Espace de discussion pour tous les sympathisants du Mouvement Démocrate |
|
| Tout sur la croissance en France | |
|
+63AG59 SylvainMot citoyen Paul_léautaud _Christophe_ tulipe2 wanagaine sangoku Vincent allblues33 Matunis gillou filincel Tamaris hloben Gribouille capitole Miaou liberspirita khany Alien64 johanono toutoune Citronvert Floran modorange museline democ-soc ROBERTINO pourleboss Christine41 Prouesse Elfyn yann 35 Dakota Korigan Europium Alain BERTIER ArnaudH modem66 rêve orange LaChouette pascal47 signora Eon755 d'avalie noire raimo mélanie marco11 Jacqueline25 doubs25 nanou40 Aptien LuK minh cookies93 Urban Nadette Lamule up9 Paladur Jean-Luc juju41 67 participants | |
Auteur | Message |
---|
marco11
Nombre de messages : 5812 Date d'inscription : 14/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Ven 23 Nov 2007 - 18:47 | |
| - Aptien a écrit:
- Pourquoi ne pas donner du poids, par exemple, à la poésie, qui est autrement plus féconde?
Oh Aptien si tu continues , j'attaque mon 2 ème bouquin la semaine prochaine ! | |
| | | marco11
Nombre de messages : 5812 Age : 58 Localisation : Ouest Date d'inscription : 14/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Ven 23 Nov 2007 - 18:48 | |
| - Aptien a écrit:
Sinon..."
. dis nous la suite stp .... A moins que cela soit "top secret"? | |
| | | Aptien
Nombre de messages : 2715 Age : 70 Localisation : NPDC Date d'inscription : 09/08/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Ven 23 Nov 2007 - 18:53 | |
| C'était à peu près écrit comme ça, mais en plus managérial, bien sûr. Cela signifiait: Si vous faites trop la grêve, vous devrez vous contenter de la version de base du gouvernement, il n'y aura pas de "petit bonus" de l'Entreprise. Tu vois... Le langage managérial, c'est bien enrobé, mais le fond est d'un assez grand simplisme. | |
| | | marco11
Nombre de messages : 5812 Age : 58 Localisation : Ouest Date d'inscription : 14/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Ven 23 Nov 2007 - 19:18 | |
| Et hop les primes : aux oubliettes. C'est tout simplement du chantage. | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Sam 24 Nov 2007 - 17:17 | |
| Divergences sur le coût de la grève sur l’économie et les enteprises 23/11/2007 17:58 - L'Expansion.com
Selon l’Insee, la grève aura des conséquences moins importantes qu’annoncées en début de semaine par Christine Lagarde. « L'effet sur la croissance du 4e trimestre sera faible, de l'ordre de 0,1 point de PIB, et encore plus faible sur l'année », indique-t-on à l’Institut de la statistique, pour une évaluation « de l'ordre d'un demi-milliard pour l'ensemble de la grève ». La ministre de l'Economie, avait estimé en début de semaine le coût du conflit contre la réforme des régimes spéciaux de retraite entre « 300 et 400 millions d'euros par jour », soit entre 2,7 et 3,6 milliards pour les neuf jours du mouvement. Sans donner de chiffres, la présidente du Medef, Laurence Parisot, avait de son côté jugé le coût du mouvement de grève « incalculable » et « probablement gigantesque », en évoquant une « catastrophe » et un « séisme ». | |
| | | raimo
Nombre de messages : 610 Age : 69 Localisation : 90-Territoire de Belfort Date d'inscription : 25/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Sam 24 Nov 2007 - 17:21 | |
| Lagourdasse prépare la justification de la future faible croissance du 4ème trimestre. | |
| | | Aptien
Nombre de messages : 2715 Age : 70 Localisation : NPDC Date d'inscription : 09/08/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Sam 24 Nov 2007 - 17:37 | |
| C'est même très bon pour les patrons les grêves. Plus besoin de payer tous ces gens à ne rien faire..... | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Lun 3 Déc 2007 - 11:40 | |
| Madame Coué a parlé...
JDD 3/12 Economie 03/12/2007 - 08:32 Lagarde: "25 milliards d'euros" Christine Lagarde a estimé sur France 2 que les mesures annoncées par Nicolas Sarkozy en faveur du pouvoir d'achat combinées aux effets de la loi TEPA (la loi en faveur du travail, de l'emploi et du pouvoir d'achat) remettraient "au moins 25 milliards d'euros" dans l'économie française. "La loi sur le travail en particulier, cela représente en année pleine à peu près 14 milliards d'euros. Le déblocage de la participation et le paiement de primes en fin d'année, on peut estimer (...) qu'on mettra 12 milliards d'euros sur le marché", a expliqué la ministre de l'Economie et des Finances. | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Lun 3 Déc 2007 - 12:05 | |
| Calculs évidemment basés sur l'hypothèse fantaisiste que la plupart des entreprises avaient plein de sous en caisse et allaient « rembourser » plein de RTT et offrir 1000 € de prime de fin d'année à tout leur personnel... Même Émile Coué s'en retournerait dans sa tombe ! | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Lun 3 Déc 2007 - 12:24 | |
| ben déjà, nous, ce sera NIET!!! non, mais, on a encore le droit de gérer comme on veut! que l'état commence par nous payer les factures qu'il nous doit après ,on verra si on a du pognon à donner! | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Jeu 6 Déc 2007 - 10:35 | |
| Libération.fr
Pouvoir d’achat . En mission pour Sarkozy, l’ex-sherpa de Mitterrand refuse de s’exprimer sur le plan du gouvernement. MURIEL GREMILLET QUOTIDIEN : jeudi 6 décembre 2007 Si le rapport de la commission Attali «pour la libération de la croissance française» est publié en janvier, la couverture au moins, vaudra le détour : «En une, je choisirai de mettre les trois petits singes indiens, avec l’un qui cache ses yeux, l’autre se bouche les oreilles et le troisième met sa patte devant sa bouche, dit Jaques Attali. Pour moi, ça illustre la différence entre un homme politique et un homme d’Etat. L’un a la capacité à être impopulaire pendant un temps.» Une manière de dire que suivre les préconisations de sa commission supposera du courage. Car relancer la croissance, selon Attali, impose de prendre des mesures impopulaires : une réforme libérale du marché du travail, une politique de l’offre qui favorise l’investissement des entreprises, un interventionnisme de l’Etat dans les communes qui refusent de construire suffisamment de logements sociaux. Autant de mesures un peu à rebours de la distribution de revenus qu’essaie de développer le gouvernement avec ses prochaines mesures sur le pouvoir d’achat, par le rachat des RTT ou la défiscalisation des heures supplémentaires.
«Zitrone». Interrogé pour la deuxième fois par la commission des affaires économiques de l’Assemblée, l’ancien sherpa de François Mitterrand délivre presque «un programme de gouvernement», selon les mots d’une députée socialiste. «Ce qui est bizarre, c’est qu’on peut être d’accord avec lui sur plein de sujets, note François Brottes, député PS de l’Isère. Mais on sent bien qu’il parle là en suspens et que le risque, c’est qu’à la fin, le Président pioche dans certaines de ces préconisations en les labellisant Attali et laisse tout le reste.»
Cette crainte, Attali la partagerait presque : «Nous serons vigilants, notre travail s’écroule comme un château de carte si on ne prend que certaines mesures et pas d’autres, dit-il, en toute modestie. Dans ce cas, on ne pourra pas se targuer de notre légitimité pour réformer.» Jacques Attali prend pourtant garde de ne pas s’immiscer dans le débat politique du jour. «Je ne veux pas être le Léon Zitrone des décisions gouvernementales», dit-il, soulageant Patrick Ollier, le président UMP de la commission des affaires économiques, qui dit que tout le monde «est là pour poser des questions, pas pour ouvrir un débat». Pourtant, Attali accepte de répondre à une question des socialistes sur l’opportunité de créer un bouclier fiscal pour relancer la croissance : «Je le trouve tout à fait raisonnable, et puis les gens ne le réclament pas de peur des contrôles fiscaux, ce qui dit beaucoup de choses sur notre société, dit Attali. En revanche, je crois qu’il faudrait revoir l’équilibre entre l’ISF et les droits de succession. Les baisser n’encourage pas la mobilité sociale».
A contre-temps. La commission rendra son rapport début janvier, avec en prime un calendrier précis d’adoption de ses réformes. Presque à contretemps. Puisque, en théorie, le gouvernement doit faire adopter son nouveau texte sur le pouvoir d’achat avant la fin de l’année. | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Jeu 6 Déc 2007 - 12:48 | |
| la Tribune 6/12
conjoncture L'OCDE abaisse fortement ses prévisions de croissance pour 2008 L'OCDE a abaissé de 2,7% à 2,3% les perspectives de croissance de ses membres pour 2008. L'institution reste néanmoins optimiste, estimant que la crise de l'immobilier aux Etats-Unis ne déclenchera pas de récession dans ce pays. Pour la France, le PIB ne devrait pas progresser au-delà de 2% l'an prochain. Coup de froid sur la croissance ! Aujourd'hui, l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques, qui regroupe les pays les plus développés de la planète) a procédé à une baisse importante de ses prévisions de croissance de ses pays membres pour 2008. En effet, elle ne table plus que sur une croissance de 2,3%, contre 2,7% précédemment. Elle reste néanmoins optimiste, estimant que la crise de l'immobilier aux Etats-Unis ne déclenchera pas de récession dans ce pays.
"Bien que la croissance à court terme ait été revue à la baisse presque partout dans la zone OCDE, le scénario de référence (...) n'est en fait pas si défavorable compte tenu des chocs récents", indique l'organisation dans son rapport semestriel sur les perspectives économiques. Elle prévoit également "une correction accélérée du secteur du logement aux Etats-Unis, qui pèsera sur la croissance à court terme mais ne déclenchera pas de récession et n'aggravera que modérément le chômage" dans ce pays.
La croissance du PIB pour la première économie du monde a ainsi été revue de 2,5% encore prévus en mai à 2% pour 2008, mais devrait remonter à 2,2% en 2009. Pour 2007, elle augmente même légèrement de 2,1% à 2,2%.
Pour la zone euro, la révision en baisse des perspectives de croissance est également marquée avec seulement 1,9% désormais prévus pour l'année prochaine alors que ce taux était encore de 2,3% il y a six mois. Pour 2009, il devrait être de 2%. Selon l'OCDE, il va y avoir un "découplage partiel" de l'activité entre la zone euro et les Etats-Unis alors que celle du Japon, tout en restant "continue", va être moins "soutenue". Pour 2009, l'OCDE ne table pas sur une franche reprise de l'activité, envisageant une progression de 2,4% de l'activité.
En France, le PIB devrait progresser de 1,9% en France en 2007, contre 2,2% en 2006, et rester "en-deçà" de 2% en 2008, soit moins que les objectifs du gouvernement, estime jeudi l'OCDE, qui prévoit toutefois de "nouvelles légères baisses du taux de chômage" l'an prochain.". Le gouvernement français affirme quant à lui que la croissance sera proche de la "borne basse" de la fourchette de 2% à 2,5% qu'elle avait affiché dans ses objectifs initiaux.
Sur le volet finances publiques, l'OCDE ne déborde pas non plus d'optimisme. Alors que dans son "programme de stabilité" adressé cette semaine à la Commission européenne, le gouvernement vise une dette publique à 64% du PIB en 2008 et à 63,2% en 2009, l'OCDE est très sceptique. L'institution estime en effet que la France ne sera pas en mesure de poursuivre l'amélioration de son déficit budgétaire, "qui va sans doute demeurer aux alentours de 2,6% du PIB au cours des deux prochaines années", tandis que la dette publique s'alourdirait pour atteindre 67% du PIB d'ici fin 2009.
Malgré ce contexte budgétaire difficile, "les créations d'emplois vont se poursuivre, quoique à un rythme plus lent, permettant de nouvelles légères baisses du taux de chômage", estime toutefois l'OCDE. Selon ses prévisions, le taux de chômage devrait être de 8% de la population active en 2007, puis baisser à 7,5% en 2008 et s'établir à 7,4% en 2009. | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Lun 10 Déc 2007 - 8:59 | |
| le Figaro 10/12
Fillon: croissance de 1.9% pour 2007 François Fillon table sur un taux de croissance de 1,9% en France en 2007 mais indique que les "incertitudes" sont "plus fortes" pour 2008, dans un entretien au journal Les Echos.
"Pour 2007, je n'ai pas d'inquiétude. Je pense que nous serons à 1,9 %, très près de l'objectif de 2 % qui était la fourchette basse de nos prévisions", indique le premier ministre.
"Pour 2008, les incertitudes sont plus fortes", dit-il. "Elles tiennent au niveau du dollar, au prix du baril de pétrole et aux répercussions de la crise du subprime sur la croissance américaine. Nous restons très vigilants". Source: AFP | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Lun 10 Déc 2007 - 10:43 | |
| article entier sur la tribune 10/12
La Tribune.fr - 10/12/07 à 7:41 - 706 mots
François Fillon inquiet pour la croissance en 2008 Le premier Ministre, dans une interview accordée ce lundi aux Echos, estime que la croissance économique en 2007 sera de 1,9% mais exprime des inquiétudes pour l'année prochaine. Il indique que toutes les grandes réformes économiques et sociales seront lancées d'ici fin 2008 et avertit que l'Etat actionnaire fera tout pour dissuader EADS de délocaliser sa production. François Fillon s'attend à une croissance économique de 1,9% cette année, un chiffre proche rappelle-t-il de la "fourchette basse" des prévisions du gouvernement, mais exprime des inquiétudes pour 2008. "Pour 2007, je n'ai pas d'inquiétude. Je pense que nous serons à 1,9%, très près de l'objectif de 2% qui était la fourchette basse de nos prévisions", dit le Premier ministre dans une interview accordée ce lundi au quotidien Les Echos. Pour l'année prochaine, en revanche "les incertitudes sont plus fortes", ajoute-t-il. "Elles tiennent au niveau du dollar, au prix du baril de pétrole et aux répercussions de la crise du subprime sur la croissance américaine", explique le chef du gouvernement.
Par ailleurs, François Fillon annonce qu'un projet de loi sur la réforme du marché du travail sera déposé "dès février". Il estime que "la négociation sur le contrat de travail sera achevée comme prévu à la fin de l'année, même si nous ne sommes pas à quinze jours près", notant d'ores et déjà "des avancées très sérieuses sur les conditions de rupture du contrat, sur le contrat de mission et sur la sécurité professionnelle". "La conférence sur l'agenda social que Nicolas Sarkozy ouvrira le 19 décembre permettra d'examiner de nouvelles réformes sociales et de répartir les responsabilités entre l'Etat et les partenaires sociaux", ajoute-t-il. "A l'issue de la réunion et au vu de leurs propositions, j'adresserai un nouveau mandat aux partenaires sociaux, sans doute en leur demandant d'ouvrir des négociations sur la formation professionnelle et sur l'assouplissement des 35 heures par accord d'entreprise", dit-il. "Nous avons aussi confié au conseil d'orientation de l'emploi le soin de débattre de la conditionnalité des allègements de charges", indique le chef du gouvernement. Concernant la réforme hospitalière, le chef du gouvernement précise qu'"au début janvier, Roselyne Bachelot lancera les Etats généraux de l'organisation de la santé, avec mission de présenter un projet de loi sur l'accès aux soins avant l'été". Globalement, François Fillon estime que "l'essentiel" des réformes économiques et sociales "sera lancé en 2008".
Enfin, sur les projets de délocalisation d'EADS d'une partie de sa production, François Fillon répond que l'Etat français (actionnaire à hauteur de 15% d'EADS, maison mère d'Airbus) fera tout pour dissuader l'avionneur européen de mettre en place son projet. "Le gouvernement est très conscient des problèmes que pose le niveau de l'euro à la filière aéronautique", explique-t-il. "Le chef de l'Etat n'a cessé de tirer la sonnette d'alarme auprès de nos partenaires et des autorités monétaires", rappelle François Fillon dans cet entretien. "Pour autant, Airbus ne surmontera pas cette difficulté en délocalisant", estime-t-il. "On ne répond pas à un problème purement conjoncturel par des décisions stratégiques qui engagent le long terme. La France et l'Allemagne ont lourdement investi dans Airbus, ce n'est pas pour le voir partir par morceaux vers la zone dollar", dit-il.
Des déclarations qui vont à l'encontre de celles faites dimanche soir par Arnaud Lagardère, dont le groupe éponyme est présent dans le capital d'EADS.Interrogé lors du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, il a qualifié la perspective de délocalisations, présentée récemment par le président exécutif d'EADS, Louis Gallois, comme une nécessité en raison de la baisse du dollar par rapport à l'euro, comme une "décision ferme". "Je ne crois pas que les délocalisations, telles en tout cas que les entend Louis Gallois, aillent à l'encontre des intérêts d'EADS sur son moyen et sur son long terme. L'Etat ne peut aller contre les intérêts à moyen et à long terme d'EADS", a déclaré Arnaud Lagardère. | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Mer 12 Déc 2007 - 10:13 | |
| Madame Coué persisite et signe... le Figaro 12/12
Lagarde confirme prévisions/croissance
Il n'y a pas de raison de modifier les prévisions de croissance française pour 2008, a déclaré Christine Lagarde sur RTL ce matin.
"Le budget 2008, il est construit sur une fourchette de 2 à 2,5%. On garde cette prévision", a expliqué la ministre de l'Economie. "Elle est bâtie sur des hypothèses qui nous paraissent justes compte tenu du surcroît de croissance que nous attendons des mesures que nous avons prises dès cet été" comme les heures supplémentaires, a-t-elle précisé. "Je ne vois pas de raison de les modifier".
source : RTL [/b] | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Ven 14 Déc 2007 - 11:49 | |
| La prévision de croissance pour le 4e trimestre révisée à la baisse Challenges.fr | 14.12.2007 | 11:11 |
La BdF ne table plus que sur une hausse du PIB de 0,5%. Mais elle maintient sa prévision de 1,9% sur l'année.
Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France (c) Sipa La Banque de France (BdF) a révisé à la baisse, vendredi 14 décembre, sa prévision de croissance du produit intérieur brut (PIB) pour le quatrième trimestre. Elle mise sur 0,5%, alors que sa précédente estimation faisait état de 0,6%. Son enquête mensuelle de conjoncture maintient néanmoins sa prévision d'une croissance de 1,9% en moyenne sur l'ensemble de l'année. Le Premier ministre, François Fillon, avait déclaré lundi prévoir désormais 1,9% de croissance pour la France en 2007, alors que le gouvernement tablait jusqu'à présent sur le bas de sa fourchette initiale de 2% à 2,5%.
Par ailleurs, l'indicateur du climat des affaires dans l'industrie s'est établi à 105 en novembre après 108 en octobre. Selon les chefs d'entreprise interrogés par la BdF, l'activité industrielle a diminué en novembre après le fort rebond du mois précédent. Cependant, "le mouvement de grèves intervenu au cours de la période a eu une incidence limitée sur la production". Le courant de commandes nouvelles s'est maintenu dans l'ensemble et les carnets de commandes "demeurent jugés supérieurs à la normale".
... malgré des perspectives orientées à la hausse
Toujours dans l'industrie, "les perspectives d'activité pour les prochains mois sont toujours orientées à la hausse dans la majorité des secteurs d'activité". Le taux d'utilisation des capacités de production s'est replié en novembre à 84,8% (après 86,1% en octobre) mais demeure supérieur à son niveau de longue période. Les stocks de produits finis restent proches du niveau désiré. Pour les biens intermédiaires, une "légère augmentation" de l'activité est prévue pour les prochains mois, tandis que "les prévisions font état d'une hausse de l'activité dans les prochains mois" pour les biens d'équipements. Les chefs d'entreprise "restent favorablement orientées à court terme, tant pour l'activité, la demande, que les prévisions d'embauche", concernant les services marchands.
Le courant d'affaires a progressé de 3,3%
L'activité dans ce secteur s'est accrue à un rythme plus modéré en novembre, en raison principalement d'un "ralentissement de la progression de la demande" mais aussi de "l'incidence des grèves dans les transports". Dans le commerce de détail, l'activité commerciale a légèrement augmenté sur le mois, plus nettement sur un an. Le volume des ventes a enregistré une progression de 0,4 % en novembre (après une baisse de 1,1 % en octobre) en données corrigées du nombre de jours ouvrables et des variations saisonnières. Par rapport au mois de novembre 2006, qui comportait un jour ouvrable et un samedi de moins, le courant d'affaires a progressé de 3,3% (après une hausse de 4,4% en octobre 2007 par rapport à octobre 2006). | |
| | | rêve orange
Nombre de messages : 1329 Age : 56 Localisation : toulouse Date d'inscription : 11/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Ven 14 Déc 2007 - 13:31 | |
| ah ben ça on s'en doutait qu'il fallait gagner la coupe du monde de rugby
Tsako comptait dessus pour relancer le moral des ménages lol | |
| | | modem66
Nombre de messages : 370 Localisation : 66 Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Ven 14 Déc 2007 - 17:53 | |
| Tiens ca me rappel une chanson : http://fr.youtube.com/watch?v=CwQa1coljiY | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Dim 16 Déc 2007 - 8:28 | |
| JDD 16/12
Samedi 15 Décembre 2007 Attali: "Nous risquons une crise de 1929" Propos recueillis par Bruna BASINI Le Journal du Dimanche Economiste et écrivain, ancien conseiller spécial de François Mitterrand, Jacques Attali préside la commission chargée de la "libération de la croissance française". Après un rapport d'étape, le 15 octobre, il livrera ses conclusions à Nicolas Sarkozy le 15 janvier. Auteur d'une Brève histoire de l'avenir (Fayard, 2006), ses prévisions sont plutôt sombres sur l'état de l'économie mondiale, et notamment américaine, pour 2008. Extraits.
Crise immobilière aux Etats-Unis, crise du crédit, chute des indices boursiers, retour de l'inflation, taux de croissance en berne, tout cela nous mène-t-il droit vers la récession? Nous sommes au bord d'une récession. Elle tire son origine de l'effondrement du marché du crédit hypothécaire américain, qu'on nomme la crise des subprimes. Elle a détruit, en quelques mois, des richesses égales à 10% du PIB mondial, soit 4000 milliards de dollars, c'est-à-dire 50 fois plus que les pertes générées dans les industries de pointe par l'explosion de la bulle internet. Cette crise n'est pas cantonnée au secteur du logement, car elle révèle que les banques ont reprêté leurs prêts à n'importe qui, pour les racheter ensuite beaucoup plus cher. C'était à la mode. Devant la révélation de la folie que cela représentait, on est passé, en une semaine, de l'euphorie à la panique : plus personne ne prête à personne. Plus aucune banque ne prête à une autre banque. Et si les banquiers continuent à paniquer, nous risquons une crise de 1929. D'ailleurs, aux Etats-Unis et ailleurs, certains grands patrons de la finance me disent en privé: "Nous sommes en 1928"! En quelques mois, nous sommes passés d'une économie de l'euphorie à une économie de panique et c'est cela qui risque de provoquer une récession, alors même que les fondamentaux économiques mondiaux sont excellents.
Tous les experts ne partagent pas une vision aussi sombre de l'avenir. Beaucoup tablent sur la capacité de résistance de l'économie américaine, l'abondance de liquidités dans le monde, voire un pétrole moins cher et un dollar en hausse. Qu'en pensez-vous ? Tout est en place pour une forte croissance de longue durée de l'économie mondiale. L'épargne est abondante, les progrès techniques et la consommation de vastes populations nouvelles sont au rendez-vous. Mais nous manquons d'une régulation au centre : celle des banques centrales et du G8. Il est urgent de réduire les taux directeurs en Europe, pour relancer la consommation.
Si la crise mondiale est devant nous, quelles en seraient les conséquences concrètes pour les Français? Notre croissance, que l'on espère encore voir atteindre les 2% en 2008, risquerait de souffrir gravement. Nous pourrions, toutefois, éviter cela. Une des conditions, c'est d'accepter de considérer que l'inflation, si elle reste modérée, n'est pas une tragédie. Les grands pays qui admettent qu'elle peut atteindre sans risque 5 ou 6% affichent une croissance forte: l'Inde, la Chine, la Russie... En Europe comme au Japon, c'est l'inverse : nous nous arc-boutons sur un seuil maximum de 2%. Et la croissance est presque nulle. Ce sont des sociétés où le pouvoir appartient aux épargnants, eux-mêmes obsédés par la stabilité des prix et par leurs avantages fiscaux. Aujourd'hui, l'argent placé rapporte plus - 4% en moyenne - que l'argent que l'on gagne en travaillant, qui, lui, ne rapporte que de 2% en moyenne. Il nous faut donc une baisse significative du loyer de l'argent car nous aurons ainsi moins intérêt à faire des économies. En France, on favorise trop l'épargne à coup d'avantages fiscaux exceptionnels, notamment sur les produits d'assurance-vie, en particulier pour les plus riches. Cela a des effets très injustes socialement. | |
| | | ArnaudH
Nombre de messages : 3660 Age : 51 Localisation : Rome, Italie Date d'inscription : 14/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Dim 16 Déc 2007 - 8:55 | |
| Il est un brin exagéré cet Attali tout de même, 1929.... je te jure... | |
| | | Alain BERTIER
Nombre de messages : 2692 Age : 85 Localisation : DREUX Date d'inscription : 07/12/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Dim 16 Déc 2007 - 9:55 | |
| C'est toujours pareil avec Attali, il mélange avec l'autorité qu'il se décerne autant de choses vraies ou plausibles avec d'autres choses fausses ou carrément stupides. Ici, après une observation sensée sur l'inflation, il se contredit sur le taux d'intérêt. En effet, nous sommes actuellement dans un régime de taux d'intérêt réel (taux brut - inflation) positif, effectivement en faveur des rentiers, et il nous faudrait passer dans le régime habituel en période inflationniste de taux d'intérêt réel nul ou négatif, favorisant les emprunteur. Il ne faut donc pas préconiser la baisse des taux bruts puisqu'il faudra leur faire suivre un taux d'inflation croissant. | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Dim 16 Déc 2007 - 10:00 | |
| de toutes façons le but d'Attali c'est de nous préparer aux futures réformes drastiques sur le travail, histoire de nous dire qu'on n'a plus le choix... | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Mar 18 Déc 2007 - 11:19 | |
| Bakchich 18/12
mardi 18 décembre 2007 par Matthieu Adenil
Voilà pourquoi Sarkozy préfère gloser sur les fabuleuses ventes à l’export plutôt que de la situation économique de la France : les nouvelles sont mauvaises.
Alors que le président de la République poursuit son agitation pour « aller chercher la croissance » notamment à l’étranger, les mauvaises nouvelles s’accumulent. Le taux de croissance pour la zone euro prévue par la commission européenne devrait reculer de 2,7% en 2007 à 2,1% en 2008. Or la France n’aura réussi à atteindre que 1,8% en 2007. Il sera donc difficile en 2008 d’atteindre les 2,2% annoncés lors du vote du budget, comme François Fillon vient de le reconnaître depuis Buenos-Aires. Sur le front social, l’affaire des régimes spéciaux, présentée à la mi-novembre comme réglée, n’en finit pas de rebondir. À la RATP, les syndicats se déclarent déçus et à la SNCF les préavis de grève se déposent à qui mieux mieux. La CFDT, pour montrer qu’elle est toujours dans le coup, a fait savoir qu’elle proposait une grève pour le 18 décembre ; mais la CGT envisageait plutôt l’affaire avant. Chaque jour de grève pèse sur l’activité économique.
Quant au chômage, on se souvient que le gouvernement Villepin avait fermement demandé à l’Insee de revoir ses calculs avant les dernières élections. Alors que celui-ci était selon Villepin et son ministre du Travail désormais durablement en dessous de 2 millions, l’Insee continuait à voir des chômeurs partout. Les ordinateurs ont tourné, le directeur général de l’Insee s’en est retourné à ses chères études et le résultat a été publié discrètement fin novembre sans que le gouvernement ne tienne particulièrement à commenter le chiffre. Selon les normes de calcul en vigueur en Europe, il y aura eu, en moyenne en 2007, 2,4 millions de chômeurs en France métropolitaine. Cela fait un taux de 8,8% et non pas de 8% comme le proclame le ministre du Travail. Si l’on tient compte de la situation des Dom, on arrive à un taux de 9,2%. L’Allemagne, qui depuis la réunification, avait des taux de chômage supérieurs à celui de la France, est en train de passer cet automne en dessous avec un taux de 9% et un taux anticipé pour 2008 de 8,4%.
Dernier sujet de morosité, le redressement des finances publiques tarde à venir. Le budget pour 2008 a été voté par le parlement avec un déficit de 41,7 milliards d’euros. Soit près de 4 milliards de plus que l’exécution de 2007 : certes Eric Woerth le ministre du Budget a déclaré « c’est un budget de sincérité et de confiance ». Comme la semaine précédente, comparant le déficit de 38 milliards constaté en 2007 au déficit de 42 milliards voté fin 2006, il avait solennellement indiqué que « 38 milliards est inférieur à 42 milliards, si on veut bien y réfléchir », on le qualifie de plus en plus dans les couloirs de l’Assemblée nationale de « monsieur Prud’homme des finances publiques ».
On comprend dans ces conditions pourquoi Sarkozy a décidé de se désintéresser du front intérieur, y compris sur le plan économique. Il ne pense plus qu’à la politique étrangère et ne parle plus en matière économique que des contrats fabuleux qui sont signés à l’occasion de chacun de ses déplacements. Des esprits chagrins au ministère des Finances affirment que nul n’en verra jamais la trace dans les résultats effectifs de notre commerce extérieur car tout cela ne serait qu’effets d’annonce et gestion habile de l’opportunité… | |
| | | Europium
Nombre de messages : 1364 Age : 57 Localisation : france Date d'inscription : 12/10/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Mar 18 Déc 2007 - 17:40 | |
| qui va être surpris par ces nouvelles?
sarko lui s'en fout, il part d'ici peu se reposer en Egypte..... attitude de plus en plus miterandienne.... | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Mar 18 Déc 2007 - 17:55 | |
| - leniais a écrit:
- sarko lui s'en fout, il part d'ici peu se reposer en Égypte...
Qu'il se méfie des sarkophages. | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France Jeu 20 Déc 2007 - 8:24 | |
| L'Insee anticipe un ralentissement de l'activité en 2008 Challenges.fr | 20.12.2007 | 07:15 |La France finirait par ailleurs l'année 2007 sur une croissance de 1,9%.Dans sa note de conjoncture publiée jeudi 20 décembre, l'Insee table sur un ralentissement de l'activité et du pouvoir d'achat début 2008. Après une nette progression en 2007 (+3,3% contre +2,4% en 2006), le pouvoir d'achat des ménages ralentira "malgré l'impact favorable" des mesures du "paquet fiscal" (heures supplémentaires, crédit d'impôt sur les intérêts d'emprunts, exonération des droits de succession, etc.). L'Institut national de la statistique s'attend en outre à une hausse de l'inflation, poussée par les prix de l'énergie et ceux des produits alimentaires, qui atteindrait un pic à 2,8% en février 2008 pour revenir à 2,4% sur un an à la fin juin, comme en novembre.
- La consommation épargnée
"Le ralentissement marqué de leur revenu et une inflation plus forte entraîneraient donc un ralentissement du pouvoir d'achat des ménages au premier semestre de 2008 (+1,2% en rythme annuel)". Le ralentissement ne concernerait pas trop la consommation des ménages, principal sinon unique moteur de la croissance française. Selon l'Insee, les foyers rognent sur leur d'épargne pour continuer à consommer, "aidés en cela par le déblocage anticipé de l'épargne salariale autorisé au premier semestre". L'Institut estime par ailleurs qu'après le rebond du troisième trimestre (+0,7%), "l'activité économique devrait rejoindre un rythme plus modéré" jusqu'à la fin du premier semestre 2008. Le produit intérieur brut (PIB) progresserait ainsi de 0,5% au dernier trimestre 2007 et au premier trimestre 2008 puis de 0,4% au trimestre suivant, pour un acquis de croissance s'établissant à 1,7% à la fin juin.
Impact négligeable de la grève sur la croissance annuelle
Les grèves dans les transports en novembre 2007 ont contribué à une perte d'environ 0,1 point de croissance au quatrième trimestre, mais celle-ci sera compensée par une hausse équivalente au premier trimestre 2008. "Au final, l'impact de la grève sur la croissance annuelle est négligeable, elle serait quand même de 1,9%", souligne Pierre-Olivier Beffy, chef de la division synthèse conjoncturelle de l'Insee. Un chiffre conforme à celui récemment cité par le Premier ministre François Fillon mais inférieur à la prévision de croissance du gouvernement, qui tablait sur une hausse comprise entre 2% et 2,5%. Les prévisions de l'Insee confirment en revanche l'accentuation du déficit commercial français qui aura amputé cette année la croissance de 0,3%, comme en 2006.
Le durcissement des conditions de crédit freine l'investissement
Bien que "les pertes de parts de marché des exportateurs français semblent s'atténuer", le commerce extérieur continuerait à peser sur la croissance au premier semestre 2008, sous l'effet notamment d'un taux de change de l'euro défavorable et d'une baisse des commandes étrangères dans un environnement mondial moins porteur. L'investissement des entreprises, encore dynamique fin 2007, serait quant à lui progressivement freiné par le durcissement des conditions de crédit et le ralentissement de la demande internationale issus des difficultés de l'économie américaine. "L'ampleur et la durée de la crise de liquidités actuelle constitue la principale source d'incertitude affectant cette prévision" qui "repose sur l'hypothèse que l'impact sur la croissance de la dégradation de notre environnement international reste limité".
| |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Tout sur la croissance en France | |
| |
| | | | Tout sur la croissance en France | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|