a rappelé qu'il avait dédié cette victoire à tous les Libanais, même ceux qui ne sont pas ou qui ne se sentent pas concernés par le Sud, insistant sur le fait que la politique du Hezbollah a toujours été une politique défensive Il a expliqué que le MOU a permis des discussions sérieuses et profondes sur la question des armes, ajoutant que les promesses données dans le temps par Hariri et Joumblatt sur cette question sont beaucoup plus importantes que ce qui a été discuté avec le CPL.

Evoquant ses derniers pourparlers avec l'ex-Premier minister feu Rafic Hariri, Nasrallah a indiqué que ce dernier lui avait dit qu'il est avec l'armement de la Résistance non seulement jusqu'à la libération de toutes les terres libanaises, mais jusqu'au jour où il y aurait une paix globale au Moyen-Orient, et que le jour où cette paix sera atteinte, il viendra lui demander qu'est-ce qu'il voudrait faire de ces armes, indiquant que si un accord à ce moment-là ne serait pas atteint, M. Hariri quitterait le Liban parce qu'il ne désire pas un Liban déchiré. Le chef de la Résistance a affirmé que Rafic Hariri avait donné sa parole d'être toujours avec la Résistance et avait même indiqué vouloir mettre noir sur blanc cet engagement auprès du Hezbollah, chose qu'il (Nasrallah) avait refusé par respect, et a rappelé que Saad Hariri après la mort de son père, lui a certifié respecter la position de son père vis-à-vis de la Résistance.

Sayyed Nasrallah a indiqué que son parti ne possède pas de réseau sécuritaire dans tous le Liban, et qu'il n'arrive qu'à cerner les secteurs dans lequel il est majoritaire, comme certaines régions du Sud ainsi que la banlieue sud de Beyrouth parce que les gens qui y vivent se connaissent entre eux, ajoutant qu'en dépit de cela, des membres du Hezbollah ont pu être tués.

En ce qui concerne le dossier de l'assassinat de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri, le chef du Hezbollah a fait part du désir de la famille Hariri, lorsqu'il a été chez eux pour leur présenter ses condoléances, de mettre en place une commission d'enquête libano-saoudienne, volonté qu'il a approuvée, mais qui a été refusée par la suite par l'Arabie Saoudite. Il a ensuite réitéré ce qu'il avait déclaré à maintes reprises sur les écrans télévisés, indiquant qu'il est prêt à se mettre aux côtés de Saad Hariri pour faire face à la Syrie et à son régime au cas où il s'avère qu'elle est impliquée dans le meurtre de feu Rafic Hariri.

Sur la question du Tribunal International, le général Aoun a déclaré qu'il fut un des premiers à réclamer l'instauration d'un tribunal international pour savoir la vérité derrière l'assassinat de Rafic Hariri, se demandant pourquoi, après trois ans, il n'y a toujours pas de coupables, déplorant la détention des quatre généraux pour des raisons politiques, et qui auraient pu, selon lui, être sanctionnés de plusieurs façons plutôt que de les empêcher de vivre au sein de leurs familles, surtout qu'il n'y a toujours pas de preuve contre eux.

En ce qui concerne le document d'entente, le chef du CPL a estimé que ce document a permis aux communautés chiites et chrétiennes à reprendre des relations normales de concitoyens, ayant des échanges sociaux et économiques entre eux, alors qu'au sortir de la guerre, personne n'avait le droit de mettre les pieds dans le territoire de l'autre. Le général Aoun s'est demandé pourquoi les autres partis critiquent ce document d'entente alors qu'ils auraient pu en faire partie. Aoun a cependant critiqué les accusations
lancées contre le CPL pour avoir effectué ce document d'entente avec le
Hezbollah, venant de la part de la majorité, alors qu'elle avait inclus dans le
gouvernement des ministres du Hezbollah. Enfin, évoquant les évènements du dimanche noir, le général Aoun les a qualifiés de baptêmes de sang pour le document d'entente, insistant sur l'ambiance fraternel et pacifique au
lendemain de ces évènements violents qui auraient pu facilement dégénérer en conflits armés.

Le secrétaire général du Hezbollah a de son côté estimé que ce document d'entente a été un prélude aux sessions de dialogue nationale, vu que tous les dossiers chauds au Liban y ont été traités.

Selon lui, l'exploit réalisé par ce document d'entente n'est pas seulement au niveau sécuritaire qui permet les échanges entre les deux communautés, mais il est surtout au niveau de la paix qui permet au Libanais de vivre dans un climat de paix ne pas s'en faire du lendemain qui pourrait être secoué par une guerre quelconque.

Sayyed Nasrallah a mis l'accent également sur la guerre israélo-libanaise, indiquant que si les familles des combattants qui bataillaient contre Tsahal ont été accueillies dans des régions chrétiennes par le CPL et par les églises et les associations chrétiennes, c'est grâce à ce document d'entente entre le Hezbollah et le CPL, qui sans lui, la guerre contre Israël aurait pu être une défaite et se transformer en une guerre civile libanaise.

Mettant l'accent sur le conflit israélo-libanais, le chef du Hezbollah a souligné que le timing de cette guerre était prévu pour octobre, et les israéliens comptaient tuer les membres du Hezbollah dans leurs maisons, estimant que le 12 juillet était une date providentielle qui a permis la défaite d'Israël. Sur le rapport de Winograd, Nasrallah a estimé qu'il reste beaucoup de vérités que ce rapport a pris le soin de cacher, et certains Libanais ont été soulagés parce que ces vérités n'ont pas été révélées.
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MoDem Liban




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MessageSujet: Re: Liban : Elections présidentielles   Liban : Elections présidentielles - Page 5 Icon_minitimeLun 24 Mar 2008 - 0:53

Et pendant ce temps, le Liban est toujours sans président!

Quelqu'un peut-il donner la position du MoDem au sujet de la situation au Liban? Adopte-t-il le même son de cloche que le président français et l'autre américain, ou bien arrive-t-il à se faire une idée objective malgré la désinformation persistante?

La démocratie a besoin d'un soutien... et un soutien sincère.

Merci d'avance!
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MessageSujet: Re: Liban : Elections présidentielles   Liban : Elections présidentielles - Page 5 Icon_minitime

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