crise financière et économique (mise à jour permanente)

Lagarde table sur une stabilisation de la croissance au 3e trimestre

Mme Irma a encore regardé dans sa boule de cristal.

Meuh non, elle a fait tourner la table avec ses copains à Londres

" Esprit de la croissance, es-tu là?"

Et après ça, au G2O, ils vont utiliser le ouija...et le rideau de fumée.
Abracadabra.....la croissance est passée par ici, elle repassera par là....

LaChouette a écrit:

Meuh non, elle a fait tourner la table avec ses copains à Londres

" Esprit de la croissance, es-tu là?"

Et après ça, au G2O, ils vont utiliser le ouija...et le rideau de fumée.
Abracadabra.....la croissance est passée par ici, elle repassera par là....

Excellent !

johanono a écrit:

A Seignosse, Henri Guaino fait le procès du capitalisme financier

A Seignosse, Henri Guaino brasse du vent, comme son patron.

libre a écrit:

johanono a écrit:

A Seignosse, Henri Guaino fait le procès du capitalisme financier

A Seignosse, Henri Guaino brasse du vent, comme son patron.

Quand-est-ce qu'on les branche sur le réseau électrique, ces éoliennes ?

Jean-Luc a écrit:

libre a écrit:

johanono a écrit:

A Seignosse, Henri Guaino fait le procès du capitalisme financier

A Seignosse, Henri Guaino brasse du vent, comme son patron.

Quand-est-ce qu'on les branche sur le réseau électrique, ces éoliennes ?

Bonne question. Surtout qu'elles ne sont pas les seules. Le gouvernement est un vrai parc à éoliennes.

libre a écrit:

johanono a écrit:

A Seignosse, Henri Guaino fait le procès du capitalisme financier

A Seignosse, Henri Guaino brasse du vent, comme son patron.

C'est vrai que Bayrou ne brasse jamais de vent, lui, il a toujours un programme très précis et très détaillé...

Ce discours de Guaino est pourtant d'une grande importance (encore faut-il l'avoir lu ou écouté).

Car Guaino a parfaitement raison quand il oppose le capitalisme financier (dans lequel ceux qui gagnent le plus d'argent seraient des spéculateurs dont le métier est d'acheter et de vendre des participations, titres et produits en tous genres, sans rapport avec la création de richesses) et le capitalisme entrepreneurial (où ceux qui gagnent de l'argent sont des entrepreneurs, qui ont créé et/ou développé leur entreprise, donc créé des richesses et de l'emploi).

Il est bien évident que la libéralisation des échanges, et notamment des marchés financiers, dans le courant des années 60 et 70, a engendré une mutation progressive, d'un capitalisme entrepreneurial vers un capitalisme financier dont on mesure les méfaits financiers.

Sur la question plus spécifique des traders, une des solutions consisterait à séparer les activités de banques de dépôts et de banques d'investissements, comme Maurice Allais l'avait proposé en son temps.

En effet, que des traders jonglent avec des milliards sortis d'on ne sait où, et fassent gagner ou perdre des milliards aux banques qui les emploient, dans l'absolu, tout le monde s'en fout. Le problème, c'est que ces banques qui ont perdu des milliards sur les marchés financiers sont les mêmes qui tiennent les dépôts et qui consentent des prêts. Autrement dit, la cagade des marchés financiers s'est propagée à ce que l'on pourrait appeler l'économie réelle, d'où la crise actuelle, et d'où l'obligation dans laquelle les gouvernements se sont trouvés d'aider financièrement les banques. En séparant ces deux activités, on aurait évité tout cela.

Le fil directeur du discours de Guaino consiste donc à opposer le travail (seul digne d'être récompensé) à la spéculation (qui ne mérite pas de l'être, et qui doit être combattue car elle contamine l'économie réelle). Tout ceci me semble empreint de bon sens. Il faudrait au contraire saluer un tel discours fondateur.

johanono a écrit:

C'est vrai que Bayrou ne brasse jamais de vent, lui, il a toujours un programme très précis et très détaillé...

Absolument. Ses discours sont frappés au coin du bon sens.

johanono a écrit:

Ce discours de Guaino est pourtant d'une grande importance (encore faut-il l'avoir lu ou écouté).

Je note en effet qu'il veut instaurer une taxe carbone sur les traders. Basée sur le CO² qu'ils émettent pendant le temps de travail ?

Le bon sens, c'est un peu court, comme programme politique... [/b]

johanono a écrit:

Le bon sens, c'est un peu court, comme programme politique...

Faut lire le reste, Johanono. C'est ce que tu conseilles aux autres mais sembles ne pas pratiquer toi-même.

http://www.bayrou.fr/opencms/opencms/propositions/

En outre, le bon sens est une base indispensable, que Sarko ne possède même pas !

johanono a écrit:

libre a écrit:

johanono a écrit:

A Seignosse, Henri Guaino fait le procès du capitalisme financier

A Seignosse, Henri Guaino brasse du vent, comme son patron.

Ce discours de Guaino est pourtant d'une grande importance (encore faut-il l'avoir lu ou écouté).

Ce ne sont que des mots, comme ceux prononcés par le nain. Mais les actes ne viennent jamais. Donc c'est du vent.

ns est une excroissance de guaino... et réciproquement.
tout ce qui est à lui est à l'autre !

johanono a écrit:

libre a écrit:

johanono a écrit:

A Seignosse, Henri Guaino fait le procès du capitalisme financier

A Seignosse, Henri Guaino brasse du vent, comme son patron.

C'est vrai que Bayrou ne brasse jamais de vent, lui, il a toujours un programme très précis et très détaillé...

Ce discours de Guaino est pourtant d'une grande importance (encore faut-il l'avoir lu ou écouté).

Car Guaino a parfaitement raison quand il oppose le capitalisme financier (dans lequel ceux qui gagnent le plus d'argent seraient des spéculateurs dont le métier est d'acheter et de vendre des participations, titres et produits en tous genres, sans rapport avec la création de richesses) et le capitalisme entrepreneurial (où ceux qui gagnent de l'argent sont des entrepreneurs, qui ont créé et/ou développé leur entreprise, donc créé des richesses et de l'emploi).

Il est bien évident que la libéralisation des échanges, et notamment des marchés financiers, dans le courant des années 60 et 70, a engendré une mutation progressive, d'un capitalisme entrepreneurial vers un capitalisme financier dont on mesure les méfaits financiers.

Sur la question plus spécifique des traders, une des solutions consisterait à séparer les activités de banques de dépôts et de banques d'investissements, comme Maurice Allais l'avait proposé en son temps.

En effet, que des traders jonglent avec des milliards sortis d'on ne sait où, et fassent gagner ou perdre des milliards aux banques qui les emploient, dans l'absolu, tout le monde s'en fout. Le problème, c'est que ces banques qui ont perdu des milliards sur les marchés financiers sont les mêmes qui tiennent les dépôts et qui consentent des prêts. Autrement dit, la cagade des marchés financiers s'est propagée à ce que l'on pourrait appeler l'économie réelle, d'où la crise actuelle, et d'où l'obligation dans laquelle les gouvernements se sont trouvés d'aider financièrement les banques. En séparant ces deux activités, on aurait évité tout cela.

Le fil directeur du discours de Guaino consiste donc à opposer le travail (seul digne d'être récompensé) à la spéculation (qui ne mérite pas de l'être, et qui doit être combattue car elle contamine l'économie réelle). Tout ceci me semble empreint de bon sens. Il faudrait au contraire saluer un tel discours fondateur.

Guaino ne fait que reprendre ce que d'autres ont dit avant lui. Tout ce qu'il raconte a déjà été dit. Il y a un an, il n'aurait jamais osé dire la moitié de ce qu'il avance aujourd'hui. On est même plus dans l'opportunisme mais dans l'air du temps où on peut soutenir quelque chose et son contraire à quelques mois d'intervalle. Enfin, la transformation du système financier à ce qu'il est aujourd"hui, date des années 80 pas des années 70-60. Bientôt on va accuser mai 68 !
Guaino est un spéciakiste de le bouillie intellectuelle qui consiste à réécrire l'histoire comme ça l'arrange.

Désindustrialisation de la France ?
Défense de nos industries stratégiques ?
Sauvegarde de notre compétitivité et de notre maîtrise des technologies avancées ?
Défense de nos emplois et de nos secteurs à "haute valeur ajoutée" ?

La Chine cherche à entrer dans le capital d'Areva
http://lemonde.fr/economie/article/2009/09/07/la-chine-cherche-a-entrer-dans-le-capital-d-areva_1236916_3234.html#ens_id=1234110

Les défaillances d'entreprises atteindront un pic cette année


.


Après les secteurs financier et immobilier, le commerce de détail, la restauration et la construction, l'industrie est touchée à son tour

Les banques françaises portent 64 milliards de crédits en difficulté, selon Goldman Sachs

18 septembre 2009


Une nouvelle étude publiée par Goldman Sachs détaille le volume des crédits en difficulté présents dans les bilans des principales banques européennes. Le montant total des Non Performing Loans (NPL), c’est-à-dire les crédits en défaut de paiement depuis 90 jours ou plus, est aujourd’hui de 440 milliards d’euros, en augmentation de 128 milliards, soit 41%, au premier semestre 2009. Les banques anglaises viennent au premier rang, avec 140 milliards de NPL, suivies par l’Italie avec 110 milliards, et la France avec 64 milliards.

Paris et Berlin demandent une taxe carbone aux frontières

Voici enfin une initiative intéressante. Espérons qu'elle soit couronnée de succès.

Pascal LAMY n'en veut pas.... Le socialo-ultra-capitaliste !

celui là aussi, on se demande comment il peut se dire PS... des fois, ça donne envie de vomir...

C'est pour ça que le PS est à manier avec précaution... c'est pour ça aussi qu'il ressemble comme deux gouttes d'acide à l'UMP.

pourleboss a écrit:

Pascal LAMY n'en veut pas.... Le socialo-ultra-capitaliste !

On critique l'UMP, on critique le PS, on critique Barroso... Et Bayrou, qu'en dit-il, de tout cela ?

On est pour une taxe carbone européenne.

Par ailleurs, dans le programme pour les européennes on proposait que les produits importés soient mis sur le même pied d'égalité que les productions locales.

Cette mesure cadre tout à fait avec la proposition en question.