Le Modem dans les médias (divers)

About président des centristes au Sénat

AFP
07/07/2009 |

Le sénateur des Yvelines Nicolas About (MoDem), 61 ans, a été élu mardi président du groupe Union centriste du Sénat, groupe charnière de la Haute Assemblée indispensable à l'UMP faute de majorité absolue, a annoncé à l'AFP le sénateur de la Mayenne Jean Arthuis.

M. About remplace Michel Mercier, nommé ministre lors du dernier remaniement. Membre du MoDem de François Bayrou -comme l'était M. Mercier- il a été élu au premier tour par 16 voix contre 11 voix à Jean-Léonce Dupont, sénateur du Calvados et membre du Nouveau Centre (partenaire de l'UMP).

Le troisième candidat, François Zochetto (Mayenne), membre de l'Alliance centriste lancée récemment par Jean Arthuis, a retiré sa candidature.

Travail dominical : le MoDem "énergiquement opposé" au texte



[ 07/07/09 - 13H55 - AFP ]


Le Mouvement des Démocrates (MoDem) a réaffirmé mardi "énergiquement son opposition" à la "énième mouture" de la proposition de loi Mallié sur le travail dominical qui, selon lui, "ne peut en aucun cas relancer la consommation ou dynamiser l'emploi et l'économie".
"Nous exprimons énergiquement notre opposition à cette énième mouture du texte qui ne peut en aucun cas relancer la consommation, dynamiser l'emploi et l'économie dans un contexte de crise majeure", a déclaré à l'AFP l'eurodéputé Robert Rochefort, ex-directeur du Credoc, élu au Parlement de Strasbourg sous l'étiquette du MoDem en juin.
"Ca ne peut aboutir qu'à des transferts d'activité de certains commerces vers d'autres, et ça se fait toujours au détriment des commerces de centre-ville et de quartier et au bénéfice des grandes chaînes à la périphérie des villes", a-t-il expliqué.
Les grandes chaînes de distribution "utilisent moins de salariés au mètre carré" que les petits commerces, a-t-il également fait valoir.
"En outre, chaque ouverture le dimanche d'un commerce entraîne une demande de dérogation supplémentaire d'un ou plusieurs commerces voisins, selon le député européen, ce qui tend à une banalisation et une généralisation de l'ouverture le dimanche et non pas l'exception comme on veut nous le faire croire".
L'élection de M. Rochefort a entraîné son départ du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Credoc) qu'il dirigeait depuis 1998, et dont il "gère les affaires courantes" en attendant l'arrivée de son successeur, a-t-il précisé.

La référence au Centre peut-elle tuer le MoDem ?

La mue du politique

exprimeo

François Bayrou et la partielle d'Aix en Provence



Une étude très documentée de l'Ifop sur la partielle d'Aix en Provence peut être lourde de conséquences sur la présidentielle 2012.

L'Ifop vient de publier aujourd'hui une étude très documentée sur l'élection municipale partielle d'Aix en Provence.

Les enseignements sont nombreux même s'ils doivent être nuancés compte tenu du climat très particulier lié à toute partielle.

Le phénomène le plus intéressant réside dans l'effet décisif du premier tour. Les rassemblements du second tour s'exposent à des "pertes" élevées.

Mais surtout, le premier tour acquiert désormais une fonction plus élevée que le seul tour avant la décision. Il est presque la décision dès que l'un des candidats se détache. Il crée une dynamique qui influence le reste de l'électorat et qui motive un second tour enregistrant presque la "décision du 1er".

Les études qualitatives vont parfaire cette impression.

Si cette prime au rassemblement dès le 1er tour s'installait comme une donnée majeure structurante de l'électorat ; ce serait une nouvelle donne capitale pour des scrutins comme la présidentielle au moment où la gauche vit un fort éclatement de son offre.

C'est aussi une part importante de la stratégie du Modem qui pourrait être remise en question car le 1er tour éclaté ouvrirait alors un tremplin pour le pouvoir sortant.

l'étude IFOP ici
Elections municipales partielles du 12 et 19 juillet 2009 à Aix-en-Provence

Maryse Joissains (UMP) réélue maire d'Aix-en-Provence






Par AFP, publié le 26/07/2009 à 12:47 -

AIX-EN-PROVENCE, Bouches-du-Rhône - Maryse Joissains (UMP) a été formellement réélue dimanche maire d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) par le nouveau conseil municipal élu le 19 juillet, lors d'une séance marquée par un incident avec l'opposition, a-t-on appris auprès de la mairie.

extrait
Après l'élection de la maire, lors de la désignation des 48 représentants du conseil municipal auprès de la communauté d'agglomération, la Communauté du Pays d'Aix (CPA), l'opposition a quitté la salle pour protester contre le refus de Mme Joissains d'accepter l'un des six candidats proposés par l'opposition pour compléter les 42 conseillers de la majorité.
Mme Joissains a refusé le nom du leader du MoDem, François-Xavier de Peretti, qui fut son adjoint puis son principal adversaire lors du scrutin de 2008.
L'opposition a alors quitté le conseil car "si on laisse la majorité s'arroger le droit de désigner son opposition, on quitte l'Etat de droit", a commenté M. Medvedowsky à l'AFP.
Les municipales de mars 2008, remportées par Mme Joissains, avaient été annulées par le Conseil d'Etat en raison "de propos et d'insinuations d'une gravité inadmissible" durant la campagne susceptibles d'avoir "faussé les résultats".

Le Modem à hue et à dia


Centre. Les militants souhaitent être prêts pour les régionales.

Le Modem veut se dépersonnaliser

Après les critiques nées de la gestion des européennes, François Bayrou rénove la gouvernance du Modem en instaurant plus de collégialité. A huit mois des régionales, le leader centriste veut ménager son image et remettre son parti en ordre de marche.

Après la défaite des européennes et les appels internes à la rénovation, dix nouveaux membres, cinq hommes et cinq femmes - dont les deux députés européens Sylvie Goulard et
Robert Rochefort ainsi que l'ancien responsable Verts Yann Wehrling – ont rejoint le bureau exécutif du parti.
"Faire une annonce en plein milieu de l’été, ce n’est pas forcément l’idéal en termes de communication. On aurait pu attendre la rentrée politique. Mais peut-être est-ce une volonté de rassurer les militants sur le fait qu’il n’y avait pas de flottement, pas d’hésitation", décrypte Yann Wehrling.

http://www.professionpolitique.info/article/30-07-09/le-modem-veut-se-depersonnaliser