[Sarkozyland] Toutes les déclarations, critiques, bourdes (chapitre 5)

excellent !
bobmo, tu devrais aller l'inscrire sur le fil des citations à retenir.

je vais le faire, y'en a d'autre que j'ai, je vais les mettre

Revue de presse

Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin utilisaient les avions de la sécurité civile pour faire du tourisme

Abus de biens sociaux. Sanction minimale : rembourser les frais.

Jean-Luc a écrit:

Abus de biens sociaux. Sanction minimale : rembourser les frais.

Entièrement d'accord! Le remboursement avant toute chose.

D'autant que frapper dans les bourses fait toujours effet. (je vous sens venir...)

l'autre a l'immunité jusqu'en 2012...mais Villepin pourrait se prendre un procés de plus... mais j'en doute, les privilèges , c'est bien une chose que tous les élus admettent.. malheureusement...

Parait que ns perçoit toujours son salaire de ministre de l'intérieur ???.....

non il a utilisé les navions de l'Etat pour ses vacances du temps où il était ministre.. pareil pour villepin...

pourleboss a écrit:

Parait que ns perçoit toujours son salaire de ministre de l'intérieur ???.....

Non il a arrêté quand ça c'est su.

Les difficultés des ministres inquiètent Sarkozy


commentaire:
si les ministres sont en difficulté , c'est d'abord à cause de sarkozy qui veut tout gérer, qui décrète des réformes comme il change de slip...
si les ministres sont en difficulté c'est d'abord parce qu'ils ont été choisis selon un casting relevant plus de la gravure de mode( question QI social = niveau zéro de la négociation)), que de la compétence...ces pauvres hères sont pour la plupart cornaqués par des éminences grises de l'Elysée, et pour les plus nuls, on leur rajoute des béquilles sous forme de médiateurs...
mais le pire c'est quand même sarkozy, qu'il n'essaie pas de se dédouaner sur les nullissimes qu'il a nommés( voir dans le Canrd, les noms d'oiseaux qu'il leur balance).. pour paraitre le Phare de l'Occident, c'est plus facile quand on est entouré de nuls...mais personne n'est dupe, que la totalité des pb viennent de sa propre gestion calamiteuse , crise ou pas crise...

Visite présidentielle


Le journal local nous informe : Nicolas Sarkozy va se pointer dans le Pas-de-Calais, plus précisément à Lestrem, du côté de Béthune. Il sera accompagné de Christine Lagarde et viendra visiter l'usine Roquette, sans qu'on en sache plus sur le pourquoi du comment, ni sur le contenu de son discours. Pour info, Roquette, c'est le numéro 2 européen et le numéro 4 mondial de l'amidon, autant dire une des plus grosses industries du Nord.
Les préparatifs quant à sa venue sont en cours: le préfet et le commissaire de police baillonnent en ce moment les ouvriers, et les syndicats rassemblent leurs forces et des dizaines de chicons (des endives!!!) à balancer comme une babouche à la tête du décevant Président.

http://lechemindurayon.blogspot.com/2009/02/visite-presidentielle.html

commentaire:
ceux du Nord qui ont des "babouches " en réserve peuvent toujours aller s'en débarasser dans le coin!

J'ai bien une enclume dont je dois me débarrasser, mais je ne suis pas sûr de pouvoir la lancer assez fort. Et puis, c'est pas facile à cacher sous la veste.
Autrement j'irais bien, c'est à 20mn de chez moi...

Roquette, c'est un ancien client qui m'a demandé l'été dernier pour une mission longue, puis a reporté et n'a plus jamais donné de nouvelles.

fais gaffe de ne pas finir au gnouf...

Il semblerait que ce ne soit pas le nabot, mais seulement Fion, le premier sinistre, qui se rendrait à Lestrem lundi prochain. Lui, il mérite juste des tomates (les chicons, c'est pas salissant).

Toute ressemblance avec la politique actuelle ne serait qu'une "coincidence"...

Le Manuel de TINA

Jean-Luc a écrit:

Il semblerait que ce ne soit pas le nabot, mais seulement Fion, le premier sinistre, qui se rendrait à Lestrem lundi prochain. Lui, il mérite juste des tomates (les chicons, c'est pas salissant).

Moi j'en connais surtout un qui va se prendre des tomates et des boulons la prochaine fois qu'il vient à Gandrange

Pas que ça...

Citation :

Le Manuel de TINA

La méthode Sarkozy en question
Publié le dimanche 15 février 2009 à 09H55

Alors que le Président est attendu au sommet social du 18 février, deux spécialistes analysent sa stratégie

Est-ce un virage du quinquennat présidentiel ? Alors que les Français sont frappés par la crise et le doute, Nicolas Sarkozy, la popularité en berne, doit recevoir mercredi les partenaires sociaux. Un rendez-vous fixé, lors de son intervention télévisée, qui s'annonce crucial. Autant pour les Français qui souhaitent des mesures immédiates afin d'améliorer un quotidien qui se dégrade, que pour le chef de l'État qui n'a pas su calmer la grogne sociale.

Deux semaines après une vaste mobilisation de la rue, alors que les universités et les enseignants-chercheurs battent toujours le pavé, que la Guadeloupe est dans l'impasse et la Réunion menace, le Président, qui s'est toujours refusé à un changement de cap, semble au pied du mur.

Sa méthode de réformiste hyperactif fait les frais d'une opinion publique impatiente. Et qui n'a rien vu venir pour arranger son pouvoir d'achat. Arc-bouté sur son plan de relance privilégiant l'investissement, Nicolas Sarkozy a promis d'ouvrir des pistes plus concrètes. Sera-t-il convaincant et efficace ? Les réponses du sondeur Stéphane Rozès et du politologue Nicolas Lecaussin.

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"Ce sommet est une occasion de rebondir"
Stéphane Rozès est directeur général de l'institut CSA, en seignant à Sciences Po'

- L'exécutif semble en difficulté. Comment l'expliquez-vous ? Nicolas Sarkozy n'a pas, au travers de son intervention télévisée, renverser la vapeur dans son rapport à l'opinion. Les Français ne voient pas la cohérence entre les réformes structurelles et le plan de relance. Il y a une incompréhension entre le fait de vouloir supprimer des postes de fonctionnaires alors que l'angoisse du chômage prévaut. Autre grief, ils s'interrogent sur le caractère qui leur semble injuste des aides économiques à certains secteurs. Ils attendaient des mesures concernant leur pouvoir d'achat. Cette conjonction entre une politique d'investissement et l'inquiétude des Français fait qu'ils ont le sentiment que la politique de Nicolas Sarkozy ne sera pas efficace et volontaire.

- Peut-il rebondir à l'occasion du sommet social du 18 février ?
Les
Français appellent à une réorientation, ce dont Nicolas Sarkozy s'est refusé jusqu'à maintenant. La rencontre avec les partenaires sociaux peut être l'occasion, au nom de la concertation et de l'écoute, de trouver de nouveaux équilibres. Ce sera une occasion pour rebondir, à partir du moment où une position est trouvée, permettant une sortie par le haut. Il faudra que cette réunion établisse un calendrier. Il ne s'agira pas seulement de définir un cap mais également de prendre des décisions concrètes. Le président de la République doit répondre à court terme aux craintes et prouver sa capacité à donner de la visibilité sur le moyen et le long terme.

- Le président de la République peut-il changer de cap ?
C'est une question de fond. Le pays comprend les investissements mais il a besoin d'être sécurisé. On ne peut pas dire que tout est prioritaire. Cela voudrait dire qu'on ne prend pas en compte la crise et le niveau d'anxiété des Français! Hiérarchiser ses priorités est une nécessité pour le chef de l'État afin de dessiner un cap. Ouvrir les chantiers sans les ordonner, c'est une façon de dire que tout continue comme avant.

- Vit-on un tournant dans le mandat présidentiel ?
Ce n'est pas un tournant pour Nicolas Sarkozy, mais pour le pays, qui est dans une situation instable. Le 18 pourrait être l'occasion pour le Président de renouer avec le pays.

- Pourquoi ce cafouillage gouvernemental dans la crise antillaise ?
Plus Nicolas Sarkozy va différer sa capacité à hiérarchiser, plus il sera sujet à l'accumulation de couacs. Parce qu'il n'a pas défini un cap pour l'ensemble du pays, les différentes catégories essaient de se faire entendre.

- Cette crise peut-elle se propager ?
Le pays ne veut pas d'un nouvel hiver 95, mais il peut s'échapper à lui-même. Pour l'instant, il se retient.

Propos recueillis par Marjory Chouraqui


http://www.laprovence.com/articles/2009/02/15/728862-A-la-une-La-methode-Sarkozy-en-question.php

Bonjour,
Sarkozy au Koweit, vu par un journaliste Koweitien:
http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=94628

(on peut évidemmen argumenter que tous les pays vendeurs d'armes fonctionnent comme ça :-( ).

Cordialement,
K

Kouchner, Tapie, Séguéla, l'ouverture bling bling

Citation :

Gardons le meilleur pour la fin : Bernard Tapie. Sans doute est-ce le côté bling-bling qui les a rapprochés. Le ralliement de l’ancienne gloire mitterrandienne a déjà été remboursé largement par la honteuse capitulation du ministère des finances qui avait pourtant les faveurs de la justice ordinaire. Ira t-on plus loin encore dans la réhabilitation de cet homme qui partage avec le Président un dangereux ennemi commun, François Bayrou ? La fameuse affaire VA / OM vient de connaître un rebondissement ces derniers jours : un livre blanchirait Tapie à propos de cette triste affaire de corruption. L’auteur ne peut être soupçonné de parti pris, c’est son ancien attaché parlementaire.

Décidément, rien ne nous sera épargné.

En parlant de Frigidaire, Libre, il y avait un excellent article sur les habitudes culinaires de notre "président" dans Marianne

Séguéla: "Si à 50 ans on n'a pas une Rolex, c'est qu'on a raté sa vie"


Le publicitaire Jacques Séguéla a semble-t-il pété les plombs. Vendredi à Télématin, sur France 2, il a déclaré sans ambage : "Si à 50 ans on n'a pas une Rolex, c'est qu'on a raté sa vie".

Si Jacques Séguéla a été un grand communicant, artisan des victoires de François Mitterrand aux Présidentielles, avec le slogan "La Force tranquille" en 1981, il semble aujourd'hui avoir un peu de plomb dans l'aile.

Interrogé vendredi matin sur France 2, sur le côté bling-bling du président Sarkozy et son amour pour les belles breloques comme les Rolex, qui serait une erreur de communication, Jacques Séguéla s'est offusqué. Selon lui, ce n'est pas une erreur de communication, "mais une erreur des journalistes".

Et de légèrement franchir la ligne jaune en déclarant tout du go: "Comment peut-on reprocher à un Président de la République d'avoir une Rolex ? Enfin, tout le monde a une Rolex". Et d'ajouter "Si à 50 ans on n'a pas une Rolex, c'est qu'on a raté sa vie".





Les ouvriers qui buvaient leur café devant Télématin vendredi avant d'aller à l'usine ont dû avaler de travers. D'autant que le publicitaire a aussi ajouté que les "Ray ban étaient une paire de lunettes à 2 balles".


Séguéla a, semble-t-il, perdu le sens des valeurs. La montre Rolex la moins chère coûte plus de 3 000€, la plus chère plus de 35 000€, tandis qu'une paire de Ray Ban vaut au moins 100€.


Si vous avez moins de 50 ans vous savez désomais ce qu'il vous reste à faire pour réussir votre vie.