Commission européenne

Lagarde bientôt commissaire européenne à la concurrence ?

Selon le quotidien allemand Die Welt, la ministre de l'Economie remplacerait la Néerlandaise Neelie Kroes au lendemain des élections européennes. Dans son entourage, on rappelle son attachement à ses fonctions actuelles.

La ministre française de l'Economie Christine Lagarde sera-t-elle la prochaine commissaire européenne à la Concurrence lors de la mise en place de la prochaine administration bruxelloise ? Oui, croit savoir mercredi le quotidien allemand Die Welt. Selon le journal allemand qui cite des sources diplomatiques, la décision aurait déjà été entérinée par le président français Nicolas Sarkozy et l'actuel président de la Commission José Manuel Barroso. Lagarde prendrait la place de la Néerlandaise Neelie Kroes, actuelle commissaire à la Concurrence.
Interrogée par lefigaro.fr mercredi matin, une source proche de la ministre renvoie aux récentes déclarations de Christine Lagarde lors du dernier sommet des ministres de l'Économie et des Finances de l'Union européenne (Ecofin), la semaine dernière à Bruxelles. À cette occasion , la ministre, interrogée sur son goût pour la capitale belge, aurait répondu être «parfaitement bien dans son rôle à Paris». Cette «information» du quotidien allemand ne peut donc être «ni confirmée, ni infirmée», ajoute-on de même source.
Depuis quelques temps déjà, le nom de Christine Lagarde est régulièrement cité pour intégrer la Commission de Bruxelles. Fin avril dernier, un confidentiel du Figaro évoquait sa possible arrivée au poste de commissaire au marché intérieur. Un poste occupé par l'Irlandais Charlie McCreevy.

Cette institution devrait être supprimmée!

Partie serrée pour Barroso

Par Antoine MALO (avec Cécile AMAR)
Le Journal du Dimanche Le combat ne fait que commencer pour José Manuel Barroso. Jeudi soir, le Conseil européen a certes adoubé à l'unanimité le président de la Commission européenne, seul candidat à sa propre succession. Mais l'appui est resté informel. Les 27 chefs d'Etat et de gouvernement laissent le soin au Parlement européen de voter la reconduction du Portugais dans ses fonctions.

Trés Curieuse emission ...

J'ai suivi l'emission "Ca VOus Regarde" ... Sur LCP
"Europe Quoi De Neuf Barroso...?" Avec J. M. Cavada

"il nous faudrait un Jacques Delors de Droite ...
"... J'en connais un ...?? "

Question : Si Le Front Anti- Barroso arrive à empêcher l'election de J. M. BARROSO , le Candidat de N. SARKOZY ,à La Présidence de La Commission Européenne ...


Ne Pourrait on Pas Proposer J. M. CAVADA à La succession de
J. M. Barroso , à La Présidence de La commission Européenne...??

http://www.jeanmariecavada.eu/index.php?page=toutes-les-photos&hl=fr_FR



"Oui à l’Europe" Jean-Marie Cavada (archives)

samedi 3 mai 2008
Archives Terrasson Evous : Début mai 2005.

Jean-Marie Cavada, député européen de la circonscription du sud-ouest (18 départements), donne ses arguments du "oui" pour le Traité de Constitution Européenne. "Cette constitution apporte une clarification de qui décide quoi, avec des visages, un patron. Elle apporte également un contrôle démocratique, la voix des citoyens qui élisent des députés. Et elle apporte une charte des droits fondamentaux" dit-il.

Avec sa voix si particulière, l’homme de télévision et de radio, a gardé l’âme de son premier métier : journaliste... "Je suis compagnon de route de l’UDF. Apparenté, j’ai un caractère indépendant" dit-il. Et il ajoute : "j’en partage toutes les valeurs européennes. Mais ce qu’on attends de moi, ce n’est pas d’être un bout de ticket propagandiste. C’est plutôt d’être quelqu’un qui aide à éclairer les choix, en comparaison avec l’histoire, car je suis un enfant issu de la deuxième guerre mondiale. Mon métier est d’expliquer. Ensuite, les gens sont assez grands pour avoir un jugement".

Présent mardi soir à la salle des fêtes de Terrasson, invité par l’UDF Dordogne, après avoir été reçu sur les ondes de Cristal Fm (voir photo), Jean-Marie Cavada a longuement expliqué pourquoi, selon lui, il faudra voter "oui". Mais avant toute chose, il a rappellé l’importance de ce référendum.

Selon le député européen : "on n’a pas posé aux Français une question aussi importante depuis 1958 ! Cette année-là, pour redresser la quatrième République effondrée, le Général de Gaulle a demandé d’approuver l’organisation des pouvoirs politiques de la nouvelle République... La constitution, qui n’est qu’un premier pas politique, demande aux Français comme aux 360 millions d’européens qui iront voter : êtes-vous d’accord, oui ou non, avec l’organisation politique de l’Europe ? C’est de même nature historique, c’est un envol, un départ très important pour que les Français, comme d’autres Européens, gouvernent davantage, par leurs propres choix"...

Selon le député européen "ce traité constitutionnel propose de substituer le pouvoir politique au pouvoir technocratique... apporte une clarification sur le thème "qui décide quoi", avec des visages, un patron, un contrôle démocratique, la voix des citoyens qui élisent des députés, et une charte des droits fondamentaux".

Un dernier point sur lequel il a insisté : "Lisez la Charte des droits fondamentaux. c’est la défense des droits individuels et collectifs. Il n’y en a pas une plus défensive des droits de l’homme en Europe, et certainement pas une seule dans le monde". Le député européen s’est ensuite adréssé aux personnes qui ne sont pas d’accord avec cette Constitution, pour leur dire qu’ils ne doivent pas se tromper d’élection : "on choisira le Président de la République, et les députés, en 2007". Et face aux réticences exprimées par un certain nombre d’agriculteurs, il a confirmé que "l’Europe n’est pas l’ennemie du Périgord, du Sud-Ouest, ou de la France ! Sans l’Europe, l’agriculture serait beaucoup plus pauvre. elle a contribué à faire de notre pays la deuxième puissance exportatrice agroalimentaire au monde".

Enfin, il n’a pas manqué d’évoquer les craintes de voir l’Europe passer sous "le karcher du libéralisme" : "avec l’économie sociale de marché, l’Europe va pouvoir se doter de textes qui vont parler de répartitions de richesses... Je pense qu’une couverture minimale alimentaire pourrait voir le jour un peu partout en Europe sur le modèle du Smic, parce qu’il y a trop de déséquilibre" dit-il.

http://terrasson.evous.fr/Oui-a-l-Europe-Jean-Marie-Cavada,1248.html

Aucune réponse à ma proposition...?? (J.M. CAVADA...)


Union européenne. La fragile majorité de Barroso [Video]
20 juin 2009


José Manuel Barroso est candidat unique des 27 pour la présidence de la commission européenne. Mais jusqu'àquand? Il pourrait faire les frais du jeu des partis politiques s'il n'est pas rapidement élu.

De notre correspondante à Bruxelles.
Qui donc sera le prochain président de la Commission européenne? «José Manuel Barroso» ont répondu, hier, «à l'unanimité» les chefs d'Etats et de gouvernement européens. Longtemps, le soutien des «chefs» a été une garantie en or massif pour un candidat à la tête de l'exécutif européen. Ce n'est plus le cas. José Manuel Barroso se retrouve, en effet, l'otage des jeux complexes qui se nouent entre partis politiques européens. Pour être reconduit, le président de l'exécutif a besoin du soutien de la majorité des députés européens.
La majorité, oui, mais laquelle? Personne n'a aujourd'hui de réponse à cette question. Chez les socialistes, c'est la grande hésitation. Les Français sont farouchement anti-Barroso. Les sociaux-démocrates allemands vivent chez eux une grande coalition alliant centre-gauche et centre-droit, sur laquelle fonctionne également en pratique le Parlement depuis 1979. SPD et CDU se verraient bien continuer sauf que... l'Allemagne a une élection fédérale en septembre. Du coup, la gauche met des distances avec la droite.

Les libéraux divisés

http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/monde/union-europeenne-la-fragile-majorite-de-barroso-video-20-06-2009-433114.php

http://www.lepoint.fr/actualites-politique/2009-06-19/union-europeenne-recu-par-sarkozy-cohn-bendit-plaide-contre-la-reelection-de/917/0/353547

Publié le 18/06/2009 à 14:42 - Modifié le 19/06/2009 à 07:18 Le Point.fr

UNION EUROPÉENNE
Reçu par Sarkozy, Cohn-Bendit plaide contre la réélection de Barroso

Daniel Cohn-Bendit a plaidé jeudi devant Nicolas Sarkozy le report de l'élection du président de la Commission européenne, arguant que le Portugais José Manuel Barroso, seul candidat à se présenter, n'était "pas l'homme" qu'il fallait en temps de crise. Le député européen Verts a été reçu à quelques heures du Conseil européen, alors que le président de la République a consulté ces derniers jours tous les dirigeants des partis représentés à Strasbourg (sauf Jean-Marie Le Pen, président du Front national, qui a refusé).

Tête de liste d'Europe Ecologie lors du scrutin européen du 7 juin, Daniel Cohn-Bendit était accompagné de Cécile Duflot, secrétaire générale des Verts, et Pascal Durand, porte-parole d'Europe-écologie. "J'ai expliqué que pour l'instant, d'après tout ce que je comprends de ce qui se passe au Parlement européen, il n'y a pas de majorité pour confirmer le président de la Commission, M. Barroso, en juillet", a affirmé celui-ci à l'issue de son entretien avec le président. "Il faut qu'il trouve une solution qui repousse ce vote, sinon (il y aura) un vote négatif", a-t-il ajouté.

Selon lui, le président Sarkozy "a bien compris que de passer en force avec Barroso en juillet, ça se fera pas. [Les partisans de l'actuel président de la commission] vont maintenant trouver une méthode pour justement gagner une majorité au Parlement. Ça ne se fera pas en juillet, ça sera septembre ou octobre", a-t-il pronostiqué. "M. Barroso est quelqu'un qui n'est pas fort, qui ne contrôle pas ses commissaires. Dès qu'il y a un conflit, il est aux abonnés absents. Pour nous ce n'est pas l'homme juste au poste juste à ce moment historique." Or, pour le député vert, "parce que le conseil veut être fort, il faut un contrepoids à la commission fort, capable de gérer et de proposer. Il faut un Parlement qui puisse accepter et se reposer et croire en ce que fait et dit la Commission et non pas avoir quelqu'un qui donne raison au dernier à qui il a parlé".

Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel ont apporté leur soutien "sans ambiguïtés" au Portugais, exigeant cependant qu'il propose un "programme" pour faire face à la crise.

Parlement européen : accord de majorité tripartite PPE-S&D-ADLE


je ne crois pas qu'on puisse s'en réjouir.. quelque part, on s'est fait avoir nous aussi.. comme quoi , la la "real politik" n'est pas l'affaire des électeurs....

Je ne crois pas non plus.

le pb c'est que le PDE( qui se résume au Modem maintenant, puisque le PDI a rejoint le PSE qui du coup est devenu le S&D) n'a aucune influence sur les décisions de l'ADLE...on peut bien dire et promettre tout ce qu'on veut, c'est pas 6 députés Modem qui vont changer la donne...est ce que les nouveaux députés sont en accord avec l'ADLE, dans ce cas? sinon, je les vois mal continuer avec eux, ils feraient mieux de rejoindre les verts européens, qui me semblent plus en adéquation...mais ça n'est pas nous qui en déciderons..cependant la moindre des choses serait que nos députés Européens nous fassent part de leurs réflexions sur le sujet...je croyais qu'ils devaient nous informer, il serait temps de commencer...

Je crois bien que le maintien dans le groupe ALDE est définitif et accepté par nos députés européens.

PE: comment la droite a plumé la volaille socialiste...

Les socialistes européens prêts à voter sur l’investiture de Barroso en septembre

Barroso en ballottage défavorable


Décryptage


Union européenne . Le front contre la reconduction du président de la Commission s’élargit.

http://etoile.touteleurope.fr/index.php/post/2009/07/07/Francois-Fillon-president-de-la-Commission-europeenne

José Manuel Barroso peut commencer à s'inquiéter. Il ne sera pas reconduit pour un second mandat au Berlaymont, comme il l'escomptait, le 15 juillet prochain lors de la session inaugurale du nouveau Parlement européen. La présidence suédoise n'a pas voulu affronter les eurodéputés qui s'opposent majoritairement à une reconduction estivale. Stockholm a donc décidé de reporter la décision finale à l'automne. Le temps de laisser les spéculations sur de nouvelles candidatures hanter les nuits du candidat portugais.

La menace la plus sérieuse pour Barroso pourrait venir des rangs du Parlement européen, lui-même. Guy Verhofstadt, son challenger malheureux en 2004, a en effet été élu à la tête du troisième groupe politique de l'assemblée, les libéraux de l'ADLE. Il a également réussi à réunir autour de lui l'ensemble de son groupe sur le principe d'un report du calendrier voulu par Barroso et le Conseil. Ce libéral apprécié par les autres grands groupes parlementaires pour son ouverture d'esprit et son engagement pro-européen n'est cependant pas issu du premier groupe politique au Parlement, les conservateurs du PPE.


François Fillon, président de la Commission européenne ?

Pourquoi pas Roselyne Bachelot...???

Je savais bien qu'il fallait se méfier de ce DCB ...!!

M. J. DELORS Ne Commençez pas à nous deçevoir ...???

qu'est ce qu'il a à voir là dedans Delors? ça fait un paillon qu'il est à la retraite...
par contre Verhofsadt notre président ADLE, est en bonne position..ça c'est pas mal...

juju41 a écrit:

qu'est ce qu'il a à voir là dedans Delors? ça fait un paillon qu'il est à la retraite...
par contre Verhofsadt notre président ADLE, est en bonne position..ça c'est pas mal...

Tu n'as pas lu l'article ...

J.Delors et DCB soutiennent la Candidature De F. Fillon à la Présidence de la Commission Européenne ...!!

23/07/09Thierry Chopin : "sans visages ni clivages clairs, il devient difficile de susciter un intérêt civique important pour ce scrutin"

Thierry Chopin est le directeur des études de la Fondation Robert Schuman. Il enseigne les questions européennes au Collège d'Europe et à Sciences Po. Pour Touteleurope.fr, il analyse les résultats du scrutin européen de juin 2009 et revient sur la composition politique du nouveau Parlement européen.

" Verhofsadt notre président ADLE, est en bonne position..ça c'est pas mal..."

Ce n'est pas mal ...

Mais ne dit on pas que le Futur Président de La Commmission Européenne Doit être issu des Rangs du PPE ...??

La France n’est pas la pièce maîtresse du Parlement européen

Un état des lieux des représentations aux parlement Européen, sur Euractiv.

http://www.lcpan.fr/emission/75502/video

Quoi de neuf M.Barroso...

Il en a assez du poste de faux premier ministre ?

signora a écrit:

Il en a assez du poste de faux premier ministre ?

Ou il en a plein dos du nain.

Barroso "séduit parce qu'il ne dérange pas"

NOUVELOBS.COM | 15.09.2009 | 14:38

C'est ce qu'estiment les eurodéputés Daniel Cohn-Bendit d'Europe-Ecologie et Sylvie Goulard du MoDem : "Aucun bilan de son action n'a été dressé".