Buzzomètre politique

Tu es bien optimiste, ne faisons pas de triomphalisme comme d'autres ont ou le faire alors que nous avons perdu du terrain.
Je table sur 7%, pas plus aux régionales, arrêtons d'être nombrilistes et d'ignorer nos carences.

Je suis ok avec pourleboss il nous faut jouer le jeu et voter massivement modem ... m^me si notre candidat ne nous plait pas vraiment.
Mais d'accord avec vivaldi restons modeste un 7% est prévisible.
A moins que l'affaire DDV nous rende service et fasse dériver vers nous quelques voix de l'UMP ... ce qui nous permettrait d'envisager le 10% !

C'est le genre de calcul politicien que F. BAYROU n'a eu de cesse de dénoncer, certes, c'est une réalité politique nouvelle, mais aura t'elle vraiment pour conséquence de recapter des électeurs de droite, pas forcément acquis aux intrigues de DDV ou de centre-droit ou même du centre-centre-droit (c'est nouveau, je sais) comme moi par ex (n'en déplaise, il y a encore des ex-CDS ici), ça c'est une autre affaire !
Depuis nos défaites successives aux législatives en 2007, mais ça c'était structurel et il serait, j'en conviens, illégitime d'en attribuer la paternité, paradoxalement, au triomphe de François de cette époque mais surtout aux européennes, où notre leader a quelque peu pété les plombs, nous n'apparaissons plus comme un recours politique crédible aux yeux de nos compatriotes.
Je réitère donc sans ambages ma question : que faire pour se resituer, déjà en 3ème position et regagner ensuite la confiance des électeurs afin de tracer le chemin de l'alternance ?
Que proposes-tu concrètement cher signora ?

Pour ma part, mon vote est acquis à Rodolphe THOMAS en Basse-Normandie, et il se trouve, mais ce n'est sans doute pas, me diriez-vouz, la raison principale, que sa fille cotoie les mêmes bancs de l'école de mes enfants.

.. me diriez-vous, , pas vouz, je vais décidément trop vite en tapant, et c'est pas "de mes enfants" , mais que, excusez-moi pour cette offense faite à la langue de Molière !

vivaldi, pour faire une correction dans le texte que tu viens d'envoyer tu cliques sur la touche "edit" tu corriges et tu renvoies ...

OK, ok .

De plus en plus attendu par le microcosme politique, voici le 11ème TOP 100 des politiques français sur Facebook !
Pour rappel, comme chaque mois, sont pris en compte le nombre de supporters des hommes et femmes politiques de notre pays et non pas leur nombre d'amis sur Facebook (inutile donc de nous écrire pour nous dire que tel ou tel a tant d'amis et devrait de ce fait figurer dans ce classement !). Voir également la rubrique "Le TOP 100, c'est quoi ?"
Retrouvez sous le tableau les faits notables de ce 11ème classement et notre analyse. Bonne lecture !

(a)	Rang 31/01/10 (b)	Politiciens	Parti	Nb de supporters (c)	Supp. gagnés (d)	Evol. dans le classt (e)	Ecart (f)
	1	Nicolas Sarkozy		207 656	10 354
	2	Olivier Besancenot	NPA	19 765	335		187 891
	3	Jacques Chirac		11 785	662		7 980
	4	Ségolène Royal	PS	9 245	882	+ 1	2 540
	5	François Bayrou	MODEM	9 140	560	- 1	105
	6	Rama Yade	UMP	8 597	1 063		543
	7	Dominique de Villepin	UMP	6 678	1 869	+ 4	1 919

Le buzzomètre politique du 21 avril 2010

Citation :

François Bayrou prend la deuxième place des personnalités politiques dont on a le plus parlé cette semaine sur les blogs, derrière Nicolas Sarkozy qui conserve la première position. Rachida Dati et Pierre Charon sortent du classement.

(...)

François Bayrou prend la deuxième place à Rachida Dati, qui sort du classement. Cette deuxième place est notamment liée à la question de sa candidature en 2012.

Aubry et Sarkozy donnés au coude-à-coude pour 2012


Selon un sondage Ifop, la première secrétaire du PS et le chef de l'État recueilleraient tous deux 25% des voix au 1er tour de l'élection présidentielle de 2012. Marine Le Pen est de son côté mieux placée que son père ne l'a jamais été à deux ans d'un scrutin présidentiel.


A deux ans de l'élection présidentielle, Nicolas Sarkozy et Martine Aubry font jeu égal dans les sondages. Selon une étude de l'Ifop, le président de la République et la chef de file des socialistes réaliseraient le même score de 25% au 1er tour en 2012. Cet écart se stabilise par rapport à la livraison du mois de mars de l'institut, selon laquelle Aubry devancerait le chef de l'Etat d'un point. Pour Frédéric Dabi, directeur du département opinion de l'Ifop, «ces chiffres révèlent que, encore une fois, il y a un désamour entre l'opinion publique et Nicolas Sarkozy». À titre de comparaison, l'écart entre les deux personnalités s'élevait à 8 points en novembre.
A droite, cette situation semble surtout profiter à Marine Le Pen. En troisième position dans ce sondage, la vice-présidente du Front national, en lice pour reprendre le flambeau à l'extrême-droite, obtiendrait un score de 13 % des voix. Jamais son père, Jean-Marie Le Pen, n'avait été crédité d'un tel score à deux ans des scrutins de 1988, 1995, 2002 et 2007, pour lesquels il était candidat.
Pour Frédéric Dabi, c'est la preuve «que sa stratégie est la bonne : elle a su prendre les avantages de la ‘marque Le Pen' sans s'encombrer des inconvénients, comme les dérapages de son père». En conséquence, concède le sondeur, il est «un peu moins inavouable» pour les personnes interrogées de déclarer une intention de voter pour Marine le Pen que pour son père, ce qui gonflerait artificiellement son score.
Derrière l'extrême-droite, arriveraient l'écologiste Cécile Duflot (8%), le président du MoDem, François Bayrou (7%), et l'ex-premier ministre Dominique de Villepin (7%). Cette enquête montre aussi l'hégémonie à l'extrême-gauche du président-fondateur du parti de gauche (PG), Jean-Luc Mélenchon, qui recueille deux fois plus d'intentions de votes que le leader du Nouveau parti anticapitaliste, Olivier Besancenot (6% contre 3%).
Le flop d'une candidature Borloo
L'étude montre par ailleurs qu'une éventuelle candidature Jean-Louis Borloo ne permettrait pas de rallier les centristes et le vote écologiste, comme l'espère l'Elysée. Le Ministre de l'Écologie, dont la candidature est testée pour la première fois par l'Ifop, ne recueillerait que 3% des voix. «L'opinion publique l'associe sans doute trop à l'exécutif actuel pour y trouver une alternative crédible et y déceler un projet cohérent en dehors de l'UMP, dont il est par ailleurs l'un des vice-présidents», note-t-on à l'Ifop.
Les sympathisants des Verts ne seraient en effet que 6% à se tourner vers Jean-Louis Borloo en 2012. Et, parmi les électeurs ayant voté pour François Bayrou de 2007, 3 % seulement se déclarent prêts à glisser un bulletin Borloo dans l'urne, contre 17% pour Martine Aubry, 15% pour Cécile Duflot, 10% pour Villepin et 10% pour Sarkozy.
Le sondage a été réalisé du 20 au 22 avril auprès d'un échantillon représentatif de 1.001 personnes agées de 18 ans et plus et est disponible sur le site www.lalettredelopinion.com

Erreur de fil. Celui-ci est consacré au buzzomètre politique, pas aux sondages (à la con) sur 2012.

Erruer de fil volontaire. Je n'ai pas accès au fil consacré aux sondages.

Et le soi-disant "disparu" Bayrou figure en position 5.
À part ça, personne ne parle plus de lui.

J'ai pas bien suivi, mais d'aprés le Canard, FB rencontrerait SMS en catimini? C'est quoi, cette nouvelle bizarre?

SMS a voulu rencontrer Bayrou, visiblement pour le convaincre de se rallier à lui en 2012 (mais là, il rêve !). Bayrou y est allé comme il l'a fait à plusieurs reprises depuis 2007 mais n'a pas parlé de ce qu'ils se sont dit. C'est SMS qui l'a fait, sans doute à dessein.

Buzz politique : Eric Woerth double Nicolas Sarkozy

Woerth ne va pas tarder à prendre la porte car Sarko déteste se faire doubler dans les sondages.