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| Le Modem dans les médias (divers) | |
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Auteur | Message |
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Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Lun 22 Oct 2012 - 17:11 | |
| - Citation :
- le sénateur du Pas-de-Calais croit en "un large rassemblement pour faire gagner le centre en 2014, en 2015, en 2017 même". "Il y a tellement de convergences et si peu de divergences entre nous", lance-t-il. Son vœu devrait rester pieu.
Jolie coquille du rédacteur de l'article. Tel qu'écrit, il est clair que JMV va se planter. P.S. Pourquoi mon commentaire à l'article Borloo/Bayrou a-t-il disparu ? | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Mer 7 Nov 2012 - 9:41 | |
| Rapport Gallois ou rapport Bayrou : l'ancien candidat du Modem a-t-il raison de penser qu'il est la boîte à idées de la vie politique française ? | |
| | | gillou
Nombre de messages : 9070 Age : 57 Localisation : Paris Date d'inscription : 09/12/2007
| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Jeu 15 Nov 2012 - 18:59 | |
| Le MoDem multiplie les appels du pied à la majorité
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| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Ven 14 Déc 2012 - 11:02 | |
| Gouvernement : le MoDem séduit - Citation :
- Ils sont probablement l'un des soutiens les plus enthousiastes de l'actuelle majorité... sans pour autant en faire partie. Alors que l'orientation "sociale-pragmatique" des premiers mois du mandat de François Hollande fait parfois tousser à gauche, les membres du MoDem, eux, l'applaudissent des deux mains. Sur le "pacte de compétitivité", le budget 2013, ou la commission Jospin, François Bayrou multiplie les encouragements au gouvernement Ayrault. Et ne cache pas qu'il s'entretient régulièrement avec le président, à qui il avait apporté son soutien au second tour de la présidentielle.
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| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Ven 12 Avr 2013 - 15:56 | |
| Affaire Cahuzac: Bayrou, seul rescapé du marasme général [SONDAGE EXCLUSIF]
AFFAIRE CAHUZAC - Un seul surnage dans la tempête. Battu à la présidentielle, débarqué aux législatives, marginalisé en septembre, François Bayrou tient sa revanche. Alors que l'image de la classe politique s'est effondrée dans la déflagration des aveux de Jérôme Cahuzac, le président du Modem, promoteur d'une moralisation de la vie publique, est le seul responsable à progresser dans les enquêtes d'opinion.
Notre baromètre exclusif YouGov dévoilé ce jeudi 11 avril pour Itélé et Le HuffPost le confirme: la cote de popularité de l'ancien candidat à la présidentielle a bondi de 5 points au moment même où la quasi-totalité de classe politique, de l'extrême gauche à l'extrême droite, recule dans des proportions similaires.
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| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Lun 15 Avr 2013 - 8:49 | |
| Baromètre Metro : la surprise Bayrou
SONDAGE – La cote de popularité de François Hollande décroche une nouvelle fois en avril, avec un record de 71% d'opinions négatives, selon notre baromètre Clai-Metro-LCI réalisé par OpinionWay. La défiance des Français est à son comble et touche toute la classe politique. Tous sauf un.
C'est une percée inattendue et inédite révélée dans notre baromètre Clai-Metro-LCI réalisé par OpinionWay en pleine tempête Cahuzac. Alors que la cote de la classe politique dans son ensemble chute, un seul homme fait une envolée spectaculaire. Le patron du MoDem, François Bayrou, gagne pas moins de 4 points d'opinions positives (36%) par rapport au moins dernier.
"Premier ministrable" Mieux, il est en deuxième position dans le classement des politiques préférés des Français pour remplacer Jean-Marc Ayrault (22%) au poste de chef du gouvernement. Pendant que les autres cognent à l'envi sur le gouvernement de Hollande, le centriste se fait pourtant relativement discret. Comment donc expliquer une telle embellie ? Pour Bruno Jeanbart, "François Bayrou bénéficie d'un échec de la gauche, après un échec de la droite", résume-t-il. Contre Sarkozy, sans être avec Hollande, "il a dès le départ dénoncé les promesses excessives de ses deux adversaires". Et s'en est tenu à son programme, plus que jamais d'actualité : la relance de l'emploi et la lutte contre le déficit. Son célèbre "ni, ni" (ni à droite ni à gauche), tant décrié, lui vaut donc au final "d'incarner aujourd’hui une alternative crédible et solide".
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| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Sam 20 Avr 2013 - 8:23 | |
| Cambadélis et Maurel fustigent Bayrou : vent de panique au Parti socialiste ?
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| | | gillou
Nombre de messages : 9070 Age : 57 Localisation : Paris Date d'inscription : 09/12/2007
| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Lun 20 Mai 2013 - 19:17 | |
| 2014 : Bayrou plaide pour des conseils d'union municipale
En attendant un très hypothétique gouvernement d'union nationale, pourquoi ne pas imaginer des «conseils d'union municipale» pour 2014? Cette question, le parti de François Bayrou, qui appelle depuis des années à dépasser les clivages partisans, la pose très sérieusement. Secrétaire général du MoDem, en charge de la préparation des prochaines élections municipales, Marc Fesneau reconnaît que le parti orange «n'exclut aucune hypothèse» en matière de partenariats. «On le sent très bien sur le terrain, le concept d'un gouvernement d'union nationale a cheminé dans la tête des gens qui, aujourd'hui, se disent: pourquoi pas la même chose au niveau local?» observe Marc Fesneau, lui-même maire de Marchenoir, une petite commune de 600 habitants dans le Loir-et-Cher.
Certes, officiellement, la règle sera celle de l'autonomie dans les villes de plus de 50.000 habitants, où le MoDem se prépare à désigner quelque 350 chefs de file. Les «arbitrages» se feront courant juin. Mais, comme ce fut déjà le cas en 2008, à Bordeaux avec l'UMP Alain Juppé ou à Dijon avec le PS François Rebsamen, le parti centriste pourrait à nouveau conclure des accords de «partenariat» de premier tour. «La question de ces prochaines municipales, ce n'est pas de faire la fête à Hollande. Pour nous, 2014 ne doit pas devenir un référendum pour ou contre le gouvernement. Il s'agit juste de choisir le meilleur maire dont chaque ville a besoin», assure Marc Fesneau. «Pour les municipales, les hommes comptent plus que les étiquettes» Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem À Marseille, le MoDem local avait ainsi un temps envisagé de participer à la primaire du PS avant de se voir claquer la porte au nez. Ailleurs, des discussions, à Lyon, avec le maire PS sortant Gérard Collomb, ou à Nantes, avec le député écologiste François de Rugy, ont déjà débuté. Bayrou lui-même, en marge d'un déplacement à Nantes le mois dernier, a encouragé Rugy à se présenter, «en échange d'un soutien du MoDem local». Problème: le député écolo répète ne pas être candidat à la mairie. Dépasser les logiques partisanes
Loin d'être anecdotique, cette main tendue illustre la volonté du MoDem de dépasser les logiques partisanes. «Pour les municipales, les hommes comptent plus que les étiquettes», résume la numéro 2 du parti, Marielle de Sarnez. Candidate dans le XIVe arrondissement de Paris, Sarnez, qui a démenti lundi avoir passé un accord avec Nathalie Kosciusko-Morizet, prône «une approche moins idéologique» pour les municipales. «La question du logement, par exemple, n'est ni de gauche ni de droite. S'il faut du logement social, la capitale a aussi besoin de logements intermédiaires pour les classes moyennes et conserver ses jeunes», résume-t-elle.
Dans ce cas, au niveau national, pourquoi ne pas envisager directement des listes centristes communes avec l'UDI de Jean-Louis Borloo? Marc Fesneau avoue qu'«il n'y a pas eu de discussions d'appareil à appareil». Ce qui n'empêcherait pas les gens de discuter localement. En fait, les discussions achoppent souvent sur la stratégie d'autonomie pour le second tour. Le MoDem refuse en effet de se sentir lié par un soutien automatique à l'UMP.
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| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Jeu 27 Juin 2013 - 16:49 | |
| Marielle de Sarnez dévoile son équipe de campagne pour Paris
La vice-présidente du Modem a indiqué vouloir donner la priorité au logement dans la capitale. Parmi son entourage de campagne, on retrouve l'ancien secrétaire national des Verts Yann Wehrling.
Par AFP La vice-présidente du Modem, Marielle de Sarnez, candidate du parti de François Bayrou à la mairie de Paris, a présenté mercredi à la presse son équipe «renouvelée», composée de «militants de Paris plutôt que de partis» afin de construire sa campagne qui débutera à l’automne.
La députée européenne a dévoilé les 16 membres de son équipe de campagne pour Paris, une «campagne de femmes» qu’elle souhaite «utile», «moins polémique, moins politicienne, moins partisane, plus concentrée sur l’intérêt général des Parisiennes et des Parisiens».
Marielle de Sarnez a indiqué qu’elle avait déjà démarré le projet avec son équipe pour le présenter «fin septembre, début octobre» afin d’être en mesure de constituer des listes à l’automne et de démarrer la campagne. «Je suis dans une perspective de rassemblement plus large du centre, des centres», a répété la candidate Modem, expliquant qu’elle rencontrait des responsables parisiens de l’UDI dans ce but.
«Si on pouvait d’ailleurs, avec mes concurrentes, se rendre compte qu’il va falloir dégager quelques priorités absolument vitales pour la ville de Paris et pour la vie des Parisiens et que sur ces priorités», «on puisse avoir des convergences, je trouverais cela très utile», a-t-elle souligné. Au-delà du renouvellement qu’elle souhaite pour la capitale, au niveau des «pratiques», des «attitudes» ou du «projet», elle a rappelé que, pour elle, la «priorité des priorités, c’est la question du logement à Paris».
Logement social «plus lisible et transparent»
«Je pense qu’il faut passer à quelque chose comme 5 000 logements construits par an, en mobilisant tous les domaines dans l’espace public qui seraient disponibles», a-t-elle proposé, suggérant d’insérer également des projets de créations de «jardins, des aménagements pour les piétons, des pistes cyclables».
La vice-présidente du Modem a évoqué la mise en place de «réformes qui toucheront au logement social pour le rendre plus lisible, pour le rendre plus transparent dans ses critères d’attribution et plus simple aussi». C’est le conseiller de Paris du XIVe arrondissement, Jean-François Martins, qui est en charge des questions de logement pour la candidate.
Marielle de Sarnez a également réuni autour d’elle l’ancien secrétaire national des Verts, le Strasbourgeois Yann Wehrling, qui s’occupera de l’environnement, Violette Baranda (qui a quitté les Verts en 2007), conseillère d’arrondissement du XIXe chargée du social ou Béatrice Lecouturier, conseillère d’arrondissement déléguée auprès du maire du XVIe qui s’occupe de l’éducation.
Dans le reste de l’équipe : un producteur de musique, un professeur de médecine, un avocat ou encore la responsable d’un étal de fruits et légumes aux marchés bios. La benjamine, une étudiante, n’a pas encore 18 ans.
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| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Ven 27 Sep 2013 - 18:20 | |
| Week-end décisif pour l'union des centres
Le moment n'est pas venu de réunir toutes les chapelles centristes et chacun de leurs militants pour la grande célébration. Le mariage du MoDem de François Bayrou et de l'UDI de Jean-Louis Borloo ne sera pas signé avant la mi-octobre. D'ici là, les contractants ont encore beaucoup d'affaires à régler, notamment en interne. Ils doivent expliquer à leurs troupes respectives les tenants et aboutissants de cette union.
Une union plébiscitée par les Français (79 %) et encore plus par les sympathisants du MoDem (94 %) et de l'UDI (95 %), selon un sondage Ifop pour Le Figaro. | |
| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Ven 27 Sep 2013 - 18:48 | |
| Allez premier scoop, la première photo ensemble entre Bayrou et Borloo, elle date d'hier matin !
Mais il faut chercher chez nos confrères de l'Outre-Mer, pour l'avoir ?! C'est pas grave , on peut comprendre qu'ils attendent un moment plus solennelle pour enfin montrer la réunification du centre politique Français, qui je le rappelle devrait faire entre 15 et 20 % des voix, plus ??....
Ici : http://www.linfo.re/550955-Le-possible-mariage-UDI-Modem-fait-reagir | |
| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Dim 29 Sep 2013 - 14:17 | |
| Un petit aperçu sur les dizaines d'articles :
Le Point : http://www.lepoint.fr/politique/bayrou-a-guidel-hollande-n-est-pas-au-rendez-vous-des-promesses-29-09-2013-1736420_20.php
Bayrou n'est plus seul pour le JDD: http://www.lejdd.fr/Politique/Bayrou-n-est-plus-seul-631356
Comment Bayrou va manger Borlo :
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/udi-modem-comment-bayrou-va-manger-borloo_1286366.html | |
| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Sam 26 Oct 2013 - 20:14 | |
| La charte entre Jean-Louis Borloo et François Bayrou finalisée
C'est (presque) fait. Le mariage entre l'Union des démocrates et indépendants (UDI) et le MoDem devrait être célébré le 5 novembre. Le MoDem a laissé le choix à Jean-Louis Borloo, qui souhaiterait plutôt le faire le mardi pour que les parlementaires UDI soient tous présents. Mais il faut rester prudent : cette union a été plusieurs fois annoncée et repoussée… D'ailleurs, les centristes donnent aussi le 6 novembre comme date possible. La charte qui définit l'alliance au centre a été finalisée mercredi 23 octobre au soir. Les deux points sur lesquels les pourparlers entre François Bayrou et Jean-Louis Borloo achoppaient étaient le mode de désignation du candidat à la présidentielle et la question des alliances. Selon plusieurs sources, ces deux points sont désormais réglés. Et la négociation aurait ménagé la chèvre et le chou, c'est-à-dire les intérêts des uns et des autres. Un compromis, en somme, en plein dans la tradition centriste.
Lire l'analyse : "Bayrou et Borloo, le mariage de raison des centristes"
Ainsi, le candidat à l'élection suprême devrait être désigné par "une procédure démocratique". Le mot "primaires" n'étant pas utilisé, il s'agirait plutôt d'un vote des adhérents. Ce qui laisse le champ ouvert pour tous les prétendants sans donner un avantage trop net à François Bayrou, puisque nombreux sont ceux à la base de l'UDI qui lui reprochent sa consigne de vote en faveur de François Hollande.
LA RÈGLE ET LES EXCEPTIONS
Ensuite, la question des alliances a finalement été tranchée. Le texte commun aux deux partis du centre devrait poser qu'ils sont dans l'opposition aussi bien au niveau local que national. Comprendre : pas d'alliance avec le PS.
Mais, comme souvent chez les centristes, la règle connaît des exceptions. En premier lieu Dijon. Le MoDem participe à l'exécutif du maire socialiste François Rebsamen. Les représentants du parti de François Bayrou pourront donc se représenter sur la liste emmenée par le PS sans être sanctionnés. En revanche, le MoDem, en tant que parti, n'apportera pas de soutien à cette liste. "Sur 1 200 villes de plus de 9 000 habitants, il pourrait y avoir une quinzaine d'exceptions à la règle", précise un cadre centriste.
Autre cas problématique : Marseille. Dans la cité phocéenne, le parti de François Bayrou est représenté par Jean-Luc Bennahmias et Christophe Madrolle, deux anciens Verts qui se revendiquent de gauche. Et qui refusent tout soutien au premier tour à Jean-Claude Gaudin (UMP). Dans cette ville, le scénario n'est pas encore tout à fait arrêté. Si l'on sait que le MoDem ne soutiendra pas Patrick Menucci (PS), rien ne dit qu'ils se prononceront en faveur du maire sortant… "Tout dépend de l'attitude que l'UMP aura à Pau face à Bayrou…", veut croire un dirigeant de l'UDI. En clair, si le parti de Jean-François Copé veut un soutien à M. Gaudin, il serait bien avisé de retirer son candidat dans la capitale du Béarn pour laisser la voie libre à François Bayrou.
http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/10/26/la-charte-entre-jean-louis-borloo-et-francois-bayrou-finalisee_3503596_823448.html | |
| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Mar 5 Nov 2013 - 10:45 | |
| MoDem/UDI : Bayrou et Borloo officialisent leur "Alternative"
L'Union des démocrates et indépendants (UDI) de Jean-Louis Borloo et le Mouvement démocrate (MoDem) de François Bayrou officialiseront ce mardi leur rapprochement pour faire renaître un pôle de centre droit à l'issue de plusieurs années de brouille. Les deux anciens ministres tiendront mardi après-midi à la Maison de la chimie, à Paris, une conférence de presse où ils annonceront leur rapprochement en vue des prochaines échéances électorales, dont la donne pourrait être partiellement changée. "C'est un document de deux pages court, clair. C'est une charte de partenariat politique", a précisé lundi à Reuters l'entourage de François Bayrou, sans en donner le nom. Mais la dénomination "l'Alternative" a les faveurs des pronostics.
"Cette charte vaudra pour l'ensemble des scrutins intermédiaires - municipales, européennes, cantonales, régionales - et pour le scrutin présidentiel", souligne-t-on. Le centre réunifié compte tirer son épingle du jeu entre un Parti socialiste confronté à la dure réalité économique et une UMP divisée entre ses chefs et parfois accusée de chasser sur les terres du Front national. Ce partenariat est le résultat d'un rapprochement engagé l'été dernier entre François Bayrou et Jean-Louis Borloo, qui ont dû faire des concessions mutuelles.
Bayrou : "l'opposition constructive"
Ainsi, en septembre, François Bayrou, qui, au grand dam de l'UMP, avait appelé à voter pour François Hollande au second tour de la présidentielle de 2012, avait dit se situer dans "l'opposition constructive" à la majorité de gauche, rejoignant ainsi l'UDI, qui se positionne au centre droit. De son côté, Jean-Louis Borloo n'a pas tari d'éloges à l'adresse de celui qu'il critiquait il y a quelques mois à peine et a réussi à rallier à l'union la quasi totalité des ténors de son parti, à l'exception du député François Sauvadet. Issus de l'Union pour la démocratie française (UDF), créée en 1978 par Valéry Giscard d'Estaing afin de faire contrepoids au RPR néo-gaulliste de Jacques Chirac, les deux hommes ont divergé ces dernières années.
En 2002, une partie de l'UDF, dont Jean-Louis Borloo, a rejoint l'UMP créée par Jacques Chirac. En 2007, les trois quarts des troupes de l'UDF ont rejoint l'UMP de Nicolas Sarkozy et ont créé le Nouveau Centre (NC). En septembre 2012, Jean-Louis Borloo, membre du Parti radical, une composante de l'UDF puis de l'UMP, a quitté l'UMP pour créer l'Union des démocrates et des indépendants (UDI). Le regroupement du centre irrite l'UMP, qui n'a pas pardonné à François Bayrou d'avoir refusé de soutenir Nicolas Sarkozy en 2012 mais aussi en 2007, et voit une concurrence nouvelle émerger sur le centre de l'échiquier politique.
"Un petit arrangement de boutiquiers" (C. Jacob)
Pour Christian Jacob, le président du groupe UMP de l'Assemblée, ce regroupement du centre est "un petit arrangement de boutiquiers". Plusieurs élus UDI affirment de leur côté que Nicolas Sarkozy et ses amis ont multiplié les pressions pour que ce rapprochement n'aboutisse pas. Le MoDem, qui regroupe beaucoup moins d'élus que l'UDI, a su ménager ses arrières pour les élections dites intermédiaires, notamment les municipales du printemps prochain. Ainsi à Dijon, ville dirigée par le PS et le MoDem, ses candidats ne seront pas sanctionnés alors qu'à Paris, Marielle de Sarnez, numéro deux du parti de François Bayrou, est sommée de soutenir la candidature de l'UMP Nathalie Kosciusko-Morizet.
Jean-François Martins, unique élu sortant MoDem à Paris depuis la démission de Marielle de Sarnez après son élection à Strasbourg, a décidé de rejoindre la candidate PS Anne Hidalgo et a été exclu du parti pour avoir fait dissidence. "Dans plus de 90 % des cas, pour les municipales, il y aura un accord de premier tour avec l'UDI. C'est beaucoup par rapport aux autres grandes formations politiques", ajoute-t-on. Les choses semblent plus simples en ce qui concerne la prochaine élection présidentielle, où le candidat centriste sera désigné par "une procédure démocratique", explique-t-on. "Le centre a vocation à avoir un candidat à l'élection présidentielle", souligne l'entourage de François Bayrou.
http://www.lepoint.fr/politique/modem-udi-bayrou-et-borloo-officialisent-leur-union-05-11-2013-1752136_20.php | |
| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Jeu 7 Nov 2013 - 19:55 | |
| François Bayrou, le grand gagnant à droite
EXCLUSIF - Au moment où François Bayrou annonce sa candidature à Pau, les Français sondés par CSA pour « Les Echos » saluent son retour dans le giron de la droite.
Troisième personnalité politique française
Le vrai gagnant du mois s’appelle François Bayrou. Son retour dans le giron de la droite est salué par les sympathisants de droite comme de gauche.
A droite, François Bayrou gagne 6 points en un mois, à 37 % d’opinions positives.
Tous électorats confondus, il devient la troisième personnalité politique française, derrière Manuel Valls et Alain Juppé, et devant Nicolas Sarkozy et Martine Aubry.
CQFD : les électeurs semblent lui pardonner beaucoup plus facilement son incursion à gauche (il a voté François Hollande au second tour de la présidentielle) que certains leaders UMP. Voilà qui l’aidera dans le bras de fer qu’il vient d’engager à Pau. Dans la foulée de son « mariage » avec Jean-Louis Borloo , François Bayrou a annoncé ce jeudi qu’il y serait candidat à l’élection municipale en mars prochain. Jusqu’à présent, Jean-François Copé lui certifiait que l’UMP présenterait un candidat contre lui.
Le sondage ici : http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/document/0203112908400-le-barometre-politique-csa-de-novembre-2013-626925.php | |
| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Mer 13 Nov 2013 - 9:45 | |
| Pour un rassemblement écologique au Centre !
Yann Wehrling, du MoDem, Chantal Jouanno, de l'UDI, Laurence Vichniesky, ex-porte-parole EELV et Franck Laval, cofondateur du Grenelle de l'environnement signent dans le JDD une tribune pour placer l'écologie au Centre.
"Nous qui venons d’horizons politiques différents et qui avons voté, au premier et au second tours de l’élection présidentielle, pour des candidats différents, prenons aujourd’hui l’initiative de rassembler celles et ceux qui se reconnaissent dans les valeurs de l’écologie, de l’Europe, de la responsabilité individuelle et de la solidarité.
Nous sommes d’abord écologistes parce que nous pensons que l’écologie est le grand projet de société du XXIe siècle. Nous pensons que nos économies doivent s’orienter, très vite, vers un modèle de développement soutenable, fondé sur des modes de production et de consommation préservant les ressources naturelles de la planète et protégeant celle-ci des risques liés au dérèglement climatique.
Nous sommes européens parce que nous pensons que dans ce monde multipolaire en formation, l’Europe est le seul espace dans lequel la France puisse inscrire son avenir et continuer à peser sur son destin.
Enfin, nous pensons qu’il faut trouver un équilibre entre la solidarité, condition première du vivre ensemble, et la responsabilité individuelle, sans laquelle il n’y a ni esprit d’entreprise, ni dynamisme économique, ni création de richesses.
À s’en tenir aux seules exigences de l’écologie, la politique mise en œuvre par l’actuelle majorité ne répond pas à nos attentes. L’action, si l’on ose dire, du gouvernement s’est bornée à installer des commissions et à organiser des conférences, à caractère strictement consultatif, ainsi qu’à formuler des promesses aussi vagues que lointaines, non contraignantes.
Le bilan parle de lui-même : effondrement de la filière industrielle des énergies renouvelables, renoncement de fait à l’engagement de fermer la centrale de Fessenheim en 2016, poursuite du projet de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, soutien à l’agriculture intensive et à la pêche en eaux profondes, assouplissement des conditions d’ouverture des porcheries industrielles, encouragement à l’orpaillage en Guyane, maintien d’une fiscalité incitative à la consommation mortifère du diesel. Sans compter, au plan institutionnel, la mise à l’écart des ONG lanceurs d’alerte en matière de santé environnement et le limogeage de deux ministres de l’écologie en l’espace de treize mois. Le gouvernement aura presque réussi à faire prendre en grippe l’écologie aux Français.
L’écologie n’est ni de Gauche, ni de Droite mais ce clivage structure encore aujourd’hui le champ politique. C’est pourquoi nous inscrivons notre action dans l’opposition, une opposition constructive, républicaine, respectueuse des échéances constitutionnelles, ouverte au dialogue avec l’actuelle majorité, mais une opposition déterminée.
Pour les écologistes qui partagent nos valeurs et notre approche, quelle que soit leur famille d’origine, le temps est venu de produire une nouvelle offre politique. Ce qui se construit au Centre est l’espace possible de ce projet. Pour toutes celles et tous ceux qui refusent l’irréversibilité de la dégradation de la planète, mais qui n’opposent pas écologie à économie, le temps est venu de se rassembler."
Yann Wehrling, porte-parole du MoDem, ancien secrétaire national des Verts ; Chantal Jouanno, sénatrice de Paris, vice-présidente de l’UDI, ancienne ministre ; Laurence Vichnievsky, conseillère régionale Paca, ancienne porte-parole d’EELV ; Franck Laval, chef d’entreprise, cofondateur du Grenelle de l’environnement.
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| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Ven 17 Jan 2014 - 21:32 | |
| Le Mouvement Démocrate tiendra son 3e congrès demain samedi 18 janvier 2014, à partir de 9h30, au centre de conférences Marriott Rive Gauche à Paris.Allez , un petit scoop : J.L. Borloo sera l'invité surprise demain au congrès ! | |
| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Lun 10 Fév 2014 - 11:47 | |
| Municipales 2014 à Pau : ceux qui veulent la peau de Bayrou
Les adversaires du candidat centriste se présentent en ordre dispersé. Leur objectif commun ? Faire perdre François Bayrou.
Alors que le président du MoDem se voit déjà à la mairie, ses opposants ont décidé de hausser le ton. Les escarmouches entre seconds couteaux ont laissé la place aux attaques frontales entre leaders. Ayant levé tous les obstacles qui pouvaient se dresser sur son chemin à droite et au centre (voir Le Point, n° 2159, spécial Pau, page IV), François Bayrou est désormais attaqué sur son aile gauche. "Il a neutralisé tous les candidats potentiels de sa famille politique en leur proposant de les soutenir. Il les a conviés à plusieurs réunions pour les embobiner. Lorsqu'ils se sont réveillés, il était trop tard : il avait pris la tête de liste", grince Alain Lavignotte, directeur du cabinet du candidat PS, David Habib. La manoeuvre lui aura permis de désarmer l'ancien préfet Marc Cabane et la conseillère régionale Véronique Lipsos-Sallenave (co-investis par l'UDI), qui briguaient la mairie. Cette tactique aura, de même, convaincu le candidat de l'UMP, Eric Saubatte. Ce qui lui laisse les mains libres pour affronter les candidats de gauche qui, contrairement à la dernière campagne municipale, ne sont pas parvenus à se fédérer autour d'une liste unique. Uniquement de gauche ? Pas sûr ! Revue de détail des forces en présence.
Les pro-Copé en embuscade
Derrière l'union de façade... Le "mariage de raison" entre la section UMP béarnaise et François Bayrou n'est pas sans douleur chez les partisans de l'ancien président Sarkozy. Éric Saubatte a beau déclarer que "tous les militants se sont unanimement prononcés en faveur d'un rapprochement avec le MoDem dans le but de barrer la route aux socialistes", la pilule a du mal à passer auprès de certains. "Il n'est pas exclu que j'aille à la pêche le jour du 23 mars", évacue ainsi un proche du Medef local, sous couvert d'anonymat. "Yves Urieta va incontestablement bénéficier d'un apport de voix de membres de notre famille politique qui ne pardonnent pas à Bayrou d'avoir appelé à voter François Hollande en mai 2012", confie cet autre, cadre de Total, qui estime que "Jean-François Copé a été piégé". Lequel Copé, après s'être présenté en parrain de l'accord Bayrou-Saubatte, persiste à trouver cet épisode "désolant", tant il en veut à Bayrou d'avoir contribué à la victoire de Hollande.
Les socialistes ressoudent les rangs
Il suffisait de le voir serrer les mains dans les tribunes de l'hippodrome lors des dernières courses pour s'en persuader... David Habib, 51 ans, est bel et bien entré en campagne. "J'attendais d'avoir bouclé mes derniers dossiers à la communauté de communes de Lacq pour me lancer dans la bataille", indique l'ancien maire de Mourenx. À la suite d'un mois de décembre difficile où son équipe a bien failli imploser après un accrochage sérieux avec Martine Lignières-Cassou, le député "socialiste mais productiviste", selon ses propres termes, ressoude pour l'heure son équipe. Désigné comme le dauphin de l'actuelle maire, André Duchateau s'est résolu à ne pas être numéro deux sur sa liste ("parité oblige", dit-il). Les deux hommes travaillent désormais main dans la main pour tenter de rattraper François Bayrou dans les sondages. "Ce qui compte, ce ne sont pas les chiffres qui circulent mais les projets", clame le candidat PS, qui dévoilera son programme au cours de trois réunions publiques à partir du 13 février. Profondément renouvelée (elle compte 37 noms nouveaux pour 12 élus sortants), son équipe, présentée à la presse le 28 janvier, rassemble à la fois des écologistes (à commencer par l'ancienne conseillère régionale Louisette Mayereau), des membres du Mouvement républicain et citoyen, des radicaux de gauche et même deux représentants du mouvement occitaniste Bastir ! "Mais aussi et surtout beaucoup de personnalités issues de la société civile qui veulent faire bouger la ville", insiste l'architecte Nathalie Larradet, qui s'est lancée dans l'aventure il y a deux mois. Le professeur de médecine Jean-Noël Drault, l'ancien vice-président de la CCI, Jacques Jestin, ou encore l'ex-président de l'université, Jean-Louis Gout, font également partie de la liste soutenue par un comité de 23 anciens élus d'André Labarrère. "Contrairement à François Bayrou, qui est entouré depuis trente ans des mêmes têtes, j'amène avec moi du sang neuf", énonce David Habib, qui présente la consultante Charline Claveau-Abbadie, l'avocate Leïla Kherfallah, l'entraîneur de l'Elan béarnais Claude Bergeaud et l'écrivain Jean-Christophe Tixier comme "la nouvelle génération qui permettra à la ville de sortir de l'ornière".
Yves Urieta joue sa carte
Il a le sourire de qui se sait courtisé. Éphémère "maire intérimaire" à la mort de Labarrère, Yves Urieta, 67 ans, n'a jamais cessé de penser qu'il pouvait revenir à l'hôtel de ville par la grande porte. L'homme qui continue de se réclamer de gauche "n'entend pas siéger dans l'opposition les six prochaines années", expose l'ancienne rectrice Nicole Bensoussan, sa colistière, membre de l'équipe Bayrou il y a six ans. Même s'il se défend de toute attaque personnelle, Yves Urieta multiplie les piques contre le patron du MoDem. C'est lui qu'il cible quand il énonce que "la ville de Pau a besoin d'un maire présent et travailleur". Lui encore qu'il étrille quand il raille "les ambitieux qui lorgnent Paris". En attendant de dévoiler son équipe ("le plus tard possible"), le doyen des candidats organise des bistrots citoyens chaque mardi. Il en a, dit-il, organisé 65 pendant cette campagne. Chaque fois, il distille des attaques feutrées contre la droite. La dernière en date vise Eric Saubatte. "C'est un rallié peu fiable : il m'avait démarché à l'époque où Nicolas Patriarche conduisait la liste UMP car il voulait être sur une liste", lâche-t-il. Adoum Isseini, ancien socialiste passé par le MoDem, qui milite pour que la municipalité investisse davantage dans l'Ousse-des-Bois, a rallié Yves Urieta. "L'élection se jouera dans ce quartier populaire, qui est très stratégique en termes électoraux", pronostique Yves Urieta.
L'extrême gauche se désolidarise
Porte-parole du Parti communiste et tête de liste du Front de gauche, Olivier Dartigolles, 42 ans, ne pouvait officiellement s'afficher dans le même camp qu'un socialiste soutenant résolument François Hollande. Surtout à l'heure où le président de la République se montre de plus en plus ouvertement social-démocrate... C'est pourquoi cet ancien enseignant, entré en politique avec Marie-George Buffet, a décidé de faire liste à part. À sept semaines de l'élection, il se dit impatient que le débat s'instaure. "Où sont les programmes des uns et des autres ?" s'interroge-t-il. Son projet pour Pau, il a commencé à l'exposer depuis quelques jours lors des séances de porte-à-porte qu'il conduit à travers la ville ("trois heures par jour"). "Ma position est claire : je veux que nous mettions halte à cette fièvre libérale délirante qui rend notre pays malade", expose le conseiller municipal qui avait fait campagne commune avec Martine Lignières-Cassou en 2008, mais s'est depuis désolidarisé de plusieurs mesures adoptées par la maire. "À commencer par le vote par l'agglo d'une subvention de 25 millions d'euros pour la ligne à grande vitesse qui ne viendra finalement pas à Pau", expose l'élu. Plus que François Bayrou, Dartigolles honnit cependant Yves Urieta "pour sa trahison de 2008" [NDRL : Urieta avait alors reçu le soutien officieux de Nicolas Sarkozy]. Le communiste est catégorique : "Si David Habib s'allie avec lui, il n'aura pas mon soutien pour le second tour". Les négociations promettent d'être difficiles.
Les écologistes veulent se démarquer
Eurydice Bled partira, elle aussi, seule. Même si Nicole Juyoux (chargée de l'économie sociale et solidaire dans l'équipe Lignières-Cassou) figure sur la liste de David Habib, l'autre élu Verts de la précédente mandature (Bernard Laclau-Lacrouts) quittant la vie politique locale, la benjamine de cette élection (25 ans) entend se démarquer de l'équipe socialiste et profiter de la campagne pour "semer ses idées afin de contrer celles de la droite". Hier proche du responsable de la section paloise du PS, Louis de Fontenelle, qui se dit "en retrait" de la campagne et n'a pas donné suite à nos demandes d'entretien, la tête de liste d'Europe Écologie-Les Verts n'entend pas se rallier "à tout prix" au socialiste, même si elle souhaite "faire rempart contre le clan UMP-MoDem".
L'incertitude FN
Officiellement investi tête de liste du parti lepéniste, début décembre, Georges de Pachtère parviendra-t-il à composer une liste de 49 noms ? Au moment où est imprimé ce numéro, l'incertitude flotte encore sur la présence (ou non) du Front national au premier tour. Le changement de son porte-drapeau, quelques semaines avant l'échéance, traduit la difficulté de la formation d'extrême droite à trouver un remplaçant à Jacques Henriot, qui représenta le FN pendant plus de vingt ans dans le Béarn. Retraité après une carrière passée dans diverses sociétés en Afrique (du Tchad au Cameroun), Georges de Pachtère est issu du Mouvement national républicain de Bruno Mégret. Il n'a pas donné suite à nos demandes d'entretien mais, selon nos informations, Philippe Boël devrait bien être présent sur sa liste. L'antiquaire du Foirail avait réuni plus de 10 % sur la ville aux législatives de 2012, se plaçant ainsi en 3e place derrière le PS et l'UMP (et devant le Front de gauche). "La surprise peut venir de là", indique Régis Laurand (MoDem), qui rappelle que dans certains bureaux de vote de Pau-Nord le FN avait parfois frôlé 14 % aux cantonales de 2011.
Source : http://www.lepoint.fr/villes/municipales-2014-a-pau-ceux-qui-veulent-la-peau-de-bayrou-10-02-2014-1790115_27.php
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Ven 28 Mar 2014 - 8:21 | |
| Municipales: le MoDem a fait 15% au 1er tour
Le MoDem a fait ses comptes et s'est félicité aujourd'hui des résultats de ses candidats au premier tour des municipales qui ont fait en moyenne 15% dans les villes de plus 10.000 habitants selon ses calculs, a-t-il indiqué dans un communiqué.
"Les listes conduites par le Mouvement démocrate dans les communes de plus 10.000 habitants ont obtenu en moyenne plus de 15% des voix", écrit le parti présidé par François Bayrou dans un communiqué. Au premier tour, "plus de 50 maires" MoDem ont été élus, est-t-il précisé.
Le MoDem a notamment conservé les mairies de Mont-de-Marsan, Hérouville-Saint-Clair, Saint-Leu (Réunion) ou Talence. "Dans de très nombreuses autres villes comme Pau, Nancy, Saint-Brieuc, les candidats soutenus ont été placés en tête par les électeurs", note le communiqué. A Pau, François Bayrou, qui n'a plus aucun mandat et retente sa chance pour la troisième fois, est bien parti pour remporter la ville. La numéro 2 du parti Marielle de Sarnez a elle été élue au premier tour à Paris.
Le MoDem a également souligné des "scores remarquables" dans "les terres historiques de cette famille de pensée comme l'ouest (Quimper, Quimperlé, Pontivy, Poitiers...) ainsi que dans des territoires pourtant réputés comme difficiles: Limoges, Nevers, Vierzon...".
Et de louer enfin ses "partenariats" avec l'UDI le parti de Jean-Louis Borloo. "C'est une première étape qui a été franchie avec succès et qui marque l'intérêt des français pour la démarche de rassemblement initiée par le MoDem et l'UDI", écrit le MoDem. Il "regrette" enfin que "dans certaines villes comme Béziers ou le 7ème secteur de Marseille les candidats socialistes aient fait le choix, de maintenir leur candidature alors que plane l'éventualité d'une victoire d'un candidat FN". | |
| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Mer 2 Avr 2014 - 16:14 | |
| Élections européennes : lancement de campagne lundi 7 avril 2014
Chers amis,
J'ai le plaisir de vous convier au lancement de campagne des élections européennes, qui se tiendra le lundi 7 avril prochain de 12h à 14h à l'adresse suivante :
"La Rotonde" 6-8, place de la Bataille de Stalingrad Paris 19ème
Vous trouverez en cliquant sur ce lien le carton d'invitation. L'ensemble de nos têtes de liste UDI-MODEM | Les Européens seront naturellement présentes pour cette occasion.
Nous comptons sur votre participation et sur votre capacité à mobiliser votre entourage ! Confirmez votre présence en nous adressant vos coordonnées par courriel à l'adresse : inscription@leseuropeens.eu
Vous pouvez aussi partager l'événement Facebook et annoncer votre venue sur Twitter avec le hashtag #LesEuropeens.
Bien amicalement,
Marc Fesneau Secrétaire général du Mouvement Démocrate
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Ven 4 Avr 2014 - 8:24 | |
| Eric Azière présidera le groupe UDI-Modem au Conseil de Paris
Les centristes avaient annoncé mercredi leur décision de créer un groupe «unique et autonome».
Le directeur général de l’UDI, Eric Azière, ancien cadre du Modem, a été élu jeudi président du groupe UDI-Modem au Conseil de Paris, a annoncé à l’AFP le nouveau porte-parole du groupe, Yann Wehrling. Eric Azière était le seul candidat pour prendre la présidence du groupe de 16 élus (10 UDI et 6 Modem).
Elu comme numéro 2 sur la liste de la candidate UMP à la mairie de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet, dans le XIVe arrondissement, Azière a déjà été conseiller de Paris de 2001 à 2008. La première vice-présidente est Maud Gatel (Modem). Yann Wehrling, élu sur la liste du député-maire UMP du XVe, Philippe Goujon, a été choisi comme porte-parole. Secrétaire national des Verts de 2005 à 2006, il est membre du Modem depuis 2008.
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Sam 5 Avr 2014 - 8:16 | |
| Deux jumelles élues, l'une au MoDem l'autre à l'UDI
Ces deux soeurs jumelles engagées en politique ont été élues dans deux villes différentes.
«C'est la position de François Bayrou la plus honnête». Interrogée par le journal Sud-Ouest Pauline Rivière, 28 ans, a été élue en deuxième position aux élections municipales au Le Taillan-Médoc, en Gironde. Sa sœur Ariane, sa sœur était 26e sur la liste UMP-UDI de Jacques Mangon, qui remporté l'élection à Saint-Médard-en-Jalles, dans le même département. Elle confie: «Au départ, j'avais des opinions plus marquées à droite, et petit à petit, je me suis laissée convaincre par l'UDI»
Pauline, l'ainée d'une quinzaine de minutes, a été nommée adjointe à la petite enfance dans sa commune: «C'est le poste que je désirais. En adéquation avec mon travail à Bordeaux de recrutement de nounous chargées d'aller chercher les enfants à l'école puis de les garder à domicile», raconte Sud-Ouest.
Les deux sœurs parlent des élections municipales comme d'une «aventure humaine extraordinaire». Ariane admet tout de même «la campagne entre les deux tours fut très dure parce que l'équipe d'en face n'a pas été tendre». Sa sœur Pauline ajoute à Sud-Ouest: «Nos adversaires nous ont trop sous-estimées, mais on continuera à étonner».
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Mer 16 Avr 2014 - 16:08 | |
| Pau : François Bayrou ravit la présidence de l'agglomération à la gauche
François Bayrou a décroché la présidence de la Communauté d'agglomération Pau-Pyrénées, au détriment de la gauche.
Le président du MoDem et nouveau maire de Pau, François Bayrou, a ravi à la gauche ce lundi soir la présidence de la Communauté d'agglomération Pau-Pyrénées avec 42 voix sur 65, après avoir déjà enlevé le 30 mars la mairie de Pau au Parti socialiste qui la détenait depuis 43 ans.
"Travailler avec tous"
Aussitôt élu, il a souhaité que "les 13 vice-présidents de la communauté d'agglomération soient les maires des 13 communes hors de Pau", a-t-on appris auprès de l'agglomération. Il a indiqué "vouloir travailler avec tous, car nous sommes tous à égalité de droit et de devoir dans cette assemblée".
Depuis les dernières élections municipales, six maires sur les 14 communes (avec Pau) que compte la Communauté d'agglomération ont été élus sous l'étiquette PS. La communauté d'agglomération Pau-Pyrénées (CDAPP), créée en 2000, regroupe quelque 147.000 habitants répartis sur 14 communes de la région de Pau.
La député-maire PS sortante de Pau, Martine Lignières-Cassou, en était présidente depuis 2008. Après deux échecs en 1989 et 2008, François Bayrou, 62 ans, a été élu le 30 mars maire de Pau, deuxième ville d'Aquitaine (79.000 habitants). L'ancien candidat malheureux à l'élection présidentielle l'avait nettement emporté au second tour à l'issue d'un duel avec le député socialiste David Habib (62,95% contre 37,04%). Il avait été élu avec le soutien de l'UMP et comptait dans sa liste d'anciens co-listiers de la maire sortante PS.
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Ven 25 Avr 2014 - 11:48 | |
| Requinqué par sa victoire à Pau, le patron du MoDem pense être « une voix politique que les Français ont envie d’entendre ».
Heureux comme un Bayrou à Pau. Revenu sur le devant de la scène après une humiliante traversée du désert de deux ans, le patron du MoDem n’en finit plus de savourer sa résurrection. Enfin ! Devenu, le 30 mars, maire de la capitale du Béarn après deux tentatives infructueuses, élu, le 14 avril, président de la communauté d’agglomération Pau-Pyrénées, le centriste a retrouvé le sourire. Et la parole. Aimable et disert, il ne se fait pas prier pour rappeler le « formidable score » (62,95 %) obtenu au second tour face au candidat PS David Habib et la « large majorité » recueillie, dix jours plus tard, lors du vote qui l’a installé à la tête de la communauté d’agglo (42 voix sur 65). Des chiffres plus qu’honorables qui lui permettent d’envisager l’avenir avec une confiance retrouvée.
Meurtri par les échecs cuisants essuyés en 2012 lors de la présidentielle puis des législatives qui l’avaient privé de son fief historique des Pyrénées-Atlantiques, l’ancien ministre s’était fait rare à Paris. Il y revient aujourd’hui, la tête haute, avec des ambitions... sélectives. Plus question de briguer des mandats à la pelle. François Bayrou ne sera pas candidat aux élections européennes de juin, mais fera « évidemment » campagne pour les listes MoDem-UDI baptisées pour l’occasion « Les Européens ». « Je prendrai mes responsabilités », promet-il. On le verra tenir des meetings en mai dans chacune des huit « régions » européennes de France. Un exercice que cet « européiste » convaincu savoure à l’avance : « Je suis une voix politique que les Français ont envie d’entendre. »
Lien : http://www.parismatch.com/Actu/Politique/Rien-n-est-exclu-pour-la-presidentielle-2017-561121
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| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Mar 24 Juin 2014 - 11:41 | |
| Sondage : François Bayrou en bonne place pour la présidentielle 2017
Selon un sondage réalisé par BVA pour Orange, L'Express, France Inter et la PresseRegionale.fr, seulement 22% des Français ont une bonne opinion de François Hollande. Il ne regagne ce mois-ci qu'un point après les élections municipales et européennes. Et seulement 11% trouvent la politique menée par le président et le gouvernement efficace. Manuel Valls, le Premier ministre se maintient avec 48% de bonnes opinions.
A droite, Alain Juppé arrive en tête très largement devant Nicolas Sarkozy. Le maire de Bordeaux est premier (54% des Français et 72% des sympathisants) alors que l'ex-Président est à la sixième place (32% des Français et 61% des sympathisants). A gauche, Martine Aubry reste la personnalité préférée des sympathisants de gauche (67%) devant Najat Vallaud-Belkacem et Christiane Taubira (60%). A la suite du "dérapage" de Jean-Marie Le Pen, le Front National perd 3 points tant par le parti (23%) que par Marine Le Pen (25%).
Notons également que François Bayrou est la personnalité préférée pour représenter le Centre à l'élection présidentielle de 2017 (35%), devant Rama Yade (22%) et Hervé Morin (15%). Le maire de Pau sort également vainqueur de nombreux duels pour la présidence de la République. Il est ainsi largement préféré à Marine Le Pen (71% contre 21%), François Hollande (63% contre 22%) et Nicolas Sarkozy (52% contre 39%). Seul Alain Juppé, personnalité politique préférée des Français, lui résiste (37% pour François Bayrou, 53% pour le maire de Bordeaux).
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| | | gillou
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| Sujet: Re: Le Modem dans les médias (divers) Jeu 4 Sep 2014 - 16:17 | |
| Le maire MoDem de Pau peut désormais intervenir en direct à la télévision sans quitter sa ville. Il a étrenné son studio le 27 août sur iTélé.
François Bayrou n'a plus besoin d'être à Paris pour intervenir en direct à la télévision. Il dispose d'un studio tout équipé à Pau, non loin de la mairie qu'il dirige depuis le printemps. Il l'a étrenné le 27 août sur iTélé. En fond d'écran: une photo de la ville.
L'ancien candidat à la présidentielle a récupéré une installation complète - caméras, régie, fond vert, mobilier - mise en place au début des années 2000 à l'initiative de l'ancien maire André Labarrère. L'idée était alors de lancer une chaîne de télévision locale. Celle-ci n'a jamais vu le jour et le studio, doté d'un matériel de pointe, est resté inutilisé pendant plus de dix ans. La municipalité a juste eu besoin d'acquérir un système de transmission aux normes et deux micros de table.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/tele-bayrou-en-direct-de-pau_1572219.html#awbKBsfgo7UMyF3b.99 | |
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