C'est dur de choisir entre les lambris dorés des ministères, et les décors épurés staliniens des communistes.
Mélanchon pas tout!
Il a dit "je t'aime". Ce à quoi elle répondit "moi non plus"...
La grèce est le laboratoire de ce qui va se répandre sur l'Europe du Sud. Reste à savoir si la France est le Midi de la Belgique. Ou pas!
Extrême droite, extrême gauche, quelle importance. C'est une mise au pilori des modérés. Ils vont passer 40 jours dans le désert et revenir avec de nouvelles visions.
Les peuples ont toujours besoin de se prouver qu'ils ont tord. Cela prends plus ou moins de temps.
On ne mettra pas fin au clientèlisme. Syriza est une nouvelle forme de clientèlisme, qu'on appelle parfois populisme. Mais il va très vite saisir concrètement la situation, et comme ses prédécesseurs, composer avec la conjoncture. François Hollande lui serait sur ce point de bon conseil.
En gros, en Grèce, c'est la mi carême. On y finira l'autre moitié avec un peu plus de consentement, j'en fait le pari.
Je note une victoire tardive de Sarkozy dans son duel ancien avec Merkel: un embryon de la mutualisation de la dette européenne voir le jour. Hollande va en tirer les bénéfices, c'est de bonne guerre.
J'espère que la Grèce y voit un espoir. Puisse t elle en tirer quelques leçons.