UMP : Union pour un Mouvement Populaire

johanono a écrit:

Dati dans les très marxisants 5e, 6e et 7e arrondissements de Paris : quelle prise de risques !

Il ne faut pas trop s'éloigner des boutiques de luxe.

johanono a écrit:

Et son siège de député européen, qu'en ferait-elle ?

Son siège, elle n'en a jamais vraiment voulu. C'est un lot de consolation offert par Sarko qui ne voulait plus d'elle au ministère de la justice. Donc elle l'abandonnerait sans aucun remords.

UMP: "Nous prions sainte Ségolène"

Saint-Nicolas ne va pas apprécier que ses ouailles prient un(e) autre saint(e) que lui-même.

ils n'ont pas tort...malheureusement..tout ce qui affaiblit l'opposition renforce la majorité ( c'ets une Lapalissade, mais elle est bien indiquée dans le cas présent!)

Evidemment. Tout ce bordel au PS, c'est du pain béni pour eux.

libre a écrit:

INDISCRET: Bachelot déjeune avec Villiers

J'ai lu ce matin qu'il faudrait se débrouiller pour que le MPF ait 15 élus aux régionales.

c'est déjà vieux, mais petit rappel.. et ça n'a pas fait les Unes des médias..of course!!!

L'UMP truque aussi ses élections internes

juju41 a écrit:

c'est déjà vieux, mais petit rappel.. et ça n'a pas fait les Unes des médias..of course!!!

L'UMP truque aussi ses élections internes

Aucun risque que ça le fasse...

juju41 a écrit:

Le retour du refoulé, par Stéphane Beaud et Gérard Noiriel

Ca pue !

http://www.metrofrance.com/info/il-y-a-eu-erreur-de-casting-sur-ma-personne/miio%21Y975O6T6Pb2U/

"Il y a eu erreur de casting sur ma personne

Neuf ans après la polémique suscitée par son livre sur la situation carcérale, Véronique Vasseur dénonce dans "le panier de crabes", les dessous pas franchement honnêtes de ses campagnes électorales UMP pour les législatives de 2007 et les municipales de 2008.

En 2000, Véronique Vasseur défrayait la chronique pour son livre "Médecin-chef à la prison de la Santé". En 2007, pressée par l'UMP, elle se présente aux élections législatives et aux municipales de 2008… "Des idées neuves, la volonté affichée de la rupture, le rajeunissement de la classe politique" emportent sa décision. Deux campagnes lors desquelles, l'ex-médecin chef de la santé découvre les finasseries des comptes, les guerres fratricides au sein de sa propre formation, le dédain des grands pour les petits candidats… Interview.

Pourquoi raconter maintenant les dessous de ces campagnes électorales ?
J'aurai pu sortir ce témoignage avant mais j'étais déjà engagée dans la rédaction de mon enquête "A la rue, quand travailler ne suffit plus". C'est une simple question d'agenda.

Dès le début vous sentez que votre candidature sert d'alibi, de caution… Que l'UMP vous a appelé pour respecter la règle de la parité, vous a parachuté dans le XIII "parce qu'il n'y avait pas d'autres candidats à présenter"…
Oui, au départ c'est une histoire de "com", d'affichage… Après mon livre sur les prisons, j'étais plutôt connotée à gauche, donc ma candidature faisait bien. Je le savais dès le départ mais j'avais envie de faire bouger les choses, de mettre mes idées en acte. Et puis les choses se passent lentement, insidieusement. On voit qu'on est utilisé mais on ne peut plus faire marche arrière.

Vous racontez les guerres intestines, les coups bas, les querelles au sein même de votre propre formation…
C'est toujours pire à l'intérieur d'un même parti, c'est bien connu. Les guerres fratricides ont lieu partout, dans tous les partis.

Vous revenez plusieurs fois sur votre engagement à l'UMP en précisant que vous n'étiez ni de droite ni de gauche mais que vous vous êtes engagée pour un homme, Nicolas Sarkozy.
Oui, c'est vrai, j'étais apolitique. Je me suis engagée pour Nicolas Sarkozy dont j'aimais le dynamisme, j'étais donc UMP du bout des lèvres… A ce moment là, j'ai choisi le parti radical parce qu'il était, au sein de l'UMP, celui qui me correspondait le mieux. J'ai été exclu du parti radical après mon échec aux municipales parce que j'avais refusé d'accueillir sur ma liste un homme qu'il voulait m'imposer… C'est effrayant.

"On m'a eue. Mon image arrangeait. On m'a fait miroiter une réussite impossible et raconté n'importe quoi pour me faire venir…" écrivez-vous.
C'est effectivement ce qui s'est passé. On est venu me chercher, je n'ai rien demandé, on m'a fait accepter. Au départ, j'ai été flattée, mais les choses se sont très vite aggravées. Une fois qu'on est dans le mouvement, on n'a plus le temps de se poser des questions existentielles… La campagne des législatives a été extrêmement violente. Heureusement qu'une petite poignée de militants m'a aidé. En tout cas, je n'aurai jamais dû me réengager dans la campagne des municipales. J'y ai été pour tous les gens qui m'avaient suivi mais un mois avant les résultats, je savais déjà que quel que soit le score, je me retirerai.

Au lendemain de votre défaite aux municipales, vous avez dénoncé ces guerres intestines et annoncé que vous ne siègerez pas au conseil de Paris. Vous avez aussi démissionné de l'UMP.
Pour les municipales, on m'a fait croire que c'était gagnable alors que ce n'était pas vrai. J'y ai été par fidélité pour les gens qui m'avaient suivi. Ce qui est sur, c'est qu'il y a eu erreur de casting totale sur ma personne. En politique, il faut être un bon petit soldat, il faut aussi savoir mentir. Il y a des gens qui aiment ça. Pourquoi ? C'est un mystère… C'est dégradant, humiliant. Au final, j'ai perdu un an et demi à faire un truc qui n'était pas pour moi.

Alors, la politique, c'est pour qui ?
Des gens plus jeunes que je ne le suis, qui ont une expérience du militantisme et qui aiment ça. Je ne suis pas querelleuse, je n'aime pas faire du rentre dedans… Je ne suis pas faite pour ça. D'autant qu'il faut pouvoir avancer des grosses sommes d'argent et avoir beaucoup de disponibilité, ce qui n'est pas donné à tout le monde. En tout cas pour moi, c'est fini, je ne me réengagerai jamais en politique. Il y a beaucoup de choses à changer. Les campagnes coûtent très chères alors qu'à mon sens, la profession de foi, les affiches sur les panneaux officiels et des débats contradictoires seraient largement suffisants.

N'avez-vous pas peur avec ce livre "d'ajouter" au "tous pourri"?
Je ne crois pas. Je continuerai à voter. Je savais que le milieu n'était pas tendre, qu'il y aurait des coups bas. J'ai vécu des trucs plus durs mais j'ai vraiment trouvé ça minable. C'est une expérience à ne pas renouveler

Est-ce que vous vous attendez à des réactions de la part de personnalités comme Jacques Toubon ou Françoise de Panafieu dont vous parlez dans votre livre ?
Je ne m'attends à rien. L'écriture est un exutoire. Il y a dans tout ça un côté tellement grotesque, drôle, absurde…

G20-UMP: Le "leadership" français salué

Dodo a réussi à en placer une , dites donc.. Fredo doit être en we...il en profite!

pour rigoler
Fredo et Dodo

https://www.dailymotion.com/video/xaizzv_dodo-et-fredo-petit-journal-canal-8_news

pov'Dodo, le sifflet coupé à chaque fois, il s'en va la mine déconfite.. c'est beau les centristes dans l'uMP, on voit bien à quoi ils servent.... à Rien...

peur que la gauche prenne le département? solution: supprimer les élections cantonales de 2011.. on n'est plus à une horreur constitutionnelle près à l'UMP...

Le Conseil Général du Haut-Rhin à gauche en 2011 ?

Pourquoi supprimer seulement les cantonales de2011 ? Supprimons toutes les élections, à commencer par la présidentielle, et ils seront de rester en place très longtemps.

C'est magouille et cie.

Pourquoi s'arrêter là? On pourrait remettre en vigueur les achats de charge, comme au bon vieux temps de la royauté et supprimer les élections tant qu'on y est: ça coûte cher et ça cause bien du tracas surtout si on est obligé de faire voter et revoter quand le résultat ne convient pas.
Une démocratie bien encadrée, y'a que ça qui fonctionne...

On propose la même solution, Libre!!!

Eh oui.

Roh vous exagérez, pas d'excès s'il vous plaît !

Enfin, la réponse est pourtant simple ! Pour redresser le pays il faut surtout que les assistés et ceux qui ne payent pas assez d'impôts (donc qui ne participent pas assez à la vie commune) se voient retirer le droit de vote. Ainsi, les généreux Français qui donnent de leurs impôts pourront seuls voter. Et pour les remercier et les encourager à voter, afin que notre belle démocratie soit préservée, il faut évidemment mettre un bouclier fiscal à 40%.

... comment ça, non ?

Député catalogué villepiniste, ancien secrétaire d'état aux transports et à la mer, François Goulard se livre à Reversus sur le gouvernement Fillon, l'ouverture à gauche, le contrôle de l'UMP par l'Elysée, et le proclès Clearstream.

http://www.marianne2.fr/Francois-Goulard-Besson-et-Bockel-Des-faire-valoir_a182387.html


A lire impérativement !!!
Il est sacrément clairvoyant ...
Merci Monsieur.

déjà posté dans Gaulliste Villepiniste...
mais si le constat est bon.. qu'attend il pour faire sa valise de l'uMP? toujours pareil.. la critique s'arrête au pied du sacro-saint siège....

Comme dit l'un des commentaire : qu'est-ce qu'il fiche encore à l'UMP ?

mon post sur marianne
j'apprécie Monsieur Goulard en tant qu'homme, et son constat est sans concessions... cependant, je lui pose la question suivante: "pourquoi donc restez vous à l'UMP?" est-ce que l'appel du siège ( de député ) est plus fort que la morale? il faut avoir du courage, au moins une fois, pour aller jusqu'au bout de votre pensée..." combien sont ils les parlementaires UMP qui en sourdine, se plaignent de la dérive du sarkozisme, et vont voter comme des godillots qu'ils sont, les pires lois de la république? ils sont coupables, encore plus que les autres ( les aveuglés fanatiques de sarkozy), car ils perdent leur âme pour quelques miettes de pouvoir... cette faiblesse proche de la lâcheté, est la conséquence de ce système qui a rendu la Politique professionnelle.. ces gens là n'ont jamais rien fait d'autre et tremblent de tout perdre.. donc le prix est la soumission...
alors n'attendez pas qu'on vous plaigne...
il ya d'autres choix dans la vie, que la soumission.. La désobéissance fut un temps, la seule solution, même au prix de la vie.. il me semble que de Gaulle en fut l'illustre représentant... ce gaullisme d'aujourd'hui n'arrive pas à la cheville de celui d'hier... à Bon entendeur salut....