[59] Nord

Pour info, il était prévu que je sois candidat aux cantonales pour le canton de Steenvoorde. Pour des raisons de problèmes personnels, j'ai préféré renoncer, mais heureusement...

http://modemsteenvoorde.hautetfort.com/

Citation :

Luc VAN INGHELANDT candidat pour la canton de Steenvoorde

Ce mardi 15 janvier, Luc VAN INGHELANDT a présenté sa candidature à la presse pour le canton de Steenvoorde en présence de Dominique HALLYNCK, Conseiller Général du Nord, responsable du MoDem pour la Flandre.

À noter toutefois que Luc aura fort à faire avec face à lui le conseiller sortant Jean-Marc Gosset (UMP).

La Voix du Nord 19 janvier Roubaix : logement et emploi au cœur du programme commun PS-MoDem

http://elections.lavoixdunord.fr/2008/01/19/roubaix-logement-et-emploi-au-coeur-du-programme-commun-ps-modem/

20 minutes 25 janvier Le candidat orange n'est pas un bleu (Tourcoing)

http://www.20minutes.fr/article/208560/Municipales-Lille-Le-candidat-orange-n-est-pas-un-bleu.php

La Voix du Nord 21 janvier Les ambitions pour Tourcoing de M. Van Tichelen et son équipe (1)

http://elections.lavoixdunord.fr/2008/01/21/les-ambitions-pour-tourcoing-de-m-van-tichelen-et-son-equipe-1/

La Voix du Nord 25 janvier Franz Quatreboeufs, candidat du MoDem à Douai : « Pas une liste d’opposition, mais de propositions »

http://elections.lavoixdunord.fr/2008/01/25/franz-quatreboeufs-candidat-du-modem-a-douai-%c2%ab-pas-une-liste-d%e2%80%99opposition-mais-de-propositions-%c2%bb/

La Voix du Nord 24 janvier Hem : Municipales : Madjid Bourabaa mènera une liste MoDem

http://elections.lavoixdunord.fr/2008/01/24/municipales-madjid-bourabaa-menera-une-liste-modem/

Nouvel Obs 26 janvier René Vandierendonck a voulu ouvrir la majorité municipale au MoDem qui comptera 30% de candidats au conseil municipal.

Le maire PS de Roubaix (Nord), René Vandierendonck, a présenté samedi 26 janvier la liste qu'il conduira aux élections municipales et qui comptera 40% de candidats PS, 30% du MoDem, 6% du PCF, 6% du PRG et 18% de la société civile. Les deux premières places de la liste "Roubaix, ensemble" seront occupées par René Vandierendonck et une autre socialiste, Fanny Bullaert, la troisième revenant à Arnaud Verspieren, conseiller municipal sortant MoDem qui menait une des trois listes présentes face à celle du maire en 2001 au second tour des municipales.
Les candidats, réunis pour une conférence de presse, n'ont pas donné plus de précision sur la répartition entre les différents partis des 53 places sur la liste.

La majorité s'ouvre au MoDem

"C'est une liste qui nous rassemble. Dès le premier tour de la présidentielle, j'ai indiqué très clairement qu'il fallait ouvrir la majorité municipale à une sensibilité politique que je connais bien grâce à mon histoire personnelle et qui est le centrisme devenu MoDem", a déclaré René Vandierendonck.
"La clarté de cet objectif a fait que nous avons pu, non pas procéder à des ralliements de circonstance, mais procéder à un véritable de travail d'analyse, de diagnostic, de projet avec le MoDem", a-t-il ajouté.

Les Verts abcents de la liste

"Si les Verts ne sont pas là, c'est qu'ils avaient refusé en leur temps une stratégie de travail en commun sur un projet que je leur avais proposé avant même les législatives dans le cadre d'un accord qui aurait concerné la 7e circonscription du Nord (Roubaix-Hem) et leur participation aux municipales", a précisé René Vandierendonck.
Lors des élections municipales de 2001, la liste qu'il menait l'avait emporté au deuxième tour avec 43,21% des voix, contre 34% à la liste d'union de la droite menée par René Verspieren, 14,42% pour la liste FN et 8,33% pour une liste divers droite.

http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/municipales_2008/20080126.OBS7298/une_liste_pspcfprgmodem_a_roubaix.html


La Voix du Nord 27 janvier Hem - « MoD’Hem », comme « mixité, ouverture et démocratie »
Entouré de quelques colistiers, Madjid Bourabaa, chef de file de la liste MoDem, la dernière à s’être déclarée, (notre édition de jeudi) a livré hier une esquisse de son programme. Et préciser le sens de sa démarche, qui se veut avant tout constructive.
Il y a quelques semaines, il n’était pas sûr de « rempiler ». Mais Richard Albisser, que Madjid Bourabaa connaissait depuis un moment, a convaincu le jeune élu de repartir pour la bataille des municipales. Cette fois pour le compte du « vrai centre, pas celui qui est satellisé à l’UMP », dixit Richard Albisser. Les adhérents du tout jeune parti le reconnaissent : ils ont été déboussolés dans la 7e circonscription quand Francis Vercamer « a choisi un autre chemin. Il y a eu un moment de flottement », dit Jérôme Meerseman, sympathisant UDF à l’époque. Le Mouvement démocrate est né, attirant vers le centre du sang neuf. Ne manquait qu’un meneur. La liste MoDem, fruit d’ambitions croisées, d’intérêts bien compris des uns et des autres ? Il le semble bien.

Dire que François Bayrou a voulu rendre la monnaie de sa pièce à Francis Vercamer, c’est « non avenu » , rectifie Madjid Bourabaa, en réponse aux commentaires des médias. « Nous nous inscrivons dans une démarche de construction, et non d’opposition. D’ailleurs, la première valeur que je partage avec François Bayrou, c’est le pragmatisme », assure ce trentenaire, marié et père d’un enfant, fiscaliste surdiplômé. Et pourtant… Quand il est sorti de l’université, Madjid Bourabaa a peiné à trouver un emploi. « À 24 ans, j’ai pris de plein fouet la discrimination ». C’est ce qui l’a poussé en 2001 à rejoindre l’initiative de Mohamed Kaddouche, aujourd’hui en 3e position sur la liste de gauche d’Alain Vantroys. « En six ans, nous avons construit nos convictions politiques. Sa démarche est respectable et légitime », poursuit celui qui préférerait parler davantage de son programme, bâti autour de trois axes. L’emploi et la formation, d’abord ; l’accès à la culture et au sport, vecteurs d’intégration ; et l’urbanisme, au service d’une vraie mixité sociale. Une proposition qui lui tient particulièrement à coeur : créer un poste spécifique à la mairie pour aider les créateurs d’entreprise à s’y retrouver dans le maquis administratif. « Faute de ça, il ne faut pas s’attendre à voir décoller la zone franche ! », assure le jeune Hémois, lié à sa ville par « une histoire intime. C’est mon grand-père, un sage, qui a été à l’origine des mosquées de Roubaix et d’Hem. Il serait fier de moi aujourd’hui… ». •
V. B.

http://elections.lavoixdunord.fr/2008/01/27/hem-%c2%ab-mod%e2%80%99hem-%c2%bb-comme-%c2%ab-mixite-ouverture-et-democratie-%c2%bb/


La Voix du Nord 27 janvier Liste du Modem à Hem - M. Kaddouche s’explique
Suite à la parution de notre article de jeudi sur la liste MoDem, Mohamed Kaddouche, qui faisait liste commune en 2001 avec Madjid Bourabaa, a tenu à s’exprimer.
Visiblement, le ver était dans le fruit… Mohamed Kaddouche l’avoue : il a été en désaccord avec Madjid Bourabaa pendant ce mandat lorsqu’il a voté le budget. « Il montrait ainsi son accord avec la municipalité. Ça n’était pas acceptable (…) Comme le disait la liste en 2001, “la Nouvelle gauche qui tente sa chance à droite”, aujourd’hui, il tente sa chance avec le MoDem. Il assume (…) Moi, je tente ma chance à gauche, la vraie, la nouvelle, avec Alain Vantroys, un homme de conviction et de valeur, qui écoute et qui fait avec les gens. » Cela dit, Mohamed Kaddouche estime mener le même combat que son ex- colistier, celui de « faire tomber le système Vercamer (…) Il continue à gérer une ville à deux vitesses : les quartiers pauvres encore plus pauvres ; les quartiers riches encore plus riches (…) Il faut construire ensemble et pour tous. Ça ne sert à rien de déshabiller Paul ou Hamed pour habiller Pierre ou Farid ». Et d’appeler déjà, pour en finir avec ce système, au rassemblement au deuxième tour…

http://elections.lavoixdunord.fr/2008/01/27/liste-du-modem-a-hem-m-kaddouche-s%e2%80%99explique/

La Voix du Nord 27 janvier A Berlaimont, Hervé Malaquin candidat MoDem aux cantonales
Le représentant du MoDem sur le canton de Berlaimont, Hervé Malaquin, a officiellement annoncé sa candidature samedi. Il dit s’inscrire « dans les pas » de M. Decavel et se présente comme le défenseur de la ruralité. Prêt à entrer « dans la bataille », il a critiqué l’action du conseiller général sortant Bernard Baudoux.
C’est Thierry Walemme, délégué départemental du MoDem sur la 22e circonscription, qui le premier a pris la parole dans la salle de la mairie de Berlaimont. Il a dressé le portrait du candidat MoDem sur le canton de Berlaimont. Un quadragénaire qui sert sa région « quotidiennement à Monceau-Saint-Waast » et à qui « le MoDem a décidé de faire confiance ». D’emblée, il a anticipé sur les éventuels détracteurs qui objecteraient qu’Hervé Malaquin n’exerce aucun mandat, arguant qu’il est, lui, « étranger (…) aux petits arrangements entre amis ». L’occasion toute trouvée de blâmer le candidat UMP « hors canton » Claude Dupont, maire de Boussières-sur-Sambre.
Revigoré par cet indéfectible soutien, Hervé Malaquin a donc solennellement annoncé son entrée « dans cette bataille pour l’avenir de notre canton ». Estimant que « la politique est l’outil indispensable pour servir », il a affirmé qu’il ferait connaître « le vrai visage » du canton et oeuvrerait pour « mettre de l’éthique dans l’aménagement du territoire ». A ce titre, il a fustigé le conseiller général sortant Bernard Baudoux qui « dispose d’une véritable force de frappe contre les communes rurales », qui « défend d’abord les intérêts de sa commune ».
Dans les pas de Christian Decavel
A contrario, le candidat MoDem a déclaré : « Je m’inscris dans les pas du docteur Christian Decavel », un homme qui, selon lui, servait les autres quelles que soient leurs opinions politiques. Hervé Malaquin s’est aussi présenté comme le défenseur des maires ruraux, de la ruralité et a estimé que « l’exode rural (avait été) sciemment mis en place et généré par les fonctionnalités nouvelles qu’offre Aulnoye ». Il a assuré qu’il veillerait au maintien des agriculteurs, à la préservation de leurs terres. Le tout en conciliant « les deux visages de ce canton ».
En outre, il souhaite « créer une conférence des forces vives », « une assemblée cantonale des très jeunes élus » et « une télévision de proximité ». Santé, protection de l’environnement, développement durable sont aussi au programme.
Hervé Malaquin s’est institué candidat d’une « alternative crédible ». Il a appelé au « vote d’adhésion » et promis qu’il mènerait une « campagne de proximité ». Avant de conclure : « L’heure est venue de combattre ». • B. F.

http://elections.lavoixdunord.fr/2008/01/27/a-berlaimont-herve-malaquin-candidat-modem-aux-cantonales/

Si la liste Modem l'emporte à Hem, le nom du futur journal municipal est tout trouvé : Le Mot d'Hem.

Si ce sont les bleus de droite qui gagnent, je leur suggère Hem at home.

Hem, Hem...

La Voix du Nord 28 janvier Boulogne-sur-Mer : Grégory Suslamare et le MoDem veulent « offrir une bouffée d’oxygène aux électeurs »

En 2001, à la tête d’une liste JEM (Jeunesse en mouvement), Grégory Suslamare avait capté près de 10 % des suffrages au premier tour des municipales, à la surprise générale. Sept ans plus tard, l’ancien lycéen a mûri. Son projet politique aussi. Après un détour du côté de Laurent Feutry, il s’estime aujourd’hui à 28 ans capable de porter un projet rassemblant des Boulonnais de toutes sensibilités, de toutes origines aussi.
PAR BERTRAND SPIERS

Changement d’ambiance vendredi soir dans cette brasserie près du port. À la place des conférences de presse plutôt figées et monolithiques de ces derniers jours, Grégory Suslamare a présenté son projet au sein d’une équipe que l’on a senti soudée et représentative des quartiers boulonnais.
Entouré par des personnalités aussi diverses qu’Annie et Michel Damboise (équipe Muselet), Richard Vincent (ancien adjoint de Guy Lengagne), Jean-Michel Dolléans (Muselet), la chanteuse Lucile… Grégory Suslamare a montré qu’il incarnait une alternative possible pour des Boulonnais lassés par le clivage gauche-droite actuel. En se revendiquant du MoDem, le mouvement de François Bayrou qui avait réalisé 14 % des suffrages au premier tour des présidentielles, l’ancien lycéen agitateur d’idées veut s’appuyer sur un socle de personnes déçues par le système politique actuel et qui espèrent une autre voie.
« Notre philosophie est d’écouter les gens. Les Boulonnais sont demandeurs, on ressent ici un besoin de la population d’être associée à la gouvernance municipale. Nous voulons être une force de propositions tout en restant ouverts aux idées, qu’elles soient de droite ou de gauche ».
Défendre une autre idée de la politique
Employé chez SeaFrance à Calais, Grégory Suslamare attendra le 21 février pour faire connaître sa liste. « D’ici là, on peut encore discuter avec la droite et la gauche », précise-t-il, tout en laissant pointer la possibilité d’une liste MoDem volant de ses propres ailes. « Car nous avons des choses à dire, nous aimons Boulogne et nous voulons faire des choses. Or, dit-il, la droite aujourd’hui divisée à Boulogne peine à définir un programme. Quant à la gauche, il y a beaucoup de choses qui bloquent (stade de football, salle de spectacles), et on ne comprend toujours pas pourquoi tout est verrouillé. La ville commence à bouger mais pas suffisamment à notre goût… »
Cela fait plus d’un an que son équipe invite régulièrement les Boulonnais à réfléchir à des aspects concrets : le commerce, le stationnement, la circulation, la propreté, l’animation, le sport, etc. De quoi jeter les bases d’un programme (www.boulognegagnante.com). « On va offrir une bouffée d’oxygène aux électeurs, montrer que l’on peut s’exprimer autrement que par le biais d’une bipolarisation classique… »
Avec Annie Damboise, qui a longtemps travaillé au cabinet de Jean Muselet lorsqu’il était maire, Grégory Suslamare veut rendre des couleurs à la ville mais également défendre une autre idée de la politique, plus participative, avec des conseils de quartier par exemple.

http://elections.lavoixdunord.fr/2008/01/28/gregory-suslamare-et-le-modem-veulent-%c2%aboffrir-une-bouffee-doxygene-aux-electeurs%c2%bb/

La Voix du Nord 28 janvier Dainville : une liste d’opposition conduite par Nicolas Blanchart (Modem)

On n’avait pas vu ça depuis longtemps, à Dainville… Il y aura une liste d’opposition lors des municipales des 9 et 16 mars. Nicolas Blanchart (Modem) a pris la tête de « Dainville en mouvement », suivi par Anne Revel, l’assistante parlementaire de Jean-Marie Vanlerenberghe. Faut-il préciser que cette liste a la bénédiction du sénateur-maire d’Arras et président de la CUA ?
Trente-cinq ans, père de deux enfants, Nicolas Blanchart est Lillois d’origine, mais Dainville est son berceau familial. Son grand-père tenait le café de la Patte d’oie, son oncle était conseiller municipal : « Et mon objectif a toujours été de revenir à Dainville », explique-t-il.
Pourquoi une liste d’opposition ?- « Bernard Quandalle arrêtant, il y a une opportunité de faire valoir notre projet pour la commune. Bernard Quandalle est quelqu’un que nous apprécions. Il faisait l’unanimité, ce qui est moins le cas de Françoise Rossignol ( NDLR : qui conduira la liste majoritaire). »
Sur quel projet ?- « La commune est dans une bonne situation, mais il y a des aspects à développer, notamment dans les services à la personne. Dainville, où le taux d’activité féminine est très élevé, a besoin d’une crèche. Une dizaine de places nous semble une bonne taille. Contrairement à ce que l’on croit, une crèche ne coûte pas cher à une commune. La CAF finance 80 % de l’investissement et 66 % du fonctionnement. »
Le métier de Nicolas Blanchart, dans une grande administration d’État, est justement d’aider au quotidien 533 communes d’Artois à développer leur politique petite enfance. « Je sais où aller chercher les financements et comment les ramener. Nous sommes d’ailleurs plusieurs, dans la liste, à avoir ce type de compétences. » Pour les jeunes, Nicolas Blanchart et ses colistiers verraient bien un centre d’animation jeunesse permanent en complément des centres de loisirs.
Pour les personnes âgées, de nombreux services, types repas à domicile, aide ménagère sont déjà disponibles : « Nous avons aussi un club des aînés d’un grand dynamisme, mais nous devons penser aux personnes qui ont perdu leur autonomie. Nous sommes plusieurs, dans la liste, à être confrontés à cette difficulté pour nos parents. Il faut que la commune recense les besoins, relaie la politique de la CUA sur Alzheimer, lutte contre l’isolement des non valides, facilite l’adaptation des logements… » D’une manière générale, Nicolas Blanchart pense que Dainville doit être plus offensif dans sa pêche aux financements : « Le taux de subvention a été, en 2005, de 12 E par Dainvillois alors que la moyenne des communes de taille équivalente est de 66 €. »
Les autres axes.- Au-delà de la solidarité, Dainville autrement veut promouvoir le respect de l’environnement via les services techniques et des actions pédagogiques dans les écoles ; veiller à la sécurité, notamment routière, dans une commune que l’on traverse beaucoup, et localiser les problèmes d’incivilité ou de petite délinquance ; développer le sport et la culture ; décliner la démocratie locale à travers la création de conseils municipaux des jeunes et des sages ainsi que d’un conseil de la vie associative. « Cette structure proposerait des formations aux bénévoles, aiderait les associations dans leurs recherches de financements. » Nicolas Blanchart lance pour finir une pierre dans le jardin de Françoise Rossignol : « Elle s’appuie sur son expérience de vice-présidente du conseil général. Nous y voyons plutôt un handicap. Aura-t-elle le temps de s’occuper des 126 collèges du Pas-de-Calais et d’une ville de 5 000 habitants ? »
FRANÇOISE TOURBE
> Sur la liste Dainville Autrement : Outre Nicolas Blanchart et Anne Revel, déjà cités, André Rosello, chef d’une entreprise de fruits et légumes ; Étienne Martinot, syndicaliste FO du CHA ; Jean-François Darras, qui travaille dans l’environnement ; Monique Legrand, cadre à la MSA et président d’une associaiton dainvilloise ; Hani Abdel-Malek, chirurgien au CHA ; Christian Beaumont, qui a déjà été conseiller municipal, etc.

http://elections.lavoixdunord.fr/2008/01/28/une-liste-dopposition-conduite-par-nicolas-blanchart-modem/

Bonjour à tous !

Cela faisait quelques temps que je n'avais plus parcouru le forum, mais les préparations pour les municipales prennent beaucoup de temps.

Je vais faire parti de la liste à Hem. Nous avons regroupé les forces MoDem en présence et nous avons décidé de relancer la dynamique qui a été brisée par F Vercamer lorsqu'il a rejoint le NC.

Effectivement Jean Luc, si la commune bascule de notre côté, le journal pourra s'appeller les "Mots d'Hem". Nous y avons déjà pensé !
Quant à notre futur site internet qui est encore en construction, il aura pour nom, www.modhem.fr.
MOD pour Mixité, Ouverture et Démocratie.


D'ailleurs, si sur ce forum, des personnes sont sur Hem (adhérents ou sympathisants), n'hésitez pas à prendre contact avec nous.


Jérôme Meerseman

Salut à tous !

Voici une annonce pour les lillois et les métropolitains :

Corinne Lepage , ancienne ministre de l'Ecologie , viendra soutenir Jacques Richir candidat du MoDem à Lille , lors d'une réunion publique , le Jeudi 7 Février – 19 h 30 - Mairie de Quartier – LILLE CENTRE, rue des Fossés . ( cfhttp://www.jacques-richir.fr/ )

A cette occasion , les Jeunes Démocrates du Nord organisent leur 1ere NUIT ORANGE , dès 22 h , au café "Chez Morel" place du Théâtre à Lille , sur le theme "Oserez vous prendre votre ville en main ? " .

Plus de renseignements en écrivant à :modemlillejeunes@hotmail.fr

La Voix du Nord 31 janvier Roubaix : fidèle au MoDem, contre « l’opacité », Louisa Mokhtari veut une liste autonome

http://elections.lavoixdunord.fr/2008/01/31/fidele-au-modem-contre-%c2%ab-lopacite-%c2%bb-louisa-mokhtari-veut-une-liste-autonome/


La Voix du Nord 29 janvier Tourcoing : membres et sympathisants de Cap 21 se joignent à l’équipe de Michel Van Tichelen

http://elections.lavoixdunord.fr/2008/01/29/membres-et-sympathisants-de-cap-21-se-joignent-a-lequipe-de-michel-van-tichelen/

Chers militants du Modem,



L’antenne de Hem du Mouvement Démocrate (Modhem) et Madjid BOURABAA notre tête de liste, ont le plaisir de vous annoncer l’inauguration de leur local de campagne le Vendredi 08 Février 2008 à 18h30.

Venez nous encourager en renforçant les rangs de cette équipe qui a osé présenter une liste qui porte les couleurs de notre parti, le Mouvement Démocrate.



Ce local est situé au 2 boulevard Clémenceau à Hem, à l’angle du boulevard Clémenceau et de la Rue Jules Guesde. Il est stratégiquement bien situé, c’est déjà le début de la victoire. Mais nous avons besoin de vous pour gagner.



Merci à tous à l’avance de votre présence.





Régis HERMANN & Jérôme MEERSEMAN

Conseillers départementaux de la fédération provisoire

Animateurs MoDem 7^ème circonscription du Nord

Bonjour à tous !

Dans le cadre des élections minicipales, nous lançons notre site internet.

Voici l'adresse :

www.modhem.fr


Nous vous y attendons nombreux


Régis HERMANN & Jérôme MEERSEMAN

Conseillers départementaux de la fédération provisoire

Animateurs MoDem 7^ème circonscription du Nord

Jean-Luc a écrit:

Pour info, il était prévu que je sois candidat aux cantonales pour le canton de Steenvoorde. Pour des raisons de problèmes personnels, j'ai préféré renoncer, mais heureusement...

http://modemsteenvoorde.hautetfort.com/

Citation :

Luc VAN INGHELANDT candidat pour la canton de Steenvoorde

Ce mardi 15 janvier, Luc VAN INGHELANDT a présenté sa candidature à la presse pour le canton de Steenvoorde en présence de Dominique HALLYNCK, Conseiller Général du Nord, responsable du MoDem pour la Flandre.

À noter toutefois que Luc aura fort à faire avec face à lui le conseiller sortant Jean-Marc Gosset (UMP).

Complément d'information : Luc Van Inghelandt aura comme suppléante Christa BLARY... qui n'est autre que ma moitié. Du coup je me retrouve quand même les mains dans le cambouis.
Affiche officielle dans quelques jours.

Vu d'ici : je vois un moulin et un Van quelque chose, et je crois que c'est la Hollande !

j'rigole ! j'aime bien les affiches en milieu rural, moins celles des villes.

bon courage !

d0m1 a écrit:

Vu d'ici : je vois un moulin et un Van quelque chose, et je crois que c'est la Hollande !

Eh oui, vu de très loin...
Mais la Flandre est/fut aussi un pays flamand et de moulins. Celui qui est sur la photo est un des deux du canton.

d0m1 a écrit:

j'rigole ! j'aime bien les affiches en milieu rural, moins celles des villes.

bon courage !

Merci !

La Voix du Nord aujourd'hui :

1) la situation d'ensemble


2) Les candidats Modem pour le secteur d'Hazebrouck : les 4 cantons sont pourvus !
(au total : 19 candidats, mais seulement 3 dans le mien : UMP, Modem, PS)

Voilà un bon article de la Voix du Nord

"Héritiers de l'UDF des centres de tous les bords"

"En 2001, il y avait l'UDF du centre droit allié au RPR. Puis la tornade Bayrou passa par là, rejettant, certains de ses amis vers l'UMP, puis le Nouveau Centre, avant de céer le MODEM. Vous n'avez pas tout compris? Nous non plus. Mais on va assayer"

Puis les divers positionnements de l'agglomération de Lille sont décrits.

Conclusion officielle (pour Villeneuve d'ascq) "tout est possible".

Le journaliste ajoute "on allait le dire".

Le Monde 25 février A Tourcoing, le candidat du MoDem se rêve arbitre des municipales

Dans une ville qui aime les maires modérés, de gauche ou de droite, depuis un demi-siècle, le candidat du MoDem, Michel Van Tichelen, se voit bien arbitre du prochain scrutin. Front de matheux, fines lunettes, moustache blanche bien taillée, cet enseignant retraité, dont la famille vit à Tourcoing depuis le début du siècle, revendique une position médiane en politique. Mais il est loin d'être un novice.
Membre du Parti radical depuis 1971, le professeur de maths devient conseiller municipal dans l'équipe du gaulliste René Lecocq (maire de 1959 à 1977). Après la défaite de la droite à Tourcoing en 1977, il rejoint l'UDF et son leader Stéphane Dermaux, qui emporte la ville en 1983.
Deuxième adjoint, il aménage la Grand'Place, organise la police municipale. En 1986, il est élu conseiller régional ; il sera vice-président du groupe UDF à la Région Nord - Pas-de-Calais, jusqu'en 2004. Mais entre-temps, en 1989, une nouvelle défaite municipale lézarde l'entente à droite. Au point qu'en 1995, l'enseignant fait acte de candidature sous l'étiquette UDF – la droite présente alors trois listes, dont celle du Front national.

"OPPOSITION FRONTALE"

En 2001, M. Van Tichelen doit se contenter de la deuxième place sur la liste de droite et du centre, alliance UDF-RPR oblige. C'est Christian Vanneste, alors RPR, qui conduit la liste : le PS conserve la ville, et la droite locale se déchire. "En 2002, sans même nous consulter, nous avons été plusieurs à décider de rompre avec la ligne de M. Vanneste. Lors d'une conférence de presse, son agressivité envers M. Balduyck avait été telle que nous nous sommes dit qu'on ne pouvait continuer avec lui." Six ans plus tard, l'ancien enseignant accentue cette analyse. "La mentalité tourquennoise se retrouve mal sur un maire n'écoutant pas l'autre, n'ayant pas de respect pour l'adversaire. Vanneste, c'est l'opposition frontale, rien ne trouve grâce à ses yeux."
"Depuis 2002, nous sommes donc cinq dans un groupe autonome, qui a rejoint le MoDem", déclare-t-il. Le groupe Vanneste (app. UMP) comprend aussi cinq conseillers. Deux paris différents pour l'avenir de Tourcoing. "Je pense que le durcissement de M. Vanneste est un positionnement politique. Après les scores importants de l'extrême droite, il a estimé qu'il fallait aller chercher des voix sur ce terrain. De mon côté, j'ai toujours pensé que cette ville se gagnait au centre."
Le pondéré Michel Van Tichelen est donc catholique, mais non pratiquant, défenseur de la laïcité mais passionné par l'histoire des religions, "surtout les trois grandes religions monothéistes". Le 9 mars, on évaluera le poids de M. Van Tichelen dans le rôle qui lui semble promis : celui d'arbitre, sinon d'outsider, entre MM. Delannoy (tête de liste PS) et Vanneste. Se maintenir, au risque d'une triangulaire, ou s'allier avec les socialistes ? C'est l'équation que devra résoudre le mathématicien du MoDem.
Geoffroy Deffrennes

http://www.lemonde.fr/municipales-cantonales/article/2008/02/25/a-tourcoing-le-candidat-du-modem-se-reve-arbitre-des-municipales_1015571_987706.html

La Voix du Nord 26 février Canton de Villeneuve-Sud - Christian Carnois (UDF-MoDem), plus que jamais candidat du centre

Arrivé en tête au soir du premier tour en 2001, Christian Carnois repart à l’assaut du canton de Villeneuve-d’Ascq Sud avec « beaucoup de prétention ». Un bémol toutefois : le candidat centriste, qui représentait seul la droite parlementaire, devra cette fois compter avec la concurrence de l’UMP. Et des reports de voix aléatoires.

« On considère qu’on a une chance d’être la révélation, comme Barak Obama aux États-Unis », s’enthousiasme le pharmacien d’Ascq, aux faux airs de John Kennedy. « Notre objectif, c’est d’arriver deuxième derrière Olfa Laforce (PS). Ensuite il y a moyen de l’emporter. Le conseil général restera à gauche mais nous nous opposons à l’hégémonie d’un parti qui a trop de pouvoirs. » Christian Carnois (UDF-MoDem), pourtant, sait bien que la marge de manoeuvre est étroite. Vers qui se tourner au second tour, sachant que « bien sûr il y aura des désistements ? » Vers le PS, auquel le MoDem est déjà allié dans plusieurs villes dès le premier tour (à Roubaix par exemple) ou vers Monique Lempereur, qu’il « estime énormément » ? En tout cas, si Christian Carnois n’a pas pensé « à des arrangements croisés avec les municipales », il reconnaît sans fard : « On essaiera d’avoir le canton d’un côté et de peser sur les municipales de l’autre ». Ce qui suppose quelques discussions animées le dimanche 9 mars au soir.

D’ici là, il faut mener les deux campagnes de front, et notamment cette fameuse cantonale, « dont personne n’a entendu parler ».
Avec Stéphanie Forest, la jeune « remplaçante », le duo s’applique à définir un programme d’actions pour le conseil général, suggérant au passage qu’il faudrait peut-être « dissocier les élections, ou alors regrouper les compétences et les moyens du conseil régional et du conseil général , » En bon centriste, Christian Carnois ne rejette pas d’emblée les propositions socialistes : « Quand de bonnes choses sont faites, comme au collège Rimbaud ou à Triolo, nous le dirons. Nous serons en opposition constructive avec Bernard Derosier, libres de vote et d’expression ».
Volontiers positifs à l’égard de l’action menée par Guy Renaux, le conseiller général socialiste sortant (« il ne faut pas se plaindre, notre canton a été bien traité »), Christian Carnois et Stéphanie Forest font quand même entendre leur petite musique.

D’abord, si le tandem comprend le discours du PS face au désengagement de l’État (« 6M E perçus au lieu de 600 M E pour le transfert des routes »), il sera « extrêmement vigilant sur la hausse de la fiscalité. On est au centre, donc !
» Autre cheval de bataille des candidats : l’aide sociale. « Nous sommes résolument contre l’assistanat, qui consiste à recevoir de l’argent sans responsabilité. Nous militons pour une solidarité responsable ». En tant que « professionnel de la santé », Christian Carnois affirme son intérêt pour les personnes âgées, privilégiant notamment l’hospitalisation à domicile, tandis que Stéphanie Forest, jeune maman de 28 ans, développe un argumentaire sur la garde d’enfants et l’accroissement du nombre d’assistantes maternelles. Pour le reste, l’éducation ou l’environnement, « il n’y a pas forcément à chercher des noises au Département ». Plus que jamais, Christian Carnois se positionne au centre : « Je pense honnêtement que la droite n’a aucune chance de gagner la ville et le canton. »

L. WATIEZ

http://elections.lavoixdunord.fr/2008/02/26/canton-de-villeneuve-sud-christian-carnois-udf-modem-plus-que-jamais-candidat-du-centre/

AFP 29 février Lille: Aubry prête à "travailler" avec le MoDem, après une réunion de la gauche

PARIS (AFP) - Martine Aubry, maire-candidate PS de Lille, s'est déclarée vendredi prête à "travailler" avec le MoDem autour d'un projet et "ouverte à des discussions, après que la gauche a été réunie".
"Si le MoDem souhaite travailler autour de notre projet en l'enrichissant éventuellement sans le dénaturer, je suis ouverte à des discussions après que la gauche a été réunie", a-t-elle affirmé sur Europe 1.
Elle a évoqué sa mandature avec ses alliés, les Verts. Pour elle, les Verts "sont des concurrents", mais "nous nous sommes enrichis mutuellement". "Ils nous ont influencés positivement", même si "parfois nous avons évité quelques excès".
Mme Aubry a rappelé avoir toujours dit qu'elle voulait "réunir la gauche" et souhaite que "sur un projet que nous partageons depuis sept ans, nous puissions nous retrouver avec les Verts".
Elle se dit également "ouverte à tous ceux qui partagent des valeurs d'humanisme et de solidarité face au modèle que Nicolas Sarkozy met en place".
Mme Aubry dit "porter haut la politique" qui ne consiste pas à "passer la main dans le dos des gens" ou "passer son temps à sourire".
Interrogée sur sa "discrétion" ces derniers temps, Mme Aubry a répondu qu'elle n'avait "pas l'impression de ne pas avoir été là", citant le CPE et l'immigration. Elle a reconnu "qu'en 2007, cette façon de faire de la politique qu'ont eue les candidats, c'est-à-dire un peu de démagogie, beaucoup de tendance à parler de soi au lieu de parler des idées (...) je me sentais un peu mal à l'aise", a-t-elle résumé.
Est-elle candidate au PS ? "Pour l'instant, arrêtons de dire « je », « moi », « je me verrais bien là ». Parlons-nous".
Les valeurs de "solidarité, de fraternité", n'ont "jamais été autant d'actualité quand un président de la République a menti aux Français" et que la "confiance est rompue", selon elle.

http://fr.news.yahoo.com/afp/20080229/tpl-municipales-partis-ps-ee974b3.html

La Voix du Nord 29 février Arras : la gauche peut-elle empêcher la passe de trois de J.-M. Vanlerenberghe ?

Le maire sortant d’Arras, Jean-Marie Vanlerenberghe, préservera-t-il son siège, arraché à la gauche en 1995 ? Celui qui brigue aujourd’hui un troisième mandat aura tout fait pour y parvenir. En optant pour une stratégie d’ouverture de sa liste à tous les partis politiques, et cette fois jusqu’à sa gauche. Ainsi le sénateur-maire a-t-il réussi à déchirer une gauche, reconstruite depuis dans la douleur, désormais contrainte de faire de ces élections municipales un enjeu national.

PAR ROMAIN MUSART
region@lavoixdunord.fr

C’est lui qui d’emblée a fixé les règles du jeu. Quand, dès cet hiver, il a chassé sur les terres de ses adversaires. Une chasse plutôt heureuse pour Jean-Marie Vanlerenberghe qui a frappé fort. Trois coups que la gauche a eu du mal à encaisser, avant de redresser la tête.
Car en plus des représentants du MoDem et de l’UMP, dont le secrétaire départemental Philippe Rapeneau, déjà présents au sein de sa majorité municipale, l’élu a musclé les forces de l’équipe sortante. Et, coup sur coup, pris dans ses filets la figure emblématique du PCF local, Jacques Patris, jusqu’alors relégué dans l’opposition, ainsi que deux représentants socialistes. Parmi lesquels l’attaché parlementaire de Catherine Génisson, députée socialiste de la deuxième circonscription du Pas-de-Calais, brillamment réélue en juin 2007 ! Imaginez le traumatisme à gauche.

Ouverture

D’autant que Jean-Marie Vanlerenberghe avait dans le même temps décidé de dégainer le premier et de couper l’herbe sous le pied de ses adversaires de l’Union de la gauche et des Verts, en lançant ouvertement la campagne sur des thèmes qui, par tradition, leur sont chers. Parvenu à cette large ouverture, et s’appuyant sur un bilan de deux mandats durant lesquels le visage d’Arras a incontestablement changé, Jean-Marie Vanlerenberghe entendait siphonner l’électorat de ses adversaires, et s’assurait un début de campagne paisible.
Un temps durant lequel la gauche encore toute groggy digérait douloureusement les départs fracassants de ses membres et tentait de resserrer les rangs. Ce qu’elle est finalement parvenue à faire autour d’Alain Fauquet. Le conseiller municipal sortant, conseiller général et ancien adjoint aux finances de l’ère Fatous, s’est entouré des députées PS des première et deuxième circonscriptions. Du PCF également, du MRC, et des Indépendants démocrates de progrès dont les représentants figurent aujourd’hui en très bonnes places sur sa liste. Le prix à payer pour effacer toute concurrence à gauche.

Une gauche qui n’aura néanmoins pas réussi à s’appuyer dès le premier tour sur le soutien des Verts, bien décidés à faire cavalier seul. Les renforts sont venus d’ailleurs. De Paris et de la Rue de Solférino qui a envoyé des ténors du Parti socialiste pour battre la campagne aux côtés d’Alain Fauquet. Et renforcer la ferme volonté de ce dernier d’imposer l’enjeu national dans l’élection locale. Ici, en 2007, Ségolène Royal et les deux députées locales sont arrivées en tête des derniers scrutins nationaux. Alors l’angle d’attaque est simple : « Voter Vanlerenberghe, c’est voter “Sarko”.
» C’est aussi la dernière carte à jouer d’Alain Fauquet pour imposer sa candidature face au maire sortant. Lequel, après avoir tenté de faire le ménage à gauche, est parvenu comme il l’avait fait par le passé à balayer toute velléité à droite. Excepté celle d’un Front national qui tente péniblement de refaire surface après des années d’absence dans la ville.

La balle au centre ? •

2001 : l’incontestable réélection

S’il avait de justesse ravi la mairie aux socialistes en 1995, 2001 reste comme l’année où Jean-Marie Vanlerenberghe enfonça le clou. Très haut la main cette fois.
Le score est sans appel. Avec 56 % des suffrages exprimés, au soir du second tour, la victoire de Jean-Marie Vanlerenberghe est nette et sans bavure. La liste d’union établie entre les deux tours et conduite par Gérard Barbier (PS) et Hélène Flautre (Verts), auxquels se sont ralliés le PCF et le PRG, n’a pas résisté. Et pointe péniblement à 44 %. On est loin du trou de souris par lequel J.-M. Vanlerenberghe investit la mairie en 1995.
Quand son élection renversa la forteresse de Guy Mollet détenue par les socialistes depuis plus de cinquante ans, à trente-sept voix près, alors que les deux listes de droite partaient en ordre dispersé au second tour. Pire encore pour la gauche. En 2001, pour deux cents voix (sur 25 500 inscrits), le maire sortant passe presque par la grande porte, dès le premier tour… face à des adversaires plus dispersés. L’alternative républicaine de Bertrand Alexandre, et Compétence et solidarité pour Arras, de Colette Villette s’étant portés candidats. Eux qui figurent aujourd’hui tous deux aux côtés d’Alain Fauquet. Et il n’y a plus que quatre listes en course, quand 2001 en comptait cinq.

Quatre listes en lice
– L’Échappée belle (les Verts) conduite par Alain Sellier, conseiller municipal sortant.
– Arras en mieux (union de la gauche : PS, PRG, MRC, PCF, Indépendants démocrates de progrès), autour du socialiste Alain Fauquet, conseiller municipal sortant et conseiller général.
– Les Français d’abord (Front national) emmenée par Jean-Marc Maurice.
– Arras ensemble (liste d’ouverture : MoDem, UMP, Debout la République, anciens socialistes, communistes et MRC) présentée par Jean-Marie Vanlerenberghe (MoDem), maire sortant.

Repères

– Population : 41 400 habitants.
– Taux de chômage : 8,3 %.
– Bénéficiaires du RMI : 2 435 habitants bénéficient du dispositif RMI. 1 773 sont allocataires.
– Logements sociaux : environ 35 % (22 000 logements).
– Superficie : 1 163 hectares dont 220 d’espaces verts.
– Budget 2007: 82 millions d’euros. Fonctionnement : 52 millions d’euros. Investissement : 17 millions d’euros. Encours de la dette : 13 millions d’euros.
– Atouts : le patrimoine classé (beffroi labellisé UNESCO, les places). Bien desservie par les autoroutes et le TGV, Arras située entre Paris et Lille attire les investisseurs et les touristes. Un attrait renforcé également par une vie associative dynamique.
– Handicaps : le prix de l’immobilier. Quand le coût du locatif a baissé de 3 %, l’augmentation du prix au mètre carré a été l’une des plus fortes de France en 2007. Manquent par ailleurs une offre commerçante variée, une grande salle de spectacle et la circulation reste difficile en centre-ville.

PRÉSIDENTIELLE 2007
• Premier tour
– Olivier Besancenot : 5,13 % – Marie-George Buffet : 1,76 % – Gérard Schivardi : 0, 41 % – François Bayrou : 19,76 % – José Bové : 1,56 % – Dominique Voynet : 1,62 % – Philippe de Villiers : 1,52 % – Ségolène Royal : 27,46 % – Frédéric Nihous : 0,99 % – Jean-Marie Le Pen : 10,68 % – Arlette Laguiller : 2 % – Nicolas Sarkozy : 27,11 %
• Second tour
– Ségolène Royal : 52,68 % – Nicolas Sarkozy : 47,32 %

http://elections.lavoixdunord.fr/2008/02/29/arras-la-gauche-peut-elle-empecher-la-passe-de-trois-de-j-m-vanlerenberghe/

Cantonales du secteur d'Hazebrouck

Christian Defebvre (Merville) : 13,97% (3e/5 derrière SE et PS, ballottage)

Dominique Hallynck (Bailleul) : 23,18% (2e/5 derrière PS - Dominique était sortant, siège probablement perdu - consolation, il retrouve son fauteuil de maire de St Jans Cappel avec tous ses colistiers)

Luc Van Inghelandt (Steenvoorde) : 11,18% (3e/5 derrière UMP et PS, UMP sortant réélu avec 57%) - objectif atteint.

Bertrand Wattez (Hazebrouck) : 10,09% (3e/5 derrière PS et SE, ballottage)

Bravo.