[Sarkozyland] Toutes les déclarations, critiques, bourdes (chapitre 2)

Nicolas Sarkozy perçoit toujours son salaire de ministre de l'Intérieur

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publié le mercredi 12 décembre 2007 à 16h53



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Après la polémique sur l'augmentation de salaire du président de la République, voici que le Canard Enchaîné nous apprend que Nicolas Sarkozy cumule en ce moment son salaire de président de la République et celui de ministre de l'Intérieur. L’information est sure puisqu’elle a été confirmée par l'Elysée. C'est du jamais vu. Décryptage.


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La double augmentation de Sarko (Le Canard Enchaîné, 12 décembre 2007)
Dans son édition du mercredi 12 décembre 2007, le Canard Enchaîné publie une brève explosive. On sait que Nicolas Sarkozy a obtenu une augmentation de salaire de 172% il y a quelques semaines en demandant l'alignement de sa rémunération sur celle du Premier ministre. Ainsi, le chef de l'Etat percevra un salaire mensuel de 19 331 euros net. Mais cette augmentation ne sera effective que le 1er janvier 2008. D'ici là, le chef de l'Etat est censé percevoir le même salaire que celui de son prédécesseur, soit 7 500 euros net. Or, Nicolas Sarkozy a demandé à continuer de percevoir son salaire de ministre l'Intérieur jusqu'au 31 décembre 2007, soit 11 500 euros net.


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Salaire des ministres : la règle des 6 mois
Pour permettre à un ministre qui vient de quitter le gouvernement de retrouver un emploi, ce dernier perçoit son traitement intégral pendant les six mois qui suivent son départ du gouvernement. Nicolas Sarkozy a démissionné de son poste de ministre de l'Intérieur fin mars, pendant la campagne présidentielle. Il a donc perçu son salaire de ministre jusqu'en septembre dernier. Mais il a demandé que soit prolongé ce versement jusqu'en décembre 2007, avant l'entrée en vigueur de son augmentation de salaire au 1er janvier 2008.


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Le salaire de Sarkozy depuis le 6 mai 2007 : 7 500 + 11 500
Résumons : au nom de l'équité et de la transparence, le chef de l'Etat a demandé à ce que son salaire soit aligné sur celui du Premier ministre. Dont acte. A partir du 1er janvier 2008, le président de la République percevra un salaire mensuel de 19 331 euros net.
Mais en demandant de continuer à percevoir son salaire de ministre de l'Intérieur en plus de son salaire de président de la République, Nicolas Sarkozy a réussi à anticiper sa hausse de salaire... dès le 6 mai 2007. Entre le 6 mai 2007, jour de son élection, et le 31 décembre 2007, Nicolas Sarkozy aura donc perçu un total de 19 000 euros net... au lieu des 7 500 euros prévus.
http://www.politique.net/2007121201-nicolas-sarkoz-percoit-toujours-son-salaire-de-ministre-de-l-interieur.htm

ben dites donc ....

cette règle est faite pour que les ministres conservent une rémunération en attendant de retrouver un emploi.... sorte d'assedic donc.
Mais cet ex-ministre de l'intérieur a bien retrouvé un emploi depuis le 6 mai non ?

Je serais curieuse de voir ce que dirait l'Etat (et en l'occurrence l'Unedic) si tous les chomeurs demandaient à cumuler pendaant 6 mois leur salaire d'un emploi retrouvé et leurs allocations chomage .... Gageons que là , çà serait pour lui, comment dit -il déjà, "inadmissible" .... (et çà l'est effectivement ! )

Bravo , quel exemple d'équité !

et par ici un anciens amis de Fb devenu minsitre de la défense qui justifie les ventes armes à la Libye

http://www.bakchich.info/article2136.html

Sans commentaire car mes propos seraient trop durs...

Marianne 2 12/12



La politique du pire, c'est aussi le pire de la politique
Infantilisme, provocation, déstabilisation du contradicteur : le président Sarkozy poursuit sa politique gesticulatoire. Mais les courtisans eux aussi perdent un jour leur crédibilité.





Le Canard enchaîné prête au président de la République ces propos infiniment plausibles : « Je traite le mal par le mal. On me cherche avec Kadhafi ? J'en fais le maximum ! On dit que Rachida est trop people, qu'elle fréquente trop les grands couturiers. Eh bien, elle a fait la une de "Match" habillée en Dior. C'est moi qui lui ai dit : tu les emmerdes tous, et tu te fais plaisir ».

Celui qui jetait des boules puantes au nez de la France respectable
Ce serait puéril si cette boutade n'était pas révélatrice d'un état d'esprit qui, avec une sincérité sans gêne, éclaire les choix présidentiels et nous fait entrer dans les coulisses peu ragoûtantes d'une pratique qui ne laisse pas d'inquiéter. L'infantilisme c'est drôle, mais seulement durant un court instant. On sent bien que les critères de la compétence et de la fiabilité ne sont pas privilégiés et que l'activité gouvernementale n'est pas jugée, pour certains, à l'aune de sa réelle efficacité mais seulement sur sa capacité de provocation et son aptitude à susciter l'indignation. Tout ce qui vient troubler et déstabiliser une institution, pour laquelle le président éprouve peu d'estime, est revêtu de l'approbation suprême et le ou la ministre se voit féliciter d'avoir pris «du plaisir ». La France, les droits de l'homme, la justice, le citoyen deviennent des données et des exigences dérisoires au regard de cette volupté indépassable qui consiste à se situer en perpétuel décalage par rapport à ses devoirs et à ses missions. Il y a chez Nicolas Sarkozy, pour lui-même et dans le regard qu'il porte sur son cercle préféré, une envie permanente de jouer au gamin qui fait des niches, qui scandalise en jetant des boules puantes au nez de la France officielle et respectable, une veine anarchiste qui le verra se battre pour des personnes dont il n'ignore pas la médiocrité, qui gagnent à ne pas être connus mais qui ont le grand mérite d'être détestés par les corps constitués. On va payer cher, pour lui comme pour ses très proches, le fait que leur histoire intime, leur parcours et leur fragilité complexée et compensée les conduisent à mépriser ce qu'ils n'ont pas pu atteindre : une forme de tenue, une évidente reconnaissance, une admiration que le rapport de force n'a pas imposée.

De l'art de rechercher le conflit pour désarmer le contradicteur
C'est l'une des trois caractéristiques fondamentales de la politique mise en œuvre par Nicolas Sarkozy. Cette manière qu'il avoue et qui est redoutable – traiter le mal par le mal – lui fait souhaiter la polémique, la violence du débat, les critiques incendiaires car, loin de s'en offusquer, il va s'appuyer sur elles pour les retourner, avec une force décuplée, vers l'adversaire. Il y a de l'avocat là-dedans mais surtout du tacticien qui sait tirer le meilleur de son tempérament. Là où ses prédécesseurs fuyaient les conflits, Nicolas Sarkozy les recherche quand, subtilement, suscités par d'autres, il ne les utilise pas. On l'a vu avec Rama Yade intelligente, capable d'argumenter parce qu'elle a plus de quatre mots dans son vocabulaire et est indiscutablement belle. Rien de ce qui est combat n'échappe, ne doit échapper au président de la République. De l'art d'accommoder les disputes : chez lui, c'est du grand art. Il n'éprouve aucune difficulté à assumer puisqu'il a besoin de la brutalité d'autrui pour opérer une surenchère de brutalité, voire de cynisme qui offre le double avantage de désarmer le contradicteur et de lui donner à bon compte une réputation d'homme sincère et vrai. Il ne cache rien, il révèle tout et s'exposant il est moins criblé de flèches que s'il se dissimulait. Pour gagner en face de Nicolas Sarkozy, il faudrait tenter de l'étouffer sous un unanimisme mou, hommage pervers qui lui serait rendu mais qui ne lui autoriserait plus la moindre prise. Pour ne pas s'ennuyer, il serait capable de reprendre à son compte l'apparence de contradiction proposée par François Hollande.

Se mêler du scandale du monde : le meilleur gain narcissique
Une deuxième caractéristique qui a été cultivée par d'autres présidents de la République mais qu'il pousse à son paroxysme, c'est de se mêler du scandale du monde parce que la France et ses problèmes ne permettent pas des gains immédiats et suffisamment narcissiques. Nicolas Sarkozy est inspiré par la frénésie de jeter son action dans ce qui ne le regarde pas directement – pour des motifs humanitaires souvent car quoi de plus gratifiant, pour le sauveur, que ces causes imprégnées de bienveillance universelle ? – et par l'expression d'une impatience devant ces difficultés nationales qui à cause des ministres et de l'intolérable complexité du réel contraignent à une rupture au rabais. La vie internationale, les misères de l'univers, l'enfermement des uns, la solitude des autres viennent satisfaire le besoin d'accomplir et l'appétit de vanité. Il pourra être Zorro. Il ne le sera jamais pour ces concitoyens. D'où l'explication de cet étrange paradoxe qui fait que Nicolas Sarkozy semble obsédé par l'infiniment grand et le tout petit ( le nombre de gens qu'il va recevoir à la fin de son quinquennat, bientôt, sans doute, pour une plomberie défaillante !), mais pas du tout par le juste milieu – notre pays et ses blocages profonds - qui représente précisément ce pour quoi il a été élu.

La politique de la précipitation forcenée
Enfin, tout est mené à bride abattue. L'essentiel n'est pas qu'il y ait de l'action mais que le citoyen en ait sans cesse l'impression. L'agitation et le mouvement comme méthode. Cela va mal mais cela doit aller vite, très vite. Le rythme est devenu une préoccupation qui dépasse toutes les autres. La rupture n'est pas dans le fond mais dans une précipitation forcenée. Un moteur de Ferrari qui roule comme une deux chevaux. L'apparence est sauve car il y a du bruit comme quatre, de l'effervescence qui rend le silence des opposants ridicule, de l'ordre et du désordre au sein du Pouvoir. La vie politique est devenue un œuf.
On le voit, ces trois caractéristiques n'ont pour seule ambition que de fournir à une continuité – parfois en pire, Poutine, Kadhafi ! – un habillage nouveau, de mettre à la place d'une absence de rupture une vélocité inédite, de substituer à la profondeur d'une politique l'immédiateté des réflexes et des instincts. Une idée, c'est trop long. Vive le tic.
Le président de la République rêve d'être Zorro mais il est empêtré dans l'obligation de fournir des résultats à ceux qui l'ont élu. C'est moins noble, plus lent, plus triste. Courir ne sert à rien. Diriger a ses limites. Dominer n'a qu'un temps. On se lasse de tout, même de se dire et de se croire unique. Les courtisans, à force, ne sont plus crédibles. Le monde n'est pas assez complaisant. Les autres chefs d'Etat, trop réservés, pas assez complices. Ils ne succombent pas au charme.
Alors, où est le plaisir ?

Europe 1 13/12

Nicolas Sarkozy n'en a pas fini avec l'ouverture...
jeudi 13 décembre 2007 08h47

Nicolas Sarkozy, qui s'exprime jeudi matin dans une interview au "Nouvel Observateur", affirme qu'il entend poursuivre sa politique d'ouverture, mais pas seulement à gauche. Le sénateur centriste Michel Mercier et Philippe de Villiers sont de plus en plus cités.


icolas Sarkozy affirme qu'il "continuera l'ouverture", "et pas seulement à gauche", dans un entretien à paraître jeudi dans le Nouvel Observateur. A propos d'un remaniement du gouvernement, le président de la République se montre évasif : "la question se posera forcément un jour". "Je chercherai de nouveaux talents. Je n'ai jamais aimé les gouvernements monolithiques de droite. Je respecte les sensibilités des uns et des autres. Mes ministres qui représentent la diversité de la France ne sont pas enrégimentés", ajoute-t-il, assurant n'avoir "jamais aimé être enfermé dans une caserne, même pendant (son) service militaire".

L'ouverture pourrait se faire sur la droite et non sur la gauche. Alors que l'hypothèse Jack Lang, cité souvent pour la Justice, ne serait plus d'actualité, Nicolas Sarkozy pourrait récompenser Philippe de Villiers qui ménage depuis quelques temps le chef de l'Etat. L'autre bénéficiaire s'appellerait Michel Mercier, sénateur du Rhône proche de François Bayrou.

Le gouvernement pourrait accueillir en 2008 des ministres "missionnaires" nommés pendant quelques mois pour traiter un sujet spécifique, indique le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant dans un entretien à paraître samedi dans Le Figaro Magazine.

De Villiers ministre, e, voila une bonne nouvelle qui va faire plaisir a notre ami Aptien

A vous dégouter, il veut réduire le niveau de vie de l'état, il commence par celui des français, en attendant il se sucre

http://www.politique.net/2007121201-nicolas-sarkoz-percoit-toujours-son-salaire-de-ministre-de-l-interieur.htm

attention au diabète

Et en même temps il pioche un euro par-ci (franchise médicale), 50 euros par-là (taxe TV des vieux) dans les poches de la France d'en bas.

Ce mec est à vomir...

agoravox

Réveillon de cons à l’Elysée

Ce matin, sur les ondes de France Inter, un journaliste a livré une nouvelle assez étrange. Nicolas Sarkozy aurait décidé d’inviter ses ministres après son discours de vœux aux Français, pour un réveillon gouvernemental. Et chacun de se plier à cette décision, ou bien de quitter son poste. Décidément, Nicolas Sarkozy a beaucoup d’imagination. Après Le Dîner de cons et ses millions d’entrées au cinéma, voici venir un morceau de la super série télévisée du Sarko show. Un nouvel épisode intitulé le réveillon de cons à l’Elysée.




Selon la presse des derniers jours, il était connu que le président Sarkozy, alors décidé pour un réveillon festif de bling génération avec amis, familles et peoples, au Maroc, aurait tout annulé au dernier moment pour être présent le soir du 31 à l’Elysée et une visite de solidarité le Premier de l’an auprès de la France qui se lève tôt. La nouvelle aurait pu passer pour un poisson d’avril en d’autres temps, mais de la part de Sarkozy, cela ne surprend guère. Et la journaliste de France Inter de s’en donner à cœur joie en annonçant que « Sarkozy a décidé de pourrir le réveillon de ses Ministres », tout en évoquant quelques réactions prises auprès d’un membre du gouvernement apparemment gêné.




Sur les ondes de RMC, l’information se confirme. Les ministres sont bel et bien consignés le 31 décembre à l’Elysée, pour un réveillon gouvernemental, qui certainement, sera bien fourni en toasts et boissons, mais qui, pour la plupart, constitue une corvée et quelque part cela ressemble au sort des bidasses devant rester de garde. Il était question d’une coupe de champagne avec photo et, après, on ne sait pas. Mais nombre d’entre eux ont dû annuler leurs dispositions prises depuis quelques temps et décommander quelque séjour dans des stations en altitude. Voilà bien une étrange décision qui dévoile ce qu’on savait déjà. Sarkozy, il a quelque chose de Versailles et tout comme le Grand Louis, quand le roi décide, il faut obéir ! Cela dit, Sarkozy n’est quand même pas maso, il a remplacé son réveillon au Maroc pour un séjour en Egypte, ce qui lui rappellera un de ses prédécesseurs, Mitterrand, lui aussi abonné au décembre sur le Nil.




Cette innovation mérite quelque interprétation, mais je crains verser dans la psychologie de bazar. Toujours est-il que pour les ministres, cela ressemble à une sorte d’auto-flagellation imposée par un président qui, l’espace d’un 31 décembre, transforme son gouvernement en club de souffre-douleur, dans la pure tradition d’un Josémaria Escriva de Balaguer. Mais nos ministres n’iront pas si loin dans la symbolique de l’ascétisme religieux et iront d’un rire jaune exécuter ce qui leur paraîtra plus une sorte de bizutage. Ils n’auront pas tout perdu, surtout les messieurs qui, on l’espère, seront gâté par la présence de Rachida Dati dans une des tenues les plus classy. Et qui sait, une apparition en bottes cavalières avec un tailleur en cuir griffé Thierry Mugler serait d’un plus bel effet. C’est certain, Sarkozy est le chef et si on savait que le gouvernement agit 24 heures sur 24, on peut dire maintenant que le service maximum est assuré 365 jours.




A part ça, quelle pourrait être l’intention politique, symbolique, le message que Sarkozy veut envoyer aux Français en inaugurant ce réveillon gouvernemental ? Car il y a bien une raison, une mise en scène délivrant quelques oracles pour les temps futurs. Dans le cas contraire, on n’imagine pas Sarkozy convoquer ses ministres rien que pour le plaisir de passer un réveillon en famille ? Serait-ce là le signe que les temps sont durs et que les Français devront eu aussi rester sur le pont en d’autres moments ? Et le gouvernement de donner l’exemple. Comme ça, le Français saura où est la feuille de route. Tout ceci n’est que supputation. Mais gageons que ce réveillon aura le mérite de remplir les colonnes des journaux, fournissant quelques thèmes de discussion et n’en doutons pas, suscitant un savoureux sketch des Guignols promis au zapping et dont la forme parodique pourrait être calquée sur Le Dîner de cons.

Bin il est "célibataire" alors il fait ch... ses ministres pour le réveillon.

Puis je les vois bien tous à faire la danse des canards ( danse des connards ) ou la chenille.. à moitié bourrés avec des chapeaux de clowns, des cotillons.. pour amuser le chef !

Allez fillon tu es un marrant toi ! quand tu as bu un coup, la chenille tu la fais bien..

Ma foi s'ils sont assez cons pour y aller : c'est bienfait pour leur g...

C'est une excuse pour être avec Rachida?

ArnaudH a écrit:

C'est une excuse pour être avec Rachida?

J'ai pensé à ça tout de suite : serait-ce le seul moyen qu'il ait trouvé pour passer le réveillon en sa compagnie ?

C'est sympa pour les autres, ramenés au rang de figurants
(comme d'hab quoi)

Pas de doute ce président est cinglé !
Ou alors, s'inspirant du film et de la pièce ... Il a décidé de désigner en fin de soirée le plus con d'entre eux.
Qui aura le prix ?
Interdiction de répondre LUI ! c'est hors jeu.

signora a écrit:

Pas de doute ce président est cinglé !
Ou alors, s'inspirant du film et de la pièce ... Il a décidé de désigner en fin de soirée le plus con d'entre eux.
Qui aura le prix ?
Interdiction de répondre LUI ! c'est hors jeu.

C'est pourtant la bonne réponse.

à moins qu'ils jouent à la fondue savoyarde... celui qui perd son bout de pain n'est plus ministre...il y a aussi les chaises musicales!

juju41 a écrit:

à moins qu'ils jouent à la fondue savoyarde... celui qui perd son bout de pain n'est plus ministre...i

... ou plus président.

Kouchner vivement critiqué par son homologue libyen
REUTERS
«S'il ne veut pas nous voir, nous non plus on ne veut pas le voir» déclare le chef de la diplomatie libyenne, Abdelrahman Chalgham, au sujet de Bernard Kouchner.AFP
LIBERATION.FR : vendredi 14 décembre 2007

Le chef de la diplomatie libyenne, Abdelrahman Chalgham, s'en est vivement pris vendredi à Paris à son homologue français Bernard Kouchner et a assuré que les Libyens ne voulaient «pas le voir». «Son absence n'a pas eu d'effet négatif sur la visite. S'il ne veut pas nous voir, nous non plus on ne veut pas le voir», a dit Abdelrahman Chalgham lors d'une conférence de presse au cinquième jour de la visite en France du leader libyen Mouammar Kadhafi.
«J'ai rencontré Bernard Kouchner, j'ai signé avec lui des accords, nous avons discuté de plusieurs sujets. Nous nous étonnons aujourd'hui de ses dernières déclarations«, a dit le ministre libyen, qui s'exprimait en arabe. Bernard Kouchner, qui n'avait pas participé au dîner de bienvenue lundi soir au palais de l'Elysée, avait dénoncé mercredi les propos «assez pitoyables» de Mouammar Kadhafi sur les droits de l'Homme en France.

«Comment un homme qui nous rend visite, qui mange avec nous, peut-il changer d'avis en arrivant à Paris?», s'est aussi interrogé Abdelrahman Chalgham en rappelant la visite de Bernard Kouchner en juillet à Tripoli, où il avait accompagné le président français Nicolas Sarkozy après la libération des soignants bulgares. «C'est un homme gentil, mais je l'ai entendu à plusieurs reprises faire des déclarations le matin et se rétracter l'après-midi», a encore dit le ministre libyen. Il a en revanche remercié à plusieurs reprises Nicolas Sarkozy, au nom du colonel Kadhafi, pour l'«accueil chaleureux qu'il lui a réservé». «Cette visite est une réussite, c'est le début d'une nouvelle relation qui aura un impact positif sur l'espace méditerranéen», a-t-il ajouté.

Interrogé sur la situation des droits de l'Homme en France, au coeur de la polémique entourant la venue en France du leader libyen, Abdelrahman Chalgham a répondu: «personne n'a de leçon à donner à la Libye dans ce domaine».

Ou, tu me tiens, je te tiens par la barbichette celui qui fera mieux la langue de bois gagnera !!! Y a du lourd là

Quel dommage B. Kouchner un homme apprécié de l'ensemble des français...
Qui va perdre tout son crédit pour un poste de ministre !!!
Pitoyable.
Quant à ces lybiens ils nous auront provoqués jusqu'à la fin de leur séjour.
Je me répète.
Vivement qu'ils retournent chez eux.

signora a écrit:

Quant à ces lybiens ils nous auront provoqués jusqu'à la fin de leur séjour.

tout à fait .

signora a écrit:

Quant à ces lybiens ils nous auront provoqués jusqu'à la fin de leur séjour.

Oui mais K a bien manipulé sarko, et à domicile en plus !

Marco
Manipulé et provoqué....
Et j'aimerais savoir combien cet "investissement" nous a coûté financièrement ? en plus de notre fierté ...

On pourra changer la formule : de naboléon à nanoléon.

@ Signora : cela reste dans le secret d'état.