[Sarkozyland] Toutes les déclarations, critiques, bourdes (chapitre 2)

J'ai enfin trouvé l'article de presse qui correspond à ce que j'ai vu à la télé. Toujours aussi modeste not'prez !

Le président de la République était hier à La Rochelle chez Alstom, l'entreprise qu'il avait sauvée en 2004.

Quand les sondages piquent du nez, il faut se replier sur les fondamentaux. Nicolas Sarkozy, hier matin à La Rochelle, était à l'inauguration de l'AGV, dernier-né des trains à grande vitesse. L'occasion de revenir sur le redressement d'Alstom, l'un des succès de Nicolas Sarkozy, en 2004, au ministère des Finances. Avant de couper le ruban devant un prototype noir et gris rutilant, à la ligne féline, il a visité l'usine. En compagnie du PDG d'Alstom, Patrick Kron, il s'est offert un quart d'heure de conversation avec les ouvriers, une image sur laquelle il a construit sa campagne présidentielle. Échange pris sur le vif :

«Vous faites des heures sup ?

Non. Nous, ce qui nous intéresse, c'est un meilleur salaire. J'ai pas voté pour vous, vous avez fait votre boulot, c'est tout.

Oui, mais moi, j'ai sauvé l'usine, quand même. Aujourd'hui, vous réclamez un meilleur salaire. Souvenez-vous, en 2004, on ne parlait que de licenciements ou de chômage partiel.»

Hier, Nicolas Sarkozy était surtout là pour réaffirmer son ambition en faveur d'une politique industrielle : «Moi, je crois aux usines, c'est mon truc.» Il a voulu aussi justifier ses déclarations, lundi, devant les ouvriers de Gandrange, en Moselle, où il a affirmé que l'État était «prêt à prendre en charge tout ou partie des investissements nécessaires pour maintenir» l'activité de l'aciérie.

«À Gandrange, ils m'ont demandé de faire avec eux ce que j'ai fait avec vous !», s'est exclamé Nicolas Sarkozy devant la centaine d'ouvriers présents. L'occasion de rappeler les étapes du sauvetage d'Alstom dont Nicolas Sarkozy s'est présenté comme le principal artisan. «J'ai dû renationaliser la boîte. Alors que je crois au marché, j'ai négocié avec Bruxelles le droit d'en reprendre 22% . Quand vous avez vendu le site de Saint-Nazaire, j'ai été triste. Mais c'est vrai, je n'étais plus ministre (de l'Économie, NDLR). Je n'aurais pas laissé faire ça !».

Hypervolontarisme

En aparté, un conseiller nuance cet hypervolontarisme : «Sauver Gandrange sera plus compliqué qu'il n'y paraît. L'État était actionnaire d'Alstom, il ne l'est pas d'Arcelor. Mittal est propriétaire, il fait ce qu'il veut .»

Dans la même veine, le chef de l'État s'est plus que jamais présenté comme le meilleur agent commercial de l'entreprise France : «Areva, EDF, Alstom m'accompagnent dans tous mes voyages. J'étais au Maroc, nous avons vendu le premier TGV du continent africain ! Nous allons aussi le vendre en Argentine. On élargit l'horizon !»

Après une pause, il a ajouté, en mesurant son effet : «J'ai vu que les Italiens l'avaient acheté ( l'AGV, NDLR )… C'est beau, l'Italie !»

Cette allusion à son mariage avec Carla Bruni lui a valu le rire de l'assistance. Un mariage discret avec l'ex-mannequin n'a pas empêché le lendemain une photo des «amoureux» dans le parc de Versailles. Nul doute qu'il faudra au chef de l'État de l'huile de coude pour effacer l'image d'un président «distrait» par sa lune de miel. Et il l'a bien compris.

Charles Jaigu / LE FIGARO - 06.02.2008

Il va bientôt avoir un autre copain italien milliardaire avec qui jouer dans les meetings internationaux.... vont avoir l'air fin tous les deux! (ou devrais-je dire tous les trois?)

ArnaudH a écrit:

Il va bientôt avoir un autre copain italien milliardaire avec qui jouer dans les meetings internationaux.... vont avoir l'air fin tous les deux! (ou devrais-je dire tous les trois?)

Ca va un peu faire Laurel et Hardy !

A proppos du milliardaire italien

Surnommé "merlus coni" ou "merlus cono"

( je précise : merlusa = morue ! )

Au sommet européen de Barcelone en 2002, ( que je suivais à la télé : semaine hot ! ) , un matin il était en retard ..

Il arrive complètement pété.. et c'est Aznar ( parti le chercher ) furieux, qui le tient par la veste.. et l'autre se marre tout juste "rembraillé" !

Aznar a été obligé de le ramener..

C'est passé en boucle sur les TV catalanes .

Annonce officielle à dix heures du matin :

"monsieur berlusconi a été victime d'une indisposition et n'a pu participer au sommet ce matin ! "

Voilà c'est ça qui nous gouverne !

Sarkozy appelle sa majorité
à la discipline

Charles Jaigu
Le Figaro 06/02/2008 |

| «Après les municipales, je prendrai avec sang-froid les décisions qui s'imposent», a lancé hier Nicolas Sarkozy.
Le chef de l'État est exaspéré par les critiques de certains élus ou ministres UMP contre ses conseillers.
«J'écoute, je lis, j'entends tout ce qui se dit. Après les municipales, je prendrai avec sang-froid les décisions qui s'imposent.» Qui visait Nicolas Sarkozy, hier, en ouvrant avec ce propos le Conseil des ministres ? François Fillon coupable d'avoir laissé les députés UMP s'en prendre la veille au secrétaire général de l'Élysée, Claude Guéant ? Les parlementaires UMP qui ne cachent plus leurs états d'âme et leur ras-le-bol devant l'étalage de la vie privée du président dans les médias ? Les ministres qu'on n'entend pas beaucoup défendre l'action et le bilan du gouvernement ?

«Le rappel à l'ordre visait tout le monde», résume un ministre. Les membres du gouvernement sont, en tout cas, restés «scotchés» par le ferme avertissement du «chef», si l'on en croit plusieurs témoins de la scène. Le message a été reçu cinq sur cinq : silence dans les rangs !

Juste avant le Conseil des ministres, le président avait déjà asséné devant sa garde rapprochée : «Gardez votre sang-froid !» Sous-entendu : ce n'est pas parce que les sondages sont moins bons qu'il faut tomber dans un profond pessimisme.

«Sang-froid» était d'ailleurs le mot du jour. Le président l'a répété aux onze têtes de liste aux municipales qu'il avait conviées à déjeuner au restaurant D'chez eux, à Paris. Des candidats qui avaient en commun d'être tous engagés dans des combats difficiles : Dominique Morvant (La Rochelle), l'ancien ministre Renaud Donnedieu de Vabres (Tours), Anne Courtillé (Clermont-Ferrand), Rachid Kaci (Nanterre), Delphine Burkli (Paris IXe), Marie-Claire Restoux (Clichy-la-Garenne) ou encore Nora Berra (Lyon VIIIe). «Il faut y croire», a-t-il encouragé.

C'est peu dire que le président est exaspéré par la morosité qui gagne les rangs de la majorité à un mois des municipales. On a très modérément apprécié les critiques contre Guéant, mais aussi contre le rapport Attali : «S'en prendre à Guéant, c'est attaquer Sarkozy» , dit-on à l'Élysée où l'on est bien décidé à mater ce début de rébellion de la «base» parlementaire. «On n'est pas agacé, on est énervé !», prévient un conseiller. À ceux qui se plaignent de la surexposition de la vie privée, un homme du Palais rétorque tout net : «L'étalage de la connerie est plus grave que celui de la vie personnelle.»


Argumentaire de vingt pages

Nicolas Sarkozy et François Fillon ont demandé aux secrétaires d'État Roger Karoutchi et Laurent Wauquiez d'adresser, «d'ici à la fin de semaine», un argumentaire de vingt pages aux parlementaires qui servira de bilan sur «les conséquences concrètes des neuf premiers mois d'action du gouvernement». Un proche du président constate amèrement : «Alors que le président est attaqué, on ne voit pas beaucoup de monde pour le défendre.» Et de s'interroger sur le succès du mini-traité européen «passé par pertes et profits».

Les ministres sont aussi dans le collimateur. «Cela flotte sur les bancs du gouvernement. Au lieu de commenter la vie privée du président, ils feraient mieux de répondre à l'opposition», s'inquiète-t-on au Palais. La sortie du secrétaire d'État aux Affaires européennes, Jean-Pierre Jouyet, hier devant la presse parlementaire, invitant les conseillers de l'Élysée à «ne pas se substituer au gouvernement» risque de ne pas arranger les choses.

François Fillon, désormais plus populaire que le président dans les sondages, n'est pas épargné : «Quand on entend dire que Fillon est un roc, on rigole…», soupire un des plus proches collaborateurs du président. Officiellement, Sarkozy ne commente pas les sondages. Il n'empêche, cette nouvelle donne pèse sur la relation entre les deux hommes.

M.Sarkozy n'a pas réagi aux alertes sur son dévissage
LE MONDE | 07.02.08 | 11h20


C'était en décembre 2007, à l'Elysée, à l'heure où les conseillers de Nicolas Sarkozy peuvent compter sur son oreille attentive. "Fais très attention, a dit ce visiteur du soir au président de la République. Toutes tes frasques te seront pardonnées si tu tiens ta promesse sur le pouvoir d'achat." "Frasques ? Quelles frasques ? a répondu le chef de l'Etat. Ne t'inquiète pas, j'ai ça en tête."




A cette époque, M. Sarkozy a déjà entamé sa baisse dans les sondages. L'enchaînement des séquences – de la longue visite du "guide" libyen Mouammar Kadhafi en novembre, à la "révélation" de sa liaison avec Carla Bruni en décembre – a donné le sentiment d'une communication bricolée, où l'exposition du bonheur privé semble venir à point pour masquer les premières difficultés publiques.

"IL A DÉSERTÉ LA FONCTION"


Maître de la communication, expert en changement de pied, M. Sarkozy ne réagit pas aux alertes de ses conseillers et des sondeurs. "Il a psychologiquement déserté la fonction, explique un membre de son cabinet. Il s'est gavé de bonheur au moment où les Français en étaient privés."


Provocateur, le président ajoute un week-end à Pétra, Jordanie, à ses vacances déjà décriées en Egypte. Un conseiller s'étonne encore : "On a trouvé démesuré l'effet démultiplicateur de l'apparition de Carla Bruni."


Ses proches ne parlent-ils pas assez fort ? "On peut tout lui dire à condition d'y mettre des formes", dit-on à l'Elysée. Certains ont essayé, au cours de la réunion hebdomadaire de M. Sarkozy avec l'équipe dirigeante de l'UMP. En décembre déjà, Pierre Méhaignerie l'a alerté sur la défiance des retraités. Un mois plus tard, Gérard Longuet dit son inquiétude : "Tu fais des réformes, bravo ! Mais il faut assurer le suivi."


Le bonheur est-il mauvais conseiller ? M. Sarkozy veut croire qu'il reste populaire. Il s'autoproclame "homme de l'année en Chine" et, en privé, il dénonce "ces cons de journalistes". Lorsqu'il décide le moment venu d'une contre-offensive – déplacements en province tous azimuts, rencontres avec les syndicats de Mittal ou de Kléber, annonces en rafales et discrétion sur sa vie privée –, sa baisse dans les sondages est devenue un dévissage.

A ces erreurs de communication s'ajoutent d'inhabituels faux pas tactiques. Ainsi le rapport Attali est-il revenu en boomerang. Prévu pour dérouter la gauche, il plonge la droite dans le doute. "Des propositions anxiogènes, tranche un cadre de l'UMP. 80 % des artisans taxis et des notaires votent pour nous."


"Je me suis mis moi-même le dos au mur", a reconnu le chef de l'Etat. Une manière ambiguë d'assumer ses choix. En pareille circonstance, c'est sauve-qui-peut et chacun pour soi ! Les parlementaires paniquent. Les ministres n'en mènent pas large. Les conseillers s'épient.


A quelques semaines des municipales, chacun joue sa carte. Les uns pour éviter les défaites, les autres pour se protéger en cas de remaniement. Après le conseiller spécial Henri Guaino, c'est au tour du secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, d'être pris pour cible par les députés.

"MAINTENANT, JE N'AI PLUS BESOIN DE DORMIR"

A l'Elysée, on cible au contraire "l'absence de relais efficaces" chez les élus et à l'UMP : "Beaucoup se sont habitués à ce que Sarkozy fasse tout lui-même." Une manière de reconnaître "l'absence de vrais politiques" autour du chef de l'Etat, comme le regrette un député au souvenir de l'équipe, en partie décimée par Cécilia Sarkozy, qui entourait naguère le candidat.


"L'Assemblée est un chaudron, explique un conseiller. Tant que Sarkozy offrait une protection électorale aux élus, tout allait bien. Mais si les municipales sont une catastrophe, ça explosera."


"J'écoute, je lis, j'entends tout ce qui se dit. Après les municipales, je prendrai avec sang- froid les décisions qui s'imposent", a prévenu, mercredi, M. Sarkozy au cours du conseil des ministres, en guise de rappel à l'ordre. Puis déjeunant avec des candidats, il les a coachés à la manière d'un entraîneur à la mi-temps : "Vous êtes des combattants, leur a-t-il dit. Allez-y à fond et soyez heureux."


"Moi, je ne me suis jamais plaint dans ma vie politique", leur a-t-il lancé, avant de leur conseiller de faire du sport "une heure par jour".

A l'UMP, les oracles de la défaite annoncée aux municipales ont été priés de changer de refrain. Lui- même ne "s'interdit pas" une possible intervention avant le premier tour, le 9 mars. Ses amis le décrivent dans une forme olympique : "Maintenant, s'est-il étonné devant l'un d'eux, je n'ai plus besoin de dormir."

juju41 a écrit:

Ses amis le décrivent dans une forme olympique : "Maintenant, s'est-il étonné devant l'un d'eux, je n'ai plus besoin de dormir."

Oui Narkozy a pété un plomb...

Une heure de sport par jour? Il n'a que ça à foutre? Punaise, on voit qu'il ne connait pas le rytme de travail de ceux qui bossent...

Finalement, ces élections municipales vont être intéressantes : dans les grandes villes, elles deviendront un bon baromètre de la politique actuelle.

Le point de départ des divisions au sein de la majorité ? Les intérêts personnels sont une fois de plus au premier plan !

. Ses amis le décrivent dans une forme olympique : "Maintenant, s'est-il étonné devant l'un d'eux, je n'ai plus besoin de dormir."[/quote]

C'est un effet secondaire de certaines pastilles bleues.... , il va y rester d'infarctus . Il faut que Bayrou se tienne prêt au cas où....

Mais, non, Evelyne.

Ce petit additif n'est pas pour les hommes de l'âge de Monsieur Sarkozy ou Dakota.

Qu'allez vous imaginer?

Dakota, tant mieux pour toi (et pour moi ), mais beaucoup d'hommes commencent à flancher à partir de la quarantaine. Alors, que speedy Nicolas en ait besoin n'aurait rien d'étonnant.
Il serait même du genre à en prendre par simple précaution...

j'ai lu récemment qu'il fait le tour du Parc de l'Elysée en 2mn 35 , bonjour le hamster...

Jean-Luc a écrit:

Dakota, tant mieux pour toi (et pour moi ), mais beaucoup d'hommes commencent à flancher à partir de la quarantaine. Alors, que speedy Nicolas en ait besoin n'aurait rien d'étonnant.
Il serait même du genre à en prendre par simple précaution...

S'il n'a plus besoin de dormir c'est p't'èt parce qu'il n'en a plus le temps ou ne travaille pas assez ?...

on peut aussi penser que d'autres produits ( peu recommandables...)font le même effet...ça fait un moment que j'y pense!

airlane a écrit:

S'il n'a plus besoin de dormir c'est p't'èt parce qu'il n'en a plus le temps ou ne travaille pas assez ?...

Moi je pense plûtôt qu'il prend des cachets , lesquels ? je ne sais pas.
Et je ne pense pas au viagra mais plus à des trucs style amphétamines...

Un homme de 53 ans qui court comme ça à travers le monde , d'un avion à un autre ( et tout le temps) , demandez à n'importe quel médecin sensé : c'est impossible.

Remarquez , vu ces relations entre johnny et virenque , cela se comprend !

eh à 53 ans on est en super forme, qu'est-ce que tu insinues ?

Boris a écrit:

eh à 53 ans on est en super forme, qu'est-ce que tu insinues ?

oui en super forme , mais pas comme une puce sautillant sur la peau d'un tambour à chaque instant !

Et je ne suis pas le seul à avoir cette vision de ding ding sarko..

En effet, ces ininuations sont offensantes.

Pour ne citer que deux exemples, les généraux Dwight Eisenhower et Philippe Pétain avaient respectivement 54 et 59 ans, quand ils inversèrent le cours de l'Histoire, respectivement en 1944 et 1917.

Dakota a écrit:

En effet, ces ininuations sont offensantes.

Pour ne citer que deux exemples, les généraux Dwight Eisenhower et Philippe Pétain avaient respectivement 54 et 59 ans, quand ils inversèrent le cours de l'Histoire, respectivement en 1944 et 1917.

Bah pétain , bonjour la référence !!!!!!!!!!!!!!!!!

Ce n'est pas parce que toi, moi, Eisenhower et pas mal d'autres sont restés frais passés 50 ans qu'il faut généraliser. En fait, nous ne sommes qu'une minorité.
Et NS qui gigote perpétuellement a besoin de beaucoup plus d'énergie qu'il n'en dispose naturellement...

euh Dakota, tu sais que tu es sur le forum du MoDem là, pas des nostalgiques de Vichy ?

marco11 a écrit:

airlane a écrit:

S'il n'a plus besoin de dormir c'est p't'èt parce qu'il n'en a plus le temps ou ne travaille pas assez ?...

Moi je pense plûtôt qu'il prend des cachets , lesquels ? je ne sais pas.
Et je ne pense pas au viagra mais plus à des trucs style amphétamines...

Un homme de 53 ans qui court comme ça à travers le monde , d'un avion à un autre ( et tout le temps) , demandez à n'importe quel médecin sensé : c'est impossible.

Remarquez , vu ces relations entre johnny et virenque , cela se comprend !

Je le pense aussi depuis longtemps mais je n'avais pas osé le dire...

Ca n'aurait rien d'étonnant vu qu'il est avéré que beaucoup de cadres de "haut niveau" s'adonnent à ce genre de distraction.

L'ennui c'est que dans son cas il ne s'occupe que de "sa" réalité pas de la nôtre.

airlane a écrit:

L'ennui c'est que dans son cas il ne s'occupe que de "sa" réalité pas de la nôtre.

Fort dommage pour nous , en effet.
Déjà , il est dans sa bulle politicienne , une autre sphère ajoutée l'éloigne d'avantage des réalités ...

Boris, je vous parle de Philppe Pétain, général d'Armée, en charge de la bataille de Verdun en 1917.

Votre réflexion est tout à la fois désobligeante et montre une méconnaissance totale de l'Histoire de France.

Pour info, le titre de Maréchal de France a été maintenu à Philippe Pétain en corrolaire de sa condamnation à mort.