NC : Nouveau Centre

spm97500 a écrit:

Bon le psle est de droite le Modem de gauche ses pas difficile Bayrou est toujour a critiquer le gouvernement surtout sarko je ne ferais pas que de l'oposition qu'il disé il a bien embobiné tous le monde

Il m'a semblé que Bayrou avait approuvé certaines actions du gouvernement comme l'idée du traité simplifié...

je traduis pour les non comprenants (il m'a fallu 3 lectures pour comprendre)

"Bon, le psle est de droite et le Modem de gauche, c'est pas difficile [à comprendre]. Bayrou critique toujours le gouvernement et surtout Sarko. "Je ne ferai pas d'opposition [systématique]" disait-il. Il a bien embobiné tout le monde..."

D'autre part, la critique n'est pas forcément négative...

Positive dans l'embobinement, tsarkos est très fort en effet dans ce domaine.

mercredi, 08 août 2007
PARTI RECHERCHE (désespérément) ADHÉRENTS
Ce pourrait une annonce conçue par le petit club intimiste (sarkozien) des ex-UDF du “nouveau” centre qui, de décomptes en décomptes, sont bien obligés d’admettre que la “sauce” d’un pseudo parti du centre, ancré délibérément à droite, ne prend pas et qu’ils restent résolument bien seuls. Il faut aussi admettre que le bilan de la récente session parlementaire leur a démontré l’utopie de leur démarche : ils ont vite été remis en place par leur “grand frère” associé de la “majorité présidentielle”.

Déjà à mi-juillet, ici même, nous relations dans une note “les déboires du P.S.L.E.” et nous expliquions pourquoi cet embryon de parti politique était “en panne” et sans aucun avenir. Les événements semblent amplement confirmer notre analyse.

Ils escomptaient, après une campagne de recrutement, dénombrer bien vite (et pourtant très modestement) ±5.000 adhérents. Las ! Le “comité exécutif” du P.S.L.E., réuni le 31 Juillet, a fait ses comptes pour constater qu’il comprend 500 élus locaux (dont nombre d’assoiffés de “rata”) et ±4.000 adhérents, dont pas tous ont confirmé leur adhésion.

Inspirés aussi des Universités d’Été que chaque année, à la rentrée, les Jeunes UDF concoctaient avec le succès que l’on sait et faisaient se réunir autour de François BAYROU plusieurs milliers d’adhérents, ils voulaient poursuivre cette tradition et, quelque peu, “faire la pige” à BAYROU qui, lui, rassemblera au même moment ses milliers d’adhérents du ”MoDem” à Seignosse. Hélas, l’attrait des “bons” (?) mots de Mr SANTINI, ou les platitudes de Mr MORIN n’attirent pas les foules et ne suffisent pas pour organiser de grands rassemblements à la mode UDF : on ne s’improvise pas BAYROU !

Le “nouveau” centre a donc décidé d’annuler ses Universités d’Été. Il se contentera d’organiser des journées (pour ses 21 parlementaires) le 27 Septembre à Paris.

Recherche-t’il une cabine téléphonique pour les réunir ?

18:15 Ecrit par François VAN DE VILLE

leFigaro

Hervé Morin, la défense du centre
JUDITH WAINTRAUB.
Publié le 13 août 2007 08h34 L'ancien président du groupe UDF de l'Assemblée a reçu mission d'« occuper le centre droit » déserté par François Bayrou.
François Bouchon/Le Figaro



Hervé Morin, la défense du centre Large adhésion des Français à l'action de Sarkozy À la plage, l'UMP surfe sur la vague Sarkozy La santé retrouvée de Roselyne Bachelot Au PS, les vieux courants n'ont plus la cote Fadela Amara dialogue avec les jeunes des quartiers par blog interposé Le projet humaniste de Christine Boutin Christine Albanel, la culture du franc-parler En Nouvelle-Calédonie, Harold Martin élu, pour quinze jours, à la tête du gouvernement Retour | Rubrique PolitiqueGOUVERNEMENT (5/15) Le ministre de la Défense doit organiser la sensibilité centriste de la majorité.


« JE FAIS une course contre la montre » : sous ses airs désinvoltes, Hervé Morin sait que le temps lui est compté. L'ancien président du groupe UDF de l'Assemblée a reçu mission d'« occuper le centre droit » déserté par François Bayrou. Pour affirmer son autorité sur les centristes qui l'ont suivi, Nicolas Sarkozy lui a donné un ministère régalien, la Défense. Qu'il échoue rue Saint-Dominique, ou sur le terrain électoral, et c'en sera fini du Nouveau Centre. « Il y a un peu moins d'un mois, confie-t-il, Sarkozy m'a prévenu que ça allait beaucoup tourner au gouvernement. Il m'a dit qu'un certain nombre d'entre nous allait exploser en vol. »


Ministre de la Défense à 45 ans, onze ans après son mentor François Léotard, qui l'avait emmené avec lui rue Saint-Dominique comme conseiller chargé des relations avec le Parlement, Hervé Morin jouit de sa promotion éclair tout en essayant de se « faire à l'idée d'être assis sur un siège éjectable ». À quand l'épreuve de vérité ? Le chef de l'État a expliqué à l'état-major de l'UMP qu'il envisageait de remanier le gouvernement en janvier, avant de soumettre ses réformes institutionnelles au Parlement réuni en congrès. Objectif : élargir encore l'« ouverture » pour obtenir la majorité des trois cinquièmes et semer un peu plus de désordre dans les rangs socialistes à trois mois des municipales. Hervé Morin pense qu'il conservera son ministère. Il ne voit pas Nicolas Sarkozy « changer de stratégie » et se séparer des centristes avant qu'ils aient pu faire leurs preuves. D'où le calme avec lequel il a pris l'épisode Le Drian.


Le soir du second tour des législatives, le chef de l'État a appelé le président PS du conseil régional de Bretagne pour lui proposer un poste à la Défense. Offre rejetée. « Il s'agissait sûrement d'un secrétariat d'État », veut croire le patron du Nouveau Centre. Les centristes restés fidèles à François Bayrou ont une tout autre interprétation de la manoeuvre. « Je serais Morin, je me ferais du souci !, ironise le sénateur UDF Jacqueline Gourault. Les centristes, Sarkozy s'en fout. Il a vécu une traversée du désert, il connaît la valeur de la fidélité. Je n'ai pas beaucoup de doutes sur ce qu'il a pensé quand Morin et les autres sont venus le voir. »


Pour les municipales, des négociations avec l'UMP


Cette bayrouiste de choc est persuadée que « les législatives ont montré à Sarkozy les limites de la technique du débauchage individuel. Il a compris que ça poussait toute une frange de notre électorat vers la gauche, et qu'il ne fallait pas en abuser ». « Faux, riposte Jean-Christophe Baguet, ex-UDF rallié à la candidature Sarkozy dès octobre 2006. L'électorat de gauche qui avait été séduit par Bayrou à la présidentielle est simplement rentré au bercail. Nos électeurs traditionnels, eux, nous ont suivis. » Le député des Hauts-de-Seine pense que « Morin est capable de fédérer ces centristes historiques, qui ne se reconnaissent plus dans la démarche de Bayrou ».


« À condition qu'on bosse, prévient l'intéressé. Les députés UDF sont venus à moi parce Bayrou voulait en faire de la chair à canon, mais l'existence d'un centre droit libre et indépendant n'est pas acquise. On doit se territorialiser pour s'affirmer localement face à la machine UMP. »


Les négociations pour les municipales entre le parti présidentiel et le Nouveau Centre serviront de test. Hervé Morin va pouvoir les suivre de très près, puisque son secrétaire d'État à la Défense, Alain Marleix, est aussi secrétaire national chargé des élections à l'UMP. Ils cohabitent depuis les législatives et leurs relations sont « excellentes » au dire de tous ceux qui les ont vus ensemble. Gros travailleur, Marleix est réputé pour son caractère affable et son inusable patience. Quant à Morin, « il est un peu brut de décoffrage, mais c'est un malin et un fonceur », juge Pierre-Christophe Baguet. « Il est carré et il ne prend pas les gens en traître : quand il m'a fait virer par le groupe UDF, il m'a téléphoné avant pour me prévenir. Et il m'a envoyé ses voeux en 2007, ce qui m'a fait marrer ».


Son caractère, le ministre de la Défense a eu l'occasion de le montrer dès son arrivée rue Saint-Dominique. Il a décidé d'y passer le plus de temps possible. « Michèle Alliot-Marie était tout le temps sur le terrain, ce qui veut dire qu'elle n'était pas ici à prendre les décisions. Moi, je refuse d'être une marionnette. »


On raconte rue Saint-Dominique que les premières semaines, les relations entre le ministre et Jean-Louis Georgelin, chef d'état-major des armées, ont été du genre « viriles ». Déjà mis sous étroite surveillance par l'Élysée et par Matignon, Morin n'a aucune envie de « laisser les militaires prendre les décisions à sa place ».


Éviter une diminution de ses crédits


Dans un domaine aussi sensible que la Défense, il est difficile pour un ministre d'imprimer sa marque. Surtout en période de restriction budgétaire. Entre un Fillon « debout sur le frein » pour éviter que les dépenses dérapent, et un Sarkozy « tenu par ses engagements devant les Français », Morin se démène pour éviter une diminution de ses crédits.


Combat difficile, et peu lisible par l'opinion. Pour faire exister le Nouveau Centre dans la majorité, son chef a besoin de sujets porteurs, et aussi d'alliés. Mais il se réserve le droit de les choisir. Frustrés d'être si peu représentés au gouvernement, les ex-centristes qui avaient rejoint l'UMP dès 2002 ont menacé un temps de quitter le parti présidentiel pour le Nouveau Centre. Morin, qui ne s'est pas émancipé de la tutelle de Bayrou pour se soumettre à celle d'un Méhaignerie ou d'un Raffarin, leur a fait savoir qu'il n'était « pas là pour récupérer les UMP fâchés ». En revanche, il a accepté les offres de collaborations ponctuelles des réformateurs.


Leur président fondateur, Hervé Novelli, est une vieille connaissance et un ami. Les deux Hervé habitent le même immeuble du XVIIe arrondissement. Aussi jaloux l'un que l'autre de préserver l'originalité de leurs mouvements , ils ont décidé de tester leur compatibilité en organisant ensemble deux colloques à la rentrée. L'un, sur l'instauration d'un small business act à la française, sera animé par Hervé Novelli, secrétaire d'État chargé des entreprises, tandis qu'Hervé Morin pilotera les travaux de l'autre, consacrés aux réformes institutionnelles. Tous ces projets figuraient parmi les propositions phares du candidat Bayrou. Morin a négocié avec Sarkozy leur inscription dans la plate-forme commune de l'UMP et des centristes ralliés pour les législatives. De sa capacité à les faire aboutir dépendra le poids politique futur du Nouveau Centre.

J'ai v cet article, Juju41, et je me dis que si c'est vrai que c'est Morin qui est allé voir Sarko et non l'inverse, alors là, la trahison est incontestable.

je n'arrive pas à comprendre Morin, à moins que ce ne soit vraiment une guerre d'influence entre Bayrou et lui, au niveau de la prépondérance dans l'UDf, car au départ , Morin (voir le discours du 10 JUIN 2006) était strictement dans la ligne Modem.
Morin en peut-être eu marre d'être la seconde roue du carosse et a tenté sa chance avec Sarko, enfin c'est une hypothèse personnelle!

Ceci dit, avec NS, il ne sera pas au premier plan non plus. Pire, c'est son parti tout entier qui devient la seconde roue du carosse.
Et pour combien de temps ? Cinq ans ?

les municipales seront dures pour eux aussi, ils ne seront gagants que soutenus par l'UMP, et localement, rien n'est moins sur, ce sera un jeu de quitte ou double pour le NC, pour nous aussi, tout dépendra de notre capacité à convaincre et faire les bonnes alliances au deuxième tour.Enfin chez moi, notre NC de Perruchot est très mal parti car l'UMp n'a pas avalé le coupdes législatives, et le Modem sera là et bien là.

Au fait, "on" (l'UDF) en a combien de villes au départ (mettons des villes de plus de 10 000 habitants.)

C'est à dire combien de maires UDF a -t-on?

Pour moi, étant dans un petit bourg, il risque d'y avoir seulement une ou deux listes aux élections municipales.
A voir !

Cela dit, "on" ferait bien de pas trop taper sur Morin.

Car:

Avec la vague Morin de 2007

Plus la vague Douste de 2002

Plus Barre, plus Giscard, plus Simone Veil plus tous ceux que j'oublie mais qui ont été centristes un jour

Ben.

On serait au gouvernement....

Eh oui ! Probablement !

Dommage quand on y réfléchit...

quel gouvernement? celui de Sarko?
chaque vague de départs ont renforcé l'UDF, la preuve de 2002 à 2007, la clique douste-méhaignerie en moins, on est passé de 6% à 18,50% de voix au premier tour des présidentielles! pourtant entre les 2 il y eu la première traversée du désert.Qui nous dit que la deuxième vague de départ plus la création du Modem ne nous mènera pas à 30%, on peut en rêver, après tout!

Et peut être même que Sarko serait venu "nous" voir pour "nous" demander à conserver son ministère de l'intérieur.

Ce qui lui aurait été accordé (pour 6 mois) et en prenant soir de rabougrir très sévèrement le périmètre du dit-ministère.

Ah, quel dommage......

Combien de maires UDF ? Je ne sais pas !
Logiquement, aujourd'hui, ils sont soit Modem soit NC.

j'ai trouvé ça , une liste des maires des grandes villes, alors il ya des UDf mais quant à savoir ce qu'ils sont maintenant! les célèbres ça va, on sait mais les autres...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_maires_des_grandes_villes_fran%C3%A7aises

Intéressant, ton docment, Juju41.

Perruchot, que devient il?

Je sais qu'il fait parler de lui, mais sans plus.

Juste une parenthèse, quelle fable ?

il pédale dans la semoule, en tout cas sur la ville de BLois, le pS a fait 53% aux législatives, heureusement pour lui, que la campagne a voté pour lui, mais il est passé ric rac!
donc pour les municipales , ça va être chaud pour lui, d'autant que l'UMP local avait investi une UMP dissidente contre lui en juin et que c'est parce que l'UMP l'a menacée d'exclusion que elle a abandonné, ça promet pour les municipales car l'équipe actuellee st mixte UDF-UMP, avec des UDF-MOdem au milieu, bonjour l'ambiance, il a même confisqué les clés des bureaux de certains conseillers UMP , sans parler du harcèlement contre les Modem, bref, c'est pas la joie, mais ça sent le roussi pour lui...NOUs avons plusieurs conseillers modem , plus les UDf et modem qui voudront bien se présenter, dont moi si on a besoin de remplir la liste car les parités hommes-femmes ne sont pas si faciles à réaliser, beaucoup de dames modem risquent d'être sollicitées pour les municipales(parité absolue oblige).

Eh bien, je vais te dresser un tableau de la situation, chez nous, dans l'Ouest Lillois.

A moins que le ciel ne lui tombe sur la tête, Marc Philippe Daubresse (Tendance transfuges de 2002) devrait conserver sa mairie de Lambersart (30 000 H) Il se mumure même qu'il pourrait prétendre (????) prendre la suite de Mauroy à la Communauté Urbaine de Lille. Daubresse était le patron de l'UDF ancienne version (ante 2002)

La ville de Saint André à pour Maire le patron de l'UDF Modem du Nord, Ollivier Henno. Il ya du tiraillement avec l'UMP. Henno avait fait un joli coup à une législative partielle en 2005 en faisant 47% face à Daubresse, mais n'a pu renouveler l'exploit.

Dans mon village (Lompret, 2500 habitants) , en général il n'y a qu'une liste, comme ça au moins, c'est simple. Nous devons être assez près de Neuilly au nombre de sarkozystes, dans ce village.

juju41 a écrit:

si on a besoin de remplir la liste car les parités hommes-femmes ne sont pas si faciles à réaliser, beaucoup de dames modem risquent d'être sollicitées pour les municipales(parité absolue oblige).

Ce n'est pas strictement parlé la parité absolue, c'est que sur un bloc de 6 candidats, il doit y avoir 3 hommes et 3 femmes, peut importe l'odre.
Exemple :
1) homme 2) homme 3) femme 4)femme 5) femme etc.. ou l'inverse bien entendu ...

Aptien, il ne tient qu'à toi de réunir tout ceux qui ne sont pas UMP de te ton village pour monter une liste ...

Pour la situation dans ma commune, Hem qui se trouve dans l'Est Lillois, le Maire actuel est F. Vercamer, ancien UDF et fraîchement réelu député pour le Nouveau Centre...
Donc chez nous la situation est assez compliqué, car de nombreuses personnes l'ont suivi dans sa démarche et d'autres hésitent encore entre Modem et NC.
Le PS a fait un beau score aux législatives et l'UMP ne présentera pas de liste face à lui.
Maintenant reste à connaitre la position du MoDem par rapport à tous ça.

Le maire UDF de Saint Brieuc soutenait le candidat Modem de ma circonscription aux dernières élections législatives.

jmeers a écrit:

Pour la situation dans ma commune, Hem qui se trouve dans l'Est Lillois, le Maire actuel est F. Vercamer, ancien UDF et fraîchement réelu député pour le Nouveau Centre...
Donc chez nous la situation est assez compliqué, car de nombreuses personnes l'ont suivi dans sa démarche et d'autres hésitent encore entre Modem et NC.
Le PS a fait un beau score aux législatives et l'UMP ne présentera pas de liste face à lui.
Maintenant reste à connaitre la position du MoDem par rapport à tous ça.

Dans ces cas qui vont se présenter dans une quinzaine de départements, je pense qu'il faut commencer à créer des groupes modem et commencer à se faire connaitre et parler de soit (sans être insultant envers ses élus du NC).
Cela va fortement les géner, et si le rapport de force dur un peu (qu'il soit possible de constituer une liste ou non) ensuite il sera peut être temps de faire des accords avec eux.
Le but c'est aussi d'avoir des élus et de s'accorder au cas par cas avec ceux qui sont le plus proches de nos convictions (au 1er tour ou au 2nd tour).
En tout cas croyez moi que ça les embéterait vraiement d'avoir des modem face à eux aux élections.
Après il faut aussi voir qui est cet élu du nouveau centre (on ne se comporte pas pareil avec Morin ou Santini qu'avec ceux qui ont simplement suivi ...)

Cette histoire de chercher un demi strapontin à gauche et un demi srapontin à droite me dérange au plus haut point.

Dans ce cas il valait mieux conserver notre strapontin de droite, historique, qui avait au moins le mérite d'être rembouré de velours et de cuir.

À t'entendre, Aptien, on ferait mieux de ne rien faire du tout et de laisser NS et consort s'amuser comme bon leur semble...