[21] Côte d'or

J'avoue ne pas trop suivre comment ça se passe les legislatives. Par exemple comment on peut savoir qui sera à Beaune (5ème circonscription)
Côte-d'Or (21).

Par exemple il y a eu Suguenot qui était UDF/UMP :'( mais si j'ai bien compris Bayrou, il n'y aurra pas de représentant MD l'a ou il y a un ancien UDF ?

Merci,

nonoLeRobot a écrit:

J'avoue ne pas trop suivre comment ça se passe les legislatives. Par exemple comment on peut savoir qui sera à Beaune (5ème circonscription)
Côte-d'Or (21).

Merci,

Pour connaître les candidats de ton département et plus particulièrement ta circonscription il faut contacter :
21 Côte-d'Or

Permanence UDF François DESEILLE
2, rue Montigny 21000 DIJON

03.80.50.12.57 (perm) 06.81.45.44.44 (port) Appels : 9H00-20H00

jeunesudf21@aol.com francois.deseille@wanadoo.fr

udf21@free.fr


Voili voilà, moi je ne peux que te renseigner sur le 38.

en Côte d'Or, on peut avoir la liste des candidats ici:

http://www.bienpublic.com/actu/region/20070519.BPA0068.html

Dans ma circonscription, c'est Sophie Vielfaure mais je ne l'a connais pas du tout, et je ne trouve rien sur internet, même pas un moyen de la contacter.

Eh beh, pas très actif la Cote d'Or! En tout cas si vous voulez des infos sur la candidte de la 5ème circonscription:

http://www.vielfaure2007.blogspot.com/

Sinon elle recherche des gens pour tracter samedi matin au marché de Beaune, contactez là.

Le Monde et le Point 22 janvier Rebsamen se lance en pluraliste à l'assaut de la mairie de Dijon

DIJON, Côte d'Or (Reuters) - François Rebsamen a officialisé mardi sa candidature à la mairie de Dijon, une des rares villes moyennes de France à être tombée dans l'escarcelle de la gauche en 2001.
Numéro deux du Parti socialiste, le maire sortant a conclu la semaine dernière un accord avec des membres du MoDem local en vue de former une "liste de rassemblement pluraliste" dont les contours doivent encore être précisés.
En 2001, il avait remporté la mairie contre le RPR Jean-François Bazin avec 52% à la tête d'une liste de gauche plurielle qui lui avait permis de devenir le premier maire de gauche à Dijon depuis 1935.
"Socialiste je suis, socialiste je reste mais la fonction de maire (...) oblige au dépassement permanent des frontières partisanes parce qu'en tant que maire on est d'abord au service de tous ceux qui habitent notre ville", a-t-il déclaré lors d'une rencontre avec plusieurs centaines de ses partisans au Cellier de Clairveaux, dans le centre de la ville.
En plus des radicaux de gauche, des Verts et des communistes, si des personnalités du parti de François Bayrou "nous ont rejoints, c'est parce qu'ils partagent les mêmes valeurs que nous, que nous porterons le même projet, que leur but est le même que le nôtre: faire avancer Dijon", a-t-il insisté devant un panneau proclamant son slogan de campagne "Dijon ensemble". Son annonce a été saluée par quelques huées dans la salle.
Dénoncée par Laurent Fabius ou le jeune secrétaire national du PS Razzy Hammadi, l'alliance a reçu l'onction de la direction nationale.
En 2001, Dijon, ville de 150.000 habitants faisait partie des rares victoires municipales du Parti socialiste avec Paris et Lyon.
Mardi soir, François Rebsamen a dressé le bilan de sept années de gestion de gauche dans la capitale de la Bourgogne. Il a insisté sur la maîtrise des finances municipales, les projets de rénovation urbaine de quartiers difficiles, l'implantation d'Ikea et la construction du Zénith et de 23% de logements sociaux.
Laure Bretton

http://www.lepoint.fr/content/a_la_une/article?id=219927

http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-34006891@7-354,0.html

Le Figaro 28 janvier Pour s'imposer à Dijon, Rebsamen s'allie au MoDem

Son adversaire UMP François-Xavier Dugourd entend incarner le renouvellement.
Le face-à-face n'était pas prévu. «François-Xavier Dugourd est là», glisse-t-on à l'oreille de François Rebsamen à son arrivée devant le chantier. Légèrement en retard, le maire PS de Dijon visite ce matin-là un établissement d'accueil pour personnes âgées et hautement dépendantes en construction. Son adversaire, conseiller général UMP de 44 ans qui conduit pour la première fois une liste aux municipales, a décidé de s'inviter. Sur le papier, la bataille pourrait être jouable : tombée à gauche en 2001, la ville a voté pour Nicolas Sarkozy à la présidentielle.
Dans une chambre témoin du futur établissement, Rebsamen, le regard joueur, ne résiste pas et engage la polémique. Le financement de la mairie atteint 3 millions d'euros contre seulement 600 000 euros pour le département, présidé par l'UMP. Si le financement du conseil général était plus important, «cela permettrait de faire baisser le prix de la journée d'hébergement, ce serait de la bonne gestion», lance le maire à son concurrent. L'échange se poursuit à l'extérieur. Dugourd sort quelques feuilles de sa poche : «Je t'engage à lire ce rapport», observe-t-il, en voulant défendre l'action du département. «Donne-le moi», défie Rebsamen. «Non, ce sont mes notes», répond l'autre, gêné. La passe d'armes s'arrête là.
Dans son bureau du palais des Ducs, sous une peinture de Yan Pei Ming, un artiste que Dijon soutient, le maire sortant est confiant. Il a déjà rassemblé derrière lui toute la gauche. Et pour conserver la mairie, il a un autre atout : l'alliance avec le MoDem, dont il évalue le potentiel électoral à 6 ou 7 %. Les centristes pourraient avoir 6 ou 7 élus sur sa liste. La proposition d'accord dès le premier tour est venue d'eux. «Ah bon, ce n'est pas ma stratégie», a d'abord répondu, en octobre, François Rebsamen à son interlocuteur, François Deseille. Le numéro deux du PS pensait attendre le second tour pour tendre la main. «Et s'il n'y a pas de second tour ?», a répliqué le chef de file des centristes locaux. L'accord entre les deux hommes et non pas entre partis, font-ils valoir a porté notamment sur la maîtrise des finances de la Ville. En 2001, le centriste Deseille figurait sur la liste de droite opposée au candidat socialiste.
L'alliance PS-MoDem à Dijon a suscité quelques critiques de la part de la gauche du PS. Mais François Hollande a laissé faire. Localement, la section du PCF s'est montrée plutôt hostile, mais les conseillers municipaux communistes sortants ont majoritairement choisi de se présenter avec le maire. «La politique de la chaise vide ne mène à rien», dit l'un d'eux. Cette alliance avec le MoDem n'a pas empêché non plus Lutte ouvrière de prendre contact récemment avec le maire en se disant prête à un accord «avec solidarité de gestion». «S'il y a l'extrême gauche, on casse l'accord», prévient-on cependant au MoDem.
«Des enjeux très locaux»
Si la gauche est parvenue à s'unir, la droite n'a pas surmonté ses divisions. Candidat dissident en 1995, Yves Japiot, conseiller municipal UMP, pourrait annoncer une nouvelle candidature cette semaine, sauf s'il obtient la tête de liste !
Pour décrocher un second tour face à François Rebsamen, François-Xavier Dugourd multiplie les efforts sur le terrain. Ce jour-là, il fait du porte-à-porte, liste électorale en main pour ne sonner que chez les électeurs inscrits. L'accueil est bon. Jusqu'au moment où la politique nationale le rattrape. «Ce qui me dérange, c'est que vous soyez soutenu par Nicolas Sarkozy, à cause de toutes ses promesses non tenues», lance une habitante du 1er étage du bâtiment B. «J'ai une identité UMP, mais on est sur des enjeux très locaux», nuance le candidat.
Les candidats dévoileront plus tard l'intégralité de leurs propositions. Mais chacun a d'ores et déjà ses axes de campagne spécifiques. François Rebsamen projette de construire des «écoquartiers», d'installer des caméras de vidéosurveillance dans le centre-ville ou de faire de Dijon le centre d'une «étoile ferroviaire», gage de son développement à long terme. De son côté, François-Xavier Dugourd propose la construction d'une rocade 2x2 voies, de rendre progressivement piétonnier le centre-ville ou d'aménager la rivière.

http://www.lefigaro.fr/politique/2008/01/28/01002-20080128ARTFIG00346-pour-s-imposer-a-dijon-rebsamen-s-allie-au-modem.php

Dans le canard du 26 mars 2008

"Billard à 3 bandes
Le PS a gagné 8 départements à l'issue des cantonales, mais il en esperait un 9e, la Cote d'or.
c'est la voix de l'unique conseiller général MoDem, un certain Marc Frot, qui a permis à la droite de rester à la tete du département. François Sauvadet (NC) a ainsi succédé à un UMP.
Le numéro 2 du PS, François Rebsamen, avait pourtant réalisé, aux municipales à Dijon, une alliance victorieuse avec le MoDem. Et, en échange, le PS n'avait présenté aucun candidat dans le canton convoité par Marc Frot.
De fins stratéges, ces socialistes dijonnais."

SI c'est vrai (élu avec des voix de gauche et soutien d'un NC, Sauvadet en plus), soyons honnete, c'est vraiment desespérant...

Site départemental du MoDem dans la Côte d'Or:

http://www.modem21.com/

RESULTATS DES ELECTIONS DEPARTEMENTALES 2008 - CÔTE D'OR

Présidence collégiale			Conseil départemental (hors membres de droit)
François	DESEILLE		52 élus liste Edith BALESTRO
Pierre	BORDAT
Dominique	GRIMPRET
Patrick	HILLON
François	TROUWBORST

Café politique du Modem


Jeudi 30 octobre, à la brasserie la Grande Taverne, avenue Foch, à Dijon, à partir de 19 h 30, la fédération de Côte-d'Or du Modem (Mouvement démocrate) organise un café politique.
Le thème abordé sera celui des énergies et les enjeux en terme climatique ou la maîtrise des émissions CO2.
Seront en débat aussi le nucléaire et les énergies renouvelables.
Les intervenants seront Alain Cagnol, Jean Rapenne et l'architecte Frédéric Pierrot.

http://www.bienpublic.com/actu/faitsdiv/20081029.BPA8746.html