[Sarkozyland] Toutes les déclarations, critiques, bourdes (chapitre 1)

Plutôt que Bagout, le ragoût médiatique?

... mais sans viande, ce n'est que du rata.

l en reste toujours la substantifique moelle!!

Laurent Wauquiez, porte-parole du gouvernement, a employé vendredi 24 août l’expression "la présidente". C’était le premier conseil des ministres de la rentrée. On peut dire que le ton est donné ! Ainsi, nous dirons désormais "le président" et "la présidente", comme on dit en monarchie "le roi et la reine".

extrait d'un article d'agoravox "socialisme et désordre"

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=28469

Et la maman du petit Nicolas deviendrait la « présidente-mère » ?

Le Dauphin Louis?

Comme il a été chargé par son papa en juillet de s'occuper d'une histoire de cétacé, c'est pratiquement déjà fait.

il parait que Sa Majesté vient dans sa Bonne ville de Blois demain...tout à l'heure je suis allée acheter mon journal, et il y avait quelques clients tout à fait ravis de la venue de la star, parmi eux des chomeurs et alcooliques chroniques qui sont tout contents, qui trouvent le bonhomme supergénial, ils ne savent pas pourquoi, mais on le dit à la télé...ça me fiche le bourdon, en plus j'ai eu le malheur de dire que je ne pouvais pas l'encadrer, réponse des quidams" fallait voter le Pen" , je leur ai répondi qu'il ya avait d'autres partis plus démocratiques, ils m'ont proposé Ségo mais pas un n'a pensé "Bayrou"," qui c'est y que celui là, avec ses grandes oreilles"....il y a du boulot sur la planche les amis...

Juju, le MoDem ne sera jamais le parti des piliers de bar... Faut pas se désoler comme ça!!

He oui, juju41, c'est un principe de la démocratie qu'il ne faut jamais oublier : un homme (ou une femme), une voix. Le vote du clodo de mon village a autant de poids que le vote du maire. Ton vote a autant de poids que celui de Notre Guide Bien Aimé.
C'est aussi pour cela qu'il faut trouver des arguments simples, voir simplistes, pour convaincre. Nous avons ici, sur ce forum, un niveau d'information qui n'est partagé que par quelques pourcent de la population...Et l'immense majorité vote plus avec ses tripes (ou son coude quand il faut le lever) qu'avec sa tête...

blog d'un jeune UMP

http://romainsoulas.canalblog.com/
01 septembre 2007
Une République Sarkoïzée avant une réforme des institutions

Nicolas Sarkozy avait prévenu qu'il interviendrait davantage. Nous voila servi. Si cette nouvelle pratique du pouvoir met fin à l'hypocrisie qui consistait à faire passer le PR pour un éternel absent, elle met à mal la vision traditionnelle de l'exercice du pouvoir. Sarkozy intervient tout le temps et sur tout. Les ministres font plante verte (ou potiche) pendant les déplacements et sont inaudibles. De toute façon ils n'ont rien à dire puisque c'est l'Elysée qui fait toutes les annonces. Quant au chef du Gouvernement, il essaie d'exister. Pas facile car même les collaborateurs du PR interviennent. C'est le cas du Secrétaire général de l'Elysée, véritable Premier ministre de l'ombre. Chose inédite, Claude Guéant donne même des interviews, tout comme Henri Guaino, conseiller spécial. Guéant sera demain dans le Grand Jury LCI RTL après avoir donné une interview en Juillet juste avant le discours de politique générale du PM. Fillon, qualifié de "collaborateur" par Sarkozy, commence à donner des signes d'agacement. « Un homme politique n'est jamais un collaborateur », a-t-il répliqué sur un ton pincé devant quelques journalistes conviés à Matignon. L'omniprésence du Président, dont même les bourrelets sont sujets à polémique, pose clairement la question de l'évolution du régime.

Il est urgent de clarifier la situation car elle n'est pas tenable. En affirmant "déterminer la politique de la nation" Sarkozy viole explicitement les articles 20 et 21 de la Constitution. Art 20 : "Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la Nation", art 21 "Le Premier ministre dirige l'action du Gouvernement". Comment prétendre sérieusement aujourd'hui que Fillon détermine et dirige quoi que ce soit dans le travail gouvernemental? De plus, je n'ose imaginer ce qui se passerait en cas de problèmes graves. Le PR n'étant plus protégé par le fusible de Matignon, il est directement exposé. Difficile dans ce cas d'intervenir en qualité d'arbitre et de garant de l'unité nationale, pour apaiser les esprits. En outre, participer à des réunions de l'UMP puis affirmer le lendemain être Président de tous les français n'est, à mon sens, pas compatible. Donc deux possibilités : soit Sarko change la Constitution soit il laisse un peu d'oxygène à son Gouvernement et à la majorité.
Avec la rentrée parlementaire, le PM reprend toute sa place et on se contente de redonner du pouvoir au Parlement. Lui permettre de gérer son agenda ne serait pas du luxe. Quant à la mission de contrôle du Gouvernement, elle doit être renforcée. La majorité doit avoir son mot à dire et ne doit pas servir uniquement à enregistrer sans broncher les décisons du Gouver...de Sarko. Ce dernier, si il est indéniable qu'il doit plus intervenir que Chirac, n'est pas non plus obligé de faire parler de lui tous les jours en annoncant une nouvelle loi à chaque fait divers.
Deuxième possibilité : on assume clairement la situation de fait et on la traduit en situation de droit. C'est à dire qu'on passe du régime semi-présidentiel au régime présidentiel avec suppression du PM et de la responsabilité politique du Gouvernement.

En fait, dans sa manière de gouverner, Nicolas Sarkozy avait toutes les qualités pour faire un excellent Premier ministre.........de Dominique de Villepin !


Posté par Romain Soulas

Sa merveille, Sa splendeur, sa Majesté Sarko est dans ma ville ce matin, voyez la page de la NR , la photo est rigolote, les flics devant l'enseigne de la Nouvelle République du Centre Ouest, serait ce un message subliminal de la rédaction, pour nous signifier sue la liberté d'écrire n'existe plus dans sa ligne éditoriale toute à la gloire de Notre Soleil vivant.

http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/pdf/20070904/15234142_NR_41N.pdf

Au sujet des « collaborateurs «, Fillon a dit :
« Un collaborateur, c'est quelqu'un qui est appointé par un patron. Je suis un homme politique. Un homme politique, c'est quelqu'un qui a des convictions, une légitimité : le suffrage universel. »
1) Je dois être idiot, car j'avais cru comprendre que le poste de premier ministre était assorti d'un salaire... Un salaire dont je me satisferais d'ailleurs volontiers.
2) Je dois être vraiment ignare, car j'ignorais que le premier ministre était élu au suffrage universel.
Ah si, suis-je bête : il est élu au suffrage universel du président de la République : un électeur, un votant, une voix, 100% des suffrages.

ben non, le vrai premier ministre, c'est Sarkozy donc il a bien été élu au suffrage universel...

04-09-2007
INFO ISUBWAY.En comité restreint dans les salons d’un grand hôtel parisien, Nicolas Sarkozy a dressé un premier bilan et affirme déjà sa volonté de se présenter en 2012… aux primaires de l’UMP !
Selon nos informations, Nicolas Sarkozy a profité d’une rencontre avec le premier cercle des financiers de sa campagne, ce lundi à l’Hôtel Bristol, pour revenir sur le bilan de ses 100 premiers jours puis annoncer ses prochaines intentions, en compagnie d’Eric Woerth, Ministre du budget, et de Patrick Devedjian, actuel secrétaire général délégué de l’UMP.

L’occasion pour le Président de la République de revenir sur sa précédente campagne, qui, avec 53% des suffrages au second tour, est jugée « mauvaise », compte tenu de son adversaire face à qui un meilleur score eut été possible. Dominique Strauss-Khaun aurait-il pu changer la donne ? Pour l’ancien candidat, c’est une certitude.

Des primaires même pour le Président !
Nicolas Sarkozy l’avait promis, il incarnera « le Président de la rupture ». Entre hyper-présidence, surmédiatisation, ouverture à gauche, le Chef de l’Etat reste fidèle à ses dires depuis le 6 mai dernier, quitte à en surprendre plus d’un. Sans doute inspiré par le modèle américain, appliqué pour la première fois en France par le Parti Socialiste pour les élections présidentielles de 2007, Nicolas Sarkozy a ainsi annoncé qu’il ne souhaite pas se porter directement candidat en temps que Président de la République aux élections de 2012, mais préfère que des primaires internes aient lieu à l’UMP, où il se portera bien entendu candidat, laissant à quiconque la possibilité de l’affronter en vue de devenir le candidat de la droite. Néanmoins, Nicolas Sarkozy préfère ne pas penser à sa réélection pour ne pas entraver son action.

Quant aux prochaines municipales, le ton est d’ores et déjà donné : renouveler les maires trop âgés qui n’auraient plus assez d’énergie et laisser place aux jeunes « qui ont faim ! ». Jean Tibéri pourrait d’ailleurs en faire les frais, puisque David Martinon, actuel porte parole du Président, pourrait être le candidat de l’UMP dans le 5e arrondissement de la capitale, même si l’ancien maire de Paris ne l’entend pas de cette oreille…

Fort de ses réussites dans de gros dossiers comme la fusion GDF-Suez, la libération des infirmières libyennes ou encore le sujet sensible de la justice, Nicolas Sarkozy pourrait très prochainement s’attaquer à la question des médias, jugeant qu’ « il n’est pas normal de payer la redevance pour de la médiocrité et des attaques ». Le service public, indirectement visé, pourrait bien être le précurseur d’un remaniement au sein de la direction, qui confirmerait alors les rumeurs qui circulent depuis quelques temps, quant aux pressions exercées sur Patrick de Carolis pour son départ, révélées par le Canard Enchaîné il y a quelques semaines.

Vous avez aimé Super Sarko dans la vie de tous les jours, alors vous aimerez Super Sarko héros de TV dans "Human Bomb" téléfilm relatant la prise d'otages de l'école de Neuilly .

Rien ne nous sera épargné...

http://www.leblogtvnews.com/article-12173445.html

Pas de problème : la rupture est là et bien là.

Dommage qu'elle ne soit pas là où il faudrait... mais là où s'en serait bien passés...

suite à la visite de Notre astre suprême dans ma ville de Blois , vous n'avez vu qu'un côté de la visite voici l'autre vu dans Agoravox...

La liberté d’expression en danger ?
Mardi 4 septembre, Nicolas Sarkozy s’est rendu à la halle aux grains de Blois pour présenter sa "Lettre aux éducateurs". Environ une heure avant son arrivée, les personnes venues pour tenter d’apercevoir le président furent les témoins privilégiés d’un fait des plus troublants opposant les forces de l’ordre à une dizaine de manifestants.



Les personnes venues assister au discours du président de la République à Blois ne furent pas déçues du voyage malgré l’interdiction d’entrer dans la halle aux grains ! Voyant que seuls des invités privilégiés pouvaient écouter le discours de Nicolas Sarkozy dans l’édifice de la Scène Nationale, les quelques personnes "anonymes", résignées, se postèrent le long des barrières, espérant au moins apercevoir le chef de l’Etat.
Parmi la foule accumulée à côté de la halle aux grains, une poignée de manifestants (des étudiants et des professeurs) attendaient eux aussi sagement l’arrivée du président. Alors qu’ils s’apprêtaient à déplier leurs banderoles (aux slogans ni violents, ni insultants), les forces de l’ordre leur ordonnèrent de garder celles-ci repliées. Un des manifestants, outré par cette interdiction abusive cria que la liberté d’expression était en danger afin que le reste de la foule présente s’aperçoive des étranges événements en cours. Pour une raison qui m’échappe, les forces de l’ordre se déployèrent, utilisèrent les matraques pour rabattre les quelque dix manifestants dans une rue adjacente pour ne plus être à la vue de la foule. Mais la foule s’aperçut rapidement de la tournure des événements et fut choquée par l’agissement des gendarmes et CRS. Avec plusieurs personnes nous avons tenté de prendre des photos pour garder une preuve de l’agissement des policiers mais nous fûmes rapidement stoppés par les forces de l’ordre.

Les Français ayant assistés à cet événement ont découvert avec stupéfaction les coulisses de la venue du président dans leur ville de Blois, où la liberté d’expression fut délibérément bafouée, afin de donner à Nicolas Sarkozy et à la presse une image homogène et accueillante de la foule, et ce au détriment d’un des droits de l’Homme les plus fondamentaux (*) .

(*) Premier alinéa de l’article 10 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales (extrait) :

"Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière(...)."

Dominique de Villepin part en guerre
contre Nicolas Sarkozy
NOUVELOBS.COM | 05.09.2007 | 12:37

"Ce n'est pas quand vous êtes entouré de 'béni-oui-oui', de cire-pompes et de courtisans que vous faites avancer un pays", déclare l'ancien Premier ministre, qui fait un parallèle entre le chef de l'Etat et le personnage de Molière.

L'ex-Premier ministre Dominique de Villepin a violemment critiqué le phénomène de cour autour de Nicolas Sarkozy mercredi 5 septembre sur France Inter, comparant le pouvoir politique actuel, auquel préside Nicolas Sarkozy, au Bourgeois gentilhomme de Molière. "Ce n'est pas quand on est entouré de 'béni-oui-oui', de cire-pompes et de courtisans que vous faites avancer un pays", a-t-il indiqué. L'ancien Premier ministre a défini "l'esprit de cour" comme "un virus dangereux". "La cour, c'est cette incapacité à se remplir de l'objectif pour exprimer le contentement permanent de celui qui le fait et le mettre en scène". "On est le pays de Molière, ne soyons pas dupe de la réalité des choses. Le Bourgeois gentilhomme est une pièce qu'il faut voir et revoir" a affirmé Dominique de Villepin.

Pouvoir consacré

Interrogé sur la personne tenant le premier rôle de la pièce sur la scène politique actuelle il n'a pas donné de nom mais a précisé : "c'est toujours celui qui se met en scène, celui vers qui les regards se tournent", avant de faire allusion au livre de Yasmina Reza consacré à Nicolas Sarkozy. "Le pouvoir n'est pas fait pour être ainsi consacré, il est fait pour rendre des comptes", a-t-il dit.
"L'homme de pouvoir en France est toujours mis dans la position d'être flatté", a-t-il observé, en souhaitant que "les amis de Nicolas Sarkozy soient capables de lui dire les choses, de lui donner un autre son de cloche".

Critique

Dominique de Villepin s'autorise la critique du gouvernement tout en s'affirmant "dans la majorité. "Je suis dans une majorité, dans un pays où il n'y a plus d'opposition et dans cette majorité j'estime que nous devons porter la critique" a indiqué l'ancien Premier ministre. "Je vais vous citer ma référence : c'est Nicolas Sarkozy. J'ai été dans un gouvernement où Nicolas Sarkozy n'a pas arrêté de dire qu'il fallait animer le débat" a affirmé Dominique de Villepin avant de préciser : "Il avait raison, et je suis celui qui remplit le rôle d'aiguillon d'une majorité qui ne doit pas s'endormir sur ses lauriers."

Comme prévu, après avoir neutralisé le PS, c'est dans les rangs de l'UMP elle-même que se lève l'opposition.

Alors ça, c'est envoyé !!!!

Et de la part de de Villepin, ça fait mal aux fesses

La vengeance est un plat qui se mange froid... Si de Villepin n'est pas condamné, vous pensez qu'il rejoindrait le MoDem?

par www.lemonde.fr

Mercredi 5 septembre 2007

Trop seul

Le Monde / Éditorial

Nicolas Sarkozy est convaincu qu'il ne doit qu'à lui-même sa victoire électorale du mois de mai. Et il ne s'en cache pas. Depuis qu'il est installé à l'Elysée, le chef de l'Etat s'est persuadé, de la même façon, qu'il ne peut compter que sur lui-même pour diriger l'entreprise France, dont il se veut le patron. Au point d'y exercer toutes lesfonctions : président, directeur général, directeur industriel et financier, directeur des ressources humaines, responsable de la communication, porte-parole, voire contremaître si nécessaire.


Au moment de partir en vacances, cet été, il avait prévenu ses ministres que cela allait " repartir très fort à la rentrée ". Les voilà servis, et les Français avec. Depuis son retour à Paris, le 20 août, le président de la République a occupé la scène avec une énergie et un rythme à couper le souffle. Pas un jour sans initiative, sans projet lancé, sans discours peaufiné, sans commission installée, sans chantier inauguré.

Grand pourfendeur de pédophiles le mardi, grand consolateur des drames de la mer le jeudi, grand diplomate le lundi devant les ambassadeurs, grand ami du patronat quelques jours plus tard, il consacre son week-end à marier Gaz de France et Suez. Sans oublier de préparer la rentrée scolaire en mettant la dernière main à la " Lettre aux éducateurs " que, moderne Jules Ferry, il va adresser à tous les professeurs de France et de Navarre pour leur expliquer, s'ils l'avaient oublié, le sens de leur mission et de leurs responsabilités.

Comme grisé par la vitesse qu'il a imprimée à sa propre action - et par les sondages qui témoignent que les Français n'y sont pas insensibles -, le président de la République a-t-il pris la mesure du risque qu'il prend à s'exposer ainsi ? Il a été élu pour " faire le job " et pour " gouverner ", ne cesse-t-il d'objecter. Très bien. Pour autant, cela peut-il se faire sans équipe et sans confiance dans les hommes et les femmes qu'il a nommés pour l'épauler ?

Or c'est là que le bât finira, tôt ou tard, par blesser. Peu importe, à la limite, que l'article 20 de la Constitution (" Le gouvernement détermine et conduit la politique de la Nation " ) soit réduit à rien. Mais il est périlleux, pour le président de la République, de n'être plus entouré que de ministres tétanisés, le petit doigt sur la couture du pantalon. De même, il est humiliant de qualifier le premier ministre de simple " collaborateur ", comme François Fillon n'a pas manqué de le faire respectueusement remarquer.

Il n'est pas ici question de sollicitude à l'égard des intéressés. Mais de démocratie. Aucun homme, aussi talentueux soit-il, ne peut suffire à tout. Sauf à verser dans un exercice dangereusement solitaire du pouvoir.

La cote de confiance de Sarkozy recule de 4 points à 61%, selon CSA
Publié le jeudi 6 septembre 2007 à 14H11


La cote de confiance de Nicolas Sarkozy recule de quatre points en août, à 61% contre 65% le mois précédent, selon le baromètre CSA pour La Vie et France Info rendu public jeudi.


Trente-trois pour cent (+ 4 points) des personnes interrogées déclarent ne pas faire confiance au président de la République pour affronter les problèmes qui se posent au pays, contre 29% un mois auparavant. 6% ne se prononcent pas.

La cote de confiance du Premier ministre François Fillon est également en recul. 53% (-3) des personnes sondées affirment lui faire confiance contre 56% il y a un mois. 39% contre 34% précédemment déclarent ne pas lui faire confiance. 8% ne se prononcent pas.

Selon Stéphane Rozès, directeur adjoint de CSA, cette baisse de la cote de confiance de l'exécutif touche de la même manière l'électorat de gauche et celui de droite. Le recul se produit davantage parmi les classes moyennes (-11 points) que dans les catégories populaires (-4) et il est surtout marqué chez les plus diplômés (-10).

"La présidentielle (...) s'éloignant, l'opinion commence à quitter l'imaginaire présidentiel de la campagne pour regarder la lisibilité et l'efficacité de la politique gouvernementale", commente M. Rozès.

Sondage réalisé par téléphone les 29 et 30 août auprès d'un échantillon national représentatif de 954 personnes âgées de 18 ans et plus (méthode des quotas). Notice détaillée consultable auprès de la Commission des sondages.

C'est une descente sévère.

Les coups bas internes à la dream team ne vont pas tarder.

restons vigilants....

Sa Grandeur (!) Suprême, vient voir "ces cons de Bretons" mardi 11 septembre (quelle date!) à Rennes. Les "cons de Bretons" vont lui constituer un comité d'accueil, la veille (parait qu'il faut demander l'autorisation pour se réunir dans la rue maintenant, j'ai fait 68 on a pas demandé la permission, on a pris le droit!) bref le jour-même tout sera bloqué 600m à la ronde mais je suis sûre qu'il y en aura qui arriveront à passer, du moins je l'espère

manif en Bretagne