Le retour de Ravalomanana à Madagascar…

Ce qui ne peut être traduit que par LA RECONNAISSANCE de la France envers un pouvoir ILLEGAL et NON RECONNU au niveau de la Communauté Internationale.
PETITION ICI

par Midi MADAGASIKARA (sans commentaire)
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A ce qu'il semblerait un sitting est prevu devant l'Ambassade France à Mcar.
Suite à cette manifestation devant le Palais d'Ambohitsorohitra : L'ENSEMBLE DES PHOTOS ICI

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http://www.tananews.com/asides/francois-goldblatt-nouvel-ambassadeur-de-france-a-madagascar-remet-ses-lettres-de-creance-le-mercredi-23-janvier-2013/comment-page-1/#comment-127423


François Goldblatt, nouvel Ambassadeur de France à Madagascar

Le nouvel ambassadeur de France, François Goldblatt,
estime que

" Le retour de Marc Ravalomanana ne devrait pas avoir lieu avant les élections "

Un pavé dans la mare. Alors que le camp de l'ancien président Ravalomanana s'active pour le retour de son chef de mouvance
à Madagascar avant l'élection présidentielle, le nouvel ambassadeur de France, François Goldblatt, annonce
qu'"au nom de la logique d'apaisement", ce retour ne devrait pas avoir lieu avant les élections.

Est ce bien le rôle d'un Ambassadeur ?

http://www.tananews.com/2013/01/naika-eliane-replique-a-lambassadeur-goldblatt/

Naika Eliane : Réplique à l’Ambassadeur Goldblatt
25/01/2013



Monsieur l’Ambassadeur,

Votre dernière déclaration sur le retour au pays du Président Ravalomanana nous incite à réagir: Car, d’abord, elle viole la loi fondamentale malagasy qui régit la transition. Ensuite, ce sont des propos maladroits sur le plan diplomatique, car ils interfèrent dans les affaires d’un pays indépendant et ne respectent pas les pays africains chargés du dossier malagasy en vue de la sortie de crise.

1.Violation de la loi fondamentale

Je tiens à vous rappeler q’une feuille de route a été signée par une grande majorité des formations politiques malagasy et votée par le Parlement, puis insérée dans l’ordonnancement juridique malagasy pour devenir une loi fondamentale de l’Etat malagasy.

Cette feuille de route stipule dans son article 20 : « La Haute autorité de la Transition devra permettre à tous les Citoyens Malgaches en exil pour des
raisons politiques de rentrer à Madagascar sans condition, y compris, Monsieur Marc Ravalomanana. La HAT devra fournir la sécurité à tous les exilés malgaches rapatriés.»

Nous tenons à marteler que vous prenez position par rapport à un sujet très délicat et par vos propos, vous violez la loi organique de l’Etat Malagasy qui impose le retour sans condition du Président Ravalomanana.

2.Absence d’éthique diplomatique

Votre déclaration, au lieu d’apaiser, incite à la division et la haine dans un pays déjà fortement ébranlé par quatre années de crise et réconforte une partie des protagonistes dans leur obstination unilatéraliste et leur entêtement à ne pas appliquer la feuille de route dans son esprit et dans sa lettre.

Nous exigeons le retour du Président Marc Ravalomanana avant les élections, car nous estimons qu’il est injuste qu’Andry Rajoelina soit physiquement présent à Madagascar pendant les élections alors que Président Marc Ravalomanana ne le soit pas.

Il faut que le Président Marc Ravalomanana ne soit pas privé de jouer son rôle de chef de parti. Il doit être présent physiquement à Madagascar pour prendre en main les préparatifs pour son parti en vue des prochaines élections.

3.Manque de respect au principe de subsidiarité convenu avec le GIC (Groupe International de Contact) sur Madagascar.

Vous devriez savoir que la mise en application de l’article 20 sera discutée lors de la prochaine réunion de la SADC avec le GIC M (Groupe International de Contact sur Madagascar).

En émettant un avis sur ce retour du Président Marc Ravalomanana, vous interférez dans les prérogatives de ces organes et vous manquez de respect aux pays africains médiateurs de la crise Malagasy.

Si vous aviez émis la position officielle de votre pays, vous auriez dû la transmettre préalablement à ces organes par courtoisie diplomatique. S’il ne s’agissait que de votre position personnelle, vous avez failli à l’éthique diplomatique en la livrant publiquement, sans en évaluer l’impact que cela pourrait engendrer sur les relations franco-malagasy, étant donné que cela risque d’attiser la haine des malagasy vis-à-vis des français.

N’étant pas encore bien installé et imprégné des réalités du pays, vous vous permettez de prendre une position qui compliquerait encore davantage la recherche d’une sortie de crise paisible.

Sénateur NAIKA Eliane,
Présidente du groupe parlementaire des exilés et des détenus politiques au sein du CST
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http://earthobservatory.nasa.gov/NaturalHazards/view.php?id=80294

10:24
Intempéries, pluies violentes, vents forts, cyclone : beaucoup de maisons d’écroulent 30/01/2013

Et beaucoup de décès également.

18:30
Fermeture de l’aéroport de Toamasina 30/01/2013

17:47
Intempéries : le niveau des principaux cours d’eaux autour de Tana augmente à vue d’oeil 30/01/2013

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Date: 26-30 JAN 2013
Cyclone-4 FELLENG
ADV LAT LON TIME WIND PR STAT
1 -12.90 65.50 01/26/12Z 35 - TROPICAL STORM
2 -13.60 63.90 01/27/00Z 35 - TROPICAL STORM
3 -13.60 62.30 01/27/12Z 35 - TROPICAL STORM
4 -13.20 59.90 01/28/00Z 35 - TROPICAL STORM
5 -13.30 58.40 01/28/12Z 45 - TROPICAL STORM
6 -13.50 56.50 01/29/00Z 65 - CYCLONE-1
7 -14.10 54.90 01/29/12Z 90 - CYCLONE-2
8 -14.70 53.80 01/30/00Z 105 - CYCLONE-3
9 -16.20 52.60 01/30/12Z 115 - CYCLONE-4
+12 -17.60 51.80 01/31/00Z 120 - CYCLONE-4
+24 -19.20 51.40 01/31/12Z 125 - CYCLONE-4
+36 -20.80 51.40 02/01/00Z 120 - CYCLONE-4
+48 -22.30 51.60 02/01/12Z 115 - CYCLONE-4
+72 -26.20 52.50 01/02/12Z 105 - CYCLONE-3

https://www.facebook.com/pages/M%C3%A9t%C3%A9o-des-Cyclones/183273791725040

http://www.usno.navy.mil/NOOC/nmfc-ph/RSS/jtwc/satshots/13S_301130sams.jpg

La Méchante Bête ...
https://www.facebook.com/photo.php?v=10200435000341338&set=vb.302543479765060&type=2&theater

http://www.annoncesdelaseine.fr/index.php/2013/01/14/madagascar-une-democratie-en-peril-honni-soit-qui-%C2%AB-mali-%C2%BB-pense/#more-7653

Madagascar, une démocratie en péril : honni soit qui « Mali » pense

par Jacques Brouillet



La France et les Français sont certes préoccupés par des questions d’actualité graves, telles celles concernant le Mali ou Le Mariage pour tous.

Il y a cependant bien d’autres domaines pour lesquels le relai des media semble insuffisant alors que les enjeux sont tout aussi inquiétants. Ainsi, en est-il de la situation de Madagascar qui s’enlise depuis 4 ans dans une dérive institutionnelle alarmante et largement ignorée, alors qu’il s’agit d’une ancienne colonie a l’égard de laquelle nous ne pouvons rester indifférents.

Certes, Louis de Courcy vient de donner aux lecteurs de La Croix, le 7 janvier dernier, une information sur la situation économique tragique de l’Ile de Madagascar, qui appelle des précisions sur l’environnement politique… Ainsi, depuis quatre ans, ce pays n’a connu aucune élection ! Il vit dans un blocage politique complet, résultant surtout de la prolongation indéfinie de la HAT, haute autorité de transition, instaurée à la « hâte, début 2009 et donnant l’illusion d’un Etat de droit grâce à un referendum sur une nouvelle constitution, tardivement organisé en novembre 2010. Ce dernier a battu des records d’abstention qui devraient suffire à le discréditer, même si un résultat de 90 % nous aurait sans doute également laissés sceptiques !

Par la suite une « feuille de route », conçue en accord avec la SADC, a tracé la voie vers une sortie de crise et facilité la formation d’un gouvernement plus consensuel. Mais la situation n’est toujours pas débloquée. Elle s’aggrave au contraire, laissant présager le pire.

Depuis 2009, la justice, les finances, l’armée, l’appareil gouvernemental sont sous la coupe de personnages ambigus, lancés tels un TGV avec un jeune aventurier autoproclamé Président de la HAT (soutenu dit-on par la France et l’Eglise catholique ?) contre l’ancien Président élu, protestant, lié à l’Afrique du Sud et empêché de revenir dans l’Ile, au grand dame de ses partisans et d’une large majorité de l’opinion. Ceux-ci manifestent chaque jour pacifiquement dans une enceinte privée de la capitale. La confusion règne partout entre le domaine des affaires et l’arène politique. Cette situation sert, comme d’habitude, les intérêts d’une minorité de nantis, mais a des conséquences économiques et sociales dramatiques pour l’ensemble de la population. L’article de La Croix indique bien les chiffres d’une paupérisation accrue, la dégradation des équipements et des services publics. Il aurait pu citer aussi le boum anarchique de l’immobilier, le pillage des ressources naturelles (trafics de bois de rose ou autres, multinationales extrayant des minerais en polluant l’environnement) et le délitement accéléré des institutions, locales, régionales et nationales, gangrenées par une insécurité et une corruption généralisées.

Pour en revenir au blocage politique, il a des causes très objectives qu’il convient de rappeler brièvement à nos concitoyens, dès lors qu’elles concernent une ancienne colonie française, dont l’avenir ne peut pas nous laisser indifférents, en raison même de notre passé et de nos enjeux communs. Toute remonte au coup de force de militaires putschistes proches de l’Amiral Ratsiraka, le 17 mars 2009 à l’Episcopat, siège de la CEM (conférence des évêques de Madagascar), à l’occasion d’une médiation organisée par le FFKM (conseil des Eglises chrétiennes de Madagascar). Après quoi le maire d’Antananarivo, Andry Rajoelina, suite à de nombreuses manifestations violentes contre le Président Marc Ravalomanana, parvint à obtenir la destitution de ce dernier, qui a du se réfugier en Afrique du Sud. Les circonstances de ces évènements tragiques ne sont pas toutes éclaircies. Cependant ces manifestations étaient dirigées contre un président régulièrement élu ; les pillages et incendies dans toute l’Ile étaient ciblés d’abord contre les intérêts du groupe agro-alimentaire TIKO, fondé et dirigé par Marc Ravalomanana. Il ne s’agissait pas de foules en colère, mais de groupes orchestrés dans un dessein précis. La fusillade du 7 février 2009 devant le palais d’Etat d’Ambohitsorohitra, qui a fait une trentaine de morts, est sujet à polémiques. L’un des témoins les plus autorisés indique aujourd’hui de manière claire, au risque de sa vie, que les tirs ne provenaient pas du palais, d’ailleurs inhabité depuis quelques temps, mais de milices privées postées en embuscade aux alentours ; il cite les vrais instigateurs de la tuerie…

En outre, pendant quatre ans se sont multipliés arrestations et détentions arbitraires, jugements sans fondements juridiques, dont a même été victime un éminent juriste malgache, ancien Vice-Président de la CIJ. Le simulacre du procès de Ravalomanana, « prouvant » en son absence sa responsabilité directe dans la tuerie du 7 février 2009 en est un exemple flagrant. Les médias sont bâillonnés ou sous haute surveillance. Cependant, il y a plus grave. Les évènements de l’automne dernier dans le Sud de l’Ile, dénoncés par Amnesty International, annoncent une dérive dangereuse. Sous prétexte de contrer un mal endémique, le vol de zébus, l’armée est intervenue dans des villages, pillant, détruisant, violant, multipliant les exécutions sommaires au mépris de toutes les règles des droits humains. Ces faits sont révélateurs d’un pouvoir qui s’est installé par la force, contre le droit et qui s’y maintient depuis quatre ans de la même manière, au risque de fragiliser une société marquée par le respect des ancêtres et attachée à la non violence. Elle est désormais profondément divisée et traumatisée, livrée au banditisme et à la paupérisation.

Des instances nationales et internationales ont tenté de faire dialoguer les parties en présence. Des accords ont été signés, mais pas vraiment appliqués, de part l’unilatéralisme récurrent de la HAT. La dernière étape voudrait amener les deux principaux protagonistes à se retirer de la candidature aux présidentielles, annoncées pour le mois de mai prochain. Si Marc Ravalomanana a accepté cette recommandation, Andry Rajoelina ne l’a toujours pas fait, tout en se comportant à l’évidence comme le candidat providentiel. On peut s’interroger en outre sur la capacité des autorités de fait à préparer des élections transparentes, puisqu’elles sont issues d’un coup de force militaire ! Les listes électorales et la mise en place de la logistique de cette élection ne font pas l’unanimité. Beaucoup invoquent maintenant l’avènement d’une transition nouvelle incontestée, présidée par une personnalité intègre et compétente, reconnue aux niveaux national et international, qui serait une garantie pour l’organisation du processus électoral et la refondation de la nation sur des bases pérennes.

Il semble, dès lors, que le FFKM ait une carte à jouer, pour autant que le veuille bien la partie catholique, réputée proche de la HAT. En tout cas on ne peut que l’espérer, en dépit des fortes oppositions internes qui ont discrédité cette institution œcuménique ces dernières années et compromis son influence. On peut souhaiter aussi que la France manifeste davantage son soutien à ceux qui œuvrent sincèrement pour sauver une démocratie en péril. Il faut sortir maintenant de l’ambigüité et du double langage qui font le lit de la crise malgache. Est-ce possible, dans un pays où traditionnellement toute vérité n’est pas bonne à dire ? L’histoire nationale de Madagascar est faite de retours aux sources et d’étonnants rebondissements, qui devraient inspirer tous les vrais acteurs d’une sortie de crise, à condition que la priorité soit laissée au dialogue (le fihavanana), non à la force des armes et de ces monstres froids que sont les Etats (Vatican compris), dont la raison peut confiner aux pires dénis de justice.

Mais je voudrais conclure sur une note optimiste, confiant dans « le bon sens du peuple malgache » (on prête ce jugement à Jacques Chirac).

Spectateur extérieur, nullement mêlé au grand débat politique qui agite la Grande Ile, la SADC et diverses instances internationales, je fais le constat suivant, en dehors de tout parti pris : Madagascar est dans une impasse, qui invite à changer les aiguillages pour ne pas courir à la catastrophe et remettre sans plus tarder, le cap dans la bonne direction, attentif cette fois au « moramora malagasy ».

L’histoire est faite de retournements spectaculaires, qui sont le charisme des grands hommes d’Etat. De Gaulle en est un exemple illustre. Bien des noms pourraient sûrement être cités dans le cas malgache. La voie la plus sûre de la politique est loin du sectarisme ou des certitudes partisanes, mais dans le rassemblement, autre mot cher à la fois à de Gaulle et à Jaurès, cites comme références pragmatiques par Georges Pompidou. Ce serait sûrement une vraie porte de sortie pour la présente crise malgache.

Encore faudrait-il que l’Etat Français, et ses citoyens mieux informés, expriment davantage leurs attentes dans ce domaine

« Etre capable d’indifférence c’est être coupable de complicité »

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http://www.tananews.com/2013/02/calendrier-electoral-la-mouvance-ravalomanana-est-prete-pour-une-nouvelle-bataille/

Prête à relever le Défi Démocratique ...
Calendrier électoral : la mouvance Ravalomanana est prête pour une nouvelle bataille
5/02/2013




Mamy Rakotoarivelo, chef de délégation de la mouvance Ravalomanana a été ferme dans ses propos : « Nous n’accepterons pas que le calendrier électoral soit retouché pour la simple raison qu’Andry Rajoelina le demande ».

Ce front politique estime qu’il est déplacé de modifier un calendrier établi par une commission indépendante de concert avec la communauté internationale pour satisfaire un caprice. Par contre, si cette retouche est nécessaire du point de vue technique, la mouvance Ravalomanana ralliera la décision de la CENI-T.

Mamy Rakotoarivelo souligne que la commission électorale ne doit souffrir d’aucune influence politique pour éviter que sa crédibilité ne soit remise en question. Il prévient d’ores et déjà que la mouvance dont il est membre entend s’opposer fermement à cette modification si les motifs avancés par la CENI-T ne sont pas convaincants.

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le Genre de Phrases qu'il vaut mieux ne pas dire ...??

http://www.tananews.com/phrases/si-les-americains-ne-sont-pas-contents-la-route-pour-aller-a-ivato-est-ouverte-pour-quils-prennent-lavion-et-partent/

« Si les Américains ne sont pas contents, la route pour aller à Ivato est ouverte,
pour qu’ils prennent l’avion et partent »
12/02/2013


..........Par ici la sortie s’il vous plaît



Propos émis donc par Rolly Mercia , Ministre de la Communication
( Bras droit de Rajoelina ... )

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La Présidence de la Transition « inquiète » de l’avion US qui a atterit à Ivato
13/02/2013

( la présence de cet avion US est un défi lancé à Rolly Mercia suite à ses insultes ...?? )

Pendant ce temps ...


Le Quai d'Orsay reçoit La Mafia Malgache ... entre Amis


( J'ai visionné un film sur ARTE , sur le Groupe VEOLIA , et sa maniere de corrompre les Politiciens et les Syndicalistes ...
Le Groupe VEOLIA , Impliqué dans le Financement du Coup D'Etat Meurtrier de 2009 à Madagascar ... )

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http://ampitapitao.blogspot.fr/2012/10/bois-de-rose-les-preuves-du-scandale.html

BOIS DE ROSE: LES PREUVES DU SCANDALE!

le Tangalamena Patrick Zakariasy a fait des révélations sur les preuves qu'il détenait sur l'existence de trafics de bois de rose
Lors d'une conférence de presse tenue vendredi dernier, le Tangalamena Patrick Zakariasy a fait des révélations sur les preuves qu'il détenait sur l'existence de trafics de bois de rose ( avril 2012), impliquant directement un ami très proche de Rajoelina, en falsifiant des documents de transports des marchandises, avec la complicité de tous les acteurs de toute la filière (transitaires, douaniers, responsables de ministères...) pour rendre les opérations d'exportation possible. Ces preuves concernent seulement une opération...



Implication directe du Groupe SODIAT et de la société MAINLAND MINING dans ce trafic :

- Exportation de 10 containers d'Ilménite par MAINLAND avec SODIATRANS comme transitaire.

- A l'embarquement au niveau de la MICTSL, 10 lots d'ilménite constatés.

- Après embarquement, tous les dossiers nécessaires pour la déclaration en douane en Chine ont été modifiés pour 1252 unités de bois de Madagascar.

Il s’agit de fausse déclaration, de faux et usage de faux, de falsification de documents, de corruption et de trafic d'influence.

Lire les documents (http://www.tim-madagascar.org)


Lire aussi:

1-Trafic de Bois de rose/Scandale en lieu. Le nom de Mamy Ravatomanga, éminence grise du président de la Transition et la société Mainland Mining Ltd, gérée par des Chinois, sont cités dans une affaire de trafic illicite de bois de rose. Patrick Zakariasy, celui qui a découvert le pot aux roses, dévoile les différentes pratiques scandaleuses dans cette affaire impliquant le bras droit d’Andry Rajoelina.Les réalités derrière les légions de trafic illicite de bois précieux, que certains veulent mettre sous le boisseau, finit par s’éclater au grand jour

2-Bois de rose : Un «Tangalamena» dénonce Mainland et un milliardaire malgache

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http://www.tim-madagascar.org/forum/read.php?1,766662,766906,quote=1

BOIS DE ROSE: LES PREUVES DU SCANDALE!

La mafia UMP et son réseau à Madagascar : Maminiaina RAVATOMANGA, conseiller spécial du putschiste RAJOELINA se paie le Carré Chaptal à Levallois Perret, fief des BALKANY, avec l'argent sale du trafic de bois de rose !
Envoyé par: Cyclone Madagascar (Adresse IP journalisée)
Date: lun. 7 janvier 2013 17:51:49

Enquête sur le trafic de bois de rose de Madagascar : la filière mauricienne de ce parrain, "important homme d’affaires malgache" qui " bénéficie d’un réseau de protection à Madagascar" selon Paul BERANGER.
Effectivement, Mamy RAVATOMANGA a le pouvoir de sortir du territoire malgré une interdiction de sortie pour enquête judiciaire, de faire limoger un ministre, d'envoyer journalistes et prince en prison...

Rappel utile pour comprendre que Béranger désigne Mamy RAVATOMANGA, sans le nommer :
La Lettre de l'Ocean Indien N°1313 > [www.africaintelligence.fr]

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http://www.tananews.com/asides/la-mere-de-lalao-ravalomanana-est-mal-en-point-andry-rajoelina-constitue-le-dernier-obstacle-a-une-visite/

La mère de Lalao Ravalomanana est mal en point, Andry Rajoelina constitue le dernier obstacle à une visite
14/02/2013



Helmine Razaiarivelo, mère de Lalao Ravalomanana a été hospitalisée le 12 février dernier suite à une maladie cardiaque et une hypertension artérielle.

La mouvance Ravalomanana a formulé des requêtes pour que Lalao Ravalomanana puisse rentrer au pays pour rendre visite à sa mère.
Si le Premier ministre, le ministre des Forces armées et celui des Transports ont donné leur accord, Andry Rajoelina est d’un avis que le sujet mérite réflexion.


Il a par la suite refusé de recevoir Olga Ramalason, ministre appartenant à la mouvance Ravalomanana lors d’un rendez-vous préalablement convenu.

Menacée, la Représentante Résidente du PNUD, Fatma Samoura aurait renforcée sa sécurité.
Elle tiendra incessamment une conférence de presse à propos de la lettre qu’aurait envoyée Ban Ki Moon à Rajoelina.(http://www.tim-madagascar.org/)


représentante des Nations unies à Madagascar


Menaces de mort !

Mme Fatma Samoura, figure également dans le collimateur des partisans d’Andry Rajoelina.

Ils lui reprochent d’avoir imposé le report à la CENI-T d’Atallah Béatrice et d’avoir contraint celle-ci à publier le « calendrier électoral actualisé » sans avoir attendu le retour de New York du locataire d’Ambohitsorohitra. D’après nos sources, Mme Fatma Samoura est rentrée hier à 12h à Madagascar pour assister à une réunion que la CENI-T organisera aujourd’hui au CCI Ivato à l’attention de la communauté internationale.

Des indiscrétions ont permis de savoir que cette représentante résidente du Système des Nations unies à Madagascar aurait reçu des menaces selon lesquelles des troubles se produiront si la CENI-T et les Nations unies persistent dans le « calendrier électoral actualisé » qui fixe au 24 juillet le premier tour des présidentielles. La sécurité de Mme Fatma Samoura est renforcée depuis hier.

D’après nos sources, la représentante du Système des Nations unies tiendrait dans les jours qui viennent une conférence de presse pour apporter des précisions sur le message que Ban Ki-Moon aurait envoyé, via son secrétariat et l’ambassade de Madagascar aux Etats-Unis, à Andry Rajoelina. Message qui ne contrarie pas en fait la décision de la CENI-T qui a consulté toutes les entités signataires de la Feuille de route avant de reporter les échéances électorales.

http://www.tananews.com/2013/02/calendrier-electoral-ban-ki-moon-remet-andry-rajoelina-a-sa-place/

Calendrier électoral : Ban Ki-moon remet Andry Rajoelina à sa place
14/02/2013



« Il sera important de respecter le calendrier adopté par la Commission électorale nationale indépendante pour la transition (Cenit) », indique un passage de l’interview accordé par Ban Ki-moon. Ces précisions du 12 février dernier viennent balayer le château de sable érigé par le Président de la Transition pour contraindre la CENI-T à reconsidérer sa décision de reporter les dates des scrutins et de maintenir leur ordre.

Des questions se posent sur l’origine et surtout l’authenticité de la missive que Andry Rajoelina a présentée à Onitiana Realy vendredi dernier. Ambohitsorohitra semble se démener pour tenter d’imposer le projet du président de la Transition quant aux prochaines élections. Cette énième « maladresse » sur fond de panique démontre tout simplement quels politiciens sont dotés de mauvaise foi et à quoi ils sont prêts pour la réussite de leurs… calculs politiques.

Dans cette même interview, le Secrétaire général des Nations Unies a insisté sur l’application des mesures d’apaisement. « Il est également essentiel que la feuille de route 2011, destinée à mettre fin à la crise, en particulier les dispositions relatives aux mesures de confiance, soit pleinement mise en œuvre », a-t-il souligné. Une opinion qui présage déjà la proposition des Nations Unies à la prochaine réunion du GIC-M dont les membres sont convoqués par le CPS-UA avant la prise des dispositions concrètes pour l’application des mesures d’apaisement.

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http://www.tananews.com/2013/02/union-africaine-le-regime-a-jusquau-mois-davril-pour-faire-revenir-les-exiles-politiques/#comment-134237

Union Africaine : le régime a jusqu’au mois d’avril pour faire revenir les exilés politiques
15/02/2013



Le dossier Madagascar a été inscrit dans l’ordre du jour de la 335e réunion du CPS-UA à Addis-Abeba le 13 février dernier.
À l’issue de ce sommet, Le CPS-UA a imparti un délai jusqu’en débit avril pour que le régime de Transition applique l’article 20
de la Feuille de route.

Le Conseil de Paix et de sécurité de l’Union Africaine demande à la présidente de la Commission de l’Union de faire un rapport
sur l’évolution du processus de mise en œuvre de la Feuille de route à Madagascar. Ce rapport attendu pour le début du mois
d’avril permettra au Conseil de prendre les décisions adéquates par rapport aux sanctions qui frappent la Grande-Île.

En cas de constat d’inapplication des dispositions de la Feuille de route, notamment le retour des exilés politiques, l’Union Africaine
maintiendra la suspension de Madagascar des activités de l’Union Africaine. La sanction qui frappe les 109 acteurs et bénéficiaires
du putsch de 2009 devrait également être maintenue.

Le CPS-UA a malgré tout fait le constat de l’évolution positive de la mise en œuvre de la Feuille de route sous plusieurs plans,
dont la mise en place des Institutions de la Transition et la progression de l’organisation des élections. En ce sens, le Conseil
a exprimé son soutien à la CENI-T et à la décision de celle-ci d’actualiser le calendrier électoral. Le CPS-UA invite les classes
politiques prenantes à la Feuille de route à respecter les décisions prises par la Commission électorale pour assurer
des élections neutres.

Ce rapport du CPS a évidemment suscité des réactions de la part de la classe politique malgache.
Sans surprise, la mouvance Ravalomanana a salué le rapport et a profité de l’occasion pour insister
sur le retour au pays de Marc Ravalomanana.

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http://www.midi-madagasikara.mg/

Omer Beriziky donne son accord pour le retour de Lalao Ravalomanana.



Mahazoarivo donne son feu vert, tandis qu’Ambohitsorohitra refuse jusqu’à présent de se prononcer.

Le premier ministre du gouvernement d’Union nationale, Omer Beriziky, a confirmé sa position sur le retour de l’épouse
de l’ancien président en exil, dont la mère est hospitalisée depuis quelques jours à la Clinique des Sœurs à Ankadifotsy.

En effet, hier dans la matinée, en marge de la cérémonie durant laquelle le premier ministre a reçu à Mahazoarivo les ministres
africains de la Fonction Publique, il a déclaré qu’il n’est pas contre le retour de l’ancienne Première Dame. Par contre, il suggère
que la mouvance Ravalomanana en discute avec le président de la Transition pour trouver la solution négociée. A rappeler que les
ministres de la mouvance Ravalomanana ont plusieurs fois demandé de rencontrer Andry Rajoelina, mais ce dernier refuse jusqu’à
présent de les recevoir. La question a été évoquée par le vice-premier ministre Botozaza Pierrot lors du Conseil de gouvernement
de mardi, mais aucune décision n’est prise jusqu’ici.

Conseil des Ministres annulé. Le Conseil des Ministres d’hier aurait dû être une occasion pour le président de la Transition de trancher
sur la question devant le gouvernement. Malheureusement, ledit Conseil a été annulé. L’ouverture du Sommet des ministres africains
de la Fonction Publique qui se déroule depuis hier au CCI Ivato a été avancée comme motif officiel de cette annulation. Or, pour bon
nombre d’observateurs avertis, il y a deux raisons inavouées de cette annulation. Première raison, le président de la Transition évite
l’interpellation directe des ministres issus de la mouvance Ravalomanana sur le retour de Lalao. Deuxième raison, Andry Rajoelina
ne veut pas entériner le calendrier électoral actualisé publié par la CENI-T ; et ce, après avoir reçu le message spécial du président
de la Troïka, Jakaya Kikwete par le biais du ministre tanzanien des Affaires Etrangères, Bernard Membe.

Le Quai D'Orsay organise des Elections Truquées à Madagascar ...

http://www.tananews.com/phrases/all-the-conditions-set-in-the-roadmap-by-the-international-community-have-been-fully-implemented/

" All the conditions set in the roadmap by the international community have been fully implemented "
21/02/2013


« Un message très spécial »

Propos donc de Andry Rajoelina, rapportés par Tagie Daisy Mwakawago, de la cellule de communication du ministre tanzanien des affaires étrangères Bernard K. Membe.

« All the conditions set in the roadmap by the international community have been fully implemented » ou littéralement « Toutes les conditionnalités posées par la communauté internationale dans la feuille de route ont été réalisés ».

Vraiment ? Article 20 inclus ?
( retour sans Condition du Président Ravalomanana ...)
Les prisonniers politiques, les dédommagements…

Cela n’explique pas le but de son voyage et la visite exclusive à Rajoelina. Je persiste à dire que ce tanzanien a été contacté par Fabius (on se souvient que ce MAE a déjà consulté ce dernier à Paris il y a quelques mois) pour l’inciter à appuyer le « désir » de la france de ne laisser rentrer Ravalomanana qu’après les élections.

La Tanzanie n’est que le messager du Quai D'Orsay qui rapporte à Rajoelina les consignes que ce dernier a à suivre.
Pourquoi le Quai D'Orsay a organisé avec la Tanzanie les soi-disantes solutions de sortie de crise ?
tout ce que Le Quai D'Orsay a fait ce n’est pas apaiser pour sortir de la crise mais seulement de demander au président tanzanien d’influencer Ravalomanana à ne pas se présenter, de même pour Rajoelina.

... Le Quai D'Orsay organise des Elections Truquées à Madagascar

Fabius semble bien aimer les Tanzaniens ...
http://www.malango-actualite.fr/article/tanzanie__france-entretien_entre_laurent_fabius_et_jakaya_kikwete-9355.htm

Lundi 21 janvier à 12h30, le Ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, rencontrait le président tanzanien
Jakaya Mrisho Kikwete en visite officielle à Paris.


Laurent Fabius à l'issue de son entretien avec Jakawa Kikwete
© Ministère des Affaires Etrangères

Le Président de la Tanzanie est en visite officielle en France pour deux jours à l'invitation du Président français. Nul doute que
les discussions tourneront essentiellement autour de la crise malgache depuis que le Président de transition, Andry Rajoelina a
annoncé qu'il renonçait lui aussi à briguer la présidence lors de l'élection présidentielle toujours prévue en mai 2013, suivant en
cela la recommandation de la SADC et de la France.

La France et la Tanzanie, qui préside actuellement l’Organe politique de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC),
ont renforcé leur dialogue politique au cours des derniers mois. Laurent Fabius avait eu une entrevue fin novembre avec son
homologue tanzanien, Bernard Membe alors que les deux pays sont très impliqués dans la résolution de la crise malgache.
La Tanzanie préside la SADC (Communauté de développement de l'Afrique australe), acteur principal dans la médiation de sortie
d'une crise qui entre dans sa cinquième année dont elle a rédigé la feuille de route et en surveille l'application.

« A l’occasion de cet entretien, M. Fabius et M. Kikwete évoqueront les grands enjeux de la relation bilatérale franco-tanzanienne ainsi
que les principaux sujets de sécurité régionale et internationale, en particulier la situation politique à Madagascar et les crises qui
affectent la République démocratique du Congo et le Mali » dit le communiqué du quai d'Orsay.

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( Petit rappel pour Monsieur Fabius ... )

Comment appelle t on une Election dont l'Opposition est empêchée de se présenter ... ??

On appelle ça ... La Légalisation d'un Putsch

SaPa a écrit:

... ( On a les Amis qu'on mérite ... )

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Thierry Bonard : des troubles quelques jours après la publication des résultats provisoires des élections
22/02/2013

Thierry Bonard, concepteur du logiciel e-Fidy affirme avoir décelé de nombreuses anomalies sur la liste électorale.

Outre la présence abondante de doublons, il a remarqué que dans certains cas, 35 électeurs sont inscrits dans une même adresse.

Face à tant d’anomalies, Thirerry Bonard l’avènement de troubles dans les quelques jours qui suivront la publication des résultats provisoires des élections.