Le Modem dans les médias (divers)

Réforme, bras de fer et point de vue de Bayrou

Extrait : Enfin, je salue l’analyse et la pertinence des propos tenus par François Bayrou sur les ondes de BFM TV qui m’ont semblé être les propos les plus censés tenus par un homme politique depuis le début de ce conflit. De plus, François Bayrou, en toute cohérence est également allé à l’Elysée plaider son point de vue.

Avec pour conclusion : Il y a certains Chefs et responsables centristes qui devraient en faire de même en ce moment. Leur silence est assourdissant.

Et il s'étonne...... Il doit commencer à regretter (de nous avoir quittés) , comme bcp d'autres !!

Sarkozy face à la rue: les coulisses d'une crise
Extrait :
C'est le moment que choisit François Bayrou pour atterrir. Rentré depuis soixante-douze heures d'un long déplacement au Japon et en Corée du Sud, le président du MoDem est très courtisé. Ce soir-là, il dîne avec Jean-Pierre Raffarin. Demain, il est invité à déjeuner par Michèle Alliot-Marie. Mais, en cette fin d'après-midi, c'est Nicolas Sarkozy qui l'a convié dans son bureau. A son retour en France, le député du Béarn a indiqué à un ami: "Je ne reconnais plus le pays dont je suis parti il y a dix jours."

Comment le public juge France Télévisions

Extrait :

Les électeurs du MoDem seraient des fans !

L'analyse des réponses par affiliation politique apporte une réponse suprenante. Les plus "pro-service public" seraient les électeurs du MoDem (à 90 %) ! Encore que TNS Sofres prévient que ce résultat doit être interprété avec prudence compte tenu de la faiblesse de l'échantillon. Les plus critiques se recrutent au sein des deux camps protestataires, le Front de gauche (31 %) et le Front national (32 %). Là aussi, prudence, prévient TNS Sofres.

Le MoDem ne suit pas

Extrait :

Mais le ministre de l'Environnement ne peut pas se prévaloir du soutien de l'ensemble du centre. Le MoDem lui reste farouchement opposé.

Le porte parole du MoDem Marc Fesneau rappelle que Jean-Louis Borloo est un membre à part entière de l'UMP, qui plus est ministre depuis des années. Et rappelle un exemple récent: "On a plus entendu Alain Juppé émettre des doutes sur la politique sécuritaire et la politique d'immigration du gouvernement que Jean-Louis Borloo qui a fait preuve d'un silence assourdissant: pas un mot de lui sur les retraites non plus."

Pour Marc Fesneau, "ce n'est pas la vocation du centre que de servir la stratégie de la droite, il ne sert pas de voiture-balai. Le centre dépend de lui même, pas du PS ou de l'UMP. Un radical valoisien, c'est quelqu'un qui en 2002 a fait le choix d'être en situation d'inféodalité avec la politique de droite", conclut-il.

Sans le MoDem, Jean-Louis Borloo va devoir désormais monter au front pour reprendre la tête dans une course de Matignon, qui révèle certainement encore des surprises.

Au centre

Bonne analyse !!