Forum des sympathisants du Modem
Bonjour à tous !

Bienvenue sur le forum des sympathisants du MoDem et de François Bayrou. Venez-vous exprimer sur l'avenir de notre pays!

ps: connectez-vous simplement grâce à facebook connect.
Forum des sympathisants du Modem
Bonjour à tous !

Bienvenue sur le forum des sympathisants du MoDem et de François Bayrou. Venez-vous exprimer sur l'avenir de notre pays!

ps: connectez-vous simplement grâce à facebook connect.
Forum des sympathisants du Modem
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Espace de discussion pour tous les sympathisants du Mouvement Démocrate
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

 

 Des maires UMP refusent toute "nationalisation" de

Aller en bas 
AuteurMessage
juju41

juju41


Féminin Nombre de messages : 42846
Age : 70
Localisation : Blois
Date d'inscription : 12/05/2007

Des maires UMP refusent toute "nationalisation" de Empty
MessageSujet: Des maires UMP refusent toute "nationalisation" de   Des maires UMP refusent toute "nationalisation" de Icon_minitimeSam 12 Jan 2008 - 15:50

Des maires UMP refusent toute "nationalisation" des municipales
LE MONDE | 12.01.08 | 11h51 • Mis à jour le 12.01.08 | 14h16


nicolas Sarkozy devait confirmer, samedi 12 janvier, lors du conseil national de l'UMP, son intention de "nationaliser" l'enjeu des municipales. Ce que redoutent plusieurs maires de grandes villes, qui ont reçu l'investiture UMP mais ne sont pas pressés de voir le président de la République faire campagne chez eux.



Lors de sa conférence de presse du 8 janvier, M. Sarkozy avait justifié sa position : "Je m'engagerai, parce que le concept même d'élection dépolitisée est absurde." Le premier ministre, François Fillon, avait tenu le même discours quelques jours plus tôt, le 4 janvier, en marge d'un déplacement aux Antilles. Et Patrick Devedjian, secrétaire général de l'UMP, a déclaré que son parti ne voulait pas faire de ce scrutin "une affaire purement locale".

A l'inverse, Jean-Pierre Raffarin, dans un entretien au Parisien du 11 janvier, met en garde contre une "nationalisation des enjeux". "Il est important de veiller à ce que la politique locale ne soit pas systématiquement un enjeu national, sinon on mobilise surtout le camp adverse", prévient l'ancien premier ministre. Un certain nombre de maires de droite font le même constat.

Le cas le plus flagrant est celui d'Alain Juppé, à Bordeaux (Gironde). L'ancien président de l'UMP, qui évite soigneusement de participer à des débats sur des thèmes nationaux, ne mettra pas le logo de son propre parti sur son matériel électoral, ni sur sa permanence de campagne.

Exit donc l'arbre sur fond bleu et rouge, avec ses feuilles et ses fruits. M. Juppé a créé son propre logo : son nom, décoré de deux feuilles, ou de deux pétales, qui rappellent l'emblème d'une célèbre marque de yaourt. Les couleurs, vert et brun, donnent une petite touche écologiste. Le tout est accompagné d'un slogan : "Continuons le changement".

Son adversaire, Alain Rousset, a renoncé lui aussi à faire figurer le symbole socialiste de la rose et du poing sur son matériel de campagne. Le logo du candidat PS évoque les quais de la Garonne dans des tons verts.

A Toulouse (Haute-Garonne), le maire sortant, Jean-Luc Moudenc, va encore plus loin puisqu'il affirme s'être mis "en congé de l'UMP". Dans une ville plutôt centriste, réputée voter à gauche aux scrutins nationaux et à droite aux scrutins locaux, l'intérêt de M. Moudenc est de se présenter comme le candidat du rassemblement. Aux législatives de juin 2007, son adversaire socialiste, Catherine Lemorton, n'avait cessé, au cours de leurs débats publics, de le renvoyer dans la majorité présidentielle. Tirant les leçons de son échec, M. Moudenc, même s'il a effectivement reçu l'investiture UMP, ne veut surtout plus apparaître comme le candidat de Nicolas Sarkozy.

Le schéma est comparable à Rouen (Seine-Maritime). Le maire sortant, Pierre Albertini (ex-UDF), avait appelé à voter pour M. Sarkozy au second tour de l'élection présidentielle, après avoir soutenu François Bayrou au premier tour. Ségolène Royal a recueilli 54 % des suffrages dans sa ville.

Aujourd'hui, M. Albertini doit affronter la socialiste Valérie Fourneyron, élue députée en juin. Tandis que celle-ci va mettre en avant son appartenance politique, dans une agglomération largement tenue par les fabiusiens, le maire veut apparaître comme le candidat du rassemblement. "J'ai rejoint le peuple des Français sans parti !", aime-t-il désormais répéter dans ses discours publics. M. Albertini, qui a obtenu l'investiture de l'UMP au niveau national, ne souhaite pas recevoir un appui visible de l'exécutif.

A Amiens (Somme), ville où Ségolène Royal a obtenu 54,5 % des suffrages, Gilles de Robien a intérêt, lui aussi, à ne pas nationaliser les enjeux. L'ancien ministre de l'éducation nationale fait valoir qu'il a conservé son seul mandat de maire, et qu'il veut travailler exclusivement pour sa ville. A l'inverse, à Strasbourg (Bas-Rhin), la maire (UMP) Fabienne Keller aura bien besoin du soutien actif de l'exécutif. A droite, elle doit affronter deux listes centristes, ainsi que la liste régionaliste "Alsace d'abord".
Revenir en haut Aller en bas
 
Des maires UMP refusent toute "nationalisation" de
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» "2007 après JC toute la Gaule....
» Maires:notoriété et proximité(IPSOS)
» Des musulmans refusent de jouer contre des homosexuels.
» Les Etats-Unis refusent de modifier leur bouclier antimissile en Europe
» "Je veux François Bayrou" clip de Kamaro (parodie

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Forum des sympathisants du Modem :: Organisation sur le terrain et sur internet :: Fédération Nationale :: Municipales 2008-
Sauter vers: