La Crise Financière et économique

c'est tout de même "génial" l'Amérique ultra-libérale..!

Les enfants de Menphis sans école

Selon la BRI les banques européennes sont très exposées à la dette américaine




En France, il s’agit de BNP Paribas, Natixis et Société Générale. Deutsche Bank et Com­merz­bank en font partie en Allemagne, Unicredit en Italie ainsi que Barclays, HSBC, RBS et Standard Chartered outre-Manche

Apocalypse Now?

L’actualité de la crise : L’INCOMMENSURABLE, par François Leclerc

L’actualité de la crise : À LA GRÂCE DE DIEU ! par François Leclerc

juju41 a écrit:

L’actualité de la crise : À LA GRÂCE DE DIEU ! par François Leclerc

Tu as oublié la vidéo de Paul Jorion

Flash spécial crise de la dette US

Le passage sur les dépôts rémunérés fait froid dans le dos.

Pour initiés, mais sans essayer de comprendre les tableaux, les commentaires techniques sont assez clairs tout de même… Ça va mal finir…

Les indices mondiaux en perspective dans ce monde en délire…

extraits

Nous sommes évidemment très loin des niveaux de valorisation des années 1990, puisque, officiellement, les US sont toujours en nette croissance. Enfin, c'est ce que Wall Street et consors s'évertuent à nous faire croire, alors que la récession ne cesse d'amplifier les chiffres du chômage, de la délinquance et des faillites personnelles, avec les conséquences que l'on connaît sur l'immobilier local. Cependant, si l'on élimine les effets de la dévaluation du billet vert, on réalise bien vite que la pseudo-croissance des indices US n'est qu'un effet de miroirs.

ça peut très mal finir aux USA..

Notes sur “un week-end pré-révolutionnaire”
http://www.dedefensa.org/article-notes_sur_un_week-end_pre-revolutionnaire__30_07_2011.html

extrait
nous nous attachons à l’intervention d’un chercheur, Neil Hower, sur l’hypothèse de troubles publics, sinon révolutionnaires, dans le sillage des événements actuels de Washington. Comme nous le soulignons, l’hypothèse de Neil Howe, expert appointé de l’establishment, et du Système par conséquent, n’a guère d’intérêt en soi, mais nous donne par contre une indication extrêmement intéressante du climat et des opinions. Elle nous indique que l’establishment commence à envisager comme inévitables des événements de trouble aux USA, pouvant être éventuellement qualifiés de “révolutionnaires”.

...

C’est dire que nous sommes, à ce point, bien loin de la seule question de la dette, toute importance qu’elle puisse paraître. Nous ne sommes plus dans le champ des hypothèses rationnelles, fussent-elles catastrophiques. Nous sommes dans un champ qui échappe à la raison, – et qui tend, du même coup, à échapper au Système, puisque la raison telle qu’elle est aujourd’hui a amplement montré qu’elle était subvertie par le Système. Il est possible que même l’establishment, même les serviteurs du Système, soient au bout de leur équilibre rationnel.

Aux USA, cette affaire de la dette est aussi une affaire de politique politicienne avec en ligne de mire la présidentielle de 2012 (tiens, ça me rappelle quelque chose, mais quoi ?... ).

Donc pour savoir si les discussions aboutiront ou pas avant la date fatidique, il faut se demander si les républicains ont un intérêt politique à planter le pays pour planter Obama.

Car, s'ils vont au bout de cette logique suicidaire pour le pays, ça pourrait se retourner contre eux.

L’actualité de la crise : DANS LA NASSE ! par François Leclerc

video de Paul Jorion :
Crise de la dette US, quel accord ?

il ya quelque chose que je ne comprends pas.. pourquoi nos dirigeants européens se réjouissent ils de voir les USA faire exactement ce qu'ils s'interdisent de faire?
c'est assez incongru...sans compter que vu l'état de l'économie américaine qui est en quais récession depuis janvier,c'est juste reculer pour mieux sauter..

DETTE. 150 millionnaires américains veulent payer plus d'impôts



c'est pas chez nous , qu'on verra ça.. les notres, moins ils paient, mieux ils se portent, et en plus on les encourage..

juju41 a écrit:

Paul Krugman : "L'accord (sur la dette américaine) est un désastre"

Il incise profond, Paul Krugman!

Citation :

"La pire chose que vous puissiez faire dans ces circonstances est de réduire les dépenses du gouvernement, car cela aggravera encore plus la dépression économique. Ne tenez pas compte de ceux qui invoquent la fée 'confiance', et qui prétendent que la rigueur budgétaire rassure les investisseurs et les consommateurs, les encourageant à dépenser plus. Cela ne marche pas comme ça, l'Histoire l'a déjà prouvé de nombreuses fois", écrit-il, avant d'ajouter: "Ceux qui demandent aujourd'hui des coupes dans les dépenses sont comme les docteurs du Moyen-âge qui traitait les malades en les saignant, les rendant au final encore plus malades.

il a bien raison!
les bourses ont bien chuté aujourd'hui...
ben pourquoi? on nous aurait menti? ça baigne plus? ben zut alors!
forcément les indicateurs américains sont tellement à la récession, qu'ils voient bien que les rustines ne vont servir à rien , pour redonner de la croissance..mais nos couillons de dirigeants Européens, français en tête applaudissent quand même..

J'ai entendu ce matin à la radio que la note des USA pourrait être abaissée (ils perdraient donc leur AAA) à cause de la façon dont ils sont arrivés au compromis.

juju41 a écrit:

c'est pas chez nous , qu'on verra ça.. les notres, moins ils paient, mieux ils se portent, et en plus on les encourage..

Le patriotisme, c'est ça qui fait la différence

Le volume de la dette US en billets de $100 !



source : http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=11806

A cup of Tea ?


extrait

1) les effets positifs du bail out numéro 2 de la Grèce ont duré une journée et demie.
Au cours de la semaine qui a suivi le spread le plus important, celui de l’Italie relativement a l’Allemagne a progressé de 45 points de base: C’est énorme: Cela montre que les effets de contagion n’ont pas été stoppés: La crédibilité déjà faible de l’Europe face a la crise menace de s’effondrer.

2) l’agence de notation Moody’s a fait savoir qu’elle considérait que le poids des bail-out européens était l’un des facteurs déterminants dans la détérioration de la qualité de la dette française. Ceci est à marquer d’une pierre blanche car la question à partir de là est de savoir si le mode de gestion de la crise choisi jusqu’a présent , mode de gestion qui repose sur les rating AAA du core français et allemand, si ce mode de gestion peut être poursuivi.

vive l'american way of life..!


Immobilier USA: Je donne la maison…et je paie sa démolition!