Le Modem dans les médias (divers)

François Bayrou s'impose comme le grand perturbateur de la campagne :

http://www.lemonde.fr/elections-europeennes/article/2009/05/18/francois-bayrou-s-impose-comme-le-grand-perturbateur-de-la-campagne_1194631_1168667.html

Bayrou et l’increvable besoin d’adorer :

http://www.liberation.fr/medias/0101567909-bayrou-et-l-increvable-besoin-d-adorer

Philippe Morillon nommé chef de la mission électorale en Afghanistan :

Le général Philippe Morillon a été officiellement nommé Chef de la mission d'observation de l'UE pour les élections en Afghanistan qui se dérouleront le 20 août prochain. L'ancien chef des casques bleus français en Bosnie, aujourd'hui député européen (au Modem), connait bien l'Afghanistan. Proche du commandant Massoud, il l'avait convié au Parlement européen, en 2001, peu avant l'assassinat du chef de l'Alliance du Nord. En tant que Chef de la mission d'observation, Philippe Morillon aura notamment pour mission de veiller au déroulement du scrutin dans le respect des règles de démocratie, de contrôle et de transparence. Mission risquée vu l'instabilité chronique du pays.

Marielle de Sarnez, tête de liste du Mouvement démocrate (MoDem) pour les élections européennes en Ile-de-France, a estimé mardi que son rival Vert Daniel Cohn-Bendit était "d'un conservatisme total" et faisait "le jeu de l'Elysée" dans sa campagne pour le scrutin du 7 juin :

http://www.lexpress.fr/actualites/1/sarnez-modem-accuse-cohn-bendit-d-un-conservatisme-total_761482.html

Les européennes, nouvel épisode des aventures de Bayrou :

http://eco.rue89.com/politiques-crise/2009/05/19/les-europeennes-nouvel-episode-des-aventures-de-bayrou

Bayrou ou l'éternel dilemme du centre :

http://www.lefigaro.fr/elections-europeennes-2009/2009/05/19/01024-20090519ARTFIG00398-bayrou-ou-l-eternel-dilemme-du-centre-.php

D'où viennent les électeurs du MoDem ?

La consultation du 7 juin sera un test sur la capacité de François Bayrou à coaliser un électorat hétérogène :

http://www.lefigaro.fr/elections-europeennes-2009/2009/05/19/01024-20090519ARTFIG00394-d-o-viennent-les-electeurs-du-modem-.php

Cavada ,Bayrou est "féroce" :

http://www.lejdd.fr/cmc/elections-europeennes-2009/200921/cavada-bayrou-est-feroce_210306.html

Le PS ignore Bayrou et concentre ses tirs sur l'UMP ;

http://www.lefigaro.fr/elections-europeennes-2009/2009/05/20/01024-20090520ARTFIG00036-le-ps-ignore-bayrou-et-concentre-ses-tirs-sur-l-ump-.php

Les confidences de Juppé sur l'avenir de Bayrou



Ancien journaliste à «L'Est Républicain», Pierre Taribo publie lundi, aux Éditions du Moment, «La Terre, les lettres et l'Élysée». L'auteur a notamment recueilli les confidences de Juppé sur l'avenir de Bayrou : «Il est toujours bien placé dans les sondages ; ce qui s'est passé en 2007 prouve qu'il a un créneau. En 2012, cette fois, je pense qu'avec l'affaiblissement de Nicolas Sarkozy et l'ancrage à gauche du PS sous la férule d'Aubry, il y a une place pour le centre gauche.»
http://www.lefigaro.fr/politique/2009/05/20/01002-20090520ARTFIG00374-les-confidences-de-juppe-sur-l-avenir-de-bayrou-.php

Jean-François Kahn, un ex-journaliste en campagne sous les couleurs du MoDem
MULHOUSE (Haut-Rhin), 19 mai 2009 (AFP) - 22/05/2009 07h43


Le président du Modem François Bayrou et le candidat aux Européennes, l'ex-journaliste Jean-François Kahn, le 20 mai 2009 à Sillery (Marne)
A 70 ans, l'ex-journaliste Jean-François Kahn, théoricien du "centrisme révolutionnaire", mène sous les couleurs du MoDem sa première campagne électorale à l'occasion des Européennes, dans l'Est, où il a ses racines familiales et a commencé sa carrière.

"On peut évoluer, mais non à la trahison!". En meeting à Mulhouse (Haut-Rhin), la ville du ministre d'"ouverture" Jean-Marie Bockel, il fait "par hasard" une sortie sur la trahison en politique.

Devant près de 200 personnes, il prend l'exemple de Bernard Kouchner, autre ex-PS devenu ministre de Nicolas Sarkozy. "Il ne faut pas s'étonner ensuite que les gens ne croient plus à rien!".

Pour lui, "une société qui avait mis l'Etat au centre de tout il y a 20 ans, a fait faillite. Aujourd'hui, une société qui a mis l'argent au centre de tout, est en train de s'effondrer. Il faut construire une société qui remette l'homme au centre, dans sa dimension individuelle et collective. Où le faire, sinon sur le socle européen?".

En meeting, son discours est allégé par une multitude d'anecdotes. Quand il s'en prend à la gauche, c'est en ironisant. "A Longwy, ils veulent remplacer les usines par un golf. Il faut vraiment être socialiste pour penser à ça!".

En campagne depuis la mi-février, il a déjà fait "60 meetings" et apparaît très à l'aise. "J'ai l'habitude des réunions publiques, des débats", souligne le fondateur de l'Evénement du Jeudi et de Marianne, auteur de nombreux essais.

"Je continue ce que j'ai toujours fait", dit-il. "J'en avais marre d'être journaliste. Un an après avoir décidé d'arrêter, je me suis dit, pourquoi pas continuer mon combat autrement".

Il mène une campagne de proximité, sillonnant la circonscription, visitant des PME. "J'adore visiter des usines", dit-il chez un fabricant de chalets en bois, à Grandvillars (Territoire-de-Belfort). "Et puis, j'ai découvert des vieux villages incroyables, des églises merveilleuses. J'ai été visiter des tranchées de la guerre de 14!".

Il s'appuie aussi sur son expérience, comme au salon du livre de Saint-Louis (Bas-Rhin), où il anime un débat sur la presse.

Ce passionné d'art lyrique, d'opérette et de chanson française se réjouit à l'avance de la réunion publique sur "musique, chansons et Europe", avec orchestre et chanteurs, qu'il organise le 29 mai à Colmar (Haut-Rhin).

Lui qui veut "faire de la politique autrement" n'a pas adhéré au MoDem, mais le fera s'il est élu. "J'adhèrerai comme militant de base, dans l'Yonne, chez moi. Mais je ne veux pas être dans les instances du parti. Si on veut remuer l'Europe, bouger le Parlement européen, électriser tout ça, c'est un boulot à plein temps".

S'il est le seul élu MoDem dans l'Est, il s'est engagé à laisser la place à l'eurodéputée sortante Nathalie Griesbeck, deuxième sur sa liste. "J'ai pris la tête de liste pour les booster, si ça se révèle faux, il est normal que j'en soit puni". Et s'il y avait un changement de ligne au MoDem avec lequel il soit en désaccord, il démissionnerait du Parlement européen. "J'ai signé un papier le stipulant".

François Bayrou, qui le présente comme un "traducteur des émotions des peuples", apprécie son "enthousiasme juvénile".

Le président du MoDem se plaît à narrer leur première rencontre, il y a 30 ans, lorsque Kahn était aux Nouvelles Littéraires. "Je dirigeais le journal du CDS, on m'avait dit que Kahn était centriste. Je suis allé l'interviewer, et il m'a pourri! Il m'a dit: +je ne serai jamais avec vous, tant que le centre ne sera pas indépendant+".

je remets la chasse au Bayrou, cette fois ci postée sur Marianne.fr.; voir les commentaires... et surveiller pour répondre si besoin..

La chasse au Bayrou, une impasse politique

À Troyes, François Bayrou à l'écoute des chefs d'entreprises


François Bayrou a passé plus de deux heures à la SAMR de Pont-Ste-Marie

« Expliquez-moi le mot régulage », demande François Bayrou à Lionel Pellevoisin. Le patron de la Société d'application du métal rouge (SAMR), à Pont-Ste-Marie, élue par la CGPME meilleure entreprise auboise 2008, a présenté en détails son usine au leader du Mouvement démocrate (MoDem). Accueilli par Pascal Landréat, maire de Pont-Ste-Marie et président du MoDem Aube, François Bayrou était accompagné de Jean-François Kahn et Yann Wehrling, numéros 1 et 3 sur la liste MoDem du Grand Est. Avant un passage à Troyes pour dédicacer son livre, François Bayrou a passé plus de deux heures, mercredi, à écouter et interroger les chefs d'entreprises présents.
Une question s'est vite imposée dans la bouche du leader centriste : « Qu'est-ce qui vous manque ? » « Il faut baisser les charges pour libérer le travail. On n'arrive pas à suivre, aussi bien en période de croissance que de décroissance », explique Lionel Pellevoisin.
« On rame pour recruter. On a des gens qui nous disent "Je gagne plus chez moi à ne rien faire que chez vous à travailler" », dénonce Olivier Mezerette, du Bon Pain de France. « Il faut nous libérer du carcan des appels d'offres avec des élus qui vont au moins cher sur le papier », renchérit Hervé Klinger, qui dirige Accès Bureautique. « Ce que vous dénoncez, ce sont les modalités des appels d'offres, la lourdeur des dossiers », traduit François Bayrou.
« Il faut réinventer… »
« On attend des règles plus équitables et la mise en place d'une TVA sociale que l'on réclame depuis des années », explique Jean-Dominique Regazzoni, directeur industriel d'Emo et président de l'Unit, qui
regroupe les patrons du textile aubois. « C'est dans notre programme », précise le leader centriste. « Mais vous vous situez où ? », questionne Jean-Dominique Regazzoni. « Au centre, c'est stable. C'est très con, c'est physique », indique Bayrou, en prenant exemple sur une coupe en verre. « Vous avez remarqué que nous ne sommes pas tout à fait d'accord avec ce qui se fait en ce moment », renchérit Jean-François Kahn. « Se situer à droite ou à gauche ? C'est devenu absurde et dépassé. Il faut réinventer, reconstruire, aller de l'avant. »
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" Je ne regarde que les résultats"
Décernée par plusieurs instituts de sondage, la palme d’or du meilleur opposant à Sarkozy n’est pas montée à la tête du leader centriste : « Je ne regarde que les résultats », souligne François Bayrou, qui reste également prudent sur d’autres sondages faisant du Modem, avec environ 13 % des suffrages, la 3e force politique française, derrière l’UMP et le PS.
François Bayrou souhaite pour l’Europe « un nouveau modèle de croissance » et notamment un « plan de convergence sociale » avec une harmonisation des niveaux de protection sociale et des fiscalités. Objectif : établir une plus grande équité et éviter le dumping social de certains pays à bas salaires.
Le président du Modem se félicite en tout cas du succès de son livre, Abus de confiance, qu’il a dédicacé mercredi à la Maison de la presse de Troyes : « Mon livre est en tête des ventes depuis trois semaines. Jamais un livre politique n’avait été autant vendu depuis trois ans. Cela signifie quelque
chose … »

http://www.lest-eclair.fr/index.php/cms/13/article/300562/A_Troyes_Francois_Bayrou_a_l_ecoute_des_chefs_d_entreprises

La méthode Bayrou décortiquée


par le Sieur Copé....

attention flingage en règle...!!! par Maurice Leroy...

http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/pdf/20090523/15940932_NR_18.pdf

La tentation de la mutinerie permanente

extrait
Terre. Un homme, pourtant, émerge de ce magma, François Bayrou. A la différence du PS, «tout occupé à ses querelles», «il ne laisse rien passer à Sarkozy», souligne un professeur d’histoire qui vote à gauche. «Les gens adhèrent à Bayrou parce qu’il n’y a pas de querelles chez lui», confirme un panéliste. «Bayrou, confie une électrice de l’UMP, je ne savais pas où il allait. Mais il sait parler au peuple. C’est un père dévoué. Pas de strass ni de paillettes. Ça peut faire un bon Président dans quelques années !» Un avis que partage une électrice de Nicolas Sarkozy : «C’est un homme de la terre. Il est serein, pas excité. Il fait son petit bonhomme de chemin. Il peut apporter du bon sens paysan face à tous ces politiques bling-bling !»

Bayrou: un "recours contre les abus de pouvoir, c'est le peuple"

PARIS (AFP) - 23/05/2009 18h03

François Bayrou, président du Mouvement Démocrate, a appelé samedi à voter aux européennes, affirmant qu'un "recours contre les abus de pouvoir, c'est le peuple".

"Jamais je n'ai vu le peuple français dans l'état de désespoir résigné dans lequel des pans entiers sont en train de s'enfoncer", a assuré M. Bayrou, entouré des têtes de listes MoDem, lors d'une conférence nationale organisée à Paris à quinze jours du scrutin.

"Vous pouvez vous servir de votre bulletin de vote le 7 juin", a ajouté le député des Pyrénées-Atlantiques devant plusieurs centaines de participants. Car "il existe toujours un recours contre les abus de pouvoir, et ce recours c'est le peuple".

Le responsable centriste est l'auteur d'un vigoureux pamphlet antisarkozyste à succès, intitulé "Abus de pouvoir".

"Vous pouvez, avec un seul bulletin, envoyer" plusieurs messages, a-t-il détaillé: "dire qu'on croit à l'Europe, qu'il faut changer les orientations de la politique qui gouverne la France", mais aussi "envoyer un petit signal au parti au pouvoir pour dire qu'on n'accepte plus ses dérives, et au principal parti d'oppossition pour lui rappeler qu'il va falloir qu'il se bouge".

"On n'a pas seulement besoin d'une Europe qui marche tant bien que mal" mais "d'une Europe qui décide de dessiner, à sa place et dans sa responsabilité, l'avenir de la planète", selon le député béarnais.

Préférant le terme d'"Europe volonté" à celui d'"Europe puissance", selon lui "sujet à ambiguïté", il a pointé "des risques que l'Europe demeure ce qu'elle est, une collection d'individualités gouvernementales".

Or "il n'y a rien de plus nuisible pour l'Europe que des gouvernants qui cherchent perpétuellement à tirer la couverture à soi", a averti le leader centriste, dans une allusion à Nicolas Sarkozy.

Alors que le MoDem a été accusé de toutes parts de vouloir nationaliser le scrutin européen, ses têtes de listes ont ciblé le vert Daniel Cohn-Bendit, candidat d'Europe-Ecologie, qui avait accusé M. Bayrou de "dérailler".

"Dany, si la campagne d'Europe-Ecologie ne te suffit pas, tu n'es pas obligé de mener la campagne de l'UMP", a lancé Jean-Luc Bennahmias (ex-Vert), tête de liste dans le sud-est, qui dirigea la campagne de Daniel Cohn-Bendit aux européennes de 1999.

"J'ai croisé ce matin Daniel Cohn-Bendit et je lui ai dit: je découvre que tu fais de la politique comme les vieux", en envoyant des "boules puantes", a renchéri l'ex-journaliste Jean-François Kahn, tête de liste dans le sud-est.

Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem et tête de liste en Ile-de-France, a fustigé les programmes des partis concurrents.

"Le programme de l'UMP se résume à la présidence française de l'Union de Nicolas Sarkozy", celui du PS au "manifesto de leurs collègues socialistes européens" et celui des Verts à "tout sauf Bayrou", a-t-elle dit.

Au MoDem, "nous avons un programme, une équipe, et, j'ai l'impression que c'est ce qui énerve nos concurrents, nous avons un leader", a-t-elle ajouté.

Bayrou lance le MoDem dans la bataille des Européennes :

http://www.france-info.com/spip.php?article295974&theme=14&sous_theme=388