[Sarkozyland] Toutes les déclarations, critiques, bourdes (chapitre 3)

Jean-Luc a écrit:

Affaire Clavier: "Quel est le con qui a merdé ?"

http://www.lepost.fr/article/2008/09/02/1256366_sarkozy-a-t-il-ordonne-le-limogeage-du-chef-des-policiers-corses.html

L'affaire ne fait aucun doute : le con qui a merdé se nomme Nicolas Sarkozy. C'est lui qu'il faut limoger.

C'est évident qu'il a ordonné le limogeage de D. Rossi. Il s'occupe de tout et de n'importe quoi (si ça continue, il va même venir chez vous réparer votre machine à laver qui est en panne), il pique le boulot de ses ministres, et là, dans une affaire qui concerne un de ses amis, il ne serait pas intervenu et c'est MAM qui aurait décidé ce limogeage ? Mon oeil !

libre a écrit:

Jean-Luc a écrit:

Affaire Clavier: "Quel est le con qui a merdé ?"

http://www.lepost.fr/article/2008/09/02/1256366_sarkozy-a-t-il-ordonne-le-limogeage-du-chef-des-policiers-corses.html

L'affaire ne fait aucun doute : le con qui a merdé se nomme Nicolas Sarkozy. C'est lui qu'il faut limoger.

C'est évident qu'il a ordonné le limogeage de D. Rossi. Il s'occupe de tout et de n'importe quoi (si ça continue, il va même venir chez vous réparer votre machine à laver qui est en panne), il pique le boulot de ses ministres, et là, dans une affaire qui concerne un de ses amis, il ne serait pas intervenu et c'est MAM qui aurait décidé ce limogeage ? Mon oeil !

ah nan merci, mon réparateur est bien plus compétent!

Dans ce genre d'affaires, il faut quand même souligner le manque de courage de la ministre. Jusqu'à preuve du contraire, c'est celle qui nomme et révoque les hauts fonctionnaires, pas le président. Elle pouvait très bien refuser d'appliquer la consigne de Sarkozy, et mettre sa démission dans la balance. Sarkozy aurait été obligé de s'incliner, car il ne pouvait se permettre une crise politique pour un motif aussi futile.

Mais NS a pris soin de s'entourer de gens pour la plupart pas trop "courageux", des gens qui soit lui sont redevables, soit tiennent plus à leur portefeuille (dans tous les sens du terme) qu'à leur dignité.

« Un manager incompétent s'entourera dans la mesure du possible de collaborateurs encore plus incompétents que lui » (L.J. Peter, Le principe de Peter)

Je ne m'en lasse pas

Outrage à Sarkozy : faut-il passer par les tribunaux ?

Jeudi soir, Rue89 publiait le témoignage d'Hervé Eon, manifestant contrarié et riverain installé en Mayenne. Hervé Eon est aujourd'hui pousuivi pour avoir voulu brandir une pancarte intitulée « Casse toi pov'con » au passage de Nicolas Sarkozy à Laval, le 28 août.

http://www.rue89.com/explicateur/outrage-a-sarkozy-faut-il-passer-par-les-tribunaux

J'ai apprécié un des commentaires :

Citation :

J’ai une idée (plutôt marrante) : que chaque Français(e) qu’exténue et insupporte le grand cirque sarkozyste écrive sur une carte postale à l’Elysée :
« CASSE-TOI POV’ CON ».
Signé : « Edvige. »
Opération gratuite vu que le courrier adressé au président de la République est en franchise postale.

je vous conseille d'eviter de laisser des traces d'adn sur la carte

très bonne idée!

@christine
imagines le service scientifique de la police obligé de chercher les ADN de la quasi totalité de la population, car relever l'ADN, c'est déjà du boulot mais encore faut il le relier à une personne, donc déjà fichée (ADN)..c'est impossible!

Sarkozy stable à 41% d'approbation

Source : AFP
09/09/2008 | Mise à jour : 18:33 |

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La cote de Nicolas Sarkozy reste stable par rapport à juillet, avec 41% de Français qui approuvent son action contre 58% (-1) qui la désapprouvent, tandis que celle de François Fillon perd un point avec 56% d'approbation, selon le baromètre Ifop Paris-Match de septembre à paraître jeudi.
Selon ce baromètre, le président de la République reste ainsi à son niveau le plus bas depuis mai 2007, déjà atteint en mars et en juillet, et il n'engrange aucun regain de popularité.
Selon l'institut, M. Sarkozy pâtit d'une cote d'approbation minoritaire dans toutes les tranches d'âge, hormis chez les 65 ans et plus (53%, -1). Il est également minoritaire dans toutes les catégories socio-professionnelles.
La cote du Premier ministre François Fillon reste majoritaire avec 56% de jugements positifs (-1) contre 43% (+1) qui disent désapprouver son action

http://www.lesmotsontunsens.com/sarkozy-je-suis-l-un-des-rares-hommes-politiques-qui-ne-change-pas-d-avis-video

Qui en doute ?

A propos d'ADN.
Extrait d'un article du Monde du 17/01/07, au sujet d'une réunion des ministres de l'intérieur de l'UE.

UNION EUROPÉENNE COOPÉRATION POLICIÈRE
Les Vingt-Sept appelés à ouvrir leurs fichiers ADN

Christian Estrosi, ministre délégué à l'aménagement du territoire, remplaçait comme d'habitude le ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy. Il a surpris ses collègues en déclarant que les citoyens seraient mieux protégés si leurs données ADN étaient recueillies dès leur naissance. Interrogé sur cette déclaration, M. Schäuble a estimé qu'il fallait y voir « une note d'ironie ».

Moi, je ris jaune

Bienvenue à Gattaca...

on se demandait à quoi va servir Edvige?

Sa liste noire
Par Elise Karlin, mis à jour le 11/09/2008 - publié le 11/09/2008




Nicolas Sarkozy est aussi fidèle en amitié que rancunier et intransigeant dans ses inimitiés. Malheur à qui lui fait défaut!
Jacques Chirac, en son temps, envisagea une punition hexagonale. De passage à TF 1 entre les deux tours de la présidentielle, en 1995, il désigna du doigt Gérard Carreyrou, Robert Namias et Claire Chazal, très engagés auprès d'Edouard Balladur : « Vous, vous, vous, mines de sel ! » Avant de lancer, devant leur mine défaite : « Mais non, je blaguais ! » Nicolas Sarkozy, lui, ne plaisante pas du tout et n'hésite pas à bouter l'ennemi hors la France : ainsi David Martinon, ex-porte- parole de l'Elysée, lâché en pleine municipale à Neuilly, fut-il nommé consul général de France... à Los Angeles, de l'autre côté de la planète.

Souvent liste noire varie, bien fol qui s'y fie. Avant d'être président, pendant l'affaire Clearstream, Sarkozy promettait d'accrocher Dominique de Villepin à un « crochet de boucher ». Un an plus tard, l'ancien Premier ministre a toujours les pieds sur terre. Ses amis, eux, sont suspendus, comme Guillaume Durand : l'animateur a été remplacé sur Europe 1, tandis que son émission Esprits libres n'était pas reconduite sur France 2. Tous coupables ? En juin, Robert Namias, directeur de l'information sur TF 1, quittait ses fonctions, anticipant les annonces de la chaîne. Persuadé d'avoir été désigné par l'Elysée à cause d'une trop grande proximité avec les Chirac. Quant à Alain Genestar, ancien directeur de la rédaction de Paris Match, il est convaincu que Nicolas Sarkozy a obtenu sa tête après la publication, en Une du magazine, d'une photo de Cécilia Sarkozy avec Richard Attias. Et que dire de François Baroin, ex-chouchou de Chirac, promis à un bel avenir sous le règne de l'ancien président ? Il succéda quelques semaines, Place Beauvau, au ministre Sarkozy devenu candidat, entre mars et mai 2007. « Un mois à l'Intérieur, cinq ans à l'extérieur ! » lui promettait la garde rapprochée de son prédécesseur.

Une garde qui, souvent, prépare le châtiment : l'un des conseillers avouait récemment avoir cherché dans le passé de Yannick Noah de quoi le dissuader de poursuivre ses attaques virulentes contre le chef de l'Etat. C'est parfois Nicolas Sarkozy qui porte le coup de grâce : en mars, aux municipales, il s'impliqua personnellement pour faire battre François Bayrou à Pau.

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/sa-liste-noire_564045.html

Sarkozy - Les copains d'abord


Christian Clavier, mais aussi Martin Bouygues, Jean-Marie Bigard et même Bernard Tapie : les amis du président sont souvent célèbres. Depuis un an et demi, ils déclenchent régulièrement la polémique. Leur complicité avec le chef de l'Etat les a-t-elle avantagés ou protégés ? Enquête sur un sens très poussé de l'amitié.

Sarkozy: la crise économique mondiale, "pas une raison pour arrêter les réformes"
CHATELAILLON-PLAGE (AFP) - 11/09/2008 13h20


Nicolas Sarkozy montre la maquette d'un bateau le 11 septembre 2008 lors de son déplacement à Aigrefeuille


Nicolas Sarkozy a affirmé jeudi que ce n'est pas parce qu'il y a "une crise économique mondiale" qu'il faut "arrêter les réformes", mais qu'"au contraire", c'est "une raison pour aller plus loin".


Le président de la République s'exprimait lors d'une table ronde à Châtelaillon-Plage (Charente-Maritime), sur l'intéressement et la participation.


"Bien sûr, il y a une crise économique mondiale et européenne" mais "ce n'est pas une raison pour arrêter les réformes. C'est au contraire une raison pour aller plus loin", a-t-il déclaré.


Selon lui, "c'est justement parce que ça tangue dans l'économie mondiale qu'il faut muscler la France, qu'il faut qu'on soit inventif, qu'il faut qu'on donne le sentiment à chacun que les efforts demandés sont justes et équitables".


"Le monde bouge, la France doit prendre des initiatives. Il n'est pas question, sous prétexte qu'il y a des problèmes économiques mondiaux, qu'on reste comme tétanisé devant le danger sans bouger. Ca, c'est l'échec", a-t-il martelé.

"Au contraire", a-t-il ajouté, "quand il y a un peu de vent, un peu de houle et un peu de difficultés, on en profite pour entraîner tout le pays vers les réformes nécessaires pour que la France reste le pays à nul autre pareil" avec "des emplois compétitifs, des entreprises compétitives et des salariés heureux d'aller au travail parce qu'ils considèrent qu'on les respecte et qu'on les rémunère" de façon "juste".

juju41 a écrit:

Sarkozy: la crise économique mondiale, "pas une raison pour arrêter les réformes"
CHATELAILLON-PLAGE (AFP) - 11/09/2008 13h20


Nicolas Sarkozy montre la maquette d'un bateau le 11 septembre 2008 lors de son déplacement à Aigrefeuille


Nicolas Sarkozy a affirmé jeudi que ce n'est pas parce qu'il y a "une crise économique mondiale" qu'il faut "arrêter les réformes", mais qu'"au contraire", c'est "une raison pour aller plus loin".


Le président de la République s'exprimait lors d'une table ronde à Châtelaillon-Plage (Charente-Maritime), sur l'intéressement et la participation.


"Bien sûr, il y a une crise économique mondiale et européenne" mais "ce n'est pas une raison pour arrêter les réformes. C'est au contraire une raison pour aller plus loin", a-t-il déclaré.


Selon lui, "c'est justement parce que ça tangue dans l'économie mondiale qu'il faut muscler la France, qu'il faut qu'on soit inventif, qu'il faut qu'on donne le sentiment à chacun que les efforts demandés sont justes et équitables".


"Le monde bouge, la France doit prendre des initiatives. Il n'est pas question, sous prétexte qu'il y a des problèmes économiques mondiaux, qu'on reste comme tétanisé devant le danger sans bouger. Ca, c'est l'échec", a-t-il martelé.

"Au contraire", a-t-il ajouté, "quand il y a un peu de vent, un peu de houle et un peu de difficultés, on en profite pour entraîner tout le pays vers les réformes nécessaires pour que la France reste le pays à nul autre pareil" avec "des emplois compétitifs, des entreprises compétitives et des salariés heureux d'aller au travail parce qu'ils considèrent qu'on les respecte et qu'on les rémunère" de façon "juste".

Normal qu'il parle comme ça : ça fait 16 mois qu'il mène les Français en bateau avec du vent.

Répétez aprés moi : "J'aime aller travailler, et même si je ne gagne pas grand chose, ça faire plaisir à mon président préféré, le grand Sarkozy"

Attention : tous ceux qui refuseront seront fichés.

En ce moment, ça m'amuse beaucoup, parce que quand on me demande de décliner mon identité, je répond qu'il suffit de consulter Edvige et que j'y suis déjà. Et on me répond souvent par un grand sourire...

Tout en menteries et faux-semblants…
Par Pierre Marcelle
QUOTIDIEN : vendredi 12 septembre 2008

Rouge à lèvres de l’exécutif

Est-ce l’exécutif qui est plein de bavures, ou sa communication, qui bafouille et bredouille de toutes parts ? Les deux, bien sûr, ceci entraînant cela, pour une rentrée formidable de cacophonie, festival de pas de deux en lequel chaque «séquence», comme disent nos bavardes éminences, laisse le citoyen perplexe et le chroniqueur sur le flanc.

Dans trop de domaines de la vie publique, le sentiment dominant est d’une irréalité brouillonne en laquelle rien ne se fixe, tandis que le zinc débordé, à l’heure de l’apéro que les amis du Président amusent, ne sait plus à quelle pitrerie lever son verre, de celle remettant en scène le cynique Clavier ou de celle ressuscitant le sinistre Bigard. La production de l’orwellien ministère de la Vérité est telle que l’opinion ni la presse ne peuvent plus suivre. Affirmation, démenti, contre-démenti, mais déjà, l’on est passé à autre chose. Au chapitre profus de septembre se bousculent déjà dans un chaos, sur fond de fausse unité sarkozyenne à Royan et de misérables divisions socialistes à La Rochelle, la perception du RSA et de l’ISF, les communiqués de Bercy et la démultiplication des déficits, la course à l’abîme afghan (mais comment sont-ils morts, «nos» soldats dans la vallée d’Uzbin ?) et le triomphalisme caucasien (Ouf ! Moscou ne s’installera à demeure qu’en Abkhazie et en Ossétie du Sud…). Ainsi, en loucedé, dans la profusion de lois votées en catimini et de décrets pleins de surprises codiciles, s’orchestre la liquidation au canon de tous les acquis sociaux et du sens même du travail, quand tout peut se dire et s’écrire dans la négation de toute réalité.

Ainsi, à l’aune des menteries ministérielles, on n’aurait jamais vu de rentrée scolaire aussi réussie qu’avec la suppression de milliers de postes qu’organise pour longtemps, dans l’Education encore nationale, le boucher Darcos. Mais, dans l’inconscient collectif, implicitement s’inverse la charge de la preuve. Si tout allait si mal, la profession aurait décrété la grève générale, non ?

Imparable raisonnement, mais soudain, l’accroc. Soudain, sans crier gare, quand mille raisons éparses de protester font dans la vie publique une thrombose de découragements, un incident fédère toutes les impuissances. De cette multitude de fichiers policiers que constitue le fichier Edvige, l’opinion prend prétexte pour se passionner, s’émouvoir et se cabrer. Soudain, le masque d’un exécutif fort de tous les arbitraires se fissure et, quand tout affirme son omnipuissance, organise sa reculade. Un seul mot du chef suprême faisant et défaisant les cliques et les clans, telle ministre de l’Intérieur, qu’on vit voler la veille au secours du parrain pour le préserver, en Corse, d’un ridicule de plus, se fait par lui publiquement tancer.

Le Président n’est pas intervenu, c’est une menterie éhontée, mais fermez le ban. Et de même, les indépendantistes corses auraient dans la villa de Clavier déposé «des excréments» : c’est faux, mais on trouvera bien une gazette pour le colporter. Last But Not Least et récurrent anathème, nul des trois gamins agressés l’autre semaine rue Petit n’a fait état de propos antisémites de la part de leurs agresseurs supposés, mais le crime est «probablement» antisémite. Un préfet ment sous serment devant un tribunal (voir No Smoking du 5 septembre), et le président Tout ne le sanctionne pas. Et le reste à l’avenant… Deux et deux feraient cinq, et tout serait dit, et rien ne serait advenu ?

La différence entre la dictature et le sarkozysme, c’est que le second met du rouge à ses lèvres menteuses.

Rouge au front de l’opposition

On attend l’automne chaud, on scrute le pouvoir d’achat et les catastrophes économiques dans des courbes aléatoires, on suppute la grève chez Renault ou la prochaine et soporifique journée d’action de telle ou telle catégorie de salariés, mais ça ne marche pas comme ça. Et voici qu’un incident focalise mille rancœurs étouffées. D’un coup, quelle panique, là-haut, avec son parfum de CPE ou de «rôle positif de la colonisation» ! (Car c’est évidemment tout Edvige qu’il faut retirer). Que l’on n’ait en cette affaire guère entendu que la voix de François Bayrou pour, au premier jour, dénoncer un arbitraire de plus en plus policier participe de l’embrouille ambiante.

Comme on aurait aimé les voir, les socialistes, occuper ce boulevard qui s’ouvrait devant eux, et s’entretenir d’une riposte commune avec des forces qui campent à leur gauche ! Mais on ne discute pas avec le NPA du diabolique Besancenot qui, (dogme) «est-au-PS-ce-que-le-FN-fut-à-la-droite». Gageons que cette affirmation, ignominieuse de sous-entendus, scellera à Reims les noces du Modem et du PS social-libéralisé. Pour entretenir un peu plus la confusion, ne pas exclure, que Bayrou y fédère l’aile «gauche».

http://www.liberation.fr/rebonds/351500.FR.php

Oui juju, c'est pour tout cela qu'il faut que nous soyons attentifs et vigilants sur tous les faits et méfaits de ce pouvoir qui n'a qu'un seul but désorienter tout le monde.

Sarko va annoncer prochainement que les entreprises de moins de 10 salariés devront verser de la participation et de l'intéressement et dans le même temps une taxe sur ces avantages ce qui de mon point de vue est antinomique, même s'il compte compenser par des avantages fiscaux. Si les entreprises ne font pas de bénéfices je ne vois pas comment elles pourront faire. Je vois encore arriver là une énorme usine à gaz qui va déboussoler tout le monde une fois de plus.

Aujourd'hui on constate que l'appel aux emploi intérimaires a rétrogadé depuis le mois de février au bénéfice des heures supp. défiscalisées ce qui peut être légitime de la part des employeurs mais aussi un signe de ralentissement de la production dans des secteurs tels que le bâtiment.

Sur un tout autre sujet on n'entend plus parler du sort fait au fonds de réserve des retraites que Jospin avait mis en place et sur lequel le gouvernement actuel louchait avec gourmandise.

ben , pour ce qui est de notre cas personnel, je peux dire qu'on va être obligé de licencier 3 ou 4 personnes sur 8, et que les autres vont faire des heures sup, c'est ça , ou la boite coule... et on ne sera pas les seuls... attendez vous à voir une montée massive du chomage dans le BTP et les fournisseurs , vu que le marché est en chute libre... nous on est encore plus touchés puisqu'on dépend des marchés Monuments Historiques, et que maintenant il est qausiment impossible de décrocher quoiqie ce soit, car les "étrangers européens" viennent piquer les amrchés en faisant du dumping social...et ce sera pareil pour le BTP, les petites boites n'ont plus aucune chances de décrocher un marché important seuls Bouygues and co,plus les autres européens s'en tireront... en ggros si on compte une dizaine de salariés par petite entreprise du BTP , on peu tabler sur 50% d'effectifs en moins... combien de dizaines de milliers d'emplois?...Bienvenue en Sarkozie, où tout le monde il est beau et plein de fric, voir sarkozyland( citation d'hier)

Le libre-échangisme européen ne date pas de Sarkozy. Il a été largement voté et entériné par tous les gouvernements successifs depuis plus de trente ans.

non, pas au niveau des appels d'offre, c'est beaucoup plus récent...les entreprises ayant des sièges au Luxembourg n'yant que 14% de charges et 14% d'impots par exemple, décrochent les marchés publics, on ne peut absolument pas être compétitifs...on nous a répondu dans les services de l'Etat, " vous n'avez qu'à délocaliser au Luxembourg..." chouette conseil pour relever la France! d'ailleurs les grosses entreprises ont bien compris le message, et bientôt ce sera au tour des PME et des TPE( je parle des sièges donc des rentrèes d'argent via imppots et taxes), il restera quoi , en France? ... on est mal barré...

Hier soir au "SAV des émissions" d'Omar et Fred, ils ont fait un truc au sujet de la remontée de Sarko dans les sondages que j'ai trouvé très marrant. C'était Omar qui appelait le SAV et demandait "Mais est-ce qu'ils nont pas mis des talonettes aux sondages ?".

et vlan, une gamelle de plus...va pas s'en vanter de celle là...

L'Allemagne s'opposera à une TVA réduite dans la restauration
12.09.08 | 13h41



ICE (Reuters) - L'Allemagne a éteint les espoirs français d'une réduction de la TVA pour certains biens et services, comme la restauration.

Le ministre allemand des Finances, Peer Steinbrück, dont le pays a par le passé fait échouer plusieurs tentatives d'instaurer une TVA réduite dans ce secteur, a annoncé à son arrivée à une réunion avec ses homologues des Vingt-Sept à Nice qu'il s'opposerait à une nouvelle proposition en ce sens présentée par la Commission européenne.



"Je ne suis pas d'accord avec les propositions soumises par la Commission en juillet, avec un long et épais catalogue de TVA réduites. Je ne peux accepter cela", a-t-il déclaré.

"On ne peut pas faire de beaux discours et chanter les louanges de l'harmonisation fiscale le dimanche et ensuite détruire ce système européen de TVA du lundi à vendredi", a-t-il ajouté.

L'exécutif européen a proposé de laisser les Etats membres de l'UE libres de réduire le taux de TVA sur les services à haute intensité de main d'oeuvre, dont la restauration, pour autant qu'il n'y ait pas de perturbation de la concurrence.

Cela permettrait à Nicolas Sarkozy d'honorer sa promesse faite aux restaurateurs de baisser la TVA de 19,6 à 5,5%, tout comme l'avait fait son prédécesseur Jacques Chirac.

Mais une telle décision doit être prise à l'unanimité et la position actuelle de l'Allemagne, qui craint d'être soumise à la pression de ses propres restaurateurs si elle cède à la revendication française, n'est pas de bon augure.

suite ici
http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-36929214@7-37,0.html