Le Modem dans les médias (divers)

François Bayrou : homme providentiel ou imposteur ?

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Mesures Fillon : plan de "rustines" (Bayrou)

Réactions vues sur les 3 chaînes nationales : T.F.1, France 2 et France 3 !

François Bayrou fait du Chirac 95


François Bayrou a pris les pas du Chirac 95 y compris dans la sortie contre Alain Minc, incarnation de l'élite qui ne "comprend pas". Minc aurait voulu servir Bayrou qu'il ne s'y serait pas pris autrement.

La soirée parisienne à l'occasion de laquelle Chirac avait servi du "M'sieur Minc, vous connaissez le logement social ?" avait été un temps fort de la présidentielle 95. Minc était devenu l'incarnation de l'arrogance de Balladur qui savait qu'il serait élu avant même que le scrutin ne se déroule.

Mais l'ancrage de François Bayrou va bien au-delà puisqu'il entretient actuellement un doux mélande de trois qualités :
- le provincialisme,
- la solitude,
- la réflexion.

Le provincialisme est supposé incarner le bon sens du terrain.

La solitude met à l'abri des appareils et crée le rapport direct avec la nation.

La réflexion présidentialise a fortiori quand elle est conjuguée au provincialisme qui ajoute une touche de concret et éloigne des seules considérations abstraites ou universitaires.

Bayrou est celui qui se détache le plus de Paris, de l'élite et des appareils dans les circonstances actuelles. C'est un positionnement qu'il réussit avec efficacité.

Biron (64) : François Bayrou motive ses troupes pour 2012
(Sud Ouest)

à lire dans Marianne Papier, l'éditorial élogieux de Maurice Szafran

Encore un effort , Cher François Bayrou

Bayrou déjeune avec Juncker

Rendez-vous en tête à tête hier midi dans un restaurant à Luxembourg pour discuter de la crise, notamment. François Bayrou et Jean-Claude Juncker, chef de l'Eurogroupe, qui se connaissent de longue date, ont évoqué la situation financière de l'Europe.

Pourquoi François Bayrou est-il boudé par Médiapart ? (Sur Mediapart blog)

François Bayrou et l'alliance incontournable


Pour être performant, le centre doit d'abord vivre une sélection organisée incontournable. Ce matin sur Canal +, François Bayrou a géré avec beaucoup de délicatesse la question du rapprochement avec Dominique de Villepin.

Il faut en effet rapidement que cette alternative du centre droit franchisse le seuil des 13 % qui ouvre toutes les perspectives, voire même l'inversion des tendances au sein de la droite classique.

L'opinion publique française n'a jamais été aussi à droite dans ses priorités : emploi, finances, sécurité. La victoire de la gauche serait d'abord le fruit de la seule sanction du pouvoir sortant mais aussi le rejet du style personnel du Chef de l'Etat. La gauche n'a pas à ce jour un socle culturel solide pour correspondre aux attentes de l'opinion.

Dans ce contexte, comment ne pas penser qu'une alternative se pose dans des termes nouveaux en revenant sur une logique du centre droit ?

Bayrou et Villepin ont des intérêts communs. Ils ont presque sorts liés. Que l'un se dégage du jeu présidentiel et l'autre connaîtra un bond immédiat. Que les deux restent en course et il est probable qu'ils se neutraliseront. Que les deux s'allient et le bond serait accéléré et amplifié. Mais dans ce dernier cas, reste à trouver le critère de la "sélection ultime". Et pourquoi pas des primaires ouvertes au moment où l'opinion semble avoir tant envie de s'exprimer et que le PS prend un temps d'avance sur cette désignation démocratique ? Ne serait-ce pas aussi un moyen pour recycler une partie de l'électorat de Ségolène Royal qui pourrait être déçue par une éventuelle défaite de sa leader ?

Cette logique marginaliserait par ailleurs significativement JL Borloo s'il devait rester à l'extérieur de cette désignation.

http://exprimeo.fr/article/7201/francois-bayrou-et-l-alliance-incontournable.htm

Bayrou-Villepin, le rapprochement qui arrange l'Élysée

L'article aurait pu être aussi sur le fil des "Boules puantes pour 2012" ........