Interventions de Marielle de Sarnez

8 janvier 2008
Conférence de presse du président de la République : "un catalogue long de mesures qu'on connaît déjà" estime Marielle de Sarnez
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Interrogée par Rue 89, Marielle de Sarnez, candidate du Mouvement Démocrate livre ses premières impressions à la conférence de presse du président de la République : "J'ai trouvé que c'était un catalogue long de mesures qu'on connaît déjà. Cela m'a semblé loin du quotidien des Français."


Quelle est votre impression générale?

"J'ai trouvé que c'était un catalogue long de mesures qu'on connaît déjà. Cela m'a semblé loin du quotidien des Français. Il a été élu sur la promesse d'être le président du pouvoir d'achat: ce n'est pas en changeant les indicateurs de la croissance que l'on changera les perspectives de croissance."

Sur l'hyperprésidentialisation?
"Je suis contre la centralisation excessive des pouvoirs. La modernité, c'est de faire vivre une société et ses corps intermédiaires."

Un point en particulier vous a marqué dans cette conférence de presse?
"Le service public de la télévision. Si c'est supprimer la publicité pour amoindrir les recettes de la télévision, alors ce n'est pas une bonne chose."


Propos recueillis par Rue 89

Euh....

Et c'est tout?

Je pense que c'est une réaction prudente à chaud.

La conférence de presse a été quand même assez dense et je crois qu'une analyse à froid s'impose.

Ce n'est pas pour rien que FB a programmé ses voeux à la presse pour demain.

Lundi soir vers 19h15, Marielle de Sarnez sera l'invitée de Stéphane Paoli dans son émission Le Franc Parler, retransmis en direct sur i-télé.

http://www.radiofrance.fr/franceinter/em/francparler/

13 février 2008
Marielle de Sarnez démonce un climat "révélateur d'une fin de système"
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Marielle de Sarnez était, mardi 12 février, l'invité d'Olivier Mazerolle sur BFM TV. La candidate du Mouvement Démocrate à Paris a exposé son projet pour un Paris plus humain, détaillant certains points : le transport, la question des commerces, du nombre des taxis ou encore le grave problème des marchands de sommeil. Mais elle a également livré une analyse fine de la situation politique française, revenant notamment sur la situation à Neuilly et sur la nécessité de proposer une alternative au pouvoir en place dont elle a souligné les limites.

http://www.bfmtv.fr/

mouvementdemocratefr

22 février 2008
Pour Marielle de Sarnez : "La laïcité, c'est le pilier de la maison commune"

Marielle de Sarnez était l'invitée de Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFM TV, ce vendredi 22 février 2008. La chef de file du Mouvement démocrate à Paris a regretté " une espèce d'action désordonnée de l'Etat, du gouvernement, du président de la République. Nous ne savons plus où l'on va, quels chantiers sont ouverts." "Depuis plusieurs semaines et plusieurs mois, il n'y a pas un discours de Nicolas Sarkozy sans qu'on ait un mélange des genres, sans qu'on parle des questions de religion." Jugeant extrêmement "troublantes" les dernières déclarations sur les sectes", la candidate du Modem à Paris a réaffirmé son attachement au principe de laïcité : "Je suis très attachée à la laïcité parce que c'est le pilier de la maison commune." "Je pense que Nicolas Sarkozy joue un peu avec le feu et qu'il faut qu'on fasse attention" a-t-elle-conclu. Pour Marielle de Sarnez : "Les Français sont inquiets parce qu'ils ont cru dans un certain nombre de promesses qui ont été faites au moment des présidentielles, notamment économique" ajoutant :"Quand vous avez un candidat qui dit vous allez voir, je vais aller chercher la croissance, je vais être le président du pouvoir d'achat, ils ont cru que le pouvoir d'achat allait s'améliorer."


Interrogé par Jean-Jacques Bourdin sur le volet économique du gouvernement et sur la participation, Marielle de Sarnez a noté : "C'est une bonne idée que d'accentuer la participation et l'intéressement pour les salariés. Cela fait des années, des décennies qu'on le dit, alors, faisons-le. C'est l'une des façons de répondre à la question du pouvoir d'achat."

Soulignant l'importance de la maîtrise des déficits publics, la députée européenne a regretté les cadeaux fiscaux fait par le gouvernement et rappelé que "La question du pouvoir d'achat, c'est la question de la croissance."

Sur le terrain des propositions, Marielle de Sarnez a souligné que "la création de deux emplois nouveaux, sans charges, par entreprise" aurait représenté "un gisement d'emplois" pour le pays. Elle a également plaidé pour une meilleure coordination des politiques économiques de la zone euro pouvant être source de croissance pour l'Europe.

Elle a par ailleurs critiqué l'"alignement" de la France sur les Etats-Unis en matière de politique étrangère soulignant"une distance absolument immense" entre Nicolas Sarkozy et Charles de Gaulle :"De Gaulle était pour l'indépendance de la France, pour une Europe politique qui pèse, il n'était pas pour laisser aux Etats-Unis l'hégémonie sur la planète", a-t-elle dit.

"Aujourd'hui c'est exactement l'inverse, on est à la remorque des Américains, que ce soit sur la question du Tchad, du Kosovo", a-t-elle ajouté, affirmant avoir "des informations" selon lesquelles la France serait intervenue au Tchad "en partie" à la demande des Etats-Unis. "Parce que les Américains ont du pétrole au Tchad et parce qu'il fallait bien que quelqu'un s'en occupe", a affirmé la députée européenne.

Il y a du pétrole au Tchad ? Et ce serait les USA et non la France qui en profitent ? Ca doit pas représenter bien lourd. Pour moi c'est une question purement politique.

Si, il y en a un peu, environ quelques pour mille,des réserves mondiales.

Marielle de Sarnez, une femme qui dérange
LE MONDE | 25.02.08 | 18h20 •
Elle a pris la plume au coeur de l'été 2007, quand, avec François Bayrou, dont elle avait dirigé la campagne présidentielle, venait l'heure de solder les comptes. Elle l'a lâchée au début de l'hiver, au moment où, avec le même, à Villepinte, elle accompagnait la naissance du Mouvement démocrate (MoDem). Les premières phrases du journal de Marielle de Sarnez racontent l'écoeurement qu'elle a ressenti quand ceux qu'elle pensait "insubmersibles" se sont engloutis dans la soumission au vainqueur, quand les amitiés se sont brisées, les fidélités déliées. Le livre se clôt sur une note apaisée. Elle a cessé de se retourner sur le chemin parcouru, les coups encaissés, elle regarde de nouveau vers l'avant.


En réalité, celle qui a si souvent été décrite comme l'"âme damnée" de François Bayrou se révèle au fil des lignes comme une femme singulière, intuitive, sensible. Parce que la politique, pour elle, a un sens, et parce qu'elle est aussi affaire de sens. Combien de fois, alors que les "grands" candidats, entourés d'équipes pléthoriques, abreuvés de sondages et d'études d'opinion, fourbissaient leurs arguments de vente, a-t-elle été la plus prompte à réagir au quart de tour, faisant le choix juste, portant la botte qui faisait mouche ?

La politique, dit-elle, est affaire de conscience. Et de liberté. Marielle de Sarnez fait partie de ces femmes qui n'entendent brader ni l'une ni l'autre. Elle est une femme qui dérange. Cette singularité, elle l'assume, jusqu'à en faire le titre de son "journal". Elle dit aimer les îles, notamment les îles grecques. Ce n'est pas étonnant : elle en possède la luminosité et cet esprit particulier propre à ceux qui, de leur promontoire, scrutent la ligne d'horizon.

A ses yeux, la politique est aussi question de confiance. Elle n'accorde la sienne qu'avec parcimonie. Avec François Bayrou, elle est totale, parce que ces deux-là, en dépit de leurs origines différentes, se reconnaissent. Elle se voit en lui, il se retrouve en elle. Il n'est guère d'exemples dans la vie politique d'une telle complémentarité.

Revenant sur la campagne de 2007 et les presque 7 millions de voix qui se sont portées au premier tour sur François Bayrou, sa directrice de campagne interroge : "Aurions-nous pu gagner ? Je ne le crois pas. Le choc de 2002 était encore dans toutes les têtes. La gauche ne pouvait se résoudre à être absente, une seconde fois, du second tour." Mais, ajoute-t-elle, si les électeurs ont donné encore une chance au Parti socialiste, "c'est sans doute la dernière fois".

Au passage, Marielle de Sarnez livre sa propre version de la rencontre manquée après le premier tour de la présidentielle entre François Bayrou et Ségolène Royal. Elle situe la scène dans un restaurant des Champs-Elysées, en fin de soirée : "Le portable de François Bayrou se met à sonner. Il décroche. A l'autre bout, Ségolène Royal. Qui veut le voir sans tarder. François Bayrou l'écoute. Visiblement, il s'interroge. Lui dit qu'il va la rappeler. Il raccroche. On en parle. Quelques minutes plus tard, sa décision est prise. Il ne donnera pas suite à la demande."

Quant à Nicolas Sarkozy, qu'elle a pratiqué au début des années 1990 lorsqu'ils travaillaient, lui pour le compte du RPR, elle pour celui de l'UDF, au programme législatif de l'opposition, elle ne nourrit plus depuis longtemps d'illusions sur le personnage : "Il est comme un enfant. Il veut tout ce qu'il n'a pas", note-t-elle sévèrement. Mais c'est avec tristesse qu'elle observe l'énergie qu'il dépense en "petites manoeuvres", en "petites combines", pour "avoir" ceux qui lui opposent une résistance.

Or la petite "start-up" de la campagne Bayrou non seulement a résisté mais elle a essaimé. Une autre campagne attend Marielle de Sarnez, en première ligne cette fois, à Paris. Fidèle à son engagement : "Se comporter, simplement, de manière honorable".

le monde

Chat
"Les politiques en direct" : Marielle de Sarnez (MoDem)

Débat en direct avec la candidate MoDem à Paris, jeudi 28 février à 11 heures. Ses projets pour Paris, la place du MoDem dans les municipales, l'avenir politique du centre, posez vos questions à Marielle de Sarnez.

mouvementdemocrate.fr 26 février 2008
Pour Marielle de Sarnez, "l'action trop désordonnée" du président de la République "donne le tournis"

Marielle de Sarnez était l'invitée de Christophe Barbier sur LCI, ce mardi 26 février 2008. La candidate à la mairie de Paris a défendu son projet pour la ville, "le projet le plus abouti qui prend en compte la question des classes moyennes, un projet qui porte une vision et une ambition" tout en défendant "des rassemblements plus larges qui prennent en compte les souhaits des Parisiens." Mais elle est également revenue sur la situation politique du pays, qualifiant l'action présidentielle de " désordonnée", "cela donne le tournis. Les Français ne voient pas clairement où il veut aller."


Concernant la rétention de sûreté, la députée européenne a affirmé "J'aimerais que les criminels dangereux soient soignés dès qu'ils sont en prison. Dans la plupart des pays qui nous entourent, ils sont suivis, ils sont soignés, ils sont traités dès le premier moment de l'incarcération, pour moi, l'urgence est là" ajoutant faire " confiance à la justice pour trouver les voies et moyens en respectant la Constitution pour que les choses soient faites dans le bon sens."

Interrogé sur le pouvoir d'achat et l'action "coup poing" du gouvernement dont elle estime que "ce sont des mots", Marielle de Sarnez a noté "On peut penser que dans certains secteurs, la concurrence fait baisser les prix mais vous voyez bien que dans certains secteurs, il y a des ententes notamment dans le secteur électroménager. Donc, c'est un peu simpliste que de dire qu'avec la concurrence, les prix baissent. Ce n'est pas toujours comme cela."

L'école primaire fut également abordée. Tout en rappelant que l'on faisait les mêmes constats depuis trente ans, la candidate du Modem à Paris a affirmé : "Il faut recentrer les programmes, il faut que les apprentissages fondamentaux soient vraiment sus, et je rajouterai une chose qui me semble la plus importante : que les élèves ne passent pas en sixième sans savoir lire et écrire" estimant que "le problème de l'école française est en partie là."

Questionnée sur la question de la laïcité, Marielle de Sarnez s'est dite "choquée à chaque fois que l'on mélange les genres. Ce n'est pas une bonne chose de mélanger constamment comme le fait Nicolas Sarkozy, l'Etat, le pouvoir et la religion. L'un des piliers français est cette laïcité à la française, c'est le fait que l'on puisse vivre ensemble dans une communauté de destin en respectant chacun, ce qui est du ressort de notre vie privée" estimant par ailleurs "que Nicolas Sarkozy s'agite trop sur cette question-là."

Pour voir la vidéo : Interview Marielle de Sarnez sur LCI mardi 26 février
(Christophe Barbier)

https://www.dailymotion.com/video/x4ibop_marielle-de-sarnez-est-linvite-de-c_politics

pour lire le chat de Marielle ( plusieurs pages)

http://www.lemonde.fr/web/chat/0,46-0@2-987706,55-1015642@51-982722,0.html

Mouvementdemcrate.fr 29 février 2008
Affaire de l'UIMM, l'illustration d'un "monde à deux vitesses" estime Marielle de Sarnez

Marielle de Sarnez était l'invité des 4 vérités sur France 2, ce vendredi 29 février 2008. Interrogée par Roland Sicard sur l'indemnité de départ de l'ancien président de l'UIMM, Denis Gautier-Sauvagnac, la candidate du Modem à la mairie de Paris a estimé qu'"il y a quelque chose là-dedans qui n'est pas sain et qui ne tourne pas rond". Devant ces pratiques "hyper scandaleuses", Marielle de Sarnez a souligné qu' "au moment où les Français ont des problèmes de pouvoir d'achat, où ils ne peuvent pas boucler leurs fins de mois, on a comme ça un monde à deux vitesses, avec quelqu'un qui est soupçonné de pratiques pour le moins délictueuses, et qui part encore avec un énorme pactole" appelant le MEDEF à "se rendre compte que là il ne faut pas dépasser les bornes, et qu'il pourrait un peu auto-réguler tout ça". Concernant la politique économique du gouvernement, elle a rappelé que la croissance "cela ne va pas se chercher avec les dents" estimant que l'économie du pays se trouvait dans une "mauvaise passe" expliquant "l'inquiétude" des français. La députée européenne a par ailleurs estimé que " le paquet fiscal est typiquement la fausse bonne idée".



La campagne municipale fut également abordée. L'occasion pour la chef de file du Modem à Paris de rappeler la nécessité de ne pas gouverner seul une ville, se réjouissant qu'il y ait enfin une offre nouvelle à Paris."Par ailleurs, elle s'est dite "prête à des partenariats" lors de ces élections municipales.

vidéo ici
http://www.mouvementdemocrate.fr/medias/marielledesarnez-france2-4verite-iumm-patrons-290208.html

Elections municipales - Marielle de Sarnez choisit Delanoë

: LCI
Marielle de SarnezSelon la chef de file du MoDem, le maire sortant PS "a mieux saisi que ceux qui l'ont précédé la mutation de la ville" de Paris.
Marielle de Sarnez clarifie les exigences qu'elle imposera à son partenaire idéal pour le second tour dans un entretien mardi à Libération.
K.P. (avec agence) - le 04/03/2008 - 12h47
Marielle de Sarnez a effectivement mis fin au faux suspense. Lundi, François Bayrou avait indiqué que la candidate du parti centriste dirait "avant le premier tour" où le MoDem "veut aller" dans la capitale. Mardi, Marielle de Sarnez se prononce pour Bertrand Delanoë. Interrogée sur son partenaire idéal au second tour, la numéro 2 du MoDem répond qu'elle ne met "pas sur le même plan la gestion de Bertrand Delanoë et celle de son prédécesseur". "Bertrand Delanoë a mieux saisi que ceux qui l'ont précédé la mutation de la ville", dit-elle. Marielle de Sarnez nuance néanmoins : "Mais bien des insuffisances subsistent, l'état des transports publics, le manque de logements intermédiaires ou la situation des classes moyennes".

Elle "regrette" que "la campagne de l'UMP porte davantage sur les anathèmes, les débauchages que sur le projet". "J'avais cru que Françoise de Panafieu pourrait imposer une attitude plus ouverte. Pour l'instant, tout cela est très fermé", juge-t-elle. "La ville a changé, sa sociologie a évolué. La droite parisienne aurait pu, et aurait dû, comprendre qu'elle devait bouger"."Je suis certaine que l'on peut faire progresser la gestion de notre ville, en la rendant moins fermée, moins prisonnière des appareils. Pour une telle évolution, nous sommes des partenaires ouverts et disponibles", dit-elle.

Panafieu perd le centre

Le porte-parole de campagne de Françoise de Panafieu a estimé lundi que "Bertrand Delanoë revient aux vieilles alliances avec les communistes, les chevènementistes et les Verts". Pour Pierre-Yves Bournazel, il y a "de nombreuses convergences entre les projets de Mme de Panafieu et de Mme de Sarnez"(MoDem) comme la relance de la construction de logements intermédiaires, la construction de parkings et de micro-crèches.

Bertrand Delanoë a appelé à plusieurs reprises le MoDem à une plus grande "clarté". Dans un entretien samedi à Libération, il a demandé à Marielle de Sarnez de sortir de "l'ambiguïté" avant le premier tour le 9 mars. Marielle de Sarnez et les candidats du MoDem à Paris tiendront une réunion publique mardi soir à la Mutualité, à laquelle doit assister François Bayrou.

PARIS, 10 mars 2008 (AFP) -



Paris: Sarnez (MoDem) n'a "pas pour le moment de signal" de Delanoë


Marielle de Sarnez, chef de file du Mouvement démocrate (MoDem) aux municipales à Paris, a indiqué lundi matin qu'elle n'avait pas "pour le moment de signal de Bertrand Delanoë" pour un partenariat de 2e tour dans la capitale. "Je souhaite que l'ouverture soit aussi pratiquée par lui-même. C'est ce que j'attends pour les heures qui viennent", a déclaré sur France-Inter Mme de Sarnez à l'intention du maire PS de Paris, arrivé largement en tête au 1er tour dans la capitale. "Je n'ai pas pour le moment de signe ou de signal de Bertrand Delanoë", a-t-elle ajouté. Elle a indiqué souhaiter plutôt se "tourner vers Bertrand Delanoë" que vers l'UMP Françoise de Panafieu, "dans la logique d'une forme de complémentarité que nous avons pu observer pendant la campagne". "J'ai ouvert cette porte auprès de Bertrand Delanoë" en proposant un partenariat, "la balle est maintenant dans son camp, je vais voir s'il est sur cette ligne d'ouverture ou si finalement, puisque grosso modo il peut se passer des autres, il va simplement gouverner avec ses propres amis", a-t-il dit. Au terme d'une nuit de négociations, la gauche et les Verts n'ont pas abouti lundi matin à un accord de fusion des listes pour le second tour des élections municipales. Ces listes doivent être déposées avant mardi 18H00.

Tu parles...

Avec ou sans elle, Delanoë a suffisamment d'avance...
Je ne vois pas comment il pourrait être inquiété par la candidate UMP au second tour.
Il va déjà récupérer les voix de gauche probablement.

Elle n'a pas les 10 % pour se maintenir au 2ème tour.

Les 10% doivent se mesurer par arrondissement, et certains sont au-dessus. AMHA

c'est mieux de négocier pour avoir le plus de conseillers possibles et de postes d'adjoints intéressants.... n'oubliez pas que ceux sont les grands électeurs qui votent pour les sénatoriales....

merci, j'ai zappé ! quand je suis allée dormir, je n'ai pas capté un seul + de 10%.

oui pour la négociation, mais qui veut négocier ?

tout dépend de ce que l'on veut.....

alors Paris :

1er arrond : 8,67 %
2ème : 9,22 %
3ème : 9,28 %
4ème : 8,16 %
5ème : 14,33 %
6ème : 9,88 %
7ème : 15,69 %
8ème : 6,56 %
9ème : 8,04 %
10ème : 8,28 %
11ème : 8,65 %
12ème : 9,95 %
13ème : 9,04 %
14ème : 13,93 %
15ème : 7,45 %
16ème : 8,64 %
17ème : 9,88 %
18ème : 6,69 %
19ème : 6,82 %
20ème : 7,31 %

mouvementdemocrate.fr 13 mars 2008
"La vie politique française a plus bougé en huit jours qu'en trente ans. Nous avons vu en huit jours qu'il y avait deux gauches" souligne Marielle de Sarnez


Marielle de Sarnez était sur le plateau du Grand Journal sur Canal plus, le mercredi 12 mars. Invitée à réagir sur le débat entre Bertrand Delanoë et Françoise de Panafieu, la candidate du Modem a regretté un "débat assez convenu", "les deux étaient campés dans leur personnage. Cela n'a pas fait bouger une voie." Elle a regretté "qu'il n'y a pas eu un moment d'émotion, un moment magique où l'on sort des phrases toutes faites" et dénoncé le retour du " camp contre camp, chacun refusant de faire un pas vers l'autre." Interrogée par Jean Michel Apathie sur le bilan du maire sortant, Marielle de Sarnez a qualifié le bilan de Delanoë de "correct sur certains points, mais insuffisant sur d'autres, je pense notamment à la question des classes moyennes et du logement, tous ceux qui ont du mal à rester dans Paris." La chef de file du Modem à Paris a notamment mis l'accent sur la question des logements insalubres. Par ailleurs, elle a noté que "la droite parisienne n'a pas évolué depuis 2001, elle n'a pas essayé de comprendre les raisons de son échec en 2001. Elle voit toujours Paris comme en 2001. Cette ville a bougé : la sociologie des habitants, la précarité, les logements sociaux?" Questionnée par Miche Denisot sur les alliances et la stratégie du Mouvement démocrate lors des élections municipales, Marielle de Sarnez a estimé que "la vie politique française a plus bougé en huit jours qu'en trente ans. Nous avons vu en huit jours qu'il y avait deux gauches : l'une progressiste, moderne, ouverte et qui était d'accord pour des alliances, par exemple avec le centre et donc le Mouvement Démocrate et une gauche très refermée, très repliée. Et l'on s'est également rendu compte qu'il y avait deux droites" ajoutant que "sortir du droite contre-gauche, c'est nécessaire. Quant on gouverne une ville, ce n'est pas une question d'étiquette."

http://www.canalplus.fr/tous-les-programmes/les-emissions/pid2174-c-p-le-grand-journal.html?tpl=&cha=&multi=2#jo