NC : Nouveau Centre

merci de remettre les articles , LIBRE!

Les liens y sont, Juju.

c'est ce que j'ai dit! mais j'aurais du mettre " d'avoir remis les articles", pardon Maitre!

juju41 a écrit:

c'est ce que j'ai dit! mais j'aurais du mettre " d'avoir remis les articles", pardon Maitre!

Pour faire simple, j'ai cité ton message et viré les balises Quote pour y ajouter mes commentaires persos en rouge. Sinon avec la connexion Internet et le matériel informatique que j'ai sous la main, j'allais y passer 2 heures.

Nouveau Centre - François Sauvadet : "Le retour à l’équilibre en 2012 ne sera pas possible"
Thomas De Rochechouart, le lundi 29 septembre 2008 à 04:00




A l’occasion des journées parlementaires du NC qui démarrent aujourd’hui à Beaune, François Sauvadet évoque ses relations tourmentées de son groupe avec les députés UMP.


FRANCE-SOIR. Quelle est votre réaction après la présentation du budget ?
François SAUVADET. C’est un budget sincère et responsable. Dans un contexte économique difficile avec une crise financière dont on ne connaît pas précisément l’onde de choc, il faut continuer à faire des efforts pour réduire les dépenses. Mais l’augmentation des déficits est dans le même temps inquiétante. Le groupe Nouveau Centre fera donc des propositions lors des débats à l’Assemblée pour revoir notamment le dispositif d’allègements de charges sur les salaires pour les grandes entreprises.

L’engagement d’un retour à l’équilibre budgétaire en 2012 est-il réaliste selon vous ?
Il faut dire la vérité aux Français, ce ne sera pas possible. Ce contexte de crise doit donc nous mener à une réflexion sur le rôle de l’Etat. L’Etat ne peut pas tout faire, il doit devenir à la fois plus léger et plus efficace. En cela, je suis favorable à la fusion des départements et des régions, et à la réunion des communes et des groupements de communes. Je propose aussi de lancer un pacte territorial de services entre les collectivités et l’Etat. Plus les temps sont difficiles, plus il faut continuer les réformes. Pour cela, il faut un vrai dialogue au sein même de la majorité.

Ce dialogue fait-il défaut pour le moment ?
Il existe de manière permanente avec le président de la République et le Premier ministre dont je salue l’écoute. Les députés du Nouveau Centre ne regrettent pas leur choix, nous sommes bien dans la majorité. Il faudrait maintenant progresser au niveau des groupes. J’ai beaucoup d’amitié pour Jean-François Copé, mais l’amitié et la politique, ce n’est pas pareil. Je l’invite donc à travailler en collaboration avec l’autre partenaire de la majorité sur les rapports, les amendements. Il faut mettre un terme à cette méthode de Rappetout consistant pour le groupe UMP à reprendre à son compte les propositions du Nouveau Centre. Partenariat, cela veut dire aussi partage de l’exercice des responsabilités. Nous avons quatre ministres, des présidences de commission au Sénat, il serait normal que le NC assume également une présidence de commission à l’Assemblée.

Jean-François Copé a récemment déclaré qu’il « donnait de sa personne » pour venir à vos journées parlementaires. Comment avez-vous accueilli ses propos ?
C’est une expression maladroite et malheureuse. Je n’ai pas envie de la commenter.

Ces journées parlementaires seront l’occasion pour vous d’affirmer l’identité du NC face à un embouteillage de mouvements au centre ?
Je vais mettre des panneaux directionnels : au centre, il y a ceux qui ont fait le choix de l’UMP et du parti unique ; ceux qui ont fait le choix de la gauche et de l’opposition, avec le Modem. Enfin, nous avons fait le choix d’un parti de centre-droit libre et indépendant. L’identité du Nouveau Centre existe, ce n’est pas une construction artificielle. Lors de ces journées parlementaires, où nous avons invité les 14 ministres qui ont fait un dialogue nourri avec notre groupe, nous entendons participer à la réflexion de la majorité. Nous publierons une enquête BVA avec cette question : quel est l’état du moral des Français ? Enfin, nous aurons des tables rondes sur trois sujets majeurs : les mutations économiques, le vieillissement de la population et le pétrole cher.

Qu’en est-il des désaccords avec Hervé Morin sur une alliance avec les libéraux de l’UMP ?
On en a discuté très longuement, et nous partageons désormais la même vision : il n’est pas question de reconstituer les ligues dissoutes. Le Nouveau Centre est l’aiguillon social et réformiste de la majorité. Ce n’est pas notre choix de chercher des alliances avec des sous-chapelles de l’UMP. Mais bien entendu, ceux qui veulent nous rejoindre parce qu’ils sont malheureux là où ils sont le peuvent… Nous avons décidé de la mise en place, avec Michel Mercier et Jean-Léonce Dupont, d’une coordination permanente des groupes Union centriste au Sénat et Nouveau Centre à l’Assemblée. Et je souhaite un dialogue plus construit avec l’ensemble du groupe UMP.

"parti de centre-droit libre et indépendant" est un oxymoron.

A part ça, ils ont raison : ils sont vachement bien dans cette majorité qui adoube le copinage au plus haut sommet de l'Etat, les tests ADN, les cadeaux faits aux plus riches et la taxation des classes moyennes et pauvres, etc. Je ne savais pas que c'était des idées centristes.

Il faut que je me replonge dans mon vieux manuel du parfait petit centriste. J'ai dû sauter des chapitres.




Quant à la coordination des groupes centristes du Sénat et NC de l'Assemblée décidée avec Mercier, wait and see.

Les rats quittent le navire?

Budget 2009 : le Nouveau Centre en porte-à-faux
[ 30/09/08 ]


Il faut rendre justice à Hervé Morin : le Nouveau Centre - qui a ouvert hier soir en Côte-d'Or ses journées parlementaires - est bel et bien, à certains égards, l'héritier de l'ancienne UDF. Comme la précédente formation de François Bayrou au début de la dernière législature, le parti du ministre de la Défense est en permanence contraint de jongler entre ses convictions et son appartenance à la majorité présidentielle. Au risque de faire parvenir à l'opinion un message brouillé, donc peu audible. En témoignent son malaise après le discours de Nicolas Sarkozy à Toulon et la présentation du projet de budget 2009, jugé « réaliste », « sincère » et « respectable » alors qu'il laisse filer le déficit budgétaire et repousse après 2012 le retour à l'équilibre des finances publiques, principale antienne centriste. « C'est le fil rouge de notre engagement politique », écrivait en janvier dans « Les Echos » François Sauvadet, le chef de file des députés Nouveau Centre. Il y a quelques mois, le parti s'était déjà vu refuser par l'UMP l'inscription dans la Constitution de l'interdiction d'adopter des budgets déficitaires en fonctionnement.

« Un début de divorce »
En interne, les dents grincent. A commencer par celles de Jean Dionis du Séjour, le député du Lot-et-Garonne et vice-président de la commission des Affaires économiques de l'Assemblée, l'un des rares à avouer tout haut son embarras. « Il y a vraiment, sur cette question, un début de divorce entre l'UMP et nous. Eux sont obnubilés par le fait de ne pas augmenter les impôts. Nous, par les déficits. Si leur maîtrise passait par la hausse de la pression fiscale, nous nous y résoudrions », lâche-t-il, s'inquiétant « des incohérences d'Eric Woerth » et s'interrogeant même, dans ce contexte économique difficile, sur le 1,5 milliard d'euros alloué au RSA.

Soucieux de montrer qu'ils n'ont « pas avalé [leur] chapeau », les responsables du Nouveau Centre insistent plutôt sur le fait qu'ils ont été entendus. Ils font valoir qu'ils ont fait évoluer la majorité sur le plafonnement global des niches fiscales et que la baisse des prélèvements obligatoires est une bonne chose : « Nous avons toujours dit qu'il ne fallait pas les réduire tant que les finances publiques n'auront pas été redressées », insiste Charles de Courson, député de la Marne et porte-parole du groupe centriste sur les questions budgétaires.

S'ils préconisent à terme une vraie réforme de l'Etat, François Sauvadet et ses troupes promettent surtout d'être vigilants pendant la discussion budgétaire. Avec l'espoir de convaincre le gouvernement d'accepter ses amendements sur les exonérations de charges. Pour que le déficit budgétaire « n'augmente pas », le Nouveau Centre préconise de ramener le point de sortie des allégements de charge sur les bas salaires de 1,6 à 1,5 SMIC et de « supprimer ou réduire fortement » les exonérations de charges patronales sur les très grandes entreprises, dont l'effet de levier ne serait « pas avéré ». Problème : Nicolas Sarkozy a déjà dit « non », à Toulon, expliquant que « ce ne serait pas reprendre un cadeau fait aux entreprises » mais « contribuer à détruire de l'emploi ». Pour les « grandes entreprises capitalistiques », assure Charles de Courson, « le chef de l'Etat se trompe ».


http://www.lesechos.fr/info/france/4778640.htm?xtor=RSS-2010

Réforme collectivités: Copé (UMP) propose au NC de travailler "main dans la main"
BEAUNE (AFP) - 30/09/2008 06h30

Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, a proposé lundi soir aux députés du Nouveau Centre (NC) de travailler "main dans la main" sur la réforme des collectivités locales, lors des rencontres parlementaires du NC à Beaune (Côte d'Or).
Le chef de file du groupe majoritaire à l'Assemblée a en revanche affirmé devant la presse qu'il serait "compliqué" de laisser au NC une présidence de commission, comme ce dernier le demande, lors d'un dîner aux Hospices de Beaune en présence d'une dizaine de ministres.
Si les députés du Nouveau Centre ont ressenti "un début d'arrogance" de la part de l'UMP, "c'est que peut-être on avait été un tout petit peu maladroits", a déclaré M. Copé.
Il répondait aux critiques du groupe NC, qui a récemment accusé l'UMP de "mauvaises manières" et l'a appelé à respecter le "pacte de majorité" conclu avec Nicolas Sarkozy.
"Parmi les résolutions de rentrée il y a l'idée qu'on doit travailler beaucoup plus ensemble", a ajouté M. Copé, citant l'exemple de la réforme annoncée des collectivités locales.
"Je souhaite que les UMP et les centristes travaillent la main dans la main sur une réforme très concrète, qui concerne le fait de supprimer ces échelons qui se multiplient entre les départements et les régions", a-t-il dit.
Interrogé par la presse sur la demande du NC, qui souhaite obtenir la présidence d'une des deux nouvelles commissions parlementaires qui seront créées dans le cadre de la révision constitutionnelle, M. Copé s'est montré plus réticent.
"Ca c'est compliqué", a-t-il répondu. "J'ai dans ce domaine-là beaucoup de candidatures au sein du groupe (UMP)". "Mais il y a 1.000 manières de travailler ensemble, faire en sorte par exemple que les députés centristes soient rapporteurs de texte, qu'ils soient en initiative, qu'on reprenne leurs propositions", a-t-il ajouté.
François Sauvadet, président du groupe NC à l'Assemblée, a pour sa part maintenu sa demande, affirmant devant la presse qu'il en ferait un "casus belli" si elle n'était pas satisfaite.

Main dans la main pour les caresser dans le sens du poil et les amadouer. "Là, gentil, calme, le toutou... Il veut un os le toutou ? Oh oui ! Il aime ça les nonosses le toutou".

oui, mais Toutou va bientôt mordre la main de son maitre voir l'article sur le budget 2009, un peu au-dessus....

juju41 a écrit:

oui, mais Toutou va bientôt mordre la main de son maitre voir l'article sur le budget 2009, un peu au-dessus....

Oui mais pas trop. Sinon son maître pourrait décider de le faire piquer.

un coup de pied au derrière et à la niche...sans os à ronger!

juju41 a écrit:

un coup de pied au derrière et à la niche...sans os à ronger!

Exactement !

les malins calculeent leurs élections sur LCP-public Sénat là actuellement!

Ils calculent gauche et droite!

Ils oublient la 3ème force héhé


edit: tiens pour Morin maintenant le Modem c'est à gauche! Il est tellement allé loin à droite qu'il nous voit loin à Gauche !

A se demandé qui c'est l'électron libre dans l'histoire!

tout ça c'est de l'esbrouffe.A chaque désaccord, ils se font remettre en place et ils fermznt leur g..... C'est un semblant de rebellion mais la place est trop bonne pour démissionner.

Oui c'est des électrons libres, des Phalènes! là elle sont autour du Prince, dans 3 et demi elle seront autour d'un(e) autre ....

Le Nouveau Centre veut être "l'aiguillon social et réformiste" de la majorité
BEAUNE (AFP) - 30/09/2008 17h07


Le ministre de la Défense et président du Nouveau Centre (NC) Hervé Morin prononce un discours, le 30 septembre 2008 à Beaune

Le Nouveau Centre (NC) a affiché sa volonté d'être l'"aiguillon social et réformiste" de la majorité, mardi à Beaune (Côte-d'Or), dans un contexte de crise qui a conduit le Premier ministre François Fillon à réitérer son appel à l'unité nationale.

Lancées lundi soir par un dîner qui a réuni une dizaine de ministres, ces rencontres parlementaires ont été dominées par la tourmente financière, après le plan de sauvetage de plus de 6 milliards d'euros annoncé dans la matinée par Paris, Bruxelles et Luxembourg pour sauver le bancassureur franco-belge Dexia.

"Cette crise est la plus profonde que le monde ait connue depuis les années 30", a déclaré le chef du gouvernement, qui a clôturé la journée. "La situation réclame du sang-froid et de la ténacité. Elle réclame aussi l'unité nationale".

Le président du Nouveau Centre, Hervé Morin, ministre de la Défense, venait d'appeler les parlementaires de son parti (23 députés, 8 sénateurs, une députée européenne) à apporter au gouvernement "un appui irréprochable dès lors qu'il s'agit de réformes utiles au pays".
Car "c'est en poursuivant le rythme des réformes que nous atteindrons les alizés porteurs", a-t-il affirmé.

Les responsables du NC ont en particulier rappelé leur soutien de longue date à la réforme de l'Etat - "le meilleur moyen de lutter de façon pérenne contre les déficits" - et à "la fusion des départements et régions".

En réponse à l'appel de M. Fillon, Maurice Leroy, porte-parole du NC, a déclaré à l'AFP qu'il souhaitait que le président de la République, "garant de l'unité nationale", reçoive "à l'Elysée les dirigeants de toutes les formations politiques" représentées au Parlement.

Dans la matinée, le député Nicolas Perruchot avait souhaité que Nicolas Sarkozy "s'exprime devant tous les parlementaires dans les heures qui viennent sur la crise".

François Sauvadet, président du groupe NC à l'Assemblée (23 députés), a insisté sur la nécessité de continuer, "y compris dans ce contexte de récession", la lutte contre les déficits publics.

Tout en défendant le "partenariat" avec l'UMP - le NC a été fondé par les ex-bayrouistes qui avaient rejoint Nicolas Sarkozy entre les deux tours de la présidentielle - il a réaffirmé la volonté du Nouveau Centre d'assumer sa "différence", et d'être davantage pris en compte par son partenaire de la majorité, dont il veut être "l'aiguillon social et réformiste, face aux conservatismes de gauche comme de droite".

"La loi du nombre ne peut, à elle seule, s'imposer dans nos groupes parlementaires", a-t-il affirmé, appelant le groupe UMP à "jouer collectif".

Argument entendu par François Fillon, qui a promis d'aider à "maintenir les équilibres, et faire en sorte que chacun se sente écouté et respecté".

Le NC, a rappelé M. Sauvadet, veut une présidence de commission à l'Assemblée. "Et si on ne l'a pas, ça va chauffer", a-t-il prévenu.

Le chef de file des députés UMP, Jean-François Copé, avait, lors du dîner lundi, proposé aux députés du Nouveau Centre de travailler "main dans la main", notamment sur la réforme des collectivités locales.

Mais une présidence de commission NC, "c'est compliqué", avait-il dit à la presse. "J'ai beaucoup de candidatures au sein du groupe (UMP)".

Un aiguillon avec un bout arrondi, ça ne fait pas bien mal.

http://www.regard-est.com/home/breve_contenu.php?id=715&PHPSESSID=eaa

Oui c'est cela que j'ai regardé, et effectivement il ont critiqué Copé! Manque de bol pour eux, Copé c'est un des seuls de l'UMP pour qui j'ai encore un peu de considération!

Je n'aime pas Copé. Un peu dans le même style que Bertrand : un faux gentil, un gars qui cache bien son jeu.

ouai, moi je l'aime bien parce que c'est un dissident comme je l'ai été! XD! et il est plutôt chiraquien ! A savoir que je n'ai jamais été contre Chirac!

Chirac est moins pire que Sarkozy c'est vrai. Mais Chirac n'a pas fait grand chose pour l'économie Française...

modorange a écrit:

Je n'aime pas Copé. Un peu dans le même style que Bertrand : un faux gentil, un gars qui cache bien son jeu.

Copé est bien gentil mais je le trouve un peu faux-cul, moins que Bertrand qui bat des records, mais faux-cul quand même.

Et il me fait bien marrer avec son histoire de coproduction législative. La décision de Sarko de faire nommer le président de France Télévision, c'était de la coproduction législative ? Et la décision prise pendant l'été - peu de temps après le vote de la réforme de la constitution qui donne soi-disant plus de pouvoirs au parlement (la bonne blague) - de convoquer le parlement en session extraordinaire en septembre , c'était aussi de la coproduction législative ? Mouarf !
En fait la coproduction législative chère à Copé s'arrête là où commence le bon plaisir de SMS.

disons que Chirac a été bon en politique étrangère, et assez nul en économie...mais en tant qu'homme, j'ai toujours trouvé que malgré quelques "petits travers portant sur le pognon" , c'est un bon gars, un mec avec qui j'aurais volontiers passé un moment à discuter avec lui, en plus d'un gueuleton!
c'est pas le cas pour Sarko( même pas la peine d'y penser, mêm pas 2 secondes), pas plus que pour Copé je trouve faux, sournois plutôt...

modorange a écrit:

Chirac est moins pire que Sarkozy c'est vrai. Mais Chirac n'a pas fait grand chose pour l'économie Française...

Possible. Mais sur l'Irak, il a été excellent. La professionnalisation de l'armée, c'était une bonne décision. La reconnaissance en 1995 de la responsabilité de l'Etat dans la déportation des juifs pendant la seconde guerre mondiale, un geste admirable. J'ai approuvé également l'organisation d'un référendum pour l'adoption du traité constitutionnel en 2005 (ce que le nabot n'a pas fait pour celui de 2007).

Franchement, je n'ai jamais été un fan de Chirac - je n'ai jamais aimé son côté girouette (et sur ce point Sarko est son fils spirituel) - mais tout ça, c'était bien.
Et lui, il ne nous a jamais fait honte. On ne peut pas en dire autant de l'adolescent attardé qui lui a succédé.