Déficit de l'état

juju41 a écrit:

non, c'est pire..elle a carrément

juju41 a écrit:

je ne peux résister à vous donner la citation mémorable de Mââme pécresse, ministre de son état..

""Quand on est aisé, on gagne plus, on possède plus"..; le 24 Aout 2011..

j'en suis toute esbaudie!

Jean-Claude Van Damme ne fait pas mieux.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/08/30/le-deficit-de-l-etat-revu-a-la-hausse-atteindra-95-7-milliards-fin-2011_1565591_3234.html

Leçons de morale

"Frauder, c'est voler". La nouvelle campagne de pub du gouvernement

Mais en haut de l'échelle, ils ne fraudent pas : ils profitent simplement des nombreux moyens qu'une législation « sur mesure » a mis à leur disposition, genre niches fiscales…

Si si ils fraudent quand même, ils font les deux

Mais eux n'appellent pas ça comme ça.

Ils profitent du moindre "vide juridique" ou ambiguïté dans les termes d'une réglementation. Et quand ça ne passe quand même pas, ils font appel à l'"indulgence" du fisc… ou utilisent leurs pistons pour faire retoucher les textes dans le "bon" sens.

et de 2 ( déjà la TVA sur les Parcs d'attraction) et maintenant..Bien le plan de réduction des niches.. restera que les niches des pauvres à réduire, comme d'hab..

Les députés décalent de trois ans l’entrée en vigueur de l’abattement sur les plus-values mobilières

Hollande vote la rigueur ... par erreur


ça m'étonnera tuojours ce genre d'erreur.; vu l'expérience du vote électronique de Hollande.; où alors serait ce un "acte manqué"?

Qui peut m'expliquer les différences de votes diamétralement opposés entre les sénateurs et les députés Modem sur les m^mes textes ?

Ainsi, pour "l'ensemble du projet de loi de finances rectificative pour 2011. " (aide à la Grèce et mesures de rigueur)voté à l'assemblée le 7/09 (scrutin 792)
Contre: 4

MM. François Bayrou, René Couanau, Daniel Garrigue et Jean Lassalle. (autres non votants)

Au sénat, le 8/09 (scrutin 278):
Pour : 26 - MM. Jean-Paul Amoudry, Jean Arthuis, Denis Badré, Claude Biwer, Didier Borotra, Jean Boyer, Mme Roselle Cros, MM. Marcel Deneux, Yves Détraigne, Mme Muguette Dini, MM. Daniel Dubois, Jean-Léonce Dupont, Mme Françoise Férat, M. Adrien Giraud, Mme Nathalie Goulet, MM. Pierre Jarlier, Joseph Kergueris, Mme Valérie Létard, MM. Hervé Maurey, Jean-Claude Merceron, Mme Catherine Morin-Desailly, MM. Jean-Jacques Pignard, Yves Pozzo di Borgo, Daniel Soulage, Jean-Marie Vanlerenberghe, François Zocchetto
Abstentions : 3 - Mme Jacqueline Gourault, M. Jean-Jacques Jégou, Mme Anne-Marie Payet


Ainsi, sur un texte fondamental, les memebres du "shadow cabinet "n'ont pas du tout voté pareil !!! (Badré, JMVLB pour), alors que FB votait contre !!!!!!



Quelqu'un peut-il m'expliquer , Vois, je ne vois pas d'explications !!!!! ou alors, sénatoriales ????

Pour commencer, le Modem, à la différence des autres partis, n'impose pas de consigne de vote.? ainsi chacun peut voter en fonction de sa sensibilité propre. Même si ça paraît bizarre d'avoir des votes contradictoires de membres d'un même parti, c'est en fait plus honnête.

Sachant que le groupe centriste des sénateurs est loin d'être un groupe Modem, une part importante serait même plutôt d'obédience NC.

Je ne sais pas si vous me comprenez bien, Jean Luc: F.Bayrou, D.Badré,J.Gourault, J.Lassalle,JMVLB, JJJ, M.Deneux, AM Payet sont tous Modem pur sucre (je ne parle pas des sénateurs UC)
ils votent tout à fait différemment sur la même question. A moins d'être un "idolâtre ", je trouve ces comportements tout à fait anormaux, d'autant qu'ils s'agit pour quasiment tous de dirigeants du même parti !!

C'est une spécialité du Modem ou quoi ? Des alliances à la carte, des votes à la carte ??? et vous voudriez convaincre les Français de quoi? De la cohérence, que diable !!

PB a écrit:

Je ne sais pas si vous me comprenez bien, Jean Luc: F.Bayrou, D.Badré,J.Gourault, J.Lassalle,JMVLB, JJJ, M.Deneux, AM Payet sont tous Modem pur sucre (je ne parle pas des sénateurs UC)
ils votent tout à fait différemment sur la même question. A moins d'être un "idolâtre ", je trouve ces comportements tout à fait anormaux, d'autant qu'ils s'agit pour quasiment tous de dirigeants du même parti !!

C'est une spécialité du Modem ou quoi ? Des alliances à la carte, des votes à la carte ??? et vous voudriez convaincre les Français de quoi? De la cohérence, que diable !!

Tu as bien lu ce que j'ai écrit ? On dirait que non…

Alors je me répète :

1. Les sénateurs que tu cites ne constituent que la minorité du groupe centriste sénatorial, le plupart des autres sont d'obédience NC.

2. Comme je l'ai dit, permettre de voter selon sa conscience et non selon la ligne du parti, ça paraît bizarre, mais au moins ce n'est pas faux-cul.

Celà n'empêche pas de penser très fort que ce n'est pas comme celà que le Modem sera visiible au niveau local ou national: j'en ai tous les jours des preuves tangibles au niveau du département 92 !Est ce que celà n'expliquerait pas "un peu beaucoup " que de 2007 à 2011, le Modem soit passé dans ce département de presque 25% à 4% ,et que les militants aient fondu comme neige au soleil, que les dirigeants se soient évanouis, et que des élus municipaux aient démissionné ou "tourné" casaque "(= devenu non-inscrit ou proche UMP ou écolo etc..)????

Bercy anticipe un déficit commercial de 75 milliards




Le déficit commercial de la France va pulvériser cette année son record de 2008 (56 milliards d'euros). Pierre Lellouche explique cette dégradation par l'envolée de la facture énergétique mais aussi par une perte de compétitivité de l'industrie.

Citation :

La planche à billets : solution contre la crise ?

Après avoir étudié les enjeux de la dette et les solutions qui peuvent être mises en place, la conclusion est simple : la monétisation est sans doute la seule voie viable pour l’Europe et la France. Mais quelles pourraient en être les modalités ?

L’austérité, seule, n’est pas une solution

En effet, la voie de l’austérité a toutes les chances d’être une voie sans issue dans les circonstances actuelles. Les niveaux de déficit et de dette sont trop importants et la croissance trop faible pour que les pays européens puissent mettre en œuvre des programmes d’austérité sans prendre le risque considérable de rentrer dans une déflation économique où la baisse des dépenses de l’Etat annihilerait toute croissance, sans pour autant parvenir à réduire les déficits à zéro.

Mais du coup, s’il n’y a pas de croissance et toujours des déficits, alors le poids de la dette va continuer à augmenter et la situation risque d’empirer au lieu d’être résolue. Car comment espérer la moindre croissance dans des pays où le volume des dépenses publiques va baisser en moyenne de 10% en trois à quatre ans alors que ces dépenses représentent en général la moitié de l’économie ? La demande privée pourra au mieux compenser, et encore…

La monétisation, la seule voie possible

Du coup, la solution pourrait être le refinancement des Etats par leurs banques centrales. Après tout, ces banques centrales refinancent depuis près de deux ans l’ensemble des établissements bancaire à des coûts dérisoires (1% ou moins aux Etats-Unis et en Europe). Pourquoi les banques centrales ne pourraient-elles pas prêter aux Etats, à 0% (ou un petit peu plus pour ne pas trop encourager le recours à la dette), ce qui serait une solution solide aux problèmes actuels. En effet, les Etats pourraient se passer des marchés, tout en économisant des intérêts.

En outre, cette solution préserve les intérêts des créditeurs actuels qui n’auraient plus de soucis à se faire sur la capacité des Etats à les rembourser, ce qui pourrait restaurer un climat de confiance plus favorable à la croissance. En outre, cette solution pose la question plus globale de la justification du système actuel qui refuse aux banques centrales de créer de la monnaie pour les Etats en Europe (ce qui n’est pas le cas aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne) et le permet aux banques privées.

Encore plus loin, la planche à billets ?

Au final, la solution préconisée par de plus en plus d’économistes apparaît assez raisonnable. Mais il y a une autre voie encore plus hétérodoxe, qui consisterait à faire carrément fonctionner la planche à billet, comme ce que fait épisodiquement le Japon depuis quelques années, c’est-à-dire créer ex nihilo de l’argent. Cette solution en épouvanterait beaucoup qui répondront en évoquant le spectre de l’hyperinflation. Cependant le contexte actuel amène à modérer ces critiques.

En effet, pour la première fois depuis longtemps, la masse monétaire a tendance à légèrement baisser. En outre, avec un chômage massif et des capacités de production sous-utilisées, le risque d’inflation est aujourd’hui totalement nul. Au contraire, un peu de création monétaire pourrait être le carburant pour relancer l’économie, l’éviter de sombrer dans la déflation et même légèrement relever le niveau d’inflation qui est sans doute un peu trop bas aujourd’hui.

Bref, au-delà des politiques d’austérité, dont on peut sérieusement douter de la capacité à résoudre nos problèmes, il existe d’autres solutions. Heureusement, elles commencent à émerger dans le débat public, indiquant aux citoyens qu’il y a d’autres issues que les politiques de Herbert Hoover.

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/archive/2010/06/06/la-planche-a-billets-solution-contre-la-crise.html

De toute façon, il faut avoir conscience qu'un pays comme la Grèce ne remboursera jamais sa dette. Alors est-il vraiment nécessaire d'enfermer ce pays dans des politiques d'austérité draconienne qui ne seront d'aucun d'effet et aggraveront même la récession ?

Les vraies questions à poser sont ailleurs. Pourquoi la Grèce, moins endettée que le Japon, doit-elle emprunter à des taux plus élevés que le Japon ? N'y a-t-il pas d'autres solutions que de financer les dettes souveraines sur les marchés financiers ?

Et si on réfléchit à tout ça, on se dit qu'il n'y a que deux solutions à la crise des dettes souveraines : la restructuration des dettes, et la planche à billets.

Pour le Japon, sa dette est detenue a 90% par des japonais (en France, 30% de la dette seulement est nationale je crois).
la dette japonaise est donc une affaire interne au Japon, et qui reflete d'ailleurs sa pyramide des ages.

La dette publique à 86,2% du PIB




et ça ne va pas s'arranger, malgré les "plans de rigueur"..( forcément, pour faire baisser le déficit artificiellement, on emprunte.. ça s'appelle de la cavalerie.. du Ponzi.; en général ça finit très mal..voir Madoff.. LOL!