PS : Parti Socialiste

Juju, moi aussi j'hésiterai entre elle et le président à talonnettes, mais je pense que je ne ferai pas la même erreur qu'en 2007, c'est à dire voter nul.

libre a écrit:

OK. Merci.

Mais ça ne me surprend pas outre mesure et confirme mon intuition que c'est elle qui sera choisie comme candidat du PS en 2011.

Tu crois qu'ils lui ont piqué sa place de 1ère secrétaire, pour ensuite la laisser tranquillement prendre la place de la présidentiable PS

Non. Et ils semblent bien décidés à l'empêcher d'être désignée candidate.

Et sauf à tricher une nouvelle fois, chose qu'à mon avis ils ne pourront pas faire tellement ça s'est vu la dernière fois, ils ne pourront pas car ce sont les militants qui décident.

Et bien qu'on l'ait dit alors en perte de vitesse, les militants ont placé sa motion en tête lors du vote des motions au Congrès de Reims et l'ont mise pratiquement à égalité avec Martine Aubry lors de l'élection du premier secrétaire. Pas mal, non ?

Donc, compte-tenu de ça et de la légitimité que lui confère sa candidature à la présidentielle de 2007, du score qu'elle y a fait (et elle a fait mieux que Jospin en 2002) et du score sans appel qu'elle avait fait lors des primaires pour la désignation du candidat à la présidentielle de 2007 (quand 60% des votants vous choisissent, y'a pas photo), je pense que c'est elle qui sera désignée pour la présidentielle de 2012.

Ce qui aurait pu changé la donne et réduire sérieusement ses chances d'être choisie étaient ces primaires de la gauche que le PS voulait organiser, donc avec un candidat unique pour toute la gauche, et qui aurait sans doute abouti au choix d'un(e) candidat(e) plus marqué(e) à gauche.

Mais les autres partis de gauche n'en ont pas voulu de ces primaires de la gauche. Donc ce sont les militants et sympathisants du PS qui décideront. Et je pense qu'ils choisiront Ségolène Royal.

Bien entendu, je ne prétend pas avoir la science infuse et je n'ai pas de boule cristal. Par conséquent c'est une opinion qui n'engage que moi et j'admet que je puisse me tromper. En tout état de cause, l'avenir dira si j'ai raison ou pas.

Pour Hollande, les régionales "vont être bonnes pour la gauche"

L'opposition est prête pour l'alternative ? Ah bon. Je n'avais pas remarqué.

Pendant que Sarkozy fabule, Ségolène discourt bien
"Pendant que Nicolas Sarkozy s’ inventait son histoire de téléportation de Colombey-les-Deux-Eglises à Berlin au point que même la Pravda le Figaro a relevé la supercherie… Ségolène Royal faisait un discours de grande tenue à Berlin hier…


Je ne comprends même pas comment un institut aussi prestigieux puisse l’inviter…"

libre a écrit:

Mais les autres partis de gauche n'en ont pas voulu de ces primaires de la gauche. Donc ce sont les militants et sympathisants du PS qui décideront. Et je pense qu'ils choisiront Ségolène Royal.

C'est fort possible. Si c'est la cas, il y aura un candidat "dissident", soutenu en sous main par le parti. Ils sont prêt à sacriifer la présidentielle. Ils préfèrent sarko à royal!!!

toutoune a écrit:

C'est fort possible. Si c'est la cas, il y aura un candidat "dissident", soutenu en sous main par le parti.

Je ne crois pas. En revanche, ils peuvent lui mettre des bâtons dans les roues, comme en 2007, pour la faire perdre une nouvelle fois.

toutoune a écrit:

Ils sont prêt à sacriifer la présidentielle. Ils préfèrent sarko à royal!!!

Ca, c'est possible.

Ce que veut la Royale, Dieu le veut !

Une autre course au pouvoir suprême (ns en tête du peloton évidemment !) avec tout ce que ça comporte comme saloperies ...

Strauss-Kahn doit encore convaincre les Français
Selon notre sondage CSA, le patron du FMI est jugé compétent et fort d’une stature internationale… mais les Français ne le voient pas comme un président de la République.

Il se montre peu, se tient loin de la vie agitée du PS et se garde bien de toute petite phrase polémique . Et, pourtant, Dominique Strauss-Kahn est omniprésent dans la vie politique, au point d’apparaître comme le « sauveur » possible de la gauche en vue de 2012. La semaine dernière, un sondage CSA le donnait vainqueur face à Sarkozy au second tour alors que, selon la même enquête, les autres prétendants socialistes Aubry, Delanoë et Royal seraient battus par l’actuel président.



Selon notre sondage CSA aujourd’hui, DSK possède des atouts solides : les Français le jugent compétent, sympathique et apprécient sa stature internationale. Paradoxe, il plaît davantage aux sympathisants de droite qu’à ceux de gauche ! « C’est dû au fait qu’il ait accepté sa mission à la tête du FMI et ne soit pas en conflit avec Nicolas Sarkozy », explique Jean-Daniel Lévy, directeur de CSA-Opinion. Les Français le jugent d’ailleurs plus proche du pragmatrique Tony Blair (29 % selon CSA) que de Martine Aubry (27 %). Sur fond de crise économique mondiale, son rôle de grand régulateur traitant d’égal à égal avec les chefs d’Etat pourrait l’aider en 2012.

Le rêve... d’Anne

Mais, voilà, il faudrait d’abord qu’une campagne ardue tente vraiment le candidat malheureux aux primaires du PS en 2006 et qu’il abandonne à Washington le job de fonctionnaire le mieux payé du monde (500 000 $ annuels, environ 332 500 €). Il faudrait ensuite qu’il réussisse à convaincre le pays qu’il a un projet… et qu’il ferait un bon président : seuls 34 % des Français le pensent, tandis que 49 % en doutent. « Normal, nuance Lévy : il ne donne aucun signe d’un éventuel retour, ne s’exprime ni sur un projet ni sur la gestion du pays par Sarkozy. »
Il est loin des « chikayas » des socialistes et profite des difficultés du chef de l’Etat. Du coup, il y a bien un emballement en faveur de DSK... Et puis, ne dit-on pas que son épouse Anne Sinclair, l’ex-vedette de TF 1, rêve d’un grand retour à Paris

http://www.leparisien.fr/politique/strauss-kahn-doit-encore-convaincre-les-francais-12-11-2009-708109.php

Les conditions d’un retour




Tous les stratèges politiques ne parlent plus que de ça : l’éventuel retour de DSK sur la scène nationale à l’occasion de la présidentielle de 2012. A gauche comme à droite, on scrute les sondages, on pèse le pour et le contre pour tenter de percer les intentions de l’actuel patron du FMI.


commentaire:je rigole de voir un Fabius partisan du tout à gauche ( soit disant)ainsi qu'une Aubry, qui crachent sur Bayrou en le disant de droite, et qui soutiennent ouvertement un DSK plus à droite que Bayrou...prendraient ils les militants socialistes pour des cons?

juju41 a écrit:

Strauss-Kahn doit encore convaincre les Français
Selon notre sondage CSA, le patron du FMI est jugé compétent et fort d’une stature internationale… mais les Français ne le voient pas comme un président de la République.

Il se montre peu, se tient loin de la vie agitée du PS et se garde bien de toute petite phrase polémique . Et, pourtant, Dominique Strauss-Kahn est omniprésent dans la vie politique, au point d’apparaître comme le « sauveur » possible de la gauche en vue de 2012. La semaine dernière, un sondage CSA le donnait vainqueur face à Sarkozy au second tour alors que, selon la même enquête, les autres prétendants socialistes Aubry, Delanoë et Royal seraient battus par l’actuel président.



Selon notre sondage CSA aujourd’hui, DSK possède des atouts solides : les Français le jugent compétent, sympathique et apprécient sa stature internationale. Paradoxe, il plaît davantage aux sympathisants de droite qu’à ceux de gauche ! « C’est dû au fait qu’il ait accepté sa mission à la tête du FMI et ne soit pas en conflit avec Nicolas Sarkozy », explique Jean-Daniel Lévy, directeur de CSA-Opinion. Les Français le jugent d’ailleurs plus proche du pragmatrique Tony Blair (29 % selon CSA) que de Martine Aubry (27 %). Sur fond de crise économique mondiale, son rôle de grand régulateur traitant d’égal à égal avec les chefs d’Etat pourrait l’aider en 2012.

Le rêve... d’Anne

Mais, voilà, il faudrait d’abord qu’une campagne ardue tente vraiment le candidat malheureux aux primaires du PS en 2006 et qu’il abandonne à Washington le job de fonctionnaire le mieux payé du monde (500 000 $ annuels, environ 332 500 €). Il faudrait ensuite qu’il réussisse à convaincre le pays qu’il a un projet… et qu’il ferait un bon président : seuls 34 % des Français le pensent, tandis que 49 % en doutent. « Normal, nuance Lévy : il ne donne aucun signe d’un éventuel retour, ne s’exprime ni sur un projet ni sur la gestion du pays par Sarkozy. »
Il est loin des « chikayas » des socialistes et profite des difficultés du chef de l’Etat. Du coup, il y a bien un emballement en faveur de DSK... Et puis, ne dit-on pas que son épouse Anne Sinclair, l’ex-vedette de TF 1, rêve d’un grand retour à Paris

http://www.leparisien.fr/politique/strauss-kahn-doit-encore-convaincre-les-francais-12-11-2009-708109.php

Les chiffres du sondage :

Citation :

Dominique Strauss-Kahn ne "ferait un bon président de la République" que pour 34% des Français, 49% exprimant des doutes à ce sujet. Seuls 33% (contre 47%) jugent Dominique Strauss-Kahn "capable de réformer le pays" et 27% (contre 48%) estiment qu'il a "un vrai projet pour la France", selon cette étude. Par ailleurs, ils ne sont que 37% à le trouver proche des gens.
En revanche, le dirigeant du FMI est qualifié de "compétent" par une majorité de 63% (contre 21%), il est doté d'une "stature internationale" aux yeux là encore de 63% des sondés (contre 23%) et "a le sens de l'Etat" pour 56% (contre 26%).

Il est intéressant de noter qu'il recueille une majorité d'opinions positives sur l'international, qui est son domaine de jeu actuellement, et une majorité d'opinions négatives sur tout ce qui relève de la politique nationale.

Pour moi, c'est révélateur de ce qui est le problème n°1 de DSK : son éloignement du pays, de ses affaires intérieures, problèmes et préoccupations. Eloignement qu'il doit en partie à Sarko (qui savait très bien ce qu'il faisait en soutenant la candidature de DSK au FMI). Et les affaires intérieures du pays préoccupent bien plus les Français que l'international.

juju41 a écrit:

Les conditions d’un retour




Tous les stratèges politiques ne parlent plus que de ça : l’éventuel retour de DSK sur la scène nationale à l’occasion de la présidentielle de 2012. A gauche comme à droite, on scrute les sondages, on pèse le pour et le contre pour tenter de percer les intentions de l’actuel patron du FMI.


commentaire:je rigole de voir un Fabius partisan du tout à gauche ( soit disant)ainsi qu'une Aubry, qui crachent sur Bayrou en le disant de droite, et qui soutiennent ouvertement un DSK plus à droite que Bayrou...prendraient ils les militants socialistes pour des cons?

Je rigole aussi.

Et pour la question que tu poses, je pense que la réponse est oui.

L’improbable retour de Strauss-Kahn left blog

Tout est dit.

Bonjour à tous,

effectivement, tout est dit:

car où est strauss-kaln, depuis 30 mois, lors des combats difficiles qu'il nous faut mener face à la politique des inégalitées croissantes ?


Même si , bien sùr, en cas de duel Sarkosy/Srtauss-kaln en 2012 je n'hésiterai pas.

Ah ! Là, moi j'hésiterais... DSK risquant de prendre l'agité comme "prems"...
'tention les gars on devient un pays russe ou algérien ici avec des cooptés de l'Elysée...
Je sors par la porte et mon pote m'ouvre la fenètre !

Agenda de Ségolène Royal : Samedi 14 novembre : à l'invitation de François Rebsamen, participation à un séminaire sur l'éducation à Dijon

Elle participera donc à la réunion d'EAG !
C'est Peillon et Valls qui doivent faire la tronche...

c'est anormal, puisque les présidentiables ne sont pas admis...il faudrait savoir! je trouve qu'elle se fiche du monde!et j'espère que Peillon refusera sa présence...

Et en quoi il refuserait ? Il ne refuse pas Valls qui est le seul à s'être déclaré pour 2012, Royal est juste ancienne candidate à la présidentielle, pas future...

Et puis c'est Rebsamen qui l'invite à Dijon, et Dijon, c'est chez lui.

Pas encore future mais future candidate à la candidature.

Cela dit, Valls ne devrait effectivement pas être invité non plus.

libre a écrit:

Pas encore future mais future candidate à la candidature.

Cela dit, Valls ne devrait effectivement pas être invité non plus.

Je suis désolé mais elle a dit chez Bourdin qu'elle ne savait pas encore et qu'elle prenait les élections les unes après les autres.
Oui, je sais c'est hypocrite

Totalement. Mais, quand on a envie d'être président(e) de la République, mieux vaut ne pas trop le montrer et jouer les hypocrites sinon on se fait attaquer par des gros démagos sur l'air de "Hou, il/elle veut être président et il/elle ne pense qu'à ça".

Bayrou a le même problème.