poèmes

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Un jour la tempête, a relaillé le temps
le temps ou les enfants s'ammusaient à tue tête

mais que d'arbres arrachés, que de fermes dévastées,
la tempête est passée, mais elle n'a rien laissé

pourtant il faudra bien,
que les hommes réparent
que les hommes se préparent,
à la tempête qui reviendra


poésie d'un devoir de vacances de 12/13 ans... avec 50 fautes d'orthographe en prime

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vu sur réactions libération

26 novembre 2007
QUAND IS SONT VENUS LES CHERCHER

« Quand ils ont supprimé les régimes spéciaux, je n’ai rien dit, je n’étais pas concerné.


Ils sont venus pour supprimer des postes de fonctionnaires, je n’ai rien dit, je n’étais pas fonctionnaire.


Ils sont venus pour diminuer la couverture sociale, et je n’ai rien dit, je n’étais jamais malade.


Ils sont venus pour supprimer usines et entreprises, et je n’ai rien dit, j’avais un travail.


Puis je suis tombé malade, et j’ai perdu mon emploi, et il ne restait plus personne pour dire quelque chose. »

Tiens Aptien dans le style que j'écrivais et @ Bop , @ Signora et aux autres.


JARDIN

Racine camouflée dans le jardin de la vie
De la nature , toute entière l'a enveli
Jadis, une fleur a plié l'arbre de sa fine bouche
Où engendré, un vent doux l'a abattu
L'eau n'y ruissellera jamais plus
La rose très éphémère
L'a charmé de ses pétales sanglantes
Et de ses épines l'a piqué pour le restituer en terre
Arracher le secret résulterait une fin définitive
Les yeux trop fragiles, aveuglés par la lumière vive
Aucune plante dorénavant lui déchirera le coeur
L'amour sombre ne peut l'éclairer.


Marco.

Ah, là, c'est une production personnelle.

Le nectar....

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J'avais écris ça, pendant les élections. Hélas, cela n'a rien changé...



Le grand père et l’enfant


La moitié du pays,vautré dans sa bêtise
Comme un porc dans la boue, célèbre la traîtrise
Qu’une police aveugle, aux ordres du pouvoir
A tantôt accomplit. Bravo, Petit César !
Pour t’offrir le palais que tu espérais tant
On piégea un grand père, sous les yeux d’un enfant.


C’était l’heure où l’on mène les petits dans les classes.
L’heure tranquille et sereine… Et tout à coup, en masse
Débarquèrent les agents de la force civile,
Pour attraper un homme. On cru qu’ils étaient mille
Tout était préparé, et en un court instant
On piégea un grand père, sous les yeux d’un enfant.

Les témoins accoururent, hommes, femmes, parents.
Ils demandèrent des comptes, s’en prirent aux agents
Ils devinrent des rebelles, des voyous, des bandits.
Ils se mirent hors la loi, et le pouvoir en fit
Des criminels, alors qu’ils trouvaient révoltant
Qu’on piégea un grand père, sous les yeux d’un enfant.

Et ce vieillard, mon Dieu, qu’avait-il pu bien faire ?
Il vivait sans papiers, dans la plus noire misère,
Il fuyait les tyrans d’un pays assassin.
Mais, pour Petit César, il était clandestin.
Et pour le renvoyer « chez lui », discrètement
On piégeait le grand père, sous les yeux de l’enfant.

La force a triomphé des justes en colère.
Les amis de César, Bouygues, Dassault, Lagardère,
Ne crieront ni au scandale, ni à l’injustice ;
Le pouvoir et la presse, aujourd’hui, sont complices.
Et le Front National accepte en ricanant,
Qu’on piège les grands pères sous les yeux des enfants.

Notables abrutis, Racistes sans conscience,
Gens de droite prétendant gouverner la France,
Vous qui aimez tant l’ordre… Qui appelez « Justice »,
L’exécution de vos désirs par la police,
Minables, je vous hais, vous, qui trouvez si grand
De piéger les grands pères, sous les yeux des enfants.

Oh non

Insolent a pris un coup de vieux !

tout fout le camp !

Désolé Jacqueline... La grève est terminée, et durant ce temps, je me suis métamorphosé en Jimmy Hoffa. J'avoue qu'il est beaucoup moins beau que BHL, mais il paraît que je lui ressemble depuis que j'ai rasé ma barbe. J'espère ne pas terminer comme lui, même si la CGT a mis un contret sur ma tête...

***

Bien que ces vaches de bourgeois
les appell'nt les filles de joie
c'est pas tous les jours qu'elles rigolent
parole, parole,
c'est pas tous les jours qu'elles rigolent.

Pas faux ça aptien...
Dur métier.
C'est très joliment dit !

Dans un autre style , un petit texte que j'ai composé déjà dix ans.


Le dé


Au creux de la main
Le 1 , je jette
l'as me sourit
glisse le destin


Le 2 , il tombe
telle une bombe
le 3 rebondit
dans un sens indécis


Le 4 , il tourne
dans une totale déroute
le 5 , point crucial du doute


Le dé est un jeu
et la vie l'enjeu
mon coeur ne bat plus
le 6 s'arrête......

Il n'ya pas de sept




Marco



Pour vous tous...

Pas de sept ?
Je possède des dés à 8, 12 et même 20 faces...

Pas poète Jean Luc ...
Esprit cartésien ! quitte ce fil ou nous souhaitons rêver ...

***

signora a écrit:

Pas poète Jean Luc ...
Esprit cartésien ! quitte ce fil ou nous souhaitons rêver ...

C'était pour permettre à Marco de prolonger son poème...

Bop
et la nuit fut bonne ?
toujours dans les nuages ma belle ....

Jean Luc
Nous cherchons à apprécier l'instant présent ....
Une petite parenthèse de bonheur.

Jean-Luc a écrit:

Pas de sept ?
Je possède des dés à 8, 12 et même 20 faces...

Je m'en doutais J-luc que tu allais réagir.
Un joueur comme moi le savait , mais c'est un texte et il lui faut une fin. Lu ton post ensuite...
C'est vrai je pourrais continuer , à réfléchir...


J'ai toujours aimé ce petit jouet car où que tu sois , il apporte de la convivialité , facile à porter , facile à jouer , facile à comprendre , et fascinant l'intéret , facile pour lancer un contact même avec une personne qui parle une autre langue.
Vraiment un petit trésor dans le monde des jouets...


@ Bop , enfin heureux de voir que tu composes aussi la rêveuse...

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Serait-ce une question de timidité ?

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Ose , ose
la prose
ose , ose
sans pause
ose , ose
la métamorphose
ose , ose
la prose
ose , ose
la prose
belle comme une rose.