Le Modem dans les médias (divers)

Le Monde 18 décembre La réforme de l'audiovisuel promise à un parcours houleux au Sénat

Après de quatre semaine ponctuées de débats houleux à l'Assemblée, la réforme sur l'audiovisuel devra maintenant être examinée par les sénateurs à partir du 7 janvier. Et son parcours jusqu'à son éventuelle adoption s'annonce déjà semé d'embûches. Candidat malheureux au poste de président du Sénat, Jean-Pierre Raffarin a ainsi déclaré, jeudi 18 décembre, qu'en l'état actuel il n'y avait pas de "majorité sénatoriale pour ce texte". "Ce qui est important aujourd'hui, c'est de convaincre l'ensemble du Sénat du financement du service public de télévision", a déclaré l'ancien premier ministre sur LCI, estimant que l'essentiel est de "mettre tout le monde autour de la table au Sénat pour trouver un accord, car sans accord il n'y aura pas de loi, ce qui naturellement pose un problème institutionnel".
Visés par ces propos, les parlementaires du groupe Nouveau Centre (NC), qui, pour la première fois depuis l'élection de Nicolas Sarkozy, ont voté majoritairement contre un projet de loi : sur les 23 membres du groupe à l'Assemblée, 10 ont voté contre, 6 ont voté pour avec quatre abstentions et trois absences. La crainte de l'UMP est de voir ce cas de figure se répéter au Sénat, où elle ne dispose pas de la majorité absolue et doit donc compter sur les voix centristes.

"UNE TRÈS GRANDE MAJORITÉ DE SÉNATEURS CENTRISTES VOTERAIENT CONTRE"

Le groupe Union centriste (UC), qui regroupe trente sénateurs, autant NC que MoDem, ne semble pas enthousiasmé par le texte. Pour le patron du groupe, Michel Mercier, il n'y a pas "d'unanimité". Plus direct que MM. Raffarin et Mercier, le sénateur centriste Hervé Maurey a assuré qu'"une très grande majorité de sénateurs centristes voteraient contre" si le vote avait lieu aujourd'hui. "Le gouvernement s'imaginait que les centristes seraient au garde-à-vous, ce n'est pas le cas", a confié M. Maurey, ajoutant que si l'Elysée "veut un vote positif, il faut être davantage à l'écoute des centristes".
Le financement de l'audiovisuel public prévu dans le cadre de ce projet de loi apparaît comme le principal casus belli pour les centristes. Le groupe NC conteste, en effet, que la réforme soit financée par la création de deux taxes, et prône une augmentation "socialement plus équitable" de la redevance audiovisuelle. "La création de ces taxes ne rime à rien, et notamment de la taxe sur les fournisseurs d'accès à Internet qui est illégitime, anti-économique, avec un effet pervers sur les territoires", accuse M. Maurey.
Côté gouvernement, l'optimisme montré il y a encore quelques jours par le secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement, Roger Karoutchi, qui assurait que les centristes allaient voter le texte, semble avoir laissé place à la négociation. A tel point que Nicolas Sarkozy s'est lui-même engagé à établir un groupe de travail pour trouver un compromis sur le financement de l'audiovisuel public dans le cadre du budget 2009, selon le porte-parole du NC, Maurice Leroy. Ce groupe, qui pourrait être présidé par Jean Dionis du Séjour (NC), opposant à la réforme, apparaît comme un gage de bonne volonté donné aux centristes pour s'assurer qu'ils ne bloqueront pas la réforme au Sénat.

http://www.lemonde.fr/politique/article/2008/12/18/la-reforme-de-l-audiovisuel-promise-a-un-parcours-houleux-au-senat_1132949_823448.html

Européennes: Jean-Michel Baylet envisage des listes avec Bayrou




PARIS (AFP) — Le président du Parti des radicaux de gauche (PRG), Jean-Michel Baylet, a indiqué dimanche qu'il envisageait de constituer des listes avec le MoDem de François Bayrou, dont il se sent plus proche que du PS, "divisé" sur l'Europe.
"J'ai demandé à rencontrer François Bayrou parce que j'envisage la possibilité de faire des listes avec lui", a indiqué M. Baylet au Journal du dimanche.
"Son courant et le mien ont toujours été a l'avant-garde de la construction Européenne. Nous avons une vision semblable de l'Europe : fédérale, sociale et puissante. Il y a plus de choses qui nous rapprochent de François Bayrou que du PS, divisé sur le sujet", a ajouté le sénateur du Tarn-et-Garonne.
"Ce n'est pas une rupture (ndr: avec le PS) mais une manière de se démarquer", selon M. Baylet.
"La dernière fois, le PS nous avait baladés et nous n'avions eu aucun élu au Parlement Européen, pas question que cela recommence", selon lui.
"Comme la gauche tient la quasi-totalité des régions il y a des chances pour que nous repartions avec le PS aux régionales. Quand à la présidentielle, il faudra rassembler tout le monde. Bayrou est un opposant confirmé à la politique de Sarkozy et tous les opposants devront se rassembler au second tour", conclut-il.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hymcBPKnzCuauQYfS4_ZS9yiYVHg

Européennes: Une liste cassoulet-eau bénite?

Propos recueillis par Marie QUENET
leJournal du Dimanche Des listes Bayrou-Baylet aux européennes? Même si le président du PRG Jean-Michel Baylet doit rencontrer Martine Aubry début janvier, il envisage de présenter des listes avec le chef du MoDem. Dans l'entourage de Bayrou, on se réjouit mais on s'interroge: n'est-ce pas une façon de faire monter les enchères vis-à-vis du PS? Jean-Michel Baylet et François Bayrou ne doivent pas se voir avant mi-janvier alors que l'appel à candidatures au MoDem est en principe clos... le 31 décembre.

Européennes : Bayrou campe sur sa ligne d'indépendance

Le Figaro 2 janvier Pour les Français, Sarkozy est plus rassurant et rassembleur

SONDAGE - 52 % des Français ayant regardé les vœux du chef de l'État l'ont trouvé «convaincant».

Bilan légèrement positif pour Nicolas Sarkozy. Parmi les Français ayant suivi à la télévision les vœux du président de la République, mercredi soir, une courte majorité, 52 % contre 48 %, l'ont trouvé «convaincant», selon l'enquête OpinionWay réalisée pour Le Figaro et LCI.
Il y a un an, pour le même exercice rituel, le chef de l'État avait obtenu une majorité un peu plus large (55 % contre 43 %). Mais ce recul est en trompe l'œil. À l'orée de l'année 2008, après six mois de présidence, Nicolas Sarkozy avait encore une popularité élevée et, surtout, l'humeur des Français n'était pas affectée par la crise économique et sociale. En convaincant 52 % de ceux qui l'ont regardé, le chef de l'État obtient donc un score nettement plus élevé que sa popularité actuelle. «Ce qui prouve que par ses interventions orales, il conserve une forte capacité de persuasion», souligne Bruno Jeanbart, directeur des études politiques et d'opinion de l'institut OpinionWay.

Retour du clivage gauche-droite

Cette enquête confirme également le retour du clivage gauche-droite, brouillé dans les premiers mois du quinquennat. Nicolas Sarkozy fait ainsi le plein de ses électeurs du premier tour de la présidentielle (90 %) et laisse indifférent dans une proportion analogue ceux de Ségolène Royal (86 %). Après avoir été longtemps majoritaire dans l'électorat de François Bayrou, il y est désormais minoritaire. Et il peine désormais à convaincre les électeurs de Le Pen (25 %).
Au terme de la présidence française de l'Union et d'un engagement fort pour répondre à la crise, le dynamisme reste le «trait d'image» unanimement reconnu à Nicolas Sarkozy, y compris à gauche (70 % des électeurs de Royal). Mais la nouveauté de cette enquête réside dans la progression du chef de l'État sur les points les plus faibles de son image. Par rapport au sondage équivalent réalisé en septembre, les Français sont plus nombreux à le trouver rassurant (+ 5 points), proche de leurs préoccupations (+ 4) et rassembleur (+ 3). Dans ces trois catégories, le président reste certes minoritaire. De ce point de vue, Nicolas Sarkozy a ainsi les «traits d'images» opposés à ceux de son prédécesseur, Jacques Chirac.
Mais en réagissant rapidement à la crise, en mettant en avant le rôle «protecteur» de l'État, en se donnant du temps sur des réformes contestées (le lycée), Nicolas Sarkozy apparaît désormais plus consensuel au début 2009 qu'à la fin de 2008.

http://www.lefigaro.fr/politique/2009/01/03/01002-20090103ARTFIG00148-pour-les-francais-sarkozy-est-plus-rassurant-et-rassembleur-.php

Sur Numerama, d'après un sondage réalisé avant les fêtes, seuls 4,6 % des lecteurs estimaient que l'UMP est le parti qui appréhende le mieux les enjeux du numérique.

Le Mouvement Démocrate (MoDem) de François Bayrou arrivait en tête (20,4 %), devant la LCR (14 %) et le Parti Socialiste (9,7 %).

http://www.numerama.com/magazine/11615-Pour-sa-reussite-en-ligne-l-UMP-confond-le-contenant-et-le-contenu.html

Bayrou ironise sur «le tourbillon» des réformes

Lors de ses vœux, le président du MoDem s'est montré très sévère face à l'action présidentielle.


François Bayrou a provisoirement laissé de côté sa couleur fétiche, l'orange, pour privilégier le noir. Mardi, lors des vœux du Mouvement démocrate, il a commenté, l'air sombre, «les noirs augures» sous lesquels s'est ouverte l'année 2009, aussi bien sur le plan économique que sur celui de l'actualité internationale. Seul rayon de lumière pour le député des Pyrénées-Atlantiques, le report sine die de l'examen du texte sur l'ouverture des magasins le dimanche. Le président du MoDem a souhaité que «le sine die dure le plus longtemps possible», jugeant «sage» qu'un jour de la semaine «ne soit pas voué à la marchandisation».
Pour lui, ce projet illustre le «tourbillon médiatique» élyséen : chaque jour une réforme nouvelle est annoncée, «sitôt énoncée, elle est remplacée par la suivante, sans se préoccuper d'ailleurs de vérifier si la précédente est appliquée ou si elle a la moindre chance de l'être».
Exemple « caricatural » présenté par le président du MoDem : la loi dite «Grenelle II» sur l'environnement, examinée mercredi matin en Conseil des ministres alors que «la loi “Grenelle I” n'a toujours pas été adoptée». Déposé le 21 octobre 2008 au Sénat, et suivi d'auditions, ce texte n'est pas inscrit à l'agenda des travaux des sénateurs pour ces prochains mois.
Le citoyen français «a la tête qui tourne (…) de toutes les promesses qu'on lui a faites et qui se révèlent de la fausse monnaie», a estimé le dirigeant centriste.
Autre sujet de colère : la possible suppression des juges d'instruction, un projet jugé «choquant» et «dangereux» par François Bayrou. Il obéit, selon lui, à la même «logique insupportable» que celle de la réforme de l'audiovisuel public. «On va créer un lien de dépendance supplémentaire» avec le pouvoir exécutif, a-t-il accusé, «alors qu'on a besoin de tout le contraire». Le président du MoDem a globalement observé beaucoup d'improvisation» dans l'action de Nicolas Sarkozy, rythmée par «des foucades» qui «ébranlent les piliers de la société française».

Plan de relance «insuffisant»

Bayrou a aussi jugé «insuffisant» le plan de relance examiné à partir de mercredià l'Assemblée. L'effort, a-t-il dit, doit prendre «la dimension européenne», avec un «grand emprunt européen de l'ordre de 3 % du PIB». «Si comme je le crois, les événements imposent un plan de relance supplémentaire, il devra comporter un volet consommation» à destination de «ceux qui n'ont pas les moyens et pour qui la crise risque d'être plus lourde», a-t-il ajouté.
Le député des Pyrénées-Atlantiques a encore regretté l'absence d'une «voix européenne à Gaza» et la seule action des «diplomaties nationales», en l'occurrence celle de la France. Il a estimé urgente la mobilisation européenne sur la [url=http://www.lefigaro.fr/matieres-premieres/2009/01/05/04012-20090105ARTFIG00291-crise-du-gaz-l-europe-en-quete-d-alternatives-.php]crise gazière russo-ukrainienne.[/url]
Plus europhile que jamais, le MoDem présentera «des listes autonomes dans toutes les Régions» aux européennes. François Bayrou rencontrera «fin janvier» le président des Radicaux de gauche, Jean-Michel Baylet, à la demande de ce dernier. «Condition préalable» à tout accord : «le choix définitif de l'indépendance» alors que le PRG est l'allié du PS.

http://www.lefigaro.fr/politique/2009/01/07/01002-20090107ARTFIG00050-bayrou-ironise-sur-le-tourbillon-des-reformes-.php

Bayrou champion du pessimisme pour 2009

François Bayrou continue, en 2009, à jouer les Cassandre. Lors de la présentation de ses vœux à la presse, hier, au siège du Modem à Paris, il s’est fait briseur de moral : pour lui, la nouvelle année «s’ouvre sous de noirs augures».
Le président du Modem, qui a décidé de ne pas se rendre aujourd’hui aux vœux du chef de l’Etat aux parlementaires pour respecter «la séparation des pouvoirs», juge insuffisant le plan de relance concocté par le gouvernement (lire ci-dessus) face «à la crise la plus grave depuis les années 30». Pour pallier la faiblesse du plan français, le député des Pyrénées-Atlantiques défend la mise en place d’un emprunt européen d’un montant équivalent à 3 % du PIB. Fidèle à sa ligne de réduction des déficits publics défendue durant sa campagne présidentielle, le Béarnais constate qu’«il n’y a pas d’intervention publique possible si on laisse filer les déficits quand la croissance est là et que les choses vont bien. Ce sont les déficits qui ont tué la relance.» Il a indiqué qu’il ne voterait pas ce plan discuté à partir d’aujourd’hui à l’Assemblée nationale.
De plus en plus campé dans son statut de premier opposant de France, il s’en est pris égalementà ceux qui prônaient «la rupture» avec le modèle traditionnel républicain pour se tourner résolument vers le modèle américain pendant la campagne présidentielle. Pour François Bayrou, «ce modèle s’est effondré. Du coup, on ne sait plus avec quoi la rupture a rompu.» Le leader du Modem s’en est également pris violemment à la pratique du pouvoir par Nicolas Sarkozy, qui, estime-t-il, «concentre les pouvoirs entre ses seules mains, vide la démocratie de ses contre-pouvoirs et distrait l’attention des citoyens en organisant la mise en scène de son action».
Seul motif de satisfaction en ce début d’année : le report du texte sur le travail du dimanche, dont il souhaite qu’il dure «le plus longtemps possible».

http://www.liberation.fr/politiques/0101309965-bayrou-champion-du-pessimisme-pour-2009

Bayrou veut prospérer sur les « illusions perdues »

C'est presque une tradition politique. Pour François Bayrou, les voeux à la presse sont désormais l'occasion d'un pilonnage intensif de Nicolas Sarkozy et de son action. L'an dernier, le leader centriste s'était appliqué à étriller la « politique du tournis » du chef de l'Etat. Cette année, il y a ajouté un verdict sans concession de son bilan, qualifié de « cimetière des illusions perdues ». « On ne sait plus avec quoi la rupture a rompu », a-t-il raillé. Pas question pour lui, malgré la gravité de la crise, de dédouaner le locataire de l'Elysée de sa responsabilité. Non content de rappeler que Nicolas Sarkozy avait loué le « modèle néolibéral », François Bayrou lui a reproché de ne pas être à la hauteur de la situation. Aujourd'hui, il boycottera ses voeux aux parlementaires.

Celui qui dit non

Fidèle à la stratégie qui lui avait permis de recueillir 18,57 % des voix en 2007, le fondateur du MoDem n'a pas ménagé sa peine pour tenter de se poser comme le garant du modèle « républicain et social » français. Un modèle dont les piliers sont, selon lui, « malmenés » par la majorité. L'éducation ? « Il faut protéger ses moyens au lieu de couper dans les dépenses », a-t-il affirmé. La justice ? « Choquant » et « dangereux », a-t-il tranché à propos de l'éventuelle transformation du statut du juge d'instruction. La santé ? « Une logique de rentabilité » qui « laisse peu de place à la production de soin », a-t-il regretté. La presse ? La réforme de l'audiovisuel public est « inacceptable », a-t-il martelé. Quant au report de l'examen du texte sur le travail dominical, il a souhaité qu'il dure « le plus longtemps possible ».

En se décrivant comme « celui qui dit non à ce qu'on doit refuser », François Bayrou entend apparaître comme la seule véritable alternative d'« espoir » face à Nicolas Sarkozy. Le pari n'est pas gagné alors qu'il est toujours très isolé et que le PS, passée la bataille pour la succession de François Hollande, apparaît requinqué et à nouveau audible. Pour mieux ratisser large, le centriste est moins prolixe sur les propositions concrètes que sur les critiques. Au-delà des généralités, il s'est contenté hier de souhaiter que le « plan de relance supplémentaire » qu'il dit inéluctable (vue l'« insuffisance » du premier) comporte un « volet consommation » à l'attention de « ceux qui n'ont pas les moyens ». Et fasse l'objet d'une réflexion au niveau européen, l'Europe étant selon lui « la clef ». Manière de prendre date pour les européennes de juin.

http://www.lesechos.fr/info/france/4815729-bayrou-veut-prosperer-sur-les-illusions-perdues-.htm

Bayrou : "Etre condamné au PS et à l'UMP, c'est un cauchemar ! "

Pour les traditionnels voeux à la presse (disponibles ici ), François Bayrou n'a pas fait de cadeau à l'UMP et au PS. "Le citoyen a la tête qui tourne de toutes les réformes qu'on lui annonce, de toutes les promesses" qui "se révèlent de la fausse monnaie", affirme le président du MoDem. Quant au Parti socialiste, il "apparaît en phase de régression, de fermeture, il se caricature lui-même".

Fidèle à sa ligne de "meilleur opposant", le député des Pyrénées-Atlantiques a confié aussi qu'il ne se rendrait pas mercredi à l'Élysée pour les voeux de Nicolas Sarkozy aux parlementaires, parce qu'il est "pour la séparation des pouvoirs".

Lepoint.fr lui a demandé ce qu'il faut souhaiter aux Français, à leurs dirigeants et enfin au MoDem pour cette année 2009. Regardez ses réponses :

https://www.dailymotion.com/video/k7y4eOd9ilm5bJU1gY

"Extrêmement choquant, dangereux" ce projet risque "d'ébranler ce qui a fait l'équilibre de la société française", a de son côté jugé le président du Mouvement démocrate François Bayrou.

"Justice aux ordres", a quant à elle dénoncé la vice-présidente du mouvement centriste Corinne Lepage. Avocate à la Cour d'Appel de Paris, elle estime que la suppression du juge d'instruction "signifierait qu'en réalité, plus aucune affaire politico-financière ou aucune affaire déplaisant au pouvoir ne pourrait faire l'objet d'une instruction en France".


http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gRDMzTHVAXf48uQ3nn0C9VCHeJgQ

François Bayrou grand vainqueur de l'implosion du paysage politique



Le leader du Modem est le grand bénéfiaire de la recomposition du paysage politique Français.

Le Modem est désormais la seule formation politique à ne pas vivre d'implosion.

Le FN est menacé par la guerre de succession.

L'UMP va revivre sa fracture classique entre les libéraux et les gaullistes, les orléanistes et les bonapartistes ; bref désormais, Nicolas Sarkozy face à Dominique de Villepin.

Le Nouveau Centre ne parvient pas à exister parce qu'il est désormais impossible qu'un parti, a fortiori sans racine, se développe sans un présidentiable charismatique.

Le PS est figé dans l'opposition Martine Aubry versus Ségolène Royal.

La gauche du PS éclate en une multitude de petites formations plus rebelles les unes que les autres.

Dans ce paysage, le Modem semble progressivement être devenu la seule formation politique prête pour la campagne d'un seul : François Bayrou bien loin de l'indiscipline généralisée.

expriméo.fr
http://www.exprimeo.fr/article/4252/francois-bayrou-grand-vainqueur-de-l-implosion-du-paysage-politique.htm

Une histoire sainte

Jean-Louis Bourlanges

Seuls Bayrou et le MoDem se préoccupent des enseignants :

http://heresie.hautetfort.com/archive/2009/01/22/seuls-bayrou-et-le-modem-meritent-la-confiance-des-enseignan.html

Vidéo clip pour l'émission "expression directe"

Retrouvez le clip vidéo réalisé pour l'émission "expression directe" sur:

France 2 le mardi 20 janvier vers 13h50.

France 3 le samedi 24 janvier vers 18h20.

Alors que le MoDem de Levallois-Perret (92) a été très moteur pour mobiliser l'opinion quant aux évènements relatés, il est très… disons "intéressant" de constater quelques "modifications subtiles" entre 2 brèves.

http://www.sylvaincanet.fr/2009/01/le-modem-et-la-presse-un-cas-d%C3%A9cole-.html

Des reprises/réactions/compléments dans les médias suite à l'intervention sur France info lundi 26 :

http://www.liberation.fr/politiques/0101314780-il-faut-traiter-d-urgence-l-enfouissement-des-lignes-electriques-selon-bayrou

http://www.liberation.fr/economie/0101314852-nous-travaillons-a-l-enfouissement-des-lignes-edf-depuis-1999

http://www.lesechos.fr/info/energie/300325058.htm

http://www.20minutes.fr/article/293357/France-La-tempete-fait-ressurgir-la-question-de-l-enfouissement-des-lignes-electriques.php

Bayrou tente de voler la vedette au PS

« Inaction ».

Cette fois, il n’a pas laissé passer l’occasion. Alors qu’il s’était abstenu sur la première motion de censure du quinquennat (sur l’Afghanistan), François Bayrou a mêlé hier sa voix à celles du PS, dénonçant « l’inaction » du gouvernement face à la crise et, surtout, « les menaces sur les libertés individuelles ». Soucieux de se faire entendre alors qu’il ne dispose pas de groupe parlementaire, pas mécontent aussi de voler en partie la vedette aux socialistes, le président du Modem a annoncé sa décision dans « Le Monde » et a multiplié les déclarations dans les couloirs de l’Assemblée. « Il y a des moments et des situations où il faut dire haut et fort que ça ne va pas (…). Pour que nul ne puisse dire : nous ne savions pas », a martelé François Bayrou, fustigeant les « dizaines de milliards » d’euros accordés aux banques « sans les contreparties qui s’imposent ». En décembre, le leader centriste avait fait la leçon aux socialistes, en les appelant à déposer une motion de censure contre la réforme de l’audiovisuel.


Les Echos.fr - 28-01-2009

Débat Public Sénat- « Les Echos » UMP-PS-Modem : quel est le bon plan de relance ?

La situation économique imposait de décider d'un plan de relance : l'UMP, le PS et le Modem sont d'accord sur ce point. Mais ils ne le sont pas sur le type et l'ampleur du dispositif, comme en a témoigné le débat qui opposait hier soir Michel Sapin (PS), Chantal Brunel (UMP) et Corinne Lepage (Modem) dans l'émission « Y'a de l'éco » sur Public Sénat en partenariat avec « Les Echos ». Michel Sapin a reproché à Nicolas Sarkozy d'avoir fait une « profonde erreur de diagnostic » en refusant d'agir sur la consommation. « La crise de la consommation vient plus tard en France, mais chacun sait qu'elle va être très brutale », a-t-il défendu, en estimant que les relances décidées en Allemagne et en Grande-Bretagne constituaient une « chance » qu'il fallait saisir. Chantal Brunel a affirmé que l'exécutif n'avait cessé, ces dernier mois, de soutenir la consommation, notamment des plus faibles. « Nous avons octroyé 220 euros pour les bénéficiaires de minima, puis bientôt 200 euros pour ceux qui toucheront le RSA : on n'est pas loin des 500 euros préconisés par le PS », a-t-elle défendu. Quant à Corinne Lepage, elle a estimé que les investissements décidés par le gouvernement étaient « trop modestes et sans logique ». « Il aurait fallu une vision de ce qu'on veut pour la France, notamment en matière d'infrastructures, alors que là c'est du saupoudrage : le plan financera un EPR, un circuit de Formule 1 dans les Yvelines... » (l'émission est rediffusée ce soir à 0 h 30 et 02 h15).

http://www.lesechos.fr/info/france/4824745-debat-public-senat-les-echos-ump-ps-modem-quel-est-le-bon-plan-de-relance-.htm

Les femmes du MoDem se livrent :

Coïncidence ou plan de bataille avant les européennes ?
Deux personnalités du MoDem, Marielle de Sarnez et Corinne Lepage, publient chacune, au même moment et chez le même éditeur, un livre pour dire ce qu'elles pensent.
Sans mâcher leurs mots.
Dans un essai intitulé : Vivre autrement, Corinne Lepage appelle à changer le monde, la crise économique est une chance historique de changer notre système,écrit-elle.
Marielle de Sarnez a écrit : Pour aimer l'Europe, un plaidoyer qui rappelle tout ce que l'on doit à l'union européenne.Elle y pourfend également ses faiblesses.
Parution chez Grasset en avril.

Article publié ce matin dans : Les confidentiels du Figaro

Parenthèse ! La leçon de Bayrou

Dans son ouvrage à succès intitulé " Projet d'espoir ", l'éminent homme politique français, François Bayrou, écrit ceci : « Si je suis élu président de la république, j'imposerai l'Etat impartial. Il suffit de n'être pas '' accro'' au pouvoir et de considérer que ce n'est pas parce que quelqu'un ne pense pas exactement comme vous, qu'il n'est pas digne d'estime et que vous ne pouvez pas travailler avec lui. J'ai vécu cela , le jour de mon installation comme tout jeune ministre au ministère de l'Education nationale. Il faut se souvenir de ce que fut 1993.Une déroute du parti socialiste au pouvoir comme il n'y en eut jamais : à peine 60 députés réélus contre plus de 450 de la majorité de droite ! On avait l'impression comme toujours que selon l'expression consacrée ''Si l'on ne faisait pas de bêtises, on était là pour vingt ans''. Et il y'avait des revanches qui se préparaient. ''On'' m'avait fait passer aimablement une liste des ''gens sûrs'' des ''gens pas sûrs'' et des ''gens totalement engagés de l'autre coté'', qu'il convenait de ''virer'' immédiatement et plus vite que ça. Déjà, je n'aimais pas beaucoup ce genre de procédé.

Jean-François Martins sur France Info le 27 janvier 2009


Jean François Martins, conseiller municipal du 14ème arrondissement de Paris, participait au débat organisé sur France Info à propos de la motion de censure votée par François Bayrou le 26 janvier 2009.

allez sur le site écouter le podcast

De passage en Savoie hier : Bayrou fait son tour pour l'Europe

La dernière fois que François Bayrou avait mangé "savoyard", c'était le 4 janvier 2007, du côté du Beaufortain. Dans une exploitation d'Arêches-Beaufort. A quelques mois d'une "présidentielle" qui fit monter le président du Mouvement Démocrate (MoDem) si haut dans les sondages qu'il se vit au deuxième tour. Voire président de tous les Français. Hier, comme on ne réécrit jamais la même histoire, c'est cette fois à la boulangerie "chez Vincent" à Voglans, au milieu des ouvriers et routiers déjeunant sur le pouce et c'est ainsi qu'il imagine « les rendez-vous populaires » de sa tournée nationale, que l'homme des Pyrénées est revenu prendre le pouls de la santé de l'économie locale... « Ici, comme dans ma région, il y a un point positif, l'activité touristique marche bien cette année, la crise n'est pas encore totalement là, mais il y a déjà une crainte pour les carnets de commande après mars... » Après avoir rencontré 70 chefs de petites entreprises (du BTP, de la mécanique de l'agrolimentaire, etc) et le réseau "Entreprendre" de soutien aux nouvelles PME à Chambéry le matin, François Bayrou a goûté à la spécialité de l'endroit. « Le diot, je ne connaissais pas, c'est un régime très léger ! ».

« Un fort sentiment d'injustice de la rue »

Un temps pour un sourire, qu'il retrouve lorsqu'on évoque le sondage, sorti mercredi, qui donne le MoDem à 14 % d'intention de vote aux Européennes de juin prochain. La prochaine échéance politique importante à ses yeux (« L'Europe, j'y pense tous les jours ! »), avec des listes du Modem dans toutes les régions françaises. Elles seront constituées « avec des visages nouveaux, mais marquants et bien identifiés dans la société comme vous en avez en Savoie ». Une sélection « difficile » pour une ambition « élevée » : former « une équipe pour la France de niveau européen » (un langage à la Domenech !), « qui soit écoutée en Europe lorsqu'elle parlera ». L'Europe, c'est aussi l'occasion pour un parti en plein renouvellement, mais sans représentation dans les principales assemblées nationales « après le départ de ses "notables" », de revenir sur le devant de la scène. Pour le reste, comme les Français qu'il a vus défiler en nombre dans la rue jeudi « avec pour la première fois une forte participation du privé et une compréhension y compris de la société française qui n'y participait pas », François Bayrou dit ne pas avoir envie de rire de la situation actuelle du pays... « Il y a comme un sentiment d'injustice qui monte de la société. Quand la balance n'est pas égale entre les puissants et les gens ordinaires, lorsqu'on donne sans compter aux banques sans prendre un seul siège dans les conseils d'administration pour faire entendre la voix de l'État, ça ne va plus. Tout se bloque, jusqu'aux réformes ».

http://www.ledauphine.com/politique-de-passage-en-savoie-hier-bayrou-fait-son-tour-pour-l-europe-@/index.jspz?chaine=26&article=95640

Bayrou et Sarnez se livrent :

François Bayrou et Marielle de Sarnez publieront en avril, quelques semaines avant les élections européennes, chacun de leur côté, un livre. Le président du MoDem dicte à son ordinateur (grâce à un système inédit) ses idées sur l'Europe en même temps qu'il tire le bilan des vingt premiers mois de Sarkozy. Marielle de Sarnez, vice-présidente, achève son «Petit abécédaire pour aimer l'Europe», conçu comme un dictionnaire.

http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2009/02/07/01006-20090207ARTFIG00127--bayrou-et-sarnez-se-livrent-.php

JDD 8 février L'équipe Bayrou pour les européennes

Le Monde 8 février Devedjian et Bertrand taclent Bayrou

Le Figaro 8 février Bayrou dénonce le retour de la France dans l'Otan

Le Point 8 février Devedjian et Bertrand critiquent Bayrou

L'express s'est contenté de reprendre la dépêche de Reuters déjà mis en ligne.