mouais... on ne sait plus qui dénonce et qui viole... un peu bisounours les Teutons.
mouais mouais... à nous les petites Allemandes version 2016. Le navet par exellence.
Mais au fait, quel était le taux d'alcoolémie des petites allemandes, et des entreprenants inconnus? Est ce qu'une jeune femme ou un jeune homme qui se respecte reste dans de tels lieux, ou il peut se passer n'importe quoi, sans même sentir monter l'escalade.
Des faits comme celui ci, il y en a tout les jours, de moindre ampleur certes, aux Champs Elysée après une certaine heure. Comment ne pas sentir, à un certain moment, que l'on est pas dans un endroit nécessairement bienveillant. Il n'y a que l'alcool et la drogue pour s'affranchir de nos propres alarmes, et défier ce qui semble évident.
Fermer les frontières? impossible. Techniquement impossible.
Même sans daesh, même sans les réfugiés, il y avait déjà des endroits et des moments, en Europe, ou il ne fallait pas être, femme ou homme, mais surtout femme effectivement. Cela depuis toujours.
Notre société libertaire et libérale se heurte aux portes de son rêve. L'utopie était pourtant belle. Surtout que novices dans cette aventure, nous incluons à notre rêve des peuples qui n'ont pas spécialement le même, de toute apparence.
Il faudra un jour que l'Europe comprenne que tous les peuples n'ont pas les mêmes désirs d'avenir, et que bien souvent incompatibles, il n'empêche qu'ils sont tous légitimes, et qu'aucun n'a droit à la suprématie, pas même le notre.
Pour en revenir au faits proprement dit, les violeurs sont tous des grands frustrés, ou des déréglés hormonaux. Dans les 2 cas, c'est médical, et remboursé par la sécu.
Deuxième aspect: la foule est toujours une bête immonde, à un moment ou un autre, s'y complaire rend coupable la masse, donc chaque individu. Tout homme averti sait très bien ce qu'il peut s'y passer, par le fait même de l'attroupement. Il y aura toujours dans la masse, un ou une spécimen, qui déclenchera l'escalade, qui déjantera même le plus calme, qui donnera au plus faible le sentiment d'invincibilité. Il y aura toujours une femme, inconsciente (ou consciente) de son déhanchement déshabillé, inconsciente du regard de quelques hommes au bord de la folie, que l'alcool soudain désinhibe.
Et puis, soyons honnête: ne pas savoir que les Arabes et globalement les Africains sont absolument subjugués et fascinés par les blondes, me laisse goguenard, tant ces derniers ne s'en cachent pas. Réfugiés de guerre ou politique? mais ou sont leurs femmes, et qu'en pensent elles?