UMP : Union pour un Mouvement Populaire

ce n'est plus un régime de droite mais d'extrème droite..
Regardez les dernières applications , c'est évident à présent.
Au fil des jours nous en avons la confirmation..
Seulement 4mois et demi !

Juste un petit détail...

Française mais convertie à l'islam...

Vois pas trop ce que le "mais" viens faire là mais bon...

LOL Je vais passer pour un intégriste moi !

2 posts, 2 fois en rapport avec l'islam ! lol

A Vincent 15
La citation de Platon, c'est dans la République. C'est sûr qu'un philosophe roi, ça serait mieux que ce gnome inculte qui nous tient lieu de président.

evelyne44 a écrit:

A Vincent 15
La citation de Platon, c'est dans la République. C'est sûr qu'un philosophe roi, ça serait mieux que ce gnome inculte qui nous tient lieu de président.

Comment oses-tu parler de la sorte de Notre Président !
:reich:

Sa pureté Nicolas Sarkozy réalise un grand travail, et il conviens de rendre à Sa Présieuse Majesté Nicolas Sarkozy ce que appartient à Notre Merveilleux Président !

Faire passer le déficit de 1.8% à 3% en moins de 100j, chapeau bas !

Juste pour rire un peu...

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Sarkozy petit pere du peuple
envoy&eacute; par sarkophage

Selon une source élyséenne, le porte-parole de l’Elysée, David Martinon, 36 ans, conduira la liste UMP à Neuilly-sur-Seine lors des prochaines municipales. Le Président, ancien maire de Neuilly-sur-Seine, l’a annoncé hier à son porte-parole. Nous avions évoqué ce choix dans notre édition papier comme étant la solution la plus probable.

http://www.lepoint.fr/content/confidentiels/article.html?id=201933

la petite "frappe" est bien un sarkozien pur jus, je ne peux pas le supporter ce type,il doit avoir les dents presqu'aussi longues que son Maître...

c'est Hortefeux qui va être content...

mais Brice de clermont n'est plus en odeur de sainteté chez Sarko, il parait c'est plus son "ami", grandeur et décadence, avec Sarko, t'as à peine le temps de voir le dessus du panier que tu te te retrouves jeté aux orties, faut suivre...

il y a peu du Capitole à la Roche Tarpéienne....

Cédric, cette vidéo est archi-connue...

Quand met on François Bayrou sur le trône?

Vers 1953, sa mère l'y mettait tous les jours.

Acrimed 24/09



Le pouvoir UMP s’ouvre à la nomenclature médiatique
Grégory Rzepski

Publié le lundi 24 septembre 2007


Depuis le 6 mai 2007, l’ « ouverture », c’est-à-dire le débauchage de quelques personnalités membres ou proches du Parti socialiste par le président UMP et son gouvernement, fait les délices des commentateurs. Mais les bras du nouveau pouvoir se sont aussi très largement ouverts – et l’on en parle moins… – pour accueillir des personnages du monde des médias [1].


Dès le 16 mai, Georges-Marc Benamou, éditorialiste à Nice-Matin et chroniqueur à La Provence, est nommé conseiller pour la culture et l’audiovisuel du nouveau chef de l’Etat. Dans le même temps, Catherine Pégard du Point est aussi nommée à l’Elysée et Myriam Lévy, chargée de suivre la campagne de Ségolène Royal au Figaro, l’est à Matignon [2]

La mise en place de différentes commissions par la présidence a aussi été l’occasion de les faire bénéficier des « compétences » de quelques éditorialistes et chroniqueurs et de satisfaire les besoins de considération de ces professionnels pourtant déjà reconnus par des médias qu’ils squattent allègrement. Dans le « comité de réflexion sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Ve République » institué en juillet et présidé par Edouard Balladur, on retrouve ainsi : Jean-Louis Bourlanges, chroniqueur dans l’émission « L’esprit public » sur France Culture ; Guy Carcassonne, chroniqueur au Point ; Jean-Claude Casanova, éditorialiste associé au Monde et co-animateur de l’émission « La rumeur du monde » avec Jean-Marie Colombani sur France Culture ; Olivier Duhamel, chroniqueur sur France Culture. Dans la commission pour la « libération de la croissance française » dont la présidence a été confiée à Jacques Attali, lui-même éditorialiste à L’Express, on retrouve : Yves de Kerdrel, éditorialiste au Figaro et chroniqueur à BFM, et Eric Le Boucher, chroniqueur économique au Monde.

Il est vrai que Carcassonne ou Duhamel sont professeurs de droit avant d’être des éditorialistes. Il est vrai également que la participation de journalistes ou de chroniqueurs à des comités gouvernementaux n’est pas une nouveauté. Dans le groupe qui a élaboré le rapport Camdessus (déjà sur la croissance) en 2004, on retrouvait Olivier Blanchard, chroniqueur à Libération,et Philippe Lefournier, éditorialiste à L’Expansion. En 2004 aussi, Jean-Marc Sylvestre (LCI, France Inter) présidait la commission d’orientation pour le débat « Agriculture, Territoires et Société ». Enfin, on peut citer Alain-Gérard Slama, chroniqueur à France Culture et éditorialiste au Figaro, qui était membre de la commission Thélot (sur l’éducation) mise en place en 2003.

Mais une ouverture si « large » et si « décomplexée », réalisée en si peu de temps, est, sauf omission, sans précédent sous la Vème République. Quelle est exactement la fonction sociale exercée par Eric Le Boucher quand, le 2 septembre 2007, il livre, aux lecteurs de son journal, les premières réflexions que lui inspire le travail qui lui a été confié au sein de la commission Attali ? Journaliste ? Rendant hommage à « M. Sarkozy » qui « débloque beaucoup de choses en tout secouant. », il le met toutefois en garde : « la popularité est superficielle. La confiance s’ancre, elle, plus profond. » La profondeur ? Elle consiste dans les préconisations de Le Boucher : « L’université ne peut attendre de se rénover entièrement. La recherche doit épouser l’industrie. L’Etat devrait devenir plus régulateur qu’acteur. L’intervention devrait devenir l’incitation. »


Décidément, rarement, voire jamais président, depuis 1958, n’était parvenu à séduire autant de représentants des nomenclatures éditoriales [3]. Ces cas individuels sont l’expres​sion(et non la cause) de l’interdépendance des pouvoirs politique et médiatique dont les commissions sont un des lieux de rencontre. Une interdépendance qui se conjugue à l’emprise de l’économie sur les médias ainsi qu’aux convergences d’intérêt et aux liens spécifiques qui existent entre le nouveau pouvoir et l’oligarchie capitaliste qui détient la plupart des médias.

Grégory Rzepski

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[1] Et réciproquement : Laurent Solly, très proche conseiller de Nicolas Sarkozy, a ainsi intégré la direction de TF1 dans les jours qui ont suivi la victoire du candidat UMP.

[2] Lire ici même « Sarkozy et les médias, les médias face à Sarkozy ».

[3] Une séduction qui ne s’explique pas seulement par l’attribution de breloques et les rencontres estivales qui permettent de l’entretenir. Il reste que, au hasard d’un article du Monde (le 26 août 2007), on apprenait que « Jean-Claude Dassier recevait cet été, au Pyla, le porte-parole de l’Elysée, David Martinon. Quant à Claire Chazal, elle loue chaque année une maison à Sperone, en Corse, avec son vieil ami l’ancien ministre de la culture UMP Renaud Donnedieu de Vabres. »

http://www.acrimed.org/article2699.html

C'est pour cela qu'il veut se présenter à pot , pardon à Pau.

il faut que FB prenne pau-sition...

oui la pole pau-sition.
Pour arriver PREMIER.

20 minutes 28/09

Journées parlementaires de l'UMP: entre soutien à Sarkozy et volonté de compter

Députés et sénateurs UMP, qui se réunissent vendredi et samedi à Strasbourg pour leurs journées parlementaires, affichent leur volonté de soutenir "à fond" Nicolas Sarkozy et le gouvernement sans être relégués à un rôle de godillots.

A la veille de la reprise normale des activités du Parlement, les élus de la majorité ont d'ailleurs prévu de plancher vendredi sur le thème "qu'est-ce qu'un parlementaire moderne ?".

Dans le cadre de la présidentialisation du régime, accélérée par l'exercice du pouvoir de M. Sarkozy, ils engageront la réflexion sur la transformation du métier de parlementaire avec l'objectif de lui conférer "une nouvelle fonction, celle de contrôle du gouvernement".

"Soutien à 10.000% du projet présidentiel", mais aussi "vraie valeur ajoutée" avec "des propositions innovantes, voire iconoclastes", explique le patron des députés UMP Jean-François Copé pour résumer l'ambition des parlementaires UMP, qui entendent par ailleurs être vigilants sur le rythme des réformes.

Conscient que la politique d'ouverture du chef de l'Etat puis les consignes données pendant la session extraordinaire d'été pour ne pas "dénaturer" les textes ont fait grincer des dents, le secrétaire d'Etat en charge du Parlement, Roger Karoutchi, a récemment promis que le gouvernement veillerait à ce que la majorité n'ait pas le "spleen". Il ne faut pas qu'elle ait "l'impression de n'être là que pour lever la main" et voter les projets de loi, a-t-il admis après avoir assuré que "sur les textes à venir, les parlementaires auront plus d'influence".

"Nous allons revendiquer ces marges de manoeuvre, avec intelligence", affirme le député Georges Tron (villepiniste). "Ne nous faisons pas trop d'illusions. L'Elysée veille au grain et a de puissants relais au sein même de nos troupes", tempère un de ses collègues. "C'est seulement sur les mesures que le gouvernement n'entend pas endosser lui-même que les +initiatives+ des parlementaires auront des chances d'aboutir", ajoute un autre en citant l'amendement polémique sur les tests ADN pour les candidats au regroupement familial.

Sur la forme, le rendez-vous organisé dans la capitale alsacienne devrait marquer, élection de Nicolas Sarkozy oblige, une "rupture" avec les pratiques anciennes. "Fin les exposés ex cathedra. Nous voulons des débats très interactifs", conçus comme un "talk-show", explique M. Copé.

Forums retransmis à la télévision, possibilité de poser des questions par SMS... Dans un décor évoquant la Chambre des Communes britannique, les parlementaires débattront vendredi sur le pouvoir d'achat, l'école ou encore l'Europe, avec un panel de Français et des intervenants extérieurs.

De nombreux ministres, y compris d'ouverture, seront présents. Le patron des députés Nouveau Centre (centristes ralliés à M. Sarkozy), François Sauvadet, sera également invité, signe des "relations très intenses et très bonnes" avec l'UMP, selon M. Copé.

Le programme de samedi sera plus classique avec les discours des dirigeants de la majorité et l'intervention finale de François Fillon. Face à un président omniprésent, le Premier ministre mise beaucoup sur l'appui des députés et sénateurs UMP aux réformes et sur le nouvel espace politique que devrait lui procurer la reprise des questions d'actualité au gouvernement, la semaine prochaine, pour pouvoir enfin exister pleinement.




© 2007 AFP

"Députés et sénateurs UMP, qui se réunissent vendredi et samedi à Strasbourg pour leurs journées parlementaires, affichent leur volonté de soutenir "à fond" Nicolas Sarkozy et le gouvernement sans être relégués à un rôle de godillots."

-) Bon courage ! à fond sans être godillots, s'ils y arrivent, chapeau !

juju41 a écrit:

20 minutes 28/09

Journées parlementaires de l'UMP: entre soutien à Sarkozy et volonté de compter

"Soutien à 10.000% du projet présidentiel",

ça fait pas beaucoup, ça.

Sarko va pas être content.

Je pense qu'il veulent dire 10 mille pourcent.

là ça fait vraiment beaucoup et Sarko ne se sent plus pisser

AFP : Jean-Pierre Raffarin, Jean-Claude Gaudin et Pierre Méhaignerie ont été élus samedi vice-présidents du Conseil national de l'UMP, lors de la réunion de rentrée de cette instance.
Un millier de conseillers nationaux du parti majoritaire les ont élus à 86,3% des suffrages, lors d'un vote électronique organisé à l'ouverture des travaux du Conseil national à la Mutualité à Paris, qui seront clôturés à la mi-journée par le Premier ministre François Fillon.
"Le dilemme n'est pas terrible puisqu'il y a trois candidats pour trois postes", a ironisé Patrick Devedjian en donnant à la salle le choix entre un vote à main levée ou par boîtier électronique.
Quelques mains s'étant levées dans la salle en faveur du vote électronique, des boîtiers ont été distribués aux conseillers nationaux.
Immédiatement après l'élection, le premier vice-président Jean-Pierre Raffarin a brièvement exposé son projet de développement du conseil national dont il veut faire "une instance où se fait le débat", où "le président trouve ses alliés les plus solides". Il faut "revaloriser le parlement du parti", a-t-il lancé.
L'élection des trois vice-présidents du Conseil national entérine la nouvelle direction collégiale composée de six membres, qui se substitue au poste de président laissé vacant par Nicolas Sarkozy après son élection à l'Elysée.
Le secrétariat général, autre instance dirigeante du parti, est également composé de trois membres, Patrick Devedjian et deux secrétaires généraux adjoints, le député du Rhône Philippe Cochet et Dominique Paillé.
Ils avaient été élus, le 25 septembre, par le Bureau politique (80 membres), et sont tous trois chargés d'organiser la vie du parti.
La nouvelle direction collégiale a été instaurée conformément aux nouveaux statuts du parti, adoptés en septembre, pour assurer l'intérim jusqu'à la prochaine présidentielle en 2012.
Jean-Claude Gaudin, qui préside la Commission nationale d'Investiture de l'UMP pour les élections, leur a succédé à la tribune pour présenter la "charte des dix commandements" de l'UMP pour les municipales de mars 2008.
"En 2001, nous avons conquis 35 villes de plus de 30.0000 habitants" et "2001 sera la référence. Nous sommes là face à un véritable défi. Les socialistes sont beaucoup moins affaiblis sur nos territoires qu'ils ne le sont, rue de Solferino", a-t-il averti
"Les élus et militants de la gauche sont très mobilisés et ils sont prêts à nous faire mordre la poussière". Il faut "donc préparer au plus tôt" ces élections municipales "qui ne seront pas une partie de plaisir", il faut "prendre des risques", "soutenir et relayer l'action du président de la République et du Premier ministre" et "ouvrir", a-t-il martelé.
"Il faut organiser les débats locaux sur les préoccupations profondes des Français", a encore souligné le maire de Marseille.

3 chefs, c'est 2 de trop et Sarkozy compte bien dessus pour que personne prenne le parti comme lui-même l'a fait!!!

La "petite musique" des villepinistes agace à l'UMP

Le ton monte, à l'UMP, à l'encontre du petit cercle des députés villepinistes. Mardi 16 octobre, le premier ministre, François Fillon, et le président du groupe à l'Assemblée nationale, Jean-François Copé, ont reproché à François Goulard, député (UMP) du Morbihan, sa présence au meeting organisé dimanche à Paris contre les tests ADN.
Choquant", "inacceptable" revenaient en boucle dans les propos des responsables de la majorité pour qualifier la démarche de l'ancien ministre de la recherche du gouvernement Villepin, qui avait soutenu la candidature de François Bayrou au premier tour de l'élection présidentielle.
"S'ils en sont là...", soupire M. Goulard, préférant éviter d'alimenter la polémique. Son collègue Georges Tron voit au contraire, dans ce rappel à l'ordre, la marque d'une "crispation inacceptable". "Goulard a eu des mots très justes, avec lesquels je suis en totale osmose, indique le député de l'Essonne. On nous explique que, l'ouverture, c'est la liberté d'expression, et c'est toujours contre nous que les attaques sont ciblées."

INFLUENCE LIMITÉE

Mais qui sont ces "nous", qui régulièrement se retrouvent autour de l'ancien premier ministre pour "analyser la situation" ? Les principales figures de cette "amicale", parmi lesquelles Jean-Pierre Grand (Hérault), Jacques Le Guen (Finistère) ou Hervé Mariton (Drôme), s'expriment régulièrement dans les couloirs de l'Assemblée. Ouverture, budget, tests ADN, EADS : autant de sujets sur lesquels ils font entendre une petite musique différente.
"Il n'y a ni volonté d'opposition systématique ni intention de monter un courant", se défend M. Tron, rappelant que, "jusqu'à présent, nous avons voté tous les textes qui nous ont été présentés". "Même si, parfois, nous pouvions considérer qu'il s'agissait plus de textes de circonstance", s'empresse-t-il d'ajouter.
Leur influence reste toutefois limitée. "Ils ne représentent qu'eux-mêmes", tranche Nadine Morano, porte-parole de l'UMP. "Nous sommes aujourd'hui rejoints par des élus qui sont en manque de repères et s'interrogent aussi bien sur la lisibilité de l'ouverture que sur l'efficacité économique de la politique mise en oeuvre", corrige M. Tron. M. Grand assure que les villepinistes "pèsent d'ores et déjà plus que le Nouveau Centre", qui compte 21 députés. Parmi les partisans de l'ex-premier ministre, certains préfèrent s'en tenir à une prudente réserve.
Ainsi, Bruno Le Maire, député de l'Eure, qui fut le directeur du cabinet de M. de Villepin à Matignon, s'abstiendra-t-il sur le texte immigration à cause de l'article sur les tests ADN. "Mais, tient-il à préciser, ce point de principe est une conviction personnelle, qui n'affecte en rien mon soutien à l'action du gouvernement et du président de la République."

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-967852,0.html

-) ils ne représentent qu'eux-mêmes? Il faudrait que quelqu'un dise à Mme Morano que les députés représentent les citoyens...