[Sarkozyland] Toutes les déclarations, critiques, bourdes (chapitre 3)

Jean-Luc a écrit:

Vous savez ce que Jean-François Kahn nous a appris, hier soir ?

Il existe en ce moment à l'Élysée une équipe, officiellement qualifiée de "cellule de crise", dont la mission est de... travailler à la promotion du CD de Carla !

...donc, hélas, aux frais du contribuable !

C'était bien la peine de critiquer Mitterrand qui a élevé Mazarine aux frais du contribuable.

Toujours dans le sujet : Sarkozy devient l'agent de Bruni…

Ce que Nicolas Sarkozy a balancé à la face de Duhamel.
Mercredi, 25. Ju, 2008 - 06:42:07
http://blogs.lexpress.fr/media/


Dans quelle république bananière vivons-nous? Nicolas Sarkozy vient de se distinguer, à nouveau, en administrant, publiquement, une volée de bois vert au patron des programmes de France Télévisions, Patrice Duhamel, comme aucun de ses prédécesseurs à l’Elysée ne l’avait fait à ce jour? Ni Mitterrand, ni Chirac et pas même Giscard n’ont été aussi loin dans l’agression.
Lors d’une banale remise de décoration, le 17 juin dernier, le chef de l’Etat a alpagué Duhamel et lui a passé un savon, qui a laissé pantois le petit cercle d’invités qui assistaient à la scène. Tout y passé: l’incurie des chaînes publiques, leur mauvaise gestion, l’embauche de Julien Courbet…

Nicolas Sarkozy a également reproché à Duhamel ne pas avoir diffusé le récent match de football France-Italie, une rencontre que ne pouvait pas retransmettre France Télévisions, puisque les droits de ce championnat d’Europe appartiennent à TF1 et M6 ! Première bévue.

Autre salve et seconde bourde du locataire de l’Elysée: toisant Duhamel, il lui a demandé que figurent, désormais, dans les contrats signés avec les animateurs et producteurs des clauses d’audiences. Or celles-ci existent déjà depuis des années!

Indépendamment du caractère choquant et insultant de ce type d’interventions, la sortie de Nicolas Sarkozy, (dont la véhémence des propos a scandalisé l’assistance), en dit long sur le peu de cas qu’il semble faire de France Télévisions. Ainsi que de la méconnaissance totale qu’il a de ce groupe.
Et on ne peut pas dire que les cols blancs qui l’entourent et l’éclairent sur les questions audiovisuelles soient vraiment au niveau. Mal informé, mal entouré et décidé (je l’ai écrit dix fois), à faire plier Patrick de Carolis et Patrice Duhamel, dont il souhaite les départs, Nicolas Sarkozy ne se maîtrise plus. Îl ne se passe plus une semaine sans un clash.

L’incident est d’autant plus significatif qu’il intervient à quelques jours de la remise en grandes pompes, à l’Elysée, du rapport Copé, dont on se demande bien à quoi il va servir avec une telle toile de fond.
Quand mercredi prochain, le patron du groupe UMP à l’Assemblée franchira, avec ce qui reste de sa commission, les grilles du Château, il aura devant lui un Nicolas Sarkozy qui devrait prononcer un discours. Faut-il s’attendre à un passage au Kärcher de France Télévisions ? Ou un discours en demi-teintes, destiné à calmer le jeu, l’espace d’une cérémonie protocolaire? Face à une presse qui s’inquiète de ces intrusions à répétition, Nicolas Sarkozy, qui a fait de TF1 son pied-à-terre et de France Télévisions sa bête noire, semble être décidé à 'aller à l'affrontement. L'été sera chaud.
NB: Patrice Duhamel, quant à lui, n'a pas souhaité commenter l'incident.

[quote="libre"


Sarkozy devient l'agent de Bruni…[/quote]

Starkos manager-producteur ? On avait déja un tableau d'enfer, avec Céline et René !! ( en plus, je trouve que ça fait maq***).

juju41 a écrit:

Ce que Nicolas Sarkozy a balancé à la face de Duhamel.
Mercredi, 25. Ju, 2008 - 06:42:07
http://blogs.lexpress.fr/media/


Dans quelle république bananière vivons-nous? Nicolas Sarkozy vient de se distinguer, à nouveau, en administrant, publiquement, une volée de bois vert au patron des programmes de France Télévisions, Patrice Duhamel, comme aucun de ses prédécesseurs à l’Elysée ne l’avait fait à ce jour? Ni Mitterrand, ni Chirac et pas même Giscard n’ont été aussi loin dans l’agression.
Lors d’une banale remise de décoration, le 17 juin dernier, le chef de l’Etat a alpagué Duhamel et lui a passé un savon, qui a laissé pantois le petit cercle d’invités qui assistaient à la scène. Tout y passé: l’incurie des chaînes publiques, leur mauvaise gestion, l’embauche de Julien Courbet…

Nicolas Sarkozy a également reproché à Duhamel ne pas avoir diffusé le récent match de football France-Italie, une rencontre que ne pouvait pas retransmettre France Télévisions, puisque les droits de ce championnat d’Europe appartiennent à TF1 et M6 ! Première bévue.

Autre salve et seconde bourde du locataire de l’Elysée: toisant Duhamel, il lui a demandé que figurent, désormais, dans les contrats signés avec les animateurs et producteurs des clauses d’audiences. Or celles-ci existent déjà depuis des années!

Indépendamment du caractère choquant et insultant de ce type d’interventions, la sortie de Nicolas Sarkozy, (dont la véhémence des propos a scandalisé l’assistance), en dit long sur le peu de cas qu’il semble faire de France Télévisions. Ainsi que de la méconnaissance totale qu’il a de ce groupe.
Et on ne peut pas dire que les cols blancs qui l’entourent et l’éclairent sur les questions audiovisuelles soient vraiment au niveau. Mal informé, mal entouré et décidé (je l’ai écrit dix fois), à faire plier Patrick de Carolis et Patrice Duhamel, dont il souhaite les départs, Nicolas Sarkozy ne se maîtrise plus. Îl ne se passe plus une semaine sans un clash.

L’incident est d’autant plus significatif qu’il intervient à quelques jours de la remise en grandes pompes, à l’Elysée, du rapport Copé, dont on se demande bien à quoi il va servir avec une telle toile de fond.
Quand mercredi prochain, le patron du groupe UMP à l’Assemblée franchira, avec ce qui reste de sa commission, les grilles du Château, il aura devant lui un Nicolas Sarkozy qui devrait prononcer un discours. Faut-il s’attendre à un passage au Kärcher de France Télévisions ? Ou un discours en demi-teintes, destiné à calmer le jeu, l’espace d’une cérémonie protocolaire? Face à une presse qui s’inquiète de ces intrusions à répétition, Nicolas Sarkozy, qui a fait de TF1 son pied-à-terre et de France Télévisions sa bête noire, semble être décidé à 'aller à l'affrontement. L'été sera chaud.
NB: Patrice Duhamel, quant à lui, n'a pas souhaité commenter l'incident.

Attention ! La semaine prochaine Nicolas Sarkozy découvre le feu et dans la foulée invente la roue.
Quoi ? Ca existe déjà ? Ah bon ?

Sérieusement comment peut-on étaler tant d'incompétence ou d'ignorance à la place où il est ? C'est grave quand même.

En attendant, il a fait une nouvelle boulette.

Source : TV5.org

L'Elysée offre des cravates aux]députés... y compris les femmes L'Elysée a envoyé aux 577 députés une mallette pour marquer la présidence française de l'Union européenne, une attention moyennement appréciée, surtout par les femmes de l'opposition, qui ironisent sur la présence d'une cravate dans le cadeau du chef de l'Etat.

On cherche vraiment comment jeter l'argent par les fenêtres ... Fallait pas louper cette occasion ...

L'article consacré à Duhamel a curieusement été retiré du blog de l'express. Un faute d'inattention, sans doute...

je l'ai récupéré chez Ségolène...

Aprés vérification plus approfondi, l'info est en fait à la date du 21 juin. Méa Culpa.

Oui, mais c'est seulement aujourd'hui qu'elle a été diffusée au JT de 13 heures de France 2.

FRANCE-PALESTINE • "Merci, Monsieur Sarkozy !"

Unanime, la presse de Ramallah a salué le discours à la Knesset de Nicolas Sarkozy, qui réclamait la création d'un Etat palestinien, la fin de la colonisation et la transformation de Jérusalem en capitale de deux Etats.


Même si la comparaison met en balance les déclarations d'intention françaises et la pratique concrète américaine, on peut dire que la politique méditerranéenne de la France a plus de succès que la politique mondiale des Etats-Unis et que la politique européenne de la France a plus de succès que celle de la Grande-Bretagne. Nous, Méditerranéens arabes et plus précisément Palestiniens, nous voudrions que l'Amérique nous parle le langage politique européen et que l'Europe nous parle le langage politique français. Souhaitons donc la bienvenue à M. Sarkozy et à Mme Carla comme nous l'avions fait pour M. Chirac, le premier grand président qui était venu en visite officielle en Palestine.

La France, plus que n'importe quel autre pays européen, a fait de la Palestine une "affaire d'Etat", depuis le président Mitterrand qui a reçu notre président Arafat à l'Elysée et De Gaulle et sa fameuse mise en garde à Israël après l'incroyable victoire de 1967, en disant que la France, peuple des écrivains, avait le devoir de dénoncer la vanité et l'arrogance. Qu'elle soit gaulliste, socialiste ou de droite, c'est la France qui dirige la politique proche-orientale de l'Europe. Parfois, elle penche vers Israël, parfois vers les Arabes et les Palestiniens.

Du triangle Israël-Liban-Palestine, Sarkozy voudrait faire un carré en y incluant la Syrie. Il voudrait que la France soit considérée comme un ami sur la côte Est de la Méditerranée, comme elle l'est d'ores et déjà sur la rive Sud, de l'Egypte au Maroc en passant par la querelleuse Libye. Car, depuis la fin de la guerre froide, on dit souvent que les intérêts doivent primer sur l'idéologie, conformément à la théorie de Winston Churchill selon lequel il n'y a ni amis, ni ennemis permanents mais seulement des intérêts. La France, gaulliste, socialiste ou de droite, a appliqué cette théorie, en y ajoutant une dose de justice et de morale.

C'est cela qui manque à la politique des autres pays européens, comme l'Allemagne, entravée par son complexe de culpabilité vis-à-vis des Juifs, ou même la Grande-Bretagne, maître de l'opportunisme en politique, attachée à sa fidélité éternelle aux Etats-Unis. La chancelière Angela Merkel et le président George Bush avaient rivalisé de louanges à l'occasion du soixantième anniversaire d'Israël, passant sous silence qu'Israël était le dernier Etat occupant de notre monde et qu'il ne pouvait être dissocié de la question palestinienne.

Mais M. Sarkozy a présenté un discours différent dès son arrivé à l'aéroport de Lod. Non seulement a-t-il souligné que la sécurité d'Israël était conditionnée par l'établissement d'un Etat palestinien, mais encore a-t-il dit que deux capitales pour deux Etats devaient cohabiter à Jérusalem et a-t-il dénoncé le prétexte de la "croissance naturelle" régulièrement avancé pour justifier l'extension des colonies. De plus, il a respecté l'équilibre en faisant deux visites, en Israël et en Palestine, tandis que Merkel et Bush s'étaient contentés de discours prosionistes devant la Knesset.

Nous savons que la France de Sarkozy a cessé de tenir tête aux Américains et qu'elle a réintégré le commandement militaire de l'OTAN. Elle a le droit d'être l'amie de tout le monde et de défendre ses intérêts partout, sans renoncer à son hostilité foncière envers les mouvements fondamentalistes, en tant que premier pays laïc du monde. En 1967, De Gaulle avait mis en garde Ben Gourion contre les risques de l'arrogance. Aujourd'hui, Sarkozy met en garde les Israéliens contre le risque de ne pas comprendre que leur sécurité est conditionnée par la liberté des Palestiniens. Autrement dit, qu'il faut libérer Israël de son occupation des Palestiniens.

Hassan Al-Batal
Al-Ayyam

http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=87121

Citation :

Al-Ayyam
http://www.al-ayyam.com
le journal
Fondé en 1995, “Les Jours” est le premier quotidien palestinien de Ramallah et est perçu comme le journal des intellectuels palestiniens modérés. Ses éditorialistes sont souvent bien informés. Plusieurs de ses articles sont repris sur le site d’information Amin.

Prochainement sur vos écrans...
Par Eric Mandonnet, Vigogne Ludovic, mis à jour le 26/06/2008 - publié le l'express 26/06/2008


Nicolas Sarkozy a tranché. Il expliquera les enjeux de la présidence française de l'Union européenne, qui débutera le 1er juillet, la veille, lors d'un 19-20 de France 3 exceptionnel. Pendant une heure, le chef de l'Etat sera interrogé (uniquement sur ce sujet) par les journalistes vedettes de la chaîne et par les rédacteurs en chef des stations régionales, en duplex. L'Elysée, qui s'est longtemps interrogé sur le meilleur moyen d'intéresser les Français aux questions européennes, pense avoir trouvé la bonne solution avec la carte régionale. Le chef de l'Etat pourrait, pour cet entretien, imiter François Mitterrand, qui, en 1993, se rendit dans les studios de la chaîne publique. Ce serait sa première interview télévisée en dehors du palais présidentiel depuis son élection. Le 27 mai, Nicolas Sarkozy s'était déjà déplacé dans les studios de RTL.

Bouygues, "c'est un frère"
Par Renaud Revel, mis à jour le 26/06/2008 - l'express
publié le 26/06/2008


L'histoire est fameuse: Nicolas et Martin sont intimes depuis 1983, quand l'un et l'autre, quasi inconnus, rêvaient de conquêtes. Le premier rongeait son frein à la mairie de Neuilly; le second, mal aimé du clan Bouygues, végétait au sein de l'empire, sans espoir d'en prendre un jour les rênes.

Au fil des ans, cette amitié de banlieusards de l'Ouest parisien a résisté à toutes les intempéries, et s'est même consolidée, chacun épaulant l'autre en cas de coup dur. "C'est un frère", clame le chef de l'Etat, bluffé par la manière dont son ami a métamorphosé le groupe depuis la mort de Francis.

Le tandem fonctionne comme une PME

Deux frères d'armes unis comme les deux doigts d'une main... Quand la justice se penche sur certaines pratiques en vogue au sein du groupe de BTP ou que, en décembre 1995, le juge Courroye place en garde à vue le "capitaine héritier", en pleine affaire Botton, Nicolas Sarkozy, déjà son avocat, vole à son secours.



Quand, à son tour, le maire de Neuilly tombe en disgrâce, après la défaite présidentielle d'Edouard Balladur, en 1995, c'est l'industriel qui, cette fois, répond présent: ses appartements sont grands ouverts à l'exilé de la politique. Posée sur la table, une boîte de chocolats attend Nicolas Sarkozy: ensemble, ils les dégustent, tout en refaisant le monde du business et des médias. Se jurant fidélité.

Nicolas a besoin de Martin et Martin de Nicolas. L'amitié est aussi affaire de famille. Martin Bouygues est le témoin de mariage de Cécilia et Nicolas Sarkozy. Il est également le parrain de Louis, le plus jeune fils du président. Si l'industriel est de toutes les fêtes intimes du politique, il est fréquemment arrivé à ce dernier de passer ses vacances sur un yacht, en compagnie du couple Bouygues, au large de la Corse ou de la Sardaigne.

Aussi les deux compères partagent-ils nombre de secrets et de confidences : Martin Bouygues est l'une des très rares personnalités auprès desquelles Nicolas Sarkozy ira s'épancher au moment de ses difficultés conjugales, durant l'été 2005, une période où l'on voit les deux compères déjeuner discrètement à Paris, en présence d'une jeune journaliste qui partage alors l'existence du ministre de l'Intérieur...

Pas un jour sans que les deux hommes se parlent, pas une semaine sans qu'ils se voient. Le tandem fonctionne comme une PME. Combien de fois Nicolas Sarkozy a-t-il appelé Martin Bouygues, court-circuitant l'état-major de la Une, afin de se faire inviter au journal de 20 heures?

Au nom de cette indéfectible amitié, Nicolas Sarkozy a lâché certains fidèles, comme Vincent Bolloré. En décembre 1997, l'industriel entre à la hussarde au capital de TF 1. Martin Bouygues sonne le tocsin et l'avocat d'affaires Nicolas Sarkozy déboule, installe les pare-feu et rédige le pacte d'actionnaires. Quatre mois durant, le maire de Neuilly ferraille au sein de la cellule de crise emmenée par l'avocat du groupe, Jean-Michel Darrois.

Martin, Nicolas... Ensemble, ils font plier un Vincent Bolloré... peu rancunier. En mai 2007, à peine élu, Nicolas Sarkozy prend quelques jours de repos à bord du Paloma, le yacht de celui qu'il a défait dix ans plus tôt ! En acceptant l'invitation de Bolloré, "Nicolas" blessera "Martin", qui n'a jamais pardonné à "Vincent" sa tentative de putsch. Et le mariage du propre fils de l'entrepreneur breton, Yannick Bolloré, avec l'une des nièces Bouygues n'y a rien changé : "MB" n'a même pas souhaité assister à la cérémonie.

(...)

Quand l'Elysée entérine les doléances de TF1

Maîtres dans l'art du lobbying, les dirigeants de TF 1 n'ont pas eu d'immenses efforts à produire pour faire valoir leurs arguments. Parmi leurs doléances, contenues dans un livre blanc adressé à l'Elysée, figuraient la suppression de la publicité sur les chaînes publiques et l'instauration d'une seconde coupure publicitaire dans les films et téléfilms. Deux mesures entérinées, comme par magie, par le locataire de l'Elysée...

L'élimination par la loi de l'un des principaux concurrents de TF 1, sur un marché dont la croissance patine, est un véritable coup de maître. L'axe Martin Bouygues-Nicolas Sarkozy demeure ainsi l'une des pierres angulaires du paysage télévisuel du pays.

Dans cette période pour le moins pittoresque, qui voit un industriel influer sur l'avenir de l'audiovisuel, en liaison avec un ami de trente ans devenu président de la République, la succession du PDG de France Télévisions, Patrick de Carolis, prend une tonalité particulière. L'homme qui le remplacera devra décrocher un double parrainage : celui du chef de l'Etat et celui de son principal concurrent, TF 1 ! Certains papabili ont déjà pris le chemin des bureaux de "MB"...

article intégral ici
http://www.lexpress.fr/actualite/media-people/media/bouygues-c-est-un-frere_516457.html

Une lettre d'amour grinçante pour Nicolas Sarkozy
L’écrivain Abdel Hafed Benotman vient d’écrire une lettre-ouverte à l’intention du Président de la République mise en ligne sur le site de Bibliobs. Une déclaration d’amour lourdement teintée d’ironie…
Sous couvert d’admiration à l’égard de toutes les actions entreprises par notre actuel président de la République, l’écrivain de nationalité algérienne (né en 1960 à Paris) rédige une cruelle attaque envers Nicolas Sarkozy.

Il revient dans cette lettre sur différents événements qui ont contribué à forger l’image actuel du président, notamment sur son intervention lors d’une prise d’otages restée célèbre. L’écrivain démontre tout le caractère factice du prétendu courage de Nicolas Sarkozy.

Abdel Hafed Benotman utilise tout au long de son texte, une ironie grinçante à l’image de celle d’un Montesquieu ou d’un Voltaire. Se donnant pour une fidèle admirateur du président, on lit plutôt tout le mépris qu’il peut avoir pour notre dirigeant actuel… Je vous laisse apprécier la lettre dans son intégralité chez nos confrères de Bibliobs.

la lettre
http://bibliobs.nouvelobs.com/blog/style-au-noir/mon-president-lettre-a-coeur-ouvert

http://www.actualitte.com/actualite/3109-lettre-ouverte-Nicolas-Sarkozy-Benotman.htm

Attention à tes copier-coller, Juju. On se retrouve avec tout le texte cliquable... sur le lien vers la photo de l'article copié !

Le lien vers la lettre est celui-ci :
http://bibliobs.nouvelobs.com/blog/style-au-noir/mon-president-lettre-a-coeur-ouvert

Fillon : la droite "a gagné la bataille idéologique"


NOUVELOBS.COM | 26.06.2008 | 17:35

"Depuis un an, sous l'impulsion de Nicolas Sarkozy, la France est en train d'accomplir une mutation culturelle (...) Nous sortons du relativisme culturel et moral que la gauche française des années 1980 avait diffusé dans le pays", a jugé le Premier ministre




http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/politique/20080626.OBS0244/fillon__la_droite_a_gagne_la_bataille_ideologique.html

libre a écrit:

Dans la famille Sarkozy, je voudrais le grand-père.

y'a k'à demander :

Citation :

Le père de Nicolas Sarkozy expose ses tableaux à Madrid
LEMONDE.FR avec AFP | 25.06.08 | 19h06 • Mis à jour le 25.06.08 | 19h33

AFP/PHILIPPE DESMAZES

Pal Sarkozy (à gauche) présente la peinture qu'il a faite de son fils
au maire de Madrid, Alberto Ruiz Gallardon, lors de l'ouverture de
l'exposition "Out of mind", le mercredi 25 juin.

Le maire a un air admiratif qui ne trompe pas. (esta muy, muy degueulasso! peut-on lire sur ses lèvres)

C'est... spécial... on va dire

RMC / Info / Politique

Sarkozy et Fillon au plus bas depuis mai 2007, selon LH2

Le 30/06/2008 à 13h06 GMT
PARIS (Reuters) - Le président Nicolas Sarkozy et le Premier ministre, François Fillon, atteignent leurs plus bas niveaux de popularité depuis l'élection présidentielle en mai 2007, selon un sondage LH2 pour nouvelobs.com.
Le chef de l'Etat perd deux points en un mois à 34% d'opinions positives et le Premier ministre un point à 45%.
A l'inverse, 59% des sondés ont une opinion négative du président de la République, dont 31% une opinion "très négative" et 48% ont une opinion négative du chef du gouvernement (dont 19% "très négative").
Le sondage, diffusé lundi, a été réalisé les 27 et 28 juin par téléphone auprès d'un échantillon de 999 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Le "Prince Jean": sur Le Monde, il a droit à une interview video

Il a déjà plus de place que Bayrou, le fiston à son papa.

Nous avons droit à sa bonne parole, à ses "réflexions", et donc à pas mal de banalités (de la part de la journaliste aussi au niveau des questions). Ils vont bientôt tous crier "au petit génie" !

Télé-Sarko sur Le Monde aussi

Concernant Sarkozy Jr, je n'aurais qu'un mot :

CHUT !

Les images de Sarkozy en "off" avant son interview sur France 3

• Par Rue89 Marmite | 30/06/2008 | 21H29
  

Installé dans le studio du 19/20 à quelques minutes du début de son intervention, Nicolas Sarkozy est entre les mains des techniciens et maquilleuse de France 3. Face à lui, le directeur de l'information de la chaîne, Paul Nahon, et les trois journalistes Audrey Pulvar, Véronique Auger et Gérard Leclerc. L'ambiance est glaciale.
Un technicien vient mettre un micro au Président, qui le salue. Le technicien ne répond pas, ce qui choque Nicolas Sarkozy. Après s'être plaint de ce manque de politesse -"on n'est pas dans le service public, on est chez les manifestants"-, il finira par dire: "Ça va changer, là."
Ensuite, il plaisante sur la "placardisation" de Gérard Leclerc, qui est -avec Audrey Pulvar et d'autres présentateurs et rédacteurs en chef de France 3- l'un des signataires d'une tribune très critique sur la réforme en cours, publiée la semaine dernière dans Le Monde: "T'es resté combien de temps au placard?"
Juste avant que le son ne soit coupé depuis le studio, Nicolas Sarkozy s'assure que France 3 évoquera bien son déplacement du jour à Carcassonne. Paul Nahon lui répond que c'est prévu. Avant, pour plus de certitude, de donner un ordre dans son micro: "Donc on parlera de Carcassonne avec le Président après, hein? Yes! Parfait!"

pour la vidéeo
ici
http://www.rue89.com/2008/06/30/les-images-de-sarkozy-en-off-avant-son-interview-sur-france-3