Le Modem dans les médias (divers)

François Bayrou en visite samedi à Mayotte

Dans le cadre de sa tournée des territoires de France, François Bayrou, président du Mouvement Démocrate, député des Pyrénées- Atlantiques, sera à Mayotte ce samedi 18 avril. A cette occasion, un point presse se déroulera en présence de François Bayrou et Abdoulatifou Aly, député de Mayotte samedi 18 avril à 12h au rstaurant le Foungounjou beach à Dzaoudzi-Labattoir.

François Bayrou, ventre à terre :

http://www.liberation.fr/politiques/0101562081-francois-bayrou-ventre-a-terre

François Hollande souhaite reparler d'alliance avec François Bayrou :

http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/04/16/francois-hollande-souhaite-reparler-d-alliance-avec-francois-bayrou_1181290_823448.html

Bartolone (PS): "Discuter maintenant avec Bayrou, c'est mettre les wagons dans le désordre" :

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/bartolone-ps-discuter-maintenant-avec-bayrou-c-est-mettre-les-wagons-dans-le-desordre_754443.html

Sur Bayrou, Hollande a "tout faux" (PS)

AFP
16/04/2009 | Mise à jour : 17:31

L'ancien ministre PS de la Défense Paul Quilès estime que François Hollande a "tout faux" en proposant à François Bayrou une "clarification des convergences et des divergences" et voit en cette proposition un "contre-pied" et "contre-temps". "L'ancien premier secrétaire du PS vient de proposer une démarche dont il est souhaitable que la direction du PS se démarque au plus vite", estime l'animateur du club "Gauche avenir", après une interview de Hollande à L'Express.
Hollande s'écarte "délibérément de la ligne fixée par le dernier congrès de Reims (le refus de l'alliance avec le centre)", "en pleine campagne des élections européennes, cette invite au dialogue à un concurrent, le MoDem, est pour le moins maladroite", écrit Quilès dans un communiqué intitulé "Contre-pied, contre-temps : François Hollande a tout faux".
"Plus fondamentalement et plus inquiétant, ne pas commencer par proposer une telle démarche à l'ensemble des forces de gauche est un +oubli+ qui dénote une absence de stratégie, malheureusement fréquente dans la gauche aujourd'hui", poursuit le responsable, qui appartient à la gauche du PS.
"Comment oublier qu'à la présidentielle, c'est toujours le camp le plus uni qui l'emporte! Il s'agira en 2012 de présenter un projet collectif en phase avec les attentes du peuple de gauche", lance-t-il. L'ex-ministre juge "urgent" comme il l'a proposé récemment avec Marie-Noëlle Lienemann, de "lancer un nouveau Front populaire", "la seule voie sérieuse pour organiser la victoire de la gauche en 2012".

Cohn-Bendit, candidat anti-Bayrou


L’ancien leader de Mai 68, qui mène une liste avec José Bové et Eva Joly aux élections européennes, vise avant tout à faire la différence avec le président du MoDem.
Le scrutin européen, c’est « sa » campagne. Depuis plusieurs semaines déjà, Daniel Cohn-Bendit enchaîne les meetings et les réunions pour son rassemblement des écologistes, son « ticket » avec José Bové et la juge Eva Joly, pour les élections européennes du 7 juin. Hier, après une conférence devant la presse étrangère, il a ainsi débattu dans une librairie de Montreuil (Seine-Saint-Denis) sur le « besoin de politique ».

Dans la vitrine du magasin, l’affiche est bien visible : « La librairie Folie d’Encre a invité François Bayrou, Olivier Besancenot, Daniel Cohn-Bendit, Bertrand Delanoë et Ségolène Royal. A ce jour, seul Daniel Cohn-Bendit a répondu favorablement. »
Ambitieux, Danny, tête de liste d’Europe Ecologie en Ile-de-France, vise au minimum les 10 %. Il sait qu’il doit se faire sa place entre le PS et le MoDem de Bayrou. Quand les socialistes et le centriste se retrouvent pour appeler à un vote sanction contre la politique de Nicolas Sarkozy, l’ancien leader de Mai 68 s’énerve. « Il n’y a rien de plus ridicule que d’appeler au vote sanction, gronde-t-il, ça ne veut rien dire. » Conscient que certains pourraient lui reprocher de ne pas assez taper sur le chef de l’Etat, Cohn-Bendit s’empresse de préciser que cela ne signifie pas qu’il est « pour Sarkozy ». « Nous sommes différents de lui, mais nous sommes aussi différents du MoDem et du PS. C’est cela qui peut faire notre attrait », espère-t-il.
Au coude-à-coude dans les sondages avec Bayrou (10 % pour le MoDem, 9 % pour les écolos, selon les instituts), Cohn-Bendit en fait une de ses principales cibles. Interrogé hier sur le peu d’intérêt suscité par cette campagne, il juge ainsi que Bayrou est un des responsables de cette situation. « Moi, je l’aime bien Bayrou, mais il sort un bouquin en pleine campagne des européennes, on se dit que cela va parler d’Europe, ironise-t-il devant une cinquantaine de personnes. Eh bien non, c’est pour dénoncer l’abus de pouvoir de Sarkozy. » Et Cohn-Bendit de reprocher au centriste de ne « penser qu’à la présidentielle ».

« Opposer les poissons et les pêcheurs ce n’est pas bien »

Mais alors que la campagne se déroule en pleine crise de l’emploi, le candidat franco-allemand peine parfois à convaincre ses interlocuteurs de l’utilité du vote écolo. « Opposer les poissons et les pêcheurs ce n’est pas bien, lui assène une participante au débat, l’ennemi ce sont les patrons. » Rattrapé par le chômage, Cohn-Bendit s’applique désormais à mettre en avant le volet social de son programme. Il appelle cela le « green deal » : face à la crise dans l’automobile ou dans la pêche, il propose un « revenu de transformation » permettant à ceux qui perdent leur travail d’être payés pour se former à autre chose. Jusqu’au 7 juin, Cohn-Bendit va multiplier les déplacements. Egalement porte-parole des Verts de toute l’Europe, il entame un marathon qui l’emmènera dans quinze pays de l’Union, une dizaine de villes françaises et une dizaine de meetings en Ile-de-France. Avec à chaque fois la même obsession : « Se différencier. »

http://www.leparisien.fr/politique/cohn-bendit-candidat-anti-bayrou-17-04-2009-481959.php

INDISCRET: Garde du corps/Bayrou craint pour sa sécurité

Selon Le Figaro, François Bayrou ne souhaite pas que lui soit retiré son garde du corps. Ainsi que nous vous l'annonçions hier, Nicolas Sarkozy entend retirer leur garde rapprochée à de nombreuses personnalités politiques, aujourd'hui peu exposées, comme les anciens ministres Pierre Joxe ou Michel Charasse, ou diminuer le nombre de gardes chez les plus visées.
Le président du Modem rappelle aujourd'hui qu'il fut désigné comme cible par l'ETA militaire à la fin des années 90. Conserver un garde du corps ne serait "pas vraiment un luxe" assure son entourage.

http://www.lesindiscrets.com/article-2141-indiscret-garde-du-corps-bayrou-craint-pour-sa-securite.html

EDITORIAL

par François MARTIN
Le mal Feu sur le quartier général ! Tel le Mao de la Révolution culturelle, François Bayrou a désigné l'homme à abattre. C'est le locataire de l'Élysée. "Monsieur 17 %" à la présidentielle ressort de son hibernation. Avec les européennes, le patron du MoDem refait causer de lui. Et fait parler la poudre. Sous le bras, son dernier livre, Abus de pouvoir , un brûlot anti-Sarkozy à paraître. Charge féroce contre celui qu'il espère affronter au 2 e tour de 2012. Mitterrand avait commis son « coup d'Etat permanent » pour se frotter au Général. Lui, le paysan sudiste aux mains lisses de professeur, choisit aussi son ennemi intime. Sarkozy ou le mal absolu. Le clan, l'argent, le parrain, la République en péril. Les mots à maux sont de sortie. Surtout faire plus fort que les socialistes. Car il n'a qu'une obsession : incarner aux yeux des Français l'alternative au chef de l'État. Le centriste deviendrait-il dangereux ? La droite, silencieuse et méprisante, revoit sa stratégie. Et passe à l'offensive. Guéant, Lefebvre, Bertrand pourfendent le Don Quichotte du Béarn. Seul Dominique de Villepin, l'autre alternative à Sarkozy incarnée, lui fait les yeux doux. Hollande qui lui tend une main, garde un couteau caché dans l'autre.
Bayrou n'en a cure. L'homme que « tout le monde continue à quitter » repart avec sa Rossinante sur les routes de France. Comme un pauvre cow-boy solitaire.

http://www.midilibre.com/articles/2009/04/17/20090417-EDITO-EDITORIAL-par-Francois-MARTIN-Le-mal-Feu.php5

MoDem: l'initiative de Hollande "juste"

AFP
17/04/2009

Le député PS Pierre Moscovici juge que l'initiative de François Hollande exhortant François Bayrou à "une clarification des convergences et des divergences" est "juste sur le fond". Sur son blog, le député du Doubs juge que cette position "tranche avec certaines hypocrisies, de la part de ceux qui jurent, la main sur le coeur, qu'ils ne pactiseront jamais avec le centre, alors qu'ils se sont alliés avec lui dans leur commune ou s'interrogent sur le deuxième tour des élections régionales".

"Elle ne propose pas un changement d'alliances: le PS est un parti de gauche, qui pratique le rassemblement à gauche, mais tient compte de l'évolution de François Bayrou, qui s'oppose avec virulence à Nicolas Sarkozy, et a voté à nos côtés la censure du gouvernement", écrit M. Moscovici.

Mais "pas naïf", l'ancien secrétaire d'Etat ajoute que "cette initiative de François Hollande n'est pas gratuite" et "poursuit le but de l'installer dans la course présidentielle".
L'ancien premier secrétaire du PS n'est "pas moins légitime qu'un autre pour ça", juge M. Moscovici, mais "on peut aussi s'interroger sur le choix du moment, alors que notre campagne européenne peine à démarrer".

Hollande dégaine Bayrou pour flinguer Aubry :

http://www.liberation.fr/politiques/0101562719-hollande-degaine-bayrou-pour-flinguer-aubry

Valls: Des états généraux avec le centre

AFP 18/04/2009

Manuel Valls, député-maire d'Evry (Essonne), suggère aujourd'hui d'organiser, après les Européennes de juin, des "états généraux de la gauche ouverts aux centristes et aux républicains" pour préparer les prochaines élections régionales.

Sur son blog, M. Valls, qui fut un des soutiens de Ségolène Royal au Congrès de Reims, juge que ce scrutin intermédiaire, qui doit se tenir en 2010, "aura une portée nationale déterminante".

"Je pense qu'il ne sera possible d'avoir une majorité d'idées et des convergences sur le fond qu'à partir du moment où le MoDem et François Bayrou auront engagé le dialogue et clarifié leurs positions face à l'UMP", écrit M. Valls, en écho à François Hollande.

Dans une interview au Point jeudi, l'ex-numéro un socialiste, François Hollande, avait appelé le parti centriste à clarifier ses "convergences et divergences" avec le PS. "Du côté du PS, j'ai la conviction que cette confrontation doit se faire sans sectarisme et se traduire par une stratégie d'alliance assumée qui ne soit pas à géométrie variable en fonction des configurations régionales ou des équations locales", commente pour sa part le député de l'Essonne.

Kahn, l'anti-Sarko

Par Marie QUENET, à Pont-à-Mousson
Le Journal du Dimanche On ne peut pas être plus différent de Sarkozy. Autoportrait de Jean-François Kahn, candidat aux européennes: "Je suis en tout point opposé à ce président : j'aime le vin et le fromage qui pue, Chirac m'est sympathique, je suis radicalement étranger au bling-bling, je ne me regarde pas à la télévision. Et je déteste la gauche caviar." La chanson française, tout de même?

Des points communs avec François Bayrou

Dominique de Villepin a l'intention de «rencontrer François Bayrou. On a en commun de se soucier de la France. Il est nécessaire que des hommes de gauche et de droite se parlent en cette période (de crise)».

http://www.leparisien.fr/politique/villepin-met-en-garde-contre-un-risque-revolutionnaire-19-04-2009-484566.php

Le Modem agite le PS :


L'initiative de François Hollande n'en finit pas de réveiller, à l'intérieur du PS, le vieux débat sur les alliances au centre. Dans une interview au « Point », l'ex-numéro un socialiste a appelé jeudi dernier le Modem à clarifier ses « convergences et divergences » avec le PS. Un appel perçu par certains comme une invitation à une alliance avec le Modem, qui a été froidement accueillie par l'aile gauche du PS. Ce week-end, deux autres voix se sont fait entendre. Le député PS Pierre Moscovici a jugé cette initiative « juste sur le fond », mais « pas gratuite » car visant à « installer » François Hollande « dans la course présidentielle ». Cette position « tranche avec certaines hypocrisies », reconnaît le député, mais « on peut aussi s'interroger sur le choix du moment, alors que notre campagne européenne peine à démarrer ». De son côté, le député Manuel Valls a suggéré d'organiser après les européennes des « états généraux de la gauche ouverts aux centristes et aux républicains » pour préparer les élections régionales. « Il ne sera possible d'avoir une majorité d'idées et des convergences sur le fond qu'à partir du moment où le Modem et François Bayrou auront engagé le dialogue et clarifié leurs positions face à l'UMP », écrit-il, en écho à François Hollande.

http://www.lesechos.fr/info/france/4855713-le-modem-agite-le-ps.htm

Bayrou critique Sarkozy et Royal

François Bayrou a jugé lundi tout aussi "déplacés" les propos prêtés à Nicolas Sarkozy sur José Luis Rodriguez Zapatero que les excuses présentées à l'Espagne par la responsable socialiste Ségolène Royal.
Pour François Bayrou, "c'est à la France qu'il faudrait faire des excuses" pour les déclarations de Nicolas Sarkozy lors de son discours de Dakar ou celles, démenties par l'Elysée, sur le président du gouvernement espagnol, José Luis Zapatero.

Le leader centriste s'est dit en "divergence assez forte" avec Ségolène Royal, dont la démarche est "totalement inappropriée". "Quand on présente des excuses, notamment au nom de la France, c'est qu'on est coupable. Or, la France n'est coupable de rien du tout dans les propos de Nicolas Sarkozy", a affirmé le président-fondateur du Modem lors d'une conférence de presse consacrée aux élections européennes à Paris.

"Les propos de Nicolas Sarkozy sont déplacés. Pour autant, la repentance quotidienne, l'expression du pardon ou la présentation d'excuses ne me paraît pas appropriée, a-t-il poursuivi. La propension d'un certain nombre de responsables politiques à se livrer quotidiennement à la repentance n'est pas la mienne."

http://www.francesoir.fr/politique/2009/04/20/bayrou-sarkozy-royal.html