Le Modem dans les médias (divers)

bon, encore une fois je me retrouve sur le Post grâce à Marc Vasseur.. je rappelle que ça n'est que mon avis et que ça n'engage que moi....

Parole militante après les universités du MoDem.

Cohn-Bendit est prêt à discuter avec Bayrou

http://www.europe1.fr/Info/Actualite-France/Politique/Cohn-Bendit-est-pret-a-discuter-avec-Bayrou/(gid)/241004]

Royal "disponible" pour voir Bayrou

François Bayrou propose "un parlement"

Sud-Ouest : Le chef au centre
Posté le 8 septembre 2009
LE MODEM 33 APRÈS LA GRANDE-MOTTE. Les édiles centristes girondins convaincus par la stratégie de François Bayrou


«Quand Nicolas Sarkozy débauche des socialistes, cela ne choque personne mais quand François Bayrou veut discuter avec les socialistes, il passe pour un gauchiste. » De retour de l’université d’été du Modem qui s’est déroulée ce week-end à la Grande Motte (Hérault), Alain Cazabonne ne se dit pas surpris par la position prise par son leader (lire « Sud Ouest » d’hier). Pour lui, « l’enjeu aujourd’hui est d’amorcer une alternance » dans la perspective de la présidentielle de 2012.

Alain Cazabonne n’oublie pas qu’il a voté pour Nicolas Sarkozy au second tour en 2007. Mais il ne se reconnaît pas dans la politique élyséenne menée aujourd’hui : « Et je pense que certains gaullistes historiques ne s’y retrouvent pas non plus. »

Modèle de société

Le président départemental du Modem, Joan Taris, ne dit pas autre chose. À Nicolas Florian, le secrétaire départemental de l’UMP, qui estime que le parti de François Bayrou « est désormais un allié de la gauche », il réplique : « Il ne s’agit pas d’un virage à gauche ; c’est une évolution naturelle face à la réalité du pouvoir exercé par Nicolas Sarkozy qui diffère de ses discours lors de la campagne électorale. Aujourd’hui, notre opposition s’inscrit en termes de modèle de société, pas dans le clivage politicien droite-gauche. L’alternance est à construire pour ne pas en prendre pour dix ans. »

Dans cet esprit, dialoguer avec ceux qui ont le même objectif paraît au Modem girondin logique, afin de « mettre en lumière les points de convergence mais aussi de divergence. Ce ne sera pas une discussion d’appareils. L’arbitrage se fera au premier tour de la présidentielle car le Modem n’est absolument pas concerné par les primaires à gauche. » On imagine mal en effet François Bayrou céder sa place, toute la stratégie étant au contraire pour lui de décrocher la victoire en 2012…

Si Joan Taris admet que les effort centristes ont été « ébranlés » lors des dernières Européennes, il pense que le Modem « a su tirer la leçon de cet échec » et qu’il peut repeser sur l’échiquier pour peu qu’il propose « un projet de société ». Pour peu aussi de « faire oeuvre de beaucoup de pédagogie car, c’est vrai, on n’a pas été compris par les électeurs ». L’UMP Nicolas Florian et le premier fédéral PS, Ludovic Freygefond, ne trouvent d’ailleurs toujours pas la position du Modem très claire. Le socialiste, en tout cas, n’est pas convaincu : « Je ne pense pas que François Bayrou soit un homme de gauche… » Et de prévenir. Au cas où Joan Taris viendrait frapper à sa porte pour « dialoguer », il annonce : « Je le renverrais à Paris, car l’enjeu, on l’a bien compris, est national. »

L’aventure régionale

En attendant, le test des élections régionales sera important pour les centristes. Alain Cazabonne et Joan Taris se félicitent que le Modem fasse cavalier seul au premier tour. Ils y voient la preuve de son autonomie. Cela réjouit Pierre Braun, le jeune et bouillonnant secrétaire départemental, qui renvoie dos à dos « Alain Rousset qui manque cruellement de panache » et « Xavier Darcos, plus que jamais fantomatique ». Ce jusqu’au-boutisme, Pierre Braun aimerait bien le voir vivre à la CUB avec un groupe Modem autonome. Mais ce raisonnement ne s’applique pas, à entendre ces édiles Modem, aux équipes municipales. Au nom de ce qu’Alain Cazabonne appelle « la démocratie de projets ». Nicolas Florian pense cependant qu’à un moment, « la question de confiance risque d’être posée ». Deux élues régionales Modem sortantes, Véronique Fayet et Laurence Dessertine, appartiennent en effet à l’équipe municipale bordelaise d’Alain Juppé.


http://www.modem33.com/index.php/sud-ouest-le-chef-au-centre/

Bayrou aura-t-il la peau du PS ?

Ce n’est pas Bayrou qui a changé, c’est la droite et la gauche !

OPA Bayrou

je ne peux résister...!

Proposition de Bayrou pour un Parlement de l'opposition: "une idée très intéressante", juge Royal

AP | 11.09.2009 | 11:08




Ségolène Royal a jugé vendredi "très intéressante" la proposition d'un Parlement de l'opposition lancée par le président du MoDem François Bayrou avec lequel une rencontre "ne saurait tarder".
"C'est une idée très intéressante qui mérite d'être prise en considération et d'être expérimentée", a-t-elle avancé sur France Inter.
"Toutes les propositions qui peuvent permettre, sur des questions de fond, de rassembler toutes celles et ceux qui veulent une alternance dans notre pays méritent d'être prises au sérieux, respectées, et mises en oeuvre", a-t-elle jugé. "Elles ont le mérite d'exister, c'est très difficile de dépasser les frontières des partis politiques".
Quant à une rencontre avec le président du MoDem, Ségolène Royal a précisé qu'il n'y avait "pas encore" de rendez-vous "mais cela ne saurait tarder". "S'il y a rendez-vous, cette fois-ci il sera officiel, public, pas secret" car "il y a perspective de rencontre". AP

Confidentiel: MoDem, Aubry pas pressée

Sarnez va revoir Peillon et Cohn-Bendit à Strasbourg

AP | 11.09.2009 | 21:04

Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem, a indiqué vendredi qu'elle entendait poursuivre sa politique de la main tendue en rencontrant à nouveau la semaine prochaine ses collègues eurodéputés Vincent Peillon (PS) et Daniel Cohn-Bendit (Europe Ecologie).
Lors d'ateliers organisés le 22 août à Marseille par le courant de M. Peillon, elle avait notamment lancé: "Ce que nous avons à construire ensemble est plus grand que ce que nous sommes. Soyons généreux. Soyons altruistes. Nous sommes différents. Mais nous pouvons construire ensemble. S'ouvrir à d'autres".
"Est-ce que Marseille aura des lendemains? Oui", a-t-elle dit lors du Talk Orange-Le Figaro. "Nous avons prévu de nous rencontrer tous les trois la semaine prochaine à Strasbourg pour réfléchir à ce que nous pouvons continuer de faire pour être ceux qui essayent de construire cette possibilité d'un projet nouveau".
"Il y a une certaine complicité entre nous", confie-t-elle, "car humainement nous nous connaissons, nous sommes tous les trois députés au Parlement européen et là-bas on assume, pas seulement de parler ensemble, pas seulement de dialoguer ensemble, mais aussi de travailler ensemble, de faire des amendements ensemble et de voter de la même façon". AP