[64] Pyrénées Atlantiques

Monsieur Bayrou n'est pas arrivé en tête, lors de l'élection municipale de Pau.

battu honorablement même mois de 300 voix...

Ca demeure honorable face aux efforts déployés pour le battre.

342 voix d'écart, moins de 1%. Une défaite, mais très honorable compte tenu des moyens déployés par l'UMP contre lui - au point de préférer laisser la ville à la gauche !

27/03/08 - ProMoDem
Bonjour,

Le Groupe de réflexion ProMoDem organise une réunion de dialogue sur le thème suivant : pouvons-nous faire de la politique autrement grâce au Mouvement Démocrate ?

Jeudi 27 Mars 2008 à 20 heures
Réunion du groupe ProMoDem

26 rue Daniel Argote - Quartier Saint Esprit

à Bayonne

N'hésitez pas à convier à cette réunion les nouveaux adhérents ou sympathisants du Mouvement Démocrate de votre entourage.

A+

BGR : MoDem du Pays Basque (64)

rencontre interdépartementale

http://www.modem-canton-lavardac.com/article-20042720.html

31 mai 2008


François Bayrou et le mouvement départemental des Pyrénées-Atlantiques



Ce sont près de 300 personnes, venues de tout le département des Pyrénées Atlantiques -mais aussi des départements voisins-, qui ont assisté à la réunion départementale du Modem organisée, à Salies-de-Béarn, dans la soirée du vendredi 30 mai.

Michel Veunac, délégué départemental, introduisit la réunion en rappelant que nous sommes près de 1500 adhérents à jour de cotisation. « Regarder vers l’avenir » fût le mot d’ordre de M. Veunac qui annonça le programme de mise en place des instances départementales. Le mode de scrutin et l’organisation vont être décidées par le bureau départemental provisoire. C’est en principe le samedi 27 septembre (date à confirmer) que seront organisées -dans tous les départements- les élections de la présidence et des conseils départementaux. Il a été décidé de la mise en place d’une présidence collégiale, garante de la représentativité de tous les courants existants.






L’arrivée de François Bayrou, président du Mouvement Démocrate 64, fût forcément applaudie. M. Bayrou détailla rapidement le planning à venir de l’organisation interne. Il invita ceux qui le voulaient à assister, le dimanche 08 juin, à Paris, à la Journée de l’Europe à laquelle se joindra Eva Joly, la célèbre magistrate française d’origine norvégienne. « Le début de la réflexion sur l’Europe » précisa François Bayrou en référence aux prochaines élections européennes de juin 2009. En réponse à des questions du public, notre Président indiqua que nous sommes 60 000 adhérents au Mouvement Démocrate auxquels il fallait ajouter les adhérents de l’UDF. Preuve de la popularité constante de notre mouvement.



Ensuite, François Bayrou se lança dans un discours improvisé de politique générale. C’est bien là le privilège d’avoir M. Bayrou comme président de son mouvement départemental. Ce fût évidement passionnant. Guerre des chefs à gauche et divisions de la droite, ce n’est pas cela qui va amener des solutions aux problèmes du monde. « Quel modèle de Mondialisation ? Voilà la question fondamentale » lança François Bayrou. La crise du pétrole, les émeutes de la faim ou bien l’urgence climatique demandent d’autres réponses et exige un modèle de société différent.





Notre troisième homme de la Présidentielle (et on espère premier pour la prochaine…) développa une théorie en quatre points. Est-ce l’annonce d’un futur programme ? L’avenir nous le dira. Quoi qu’il en soit, François Bayrou parla de « durable » (environnement, dette), de « créativité économique », de « social et d’humanisme » (solidarité, culture, éducation) et « d’Europe ».



Un débat avec le public fût ensuite lancé. Beaucoup de thèmes furent abordés comme la laïcité, les 35H00 -« un choix politique mal inspiré » selon F. Bayrou-, les institutions et la démocratie, le problème des grandes surfaces ou encore le moral des Français que la mise en place des deux emplois sans charge (proposition de la dernière présidentielle) pourrais bien améliorer.







Après François Bayrou, Jean Lassalle nous tint un beau discours. Homme de cœur et belle âme, M. Lassalle démontra encore son humour et son bon sens. C’est un vrai honneur de le compter dans nos rangs.

François Bayrou reprit la parole pour conclure en annonçant aux adhérents qu’ils allaient recevoir, courant juin, un questionnaire leur demandant -entre autres choses- quel groupe de travail ils aimeraient rejoindre et quelle seront leurs disponibilités.

Fin des débats et ce fut alors le moment de se retrouver autour d’un buffet campagnard fort convivial où de nombreux échanges furent noués.



Compte-rendu et photos : VB

En photo, de haut en bas :

M. Bayrou devant un auditoire de 300 personnes un peu à l’étroit dans cette salle…

Michel Veunac, délégué départemental, et François Bayrou.

Jean Lassalle, notre « supplément d’âme ».



http://www.modempaysbasque.fr/mouvement_dmocrate_pays_b/2008/05/franois-bayrou.html

04 juillet 2008


09/07/08 - Biarritz

Mercredi 9 Juillet 2008 à 18 heures 30

Conférence - Débat
Les enjeux de la présidence française de l’Union Européenne

Maison des Associations
2 rue Darritchon
à Biarritz

BGR : MoDem du Pays Basque (64)



http://bgr.hautetfort.com/archive/2008/07/04/09-07-08-biarritz.html

Capitaliste ou socialiste ?


Vendredi 18 Juillet 2008 - 00:18



A droite toute chez les élus du Parti Socialiste des Pyrénées Atlantiques (64)


Les Maires PS et UMP du 64 se sont alliés pour enlever au MODEM la présidence de l'Association des maires des Pyrénées Atlantiques détenue jusqu'ici par Jean LASSALLE Maire de Lourdios et député du parti de F. BAYROU. Désormais, les amis de SARKOZY et ceux de HOLLANDE se partageront la Présidence de cette association. La bataille continue entre PS et MODEM qui vient de perdre son allié de toujours dans la gestion des affaires départementales : l'UMP .

D'autre part, est organisée à NAY, vendredi 25 juillet, une réunion d'élus de la Communauté de Communes présidée par le Conseiller Général PS par ailleurs Maire de LAGOS ( élu Sans Etiquette (sic) et président de la Communauté de Communes de la Vath Vielha.



DAVID HABIB député PS des Pyrénées Atlantiques et Maire de MOURENX viendra expliquer la "nécessité" de déléguer (comme il l'a fait dans sa ville) la gestion du Service Public de la nouvelle piscine communautaire : c'est à dire d'en confier la gestion au Privé. Les syndicats se sont déjà prononcé contre ce projet.

Rappelons que les socialistes locaux sont coutumiers de telles pratiques contraires aux intérêts des usagers avec par exemple l'eau potable donnée à la SAUR de la source au robinet sur tout le Nord-Est du département. Sarkozy n'a aucun souci à se faire dans les Pyrénées-Atlantiques au sujet sa politique de privatisation des Services Publics et de précarisation des salariés, la Gauche l'accompagne.

http://www.editoweb.eu/nicolas_maury/Capitaliste-ou-socialiste-_a1958.html

Les militants du Mouvement démocrate de la quatrième circonscription préparent les prochaines échéances électorales. En se structurant,

Le Modem s'organise :

Une « forte demande des militants » les a poussés à se structurer. Le Mouvement démocrate de la quatrième circonscription sera en ordre de marche pour les prochaines échéances électorales. Non pour les européennes que ces centristes laissent à leurs leaders nationaux. Mais ils préparent déjà le terrain pour les prochaines élections régionales et cantonales.
Un nouveau secrétaire.
« Alain Sanz est devenu le secrétaire de cette circonscription pour notre mouvement », rappelle Patrick Quinquis, porte-parole locale du parti de François Bayrou et de Jean Lassalle. « Nous avons des délégués dans chacun des 15 cantons de cette grande circonscription. Et s'il y a eu un flot de départs dans les anciens UDF, nous avons eu un apport de jeunes et nouveaux militants après les présidentielles et les législatives », poursuit Alain Sanz, par ailleurs maire de Rébénacq et vice-président de l'association des maires des Pyrénées-Atlantiques.
Une association-support.
Le Modem de la quatrième revendique 55 adhérents et le double de sympathisants. Un noyau sur lequel il pourra s'appuyer. « Nous avons déjà fait une quinzaine de réunions. Lors de la dernière, nous avons créé l'association baptisée « Modem4-64 tempérament combattant », tout simplement parce que nous avons un député combatif. Et notre bureau politique se réunit une fois par mois à Oloron. »
Provisoirement hébergé dans la permanence de leur chef de file Jean Lassalle, les militants centristes espèrent pouvoir bientôt disposer de leur propre local, afin d'avoir une vitrine en ville.
« Le bureau départemental, compte 104 membres en tout. La quatrième en a 12, dont 9 qui sont élus à la conférence nationale du parti, ce qui fait une représentation non négligeable au niveau départemental et au niveau national », souligne Patrick Quinquis.
Le secrétaire et le porte-parole n'éludent aucune question sur les prochaines échéances. « Aux cantonales, nous aurons un candidat partout, c'est certain. Soit un conseiller général sortant de notre famille ou proche de nous que nous soutiendrons, soit un nouveau candidat », assurent-ils.
André Labarthe, ex-secrétaire de la circonscription pourrait-il être ce représentant du Modem ? Alain Sanz et Patrick Quinquis disent ne pas exclure cette possibilité. « Il a payé sa cotisation », affirment-ils, tout en regrettant le choix personnel fait par leur ancien « patron » lors des municipales oloronaises. « Nous, on a toujours dit qu'on ne prenait position ni pour Uthurry ni pour Lucbéreilh », insistent-ils.
Cantonales et régionales.
Alors qui ? Le libraire et papetier Bernard Roumilly a déjà claqué la porte, déçu par la place qu'on lui laissait (lire notre édition du 24 septembre). Patrick Quinquis lui-même ? Le praticien du centre hospitalier d'Oloron ne dit pas non. Mais la route est encore longue d'ici à ces échéances de 2010. « Ça peut-être quelqu'un d'autre. Il faut deux qualités essentielles : survivre politiquement et être patient », glisse le porte-parole.
Quant aux régionales, un duel Lassalle-Rousset plairait bien à ces deux hommes. « Ça aurait du panache ! », pensent-ils.

http://www.sudouest.com/bearn/actualite/oloronnais/article/388012/mil/3317306.html

RESULTATS DES ELECTIONS DEPARTEMENTALES 2008 - PYRENEES ATLANTIQUES

Présidence collégiale			Conseil départemental (hors membres de droit)
François	BAYROU		104 élu(e)s liste Philippe ARRAOU
Jean	LASSALLE
Jean-Jacques	LASSERRE
Florence	LASSERRE
Josy	POUEYTO
Denise	SAINT PE
Juliette	SEGUELA

Un nouveau site internet MoDem dans les Pyrénées Atlantiques :

http://www.modem-pau-pyrenees.fr/

Jean Lassalle pas invité à la réunion du Pays

Le Modem Jean Lassalle n'a pas apprécié de ne pas être invité, hier, à la réunion du Pays d'Oloron et du haut Béarn présidé par le socialiste Jean-Pierre Domecq.

À l'ordre du jour : la future charte du Parc national des Pyrénées. La situation a été débattue en présence d'élus locaux et du directeur du parc.

Manipulation
Jean Lassalle, par ailleurs président de l'Institution patrimoniale du Haut Béarn (IPHB), maire de Lourdios et conseiller général d'Accous, s'interroge sur la légitimité d'une telle rencontre : « Le Pays n'est pas concerné par le parc. Il est manipulé. Ce sont les communes qui sont touchées. Je suis désolé que les pressions politiques conduisent des fonctionnaires à devenir des pieds nickelés. Tout cela augure mal les travaux à venir ».
La réforme en cours du parc national doit, en effet, déboucher, « après concertation » avec les territoires sur une nouvelle charte.

http://www.sudouest.com/bearn/actualite/article/501885/mil/4171330.html

Sud-Ouest 16 février Jean Lassalle encerclé

HAUT BÉARN. Le président de l'Institution patrimoniale fait face à plusieurs tentatives de déstabilisation

«Je n'ai rien demandé. Mais cela fait plaisir », déclarait le député maire de Lourdios Modem, Jean Lassalle, à propos de sa décoration par la fille adoptive de Jacques Chirac. Anh Dao Traxel lui a en effet remis en effet la médaille du dévouement civil et militaire (lire par ailleurs). Un moment de répit.
Ces derniers temps, il se concentre surtout pour éviter les coups de poignard dans le dos. Sans oublier de jeter quelques peaux de bananes sous les pas de ses adversaires.
Son conflit avec Alain Rousset ? Le président socialiste de la région Aquitaine active ses relais en Aspe et dans le piémont, pour ne jamais manquer l'occasion d'un croche-pied. Quant aux porte-flingues de l'UMP, ils veulent toujours sa peau.
Ses relations aigres douces avec l'État et ses services ne manquent pas non plus de sel. La dernière illustration vient d'être donnée dans la perspective du bouclage de la réforme du Parc national. Jeudi, il a condamné « ces fonctionnaires qui se comportent comme des Pieds Nickelés ».
Des brèches
Mais c'est au sein de l'Institution patrimoniale du haut Béarn (IPHB) qu'il préside que de nouvelles brèches se sont ouvertes. On se rappelle qu'Etsaut, Cette-Eygun ou Accous n'ont pas voulu, l'année dernière, augmenter leur participation au budget. On se souvient aussi du conflit larvé avec ses amis de la Gaule aspoise à propos d'un financement lié à l'entretien du gave. Mais nul n'a su que Jean Lassalle s'est fait déborder sur sa gauche en décembre dernier. Dans les vallées, les mauvaises langues ne se gênent pas pour faire circuler l'information.
Un certain nombre d'élus ont créé un incident au moment de se pencher sur le vote de l'augmentation des revenus de trois salariés de l'IPHB. La discussion s'est terminée par une prise de bec sur le coût de l'emploi du directeur, Didier Hervé, le fidèle lieutenant. À l'évidence, Jean Lassalle n'avait pas anticipé le coup. Il avait été contraint de clore les débats en repoussant la question à un prochain ordre du jour.
Agitation
Le contre-feu est venu à l'occasion des voeux à l'Institution. Une première qui a eu lieu... début février. Il en avait profité pour faire passer quelques messages indirects aux ennemis de l'intérieur.
Une simple anecdote ? Pas sûr. L'IPHB prépare, en effet, son budget 2009 dans des conditions difficiles. La Région ne lui fera pas de cadeaux. Et l'État ?
« L'Institution n'est pas consolidée. Le débat sur ses missions n'a toujours pas été organisé. A ce sujet, nous devions avoir une réunion avec le préfet qui n'a pas eu lieu », répond François Maïtia, le vice-président du Conseil régional. « L'IPHB est un outil utile pour le pastoralisme où la forêt et la Région joue son rôle. Pour d'autres sujets, il existe des communes, des intercommunalités ou le pays d'Oloron. La tentation de Jean Lassalle est forte d'occuper tous les terrains sur tous les champs possibles. Son agitation est superflue. C'est aussi le cas au sein du conseil d'administration du Parc national où il est isolé ».
Donneurs de leçons
« L'Institution et son président sont la cible de plusieurs batteries de canons », reconnaît Jean Lassalle. « Certains expriment les voix du territoire. D'autres, celles d'en haut. Mais enfin, qui se remue le cul autant que moi ici ? » Il égrène ses résultats : « Toyal, les usines d'Arudy et l'Abri montagnard sont toujours là. Menacée, la station d'Artouste est encore ouverte. La déviation de Bedous sera inaugurée en juin. Nous avons créé 400 emplois en Barétous et sauvé les emplois de la clinique d'Oloron. Partout en France, je suis reconnu comme le défenseur de l'expression des campagnes. Je crois que beaucoup de donneurs de leçons ne traversent pas en ce moment des périodes plus heureuses. » Faut-il y voir un clin d'oeil à l'actualité sociale du bassin de Lacq ?

http://www.sudouest.com/bearn/actualite/article/504362/mil/4182097.html

Sud-Ouest 7 avril Bayrou sur le tard

CELANESE À PARDIES. Le député des Pyrénées-Atlantiques est venu hier soutenir les ouvriers de l'usine
A peine François Bayrou pose-t-il le pied sur le parking de Celanese, à Pardies, qu'Hervé, employé à l'usine, l'interpelle en béarnais. « Je lui ai demandé pourquoi, lui, si attaché au Béarn, n'était pas venu nous voir dimanche alors qu'il était à la manifestation pour l'occitan, à Pau, la veille ! »
Réponse de l'intéressé : « Dimanche, j'avais envoyé Jean Lassalle pour me représenter car j'étais empêché. Par ailleurs, depuis le début, je me suis informé dans la presse. Et puis je ne veux pas marcher sur les plates-bandes de David Habid. Ici, ce n'est pas ma circonscription. »
Colles sur colles
Passé cet accueil un peu rude, le député Modem s'inquiète des pistes de reprises auprès d'Alain Masse, représentant CGT des salariés, qui tente de répondre. « Nous avons vu dans la presse les noms de Rhodia et BASF. Rhodia semble en difficulté, BASF peut être la piste la plus sérieuse dans la mesure où on a eu des productions et des brevets ensemble. C'est vrai que nous avons besoin de savoir », répond le secrétaire du CE.
Apparemment, François Bayrou, ancien prof de lettres, n'a pas bien révisé. « Quelle est votre production ? Que vous disent les dirigeants du groupe ? Combien de fabricants d'acide acétique en France ? »
Les salariés répondent, conscients que l'homme à l'envergure présidentielle ne peut pas tout savoir et, visiblement, ne peut pas tout lire.
Un salarié, le casque sur la tête, lui demande quelles solutions il peut apporter. « Il n'y a pas de solution baguette magique. J'en ai trop entendu des voeux pieux, des paroles... Moi, j'ai une idée. Une entreprise ne devrait pas s'opposer à la reprise d'une unité. Quand vous fermez une usine, elle doit pouvoir être reprise sans que vous vous y opposiez. Je suis en train de travailler sur une proposition de loi. On ne peut pas faire cela par un décret. »
L'association capital-travail
Par ailleurs, le député de Pau estime qu'il faut « soutenir l'idée d'un repreneur auprès du préfet, des élus locaux, pour une reprise envisagée, mettre toute l'assistance qu'il faut pour y arriver. »
Pierre Cangrand, de la CFDT Celanese, veut aller plus loin : « Va-t-on trouver des hommes politiques courageux pour mettre un coup de canif dans le privé. Mettre un minimum de règles ! »
François Bayrou affirme, dans un rire, qu'il ne supprimera pas la propriété privée, mais qu'effectivement « une entreprise n'est pas que le capital. C'est l'association capital-travail, c'est l'intérêt général de l'entreprise, c'est pour cela que je suis contre les stock-options. »
Le député s'intéresse ensuite aux grévistes de la faim tournante, allongés dans le local CGT, après avoir botté en touche quand on lui a demandé de payer de sa personne dans cette grève de la faim.
Cette visite du député, accompagné de la conseillère générale Josy Poeyto et de deux représentants locaux du Modem, aura de toute façon été utile. C'est l'avis d'Alain Masse. « On est favorable à la venue d'hommes politiques majeurs pour intervenir sur notre situation. Tous ces gens peuvent nous aider. »
Quant à Jérôme, jeune mécanicien à Celanese, qui cumule déjà neuf ans d'ancienneté, il l'apostrophe : « Je vous remercie. Battez-vous pour nous, mais il ne faut pas que ce soit des paroles en l'air ! »

http://www.sudouest.com/bearn/actualite/article/552873/mil/4375496.html

Sud-Ouest 6 avril Le Modem se veut « très conquérant »

POLITIQUE. Le pôle d'Orthez, né il y a deux mois, profite des élections européennes pour créer une dynamique d'implantation
Il y a de l'offensive dans l'air. En ces temps où les échéances électorales pointent à l'horizon, le Modem profite de cette émulation pour créer une dynamique d'implantation plus forte. Le parti, qui a structuré son bureau départemental le 31 janvier dernier, a, dans ses séances du 20 février et du 7 mars, consacré la mise en place de pôles d'animation et de coordination.
Le pôle d'Orthez - qui regroupe les cantons d'Arthez-de-Béarn, Arzacq, Lagor, Lasseube, Monein, Orthez et Salies-de-Béarn - s'est réuni pour la première fois, vendredi soir, à l'initiative de Bernard Cazenave, son coordinateur, par ailleurs élu d'opposition à Orthez.
Une voix singulière
Un taux de participation « de 30 à 35 % », une moyenne d'âge plutôt jeune avec notamment deux recrues de 16 et 20 ans... Bernard Cazenave voit là le premier pas d'une « démarche très conquérante » par laquelle le parti compte gommer un peu de ce rose omniprésent en Ouest Béarn.
Première arme à affûter : la communication. En projet, un local pour organiser les réunions d'animation (« si les ressources financières le permettent ») mais aussi un plan de bataille qui passera par le Net. Dès cette semaine, le pôle d'Orthez activera son blog avant de se doter d'un site Internet. Il créera enfin un véritable « bureau politique » où chacun sera investi de missions particulières.
Un appel à Thierry Issartel ?
Bernard Cazenave n'exclut d'ailleurs pas d'aller taper à la porte de Thierry Issartel, pour le solliciter « en tant qu'expert. C'est une dimension dont nous avons besoin et ce serait une richesse pour nous de l'avoir dans le groupe. »
L'objectif pour le Modem : se développer « comme entité », s'affirmer comme « une voix singulière », se défaire des alliances dans lesquelles on l'englue volontiers.
Un challenge, pour le pôle d'Orthez, qui fait un peu office de dernier de la classe, comparé aux trois autres pôles « très représentés » dans le département. Mais les combats difficiles n'en sont que plus stimulants.
« Nous ne sommes pas là pour faire de la figuration mais pour développer nos idées, donner notre avis, essayer de convaincre les gens de nous mettre aux manettes », confirme Bernard Cazenave. Certes, il manque, pour le moment, au pôle d'Orthez « une grosse locomotive », « un député à la dimension de tribun... »
Mais Bernard Cazenave est confiant. « Il va falloir que l'on crée notre propre style. On va y arriver. J'ai trouvé des gens plutôt bien disposés. »

http://www.sudouest.com/bearn/actualite/orthez/article/551999/mil/4370333.html

François Bayrou à Salies

« Ici, il y a un boulevard pour le Modem »