poèmes

heu, mon o est un zéro, tout bête ; l'habitude d'utiliser un code alphanumérique en tout ! D-0-M-1.

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le petit chien mordeur, peut être ?

ah, ce n'était que ça?

Bon...

j'ai dû m'emporter pour rien....

que veux tu je suis irascible sur le sujet des enveloppés;

ça fait 15 jours que je ne mange que du potage knorr et un yaourt, et pour l'instant je n'ai perdu que 500 grammes.

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Ce que tu devrais comprendre, c'est que l'irascible peut être très calme.

TANT QU'IL TOMBE PAS SUR UN MOUSTIQUE AGAçANT!

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Ma chère Bop,

Vraiment je suis confus de m'être abandonné à la colère, si mauvaise conseillère.

C'est d'autant plus regrettable que les sujets abordés ne méritaient en aucune façon une telle ire.

Je ne sais que vous dire, je regrette mon attitude.

Si vous me pardonnez, je suis tout prêt à vous apporter réparation.

Très sincèrement à vous, et pour prononcer le mot, acceptez mes excuses.

Jacques.

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Que sont mes amis devenus ???
...
Ce sont amis que vent emporte...

......
Dommage, que nous n'ayons pas continué ce petit coin de bonheur.

cool ce fil

signora a écrit:

L' ETRANGER

- Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis ? ton père, ta mère, ta soeur ou ton frère ?

- Je n'ai ni père ni mère, ni soeur, ni frère.
- Tes amis ?
- Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est resté jusqu'à ce jour inconnu.
- Ta patrie ?
- J'ignore sous quelle latitude elle est située.
- La beauté ?
- Je l'aimerais volontiers, déesse et immortelle.
- L'or ?
- Je le hais comme vous haïssez Dieu.
- Eh ! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger ?
- J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas...
là-bas... les merveilleux nuages !

Charles Baudelaire

J'ai eu envie d'offrir ce poème à vous tous en cette fin de semaine.
Et particulièrement à Bop ...
Et à Marco qui a su voir, qu'aujourd'hui, j'étais triste.

Je suis allée à la pêche ...

Sans doute mon préféré, un classique!

Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passait
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

"Le Pont Mirabeau"
Apollinaire, Alcools (1912)

Ah oui.. il est beau celui-là.
Merci

Connais-tu l'interprétation de Léo Ferré ?

oui , superbe!

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ah, oui, je ne souvenais plus.

justement je vais peut être aller m'installer en Egypte, ça tombe bien

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arh.....

mon préféré c'est celui on l'on trouve

"sois sage, ô ma douleur, et tiens toi plus tranquille"

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