débat sur l'éducation

Les enfants qui ont fait l'objet de discrimination positive était tout juste moyens et très perturbateurs.
J' essaierai de me renseigner pour vous tenir au courant de ce qu'il est advenu de cette classe.
L'enfant de ma famille qui était concernée a été mise dans un autre établissement scolaire.
Elle faisait partie des sélectionnés mais le système a déplu à ses parents.

Nanterre : l'université privée de subvention

Juste le Parisien, peu suspect d'être de "gôche".

Symbolique, pour le département le plus riche de France.

Edit: La semaine de quatre jours nuit à la santé des enfants

Université: Orsay bientôt sur les traces d'Harvard

Je ne connaissais pas ce blog. Des informations intéressantes y figurent.


Edit:
Même si le débat semble clos, j'ai trouvé ce texte d'Eric Satori d'une remarquable intelligence.
Histoire, terminales scientifiques et identité nationale, par Eric Sartori
http://www.lemonde.fr/opinions/article/2010/01/28/histoire-terminales-scientifiques-et-identite-nationale-par-eric-sartori_1298251_3232.html

Miaou a écrit:

Nanterre : l'université privée de subvention

Juste le Parisien, peu suspect d'être de "gôche".

Symbolique, pour le département le plus riche de France.

Edit: La semaine de quatre jours nuit à la santé des enfants

pour Nanterre, le fait qu'elle soit un terreau de contestation de gauche doit surement contribuer à la diminution de la subvention .... mais on dira que je fais là du mauvais esprit....

et pour la semaine de 4 jours, il y a bien longtemps que les chronobiologistes disent (Testud en tête) que la semaine de 4 jours est le pire système... mais il fallait bien trouver quelquechose pour ne fâcher personne : ni les industriels du tourisme en raccourcissant de beaucoup les congés d'été pour alléger les journées, ni les familles de-recomposées en libérant le samedi pour permettre de faciliter les alternances de garde, ni les profs et les clubs de sports/activités culturelles en gardant le mercredi libres, ni alléger la journée parce que comment feraient les parents qui déjà n'arrivent pas parfois à l'heure des garderies du soir ...
Au final les seuls qui "paient" dans l'histoire ce sont les enfants .... en fatigue, en énervement, en mauvaises dispositions d'apprentissages ...

d'abord l'info

http://www.leparisien.fr/societe/les-parents-d-eleves-denoncent-les-notes-injustes-21-05-2010-930613.php

ensuite les commentaires

Ecole : moins de notes, plus de bisous !

FCPE, PEEP, APEL même combat crasse ...

Et maintenant ils veulent suppprimer les notes à l'école!


commentaire: je suis d'accord avec les commentaires.. vouloir à tout prix effacer l'esprit de concurrence, soit disant traumatisant est une mauvaise idée, ce genre d'égalitarisme est un leurre..un jour ou l'autre ces enfants se retrouveront dans un système de concurrence porfessionnelle, et ils seront écrasés comme des mouches, dépressifs, incapables de se remettre en question, et de progresser..de même dans la vie personnelle, refuser de voir ses propres limites et ses échecs, d'en faire une source de réflexion, et une base d'évolution, est le meilleur moyen de rater sa vie..

Moi qui n'ai jamais pu apprendre faute d'handicap (surdité). Et que j'ai commencé à travailler dès 18 ans sans pouvoir communiqué avec les autres, je pense que rien n'à changé depuis les années où l'école était une chance pour tous.

@juju
dans certains pays scandinaves (en Finlande notamment), il n'y a pas de notation avant le collège il me semble
les gamins ne s'en portent pas plus mal...

Compare donc ce qui est comparable..

Combien d'élèves par classe ?
Combien d'immigrés (taux le plus bas d'Europe) : classes homogènes avec même culture, combien de personnels par établissement ?

Effectivement il est bien le système finlandais, mais comment l'adapter chez nous sans les moyens ?
http://www.echecscolaire.be/congres_fichiers/anttiladias.pdf

je sais bien, je ne dis pas que ne pas avoir de note est une condition de la réussite... je dis juste que ne pas en avoir n'est pas une condition de l'échec

j'ai entendu il y a peu de temps que les élèves français avaient un gros défaut par rapport aux autres européens : ils sont paralysés par la peur de se tromper
et c'est comme cela qu'on se retrouve avec une classe de carpes... pas évident à gérer en cours de langues

en même temps, ça m'énerverait que cela monte comme une mayonnaise du genre grippe a et burqa

sauf que à un moment ou un autre, il faut bien être confronté à ses propres lacunes, et le plus tôt est le mieux.. dans un monde idéal,ça pourrait se faire en douceur, mais dans le monde adulte, il faut arriver blindé,car la concurrence est de plus en plus rude..je ne suis pas pour protéger les enfants de tout ce qui pourrait les "traumatiser", car le monde est traumatisant, la vie est traumatisante, on est pas chez les bisounours..l'enfance doit être protégée, mais pas mise dans un cocon .

pour ce qui est des cours de langue, de toutes façon, la France n'a jamais su enseigner les langues..

le fait d'avoir peur de se tromper, révèle bien un pb, celui ne considérer qu'un échec est dévalorisant, alors qu'il doit être au contraire , la base d'une réflexion , qui permet de se revaloriser.; ma fille a eu des échecs scolaires, elle a du redoubler, mais une fois qu'elle a compris pourquoi, et que ça n'était pas une punition mais un moyen de consolider quelques notions, et surtout, de lui permettre d'atteindre la maturité que visiblement elle n'avait pas ( trop jeune, trop bébé), son redoublement a été extrèmement positif et lui a permis de se rassurer, et d'être plus sereine, et plus mure.s'il elle n'avait pas redoublé,elle aurait été d'échecs en échecs, aurait perdu totalement confiance en elle, je pense qu'elle aurait mal tourné, vu son caractère fantasque et rebelle..

juju41 a écrit:

d'abord l'info

http://www.leparisien.fr/societe/les-parents-d-eleves-denoncent-les-notes-injustes-21-05-2010-930613.php

ensuite les commentaires

Ecole : moins de notes, plus de bisous !

FCPE, PEEP, APEL même combat crasse ...

Et maintenant ils veulent suppprimer les notes à l'école!


commentaire: je suis d'accord avec les commentaires.. vouloir à tout prix effacer l'esprit de concurrence, soit disant traumatisant est une mauvaise idée, ce genre d'égalitarisme est un leurre..un jour ou l'autre ces enfants se retrouveront dans un système de concurrence porfessionnelle, et ils seront écrasés comme des mouches, dépressifs, incapables de se remettre en question, et de progresser..de même dans la vie personnelle, refuser de voir ses propres limites et ses échecs, d'en faire une source de réflexion, et une base d'évolution, est le meilleur moyen de rater sa vie..

On pourrait faire comme dans "L'Ecole des fans" du regretté Jacques Martin : on met des notes mais à la fin tout le monde a gagné.

juju41 a écrit:

Compare donc ce qui est comparable..

Combien d'élèves par classe ?
Combien d'immigrés (taux le plus bas d'Europe) : classes homogènes avec même culture, combien de personnels par établissement ?

Effectivement il est bien le système finlandais, mais comment l'adapter chez nous sans les moyens ?
http://www.echecscolaire.be/congres_fichiers/anttiladias.pdf

Suite à un reportage diffusé à la télé, j'en avais discuté avec les instits de l'école primaire où j'ai travaillé pendant presque 3 ans et on m'a expliqué que le système finlandais n'était pas adaptable chez nous.

juju41 a écrit:

sauf que à un moment ou un autre, il faut bien être confronté à ses propres lacunes, et le plus tôt est le mieux.. dans un monde idéal,ça pourrait se faire en douceur, mais dans le monde adulte, il faut arriver blindé,car la concurrence est de plus en plus rude..je ne suis pas pour protéger les enfants de tout ce qui pourrait les "traumatiser", car le monde est traumatisant, la vie est traumatisante, on est pas chez les bisounours..l'enfance doit être protégée, mais pas mise dans un cocon .

pour ce qui est des cours de langue, de toutes façon, la France n'a jamais su enseigner les langues..

le fait d'avoir peur de se tromper, révèle bien un pb, celui ne considérer qu'un échec est dévalorisant, alors qu'il doit être au contraire , la base d'une réflexion , qui permet de se revaloriser.

+ 1

disons que lorsqu'on voit le taux d'échec scolaire en France, on peut regarder ce qui se passe ailleurs avec un esprit ouvert.

je ne fais pour ma part pas de fixation sur les notes, c'est plus la façon dont les profs se comportent, avec un regard plus ou moins positif sur l'élève... des attitudes plus ou moins sarcastiques...

Ce qu'il faud faire comprendre aux jeunes, c'est qu'ils doivent apprendre pour eux, et non pas pour être meilleur que les autres !
Ils doivent comprendre que le fait de savoir telle ou telle chose, leur permetteront d'avoir un rôle dans notre société !

Mais ce qui est vraiment important, déjà, pour certain, ce serrait de savoir lire, écrir, compter et calculer ( +, -, x, / ) , au moin les bases !
Hors, ce n'est pas le cas de beaucoups !

Et ne mesurons pas le niveau d'intelligence d'un individu par rapport à son niveau d'instruction !

Regardez l'écriture, certains GRAND PENSEUR de notre société ont pensé que la Méthode globale était la formule miracle pour apprendre à lire et écrir !
Et ben ils se sont mis dedant royalement !

La méthode syllabique a été très bien pensé par stuber !
Quant à la méthode globale, je sais pas quel est le con qui nous a pondu cette merde qui s'apparente plus à du chinois qu'uatre chose !

dedans edouard dedans ...
Tes propos me rappellent ce que j'ai appris à mes enfants ... et à d'autres ...
"Tiens ta place, rien que ta place, mais toute ta place !"

signora a écrit:

dedans edouard dedans ...
Tes propos me rappellent ce que j'ai appris à mes enfants ... et à d'autres ...
"Tiens ta place, rien que ta place, mais toute ta place !"

Désolé pour les fautes, il faud que je me remette à la lecture, 2 ou 3 bouquins lu, et je reprendrais de bons automatismes !

Ce sont les avantages de la méthode syllabique, on lit 2 ou 3 bouquins, et c'est l'auto-correction assuré !

La méthode globale fonctionne très bien… avec les très jeunes enfants (vers 3 ans), car à cet âge on tend à aller du tout vers le détail (donc du mot vers le son, et du son vers les lettres).

Mais à l'âge "normal" de l'apprentissage de la lecture, l'intellect a changé – on assemble au lieu de désassembler –, et la méthode globale, qui n'est plus adaptée, ne peut alors donner que des résultats catastrophiques.

Et les élèves, ont ils encore le goût d'apprendre ? La famille est elle encore en mesure de surveiller le suivi scolaire?
Ma réponse à ces deux questions, je dirai que seule les parents souhaitant un avenir glorieux, pour leur enfant font ce devoir parental.

Ce qui est désolant, c'est de voir qu'il y a beaucoups de gens qui ont fait des études et qui ne trouve pas de travail dans leurs branches, ou pas de travail du tous, sauf à Mac Donald !

avenir glorieux? bof.. il me semble qu'on élève ses enfants pour leur donner le maximum de chances pour évoluer dans un monde qui devient de plus en plus difficile à appréhender..leur faire croire que grâce à leur travail ils seront automatiquement récompensés par une situation bien confortable,me semble très dangereux..il s'agit de ne pas cacher les pb, jamais, seules les personnes correctement informées, peuvent surmonter les diffcultés, le bagage scolaire est important mais il n'est pas suffisant, il faut aussi de la pugnacité, de la confiance en soi, et aussi une bonne dose de réalisme.