Réchauffement climatique (chapitre 1)

Jean-Luc a écrit:

Alex67 a écrit:

Jean-Luc a écrit:

La lutte contre le réchauffement n'a rien de destructeur. C'est même exactement le contraire.

Le réchauffement climatique n'est pas destructeur ?

J'ai écrit "la lutte contre...".

Faut lire avant de répondre n'importe quoi.

J'ai bien lu et je n'ai pas répondu n'importe quoi.

La logique destructrice dont je parlais n'était pas "la lutte contre..." mais bien le réchauffement climatique.

D'où ma réponse ;-)

Alex67 a écrit:

La logique destructrice dont je parlais n'était pas "la lutte contre..." mais bien le réchauffement climatique.

D'où ma réponse ;-)

Désolé, mais tel que tu l'avais écrit, ce n'est pas ce qu'on comprend.

Alex67 a écrit:

Jean-Luc a écrit:

Ceci reste plausible, et n'est en aucun cas une argumentation anti-réchauffement.

Car elle n'a pas vocation à en être une. C'est un élément supplémentaire avant de s'emballer dans une logique destructrice.

Mais admettons qu'il y a eu malentendu et n'en parlons plus.

C'est surtout qu'en me relisant quelques temps après, j'ai vu que ce que j'ai écrit était à double sens.

En gros, tu n'y es pour rien.

Pour Info, pour ceux qui peuvent y aller:

Le comité environnement du CNISF organise 4 séminaires pour répondre à toutes les questions que vous vous posez sur le changement climatique : vérités scientifiques et contre-vérités
La 1ère réunion a eu lieu mardi 15 septembre dernier avec pour thème : L’histoire du climat de la terre depuis 4 milliards d’années.

Les prochaines réunions :
— mardi 13 octobre 2009 :
Effet de serre, les modèles climatiques globaux et leur évolution, les couplages entre le climat et les cycles
biogéochimiques. Les limites de la modélisation. Le sujet sera traité conjointement par :
‐ Pascale Braconnot du Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement du CEA. Elle est la
coordinatrice du développement du modèle de climat de l'Institut Pierre Simon Laplace (IPSL,
CNRS), l'un des modèles utilisés par le GIEC.
‐ Jean‐Louis Dufresne, directeur adjoint de l'IPSL, responsable du pôle modélisation du climat.
— mardi 10 novembre 2009 :
Les modèles climatiques régionalisés, résultats et discussion des incertitudes.
— mardi 15 décembre 2009 :
Le CO2 et le changement climatique, quelles influences pour les océans ?
Elles seront animées par Mme Pascale Braconnot (Laboratoire des Sciences du Climat et de
l’Environnement du CEA) et par M. Michel Bruder (Président du Comité Environnement du CNISF).
Toutes les réunions se tiendront au CNAM de 14h30 à 17h00 (292 rue Saint‐Martin ou 2 rue Conté ‐ 75003 Paris).
Inscription en ligne (Séminaires gratuits, inscription obligatoire dans la limite des places disponibles)
Plus d’information sur le site du CNISF : www.cnisf.org

ENVIRONNEMENT

Dans Newsweek : "Un accord de plus en plus lointain"

NOUVELOBS.COM | 19.10.2009 | 13:08

Depuis quelques mois, les perspectives de voir les pays du monde atteindre un quelconque consensus à Copenhague sur les mesures de lutte contre le changement climatique s’éloignent de plus en plus.
> Cet article a été publié sur le site de l'hebdomadaire américain Newsweek le 16 octobre.

Donc le chaos s'approche de plus en plus.

Évidemment, si on compte comme pollution tout le CO² qu'on émet en respirant, on peut raconter n'importe quoi !

bouffer son gosse, c'est bon pour la planète..
un chien =un 4x4
un gosse= un Boeing 747... ( version Cochet)

David Douillet = un A 380.

Déjà faire une promotion massive de la viande blanche à la place de la viande rouge serait pas mal. Concernant les animaux de compagnie, il ne suffit donc plus d'être humaniste, il faut être animaliste pour les intégrer dans la politique de transition à conduire, maintenant le nombre des animaux de compagnie en France est quand même impressionnant et peut-être qu'il serait plus raisonnable d'en avoir un seul plutôt qu'un chien et un chat ou plusieurs chiens/plusieurs chats... Mais si ça choque la majorité des français de limiter le nombre d'animaux de compagnie, alors en bons démocrates soyons animalistes aussi...

On entend pas beaucoup les médias sur les théories actuelles, plausibles d'ailleurs, qui tendraient à dédouaner le role du CO2 dans le réchauffement.

ça ne change pas frand chose sur le fond : on arrive à la fin du pétrole, la planète se réchauffe peut être quand même à cause de l'activité solaire, mais c'est pas sur, etc ...

Par contre, on pourrait plutôt mettre les moyens sur la gestion des ressources en eau potable, sur la démographie, la gestion des métropoles, etc ...

liberspirita a écrit:

On entend pas beaucoup les médias sur les théories actuelles, plausibles d'ailleurs, qui tendraient à dédouaner le role du CO2 dans le réchauffement.

Copié-collé d'un de mes messages sur le forum des commissions du Modem :

Jean-Luc a écrit:

Citation :

Mais en quoi toutes ces horreurs abominable du rechaufement serrait-elle du au principalement au CO2 ?

Le premier GES, c'est la vapeur d'eau. Avec 2/3 de la planète couverts d'eau, impossible d'agir directement là-dessus. Et plus la température montera, plus il y aura d'évaporation : rétroaction positive dangereuse.
Le second est le CO², qui n'aurait normalement pas de raison d'augmenter en % dans l'atmosphère... si l'activité humaine n'oeuvrait pas à libérer les milliards de tonnes enfouis sous forme – entre autres – de "carburants fossiles". Là, on peut agir pour limiter les dégâts.
Il y a ensuite d'autres gaz comme le méthane – dont plus de mille milliards de tonnes enfouis sous formes de clathrates (hydrates de méthane congelés) en divers points du globe – 23 fois plus "efficace" que le CO². Qui commence déjà à se libérer, heureusement pour le moment à petites doses, mais il suffirait de peu de réchauffement supplémentaire pour avoir des dégagements massifs.

Bref, même si le CO& n'est ni l'unique responsable ni même le principal, il donne un sérieux coup de main aux autres et il n'y a que sur lui qu'on peut agir.

Voilà pourquoi c'est ce gaz qui est sur la sellette.

Jean-Luc a écrit:

Évidemment, si on compte comme pollution tout le CO² qu'on émet en respirant, on peut raconter n'importe quoi !

Oui, en faisant l'impasse que le CO² est nécessaire à la vie.

yann 35 a écrit:

Concernant les animaux de compagnie, il ne suffit donc plus d'être humaniste, il faut être animaliste pour les intégrer dans la politique de transition à conduire, maintenant le nombre des animaux de compagnie en France est quand même impressionnant et peut-être qu'il serait plus raisonnable d'en avoir un seul plutôt qu'un chien et un chat ou plusieurs chiens/plusieurs chats... Mais si ça choque la majorité des français de limiter le nombre d'animaux de compagnie, alors en bons démocrates soyons animalistes aussi...

C'est à dire ?

Limiter à un seul chien par famille, ça permet de dire "moi je ne pollue pas" mais c'est oublier que les frères et soeurs du chien appartiennent à d'autres. Si tous m'appartenaient, ça changerait quelque chose ?

-------

https://bayrou-modem.exprimetoi.net/viewtopic.forum?t=4646