Déficit de l'état

En 2007 (donc avant la crise) on avait péniblement atteint les 2,2%.

Donc même sans expert sur le sujet, un scénario de 2,5% à partir de 2011 paraît très optimiste.

On voit bien le côté "volontariste ", "ambitieux ", etc...... qui cache en fait
un gouvernement pau sérieux, peu préoccupé de l'avenir, seulement soucieux de sa réélection........

les tours de passe-passe, les prévisions qui arrangent etc... pourraient n'avoir qu'un temps !
Car, on voit de + en + les préjugés idéologiques de NS, de son gouvernement et de ses soutiens :
pas de hausses des impôts, disnt-ils ? alors qu'il ne s'agirait que de revnir sur certaines décisons injustes ....

on va toucher aux niches fiscales ? en paroles, sans doute ! 2 ou 6 milliards (on s'y perd !) sur 3 ans, alors qu'elles représentent 75 milliards !
On ne parle pas , non plus, au gouvernement, des exonérations diverses, non évaluées et , pour certaines, non justifiées ;

Oui, P.Seguin doit se retourner dans sa tombe !

Le gouvernement fait un maximum de bluff et/ou de buzz (remarquez c'est assez souvent la même chose) pour les régionales, ça paraît évident.

Oui, ça paraît.

La balance commerciale et la compétitivité de la France ont cessé de se dégrader en 2009

[ 05/02/10 ]

Les services des Douanes devraient publier ce matin un déficit autour de 43 milliards d'euros pour le commerce extérieur en 2009, après un record de 55,4 milliards l'année précédente. La réduction de la facture énergétique explique ce reflux. Les exportations ont beaucoup reculé. Bercy table sur une légère dégradation du déficit en 2010.

ecoeurée !
je vais dire comme juju41 l'autre jour :
beurk beurk beurk !!!!!!!!!!!

On ne sera pas en faillite avant 2012. Ouf ! Me voilà rassuré.


EDIT : j'ai mis l'info sur le site du MoDem en réaction à la prestation de Bayrou sur Canal hier soir (en espérant que ça passera).

C'est toujours hallucinant : ce sont désormais des boites privées, sans aucun contrôle démocratique, qui notent la bonne santé financiéres des Etats, comme s'il étaient des entreprises privées;
On pourrait en rire, mais cela a une influence directe sur la capacité d'emprunt des pays, et donc sur leur capacité à investir pour l'avenir.
Cela dit, la dette de la France est intolérable nous sommes bien d'accord.

oui, on est bien dans la "world company" des Guignols.. avec les marionnettes politiques qui croientavoir un libre arbitre alors qu'elles sont de fait dirigées elle-même par les vrais maitres du monde , ceux qui brassent le fric à leur seul profit..

d'avalie noire a écrit:

C'est toujours hallucinant : ce sont désormais des boites privées, sans aucun contrôle démocratique, qui notent la bonne santé financiéres des Etats, comme s'il étaient des entreprises privées;
On pourrait en rire, mais cela a une influence directe sur la capacité d'emprunt des pays, et donc sur leur capacité à investir pour l'avenir.
Cela dit, la dette de la France est intolérable nous sommes bien d'accord.

Oui, c'est totalement aberrant.

Bercy est tenté de relancer la revue générale des prélèvements obligatoires, qui avait avorté en 2008



[ 25/03/10 ]


Plutôt que de donner un coup de rabot sur les niches, Bercy pourrait s'attaquer aux plus contestables. Le soutien à l'énergie photovoltaïque et à l'investissement locatif en feraient partie.

Citation :

Bercy préférerait donc cibler les dispositifs présentant le plus faible avantage économique ou social.

S'ils veulent faire ça, il faut qu'ils suppriment le bouclier fiscal à 50%.

Le déficit public français a représenté 7,5% du PIB en 2009



PARIS (Reuters) - Le déficit public de la France a représenté 7,5% de son produit intérieur brut en 2009, un chiffre un peu moins mauvais que prévu, a annoncé l'Insee.
Le gouvernement avait une estimation de 7,9%.
Le déficit public a augmenté au total de 80,1 milliards, sous l'effet d'une baisse de 4,3% des recettes et d'une hausse de 3,8% des dépenses, a précisé l'Insee.
La dette publique de la France a quant à elle augmenté de 31,7 milliards d'euros au quatrième trimestre 2009 pour atteindre 1.489,0 milliards, soit environ 77,6% du PIB.
Ce pourcentage représente une hausse de 1,8 point par rapport à la fin du troisième trimestre quand la dette au sens de Maastricht s'élevait à 1.457,3 milliards d'euros ou 75,8% du PIB.
La dette de l'Etat a augmenté de 11,7 milliards d'euros au quatrième trimestre pour s'élever à 1.162,6 milliards, précise l'Insee dans un communiqué.
Outre la dette de l'Etat, la dette publique au sens du traité de Maastricht prend en compte celle des administrations de sécurité sociale (54,3 milliards), des administrations publiques locales (156,8 milliards) et des organismes divers d'administrations centrales (Odac, 115,3 milliards).
Dans son programme de stabilité transmis à la Commission européenne, le gouvernement prévoit que la dette publique passera de 67,4% du PIB en 2008 à 77,4% en 2009 puis à 83,2% en 2010 et 86,1% en 2011.
Le seul déficit public, lui, représenterait cette année 8,2% du PIB avant d'être ramené à 6,0% en 2011 et de revenir sur la barre de 3% en 2013.
Le traité de Maastricht, mis en veilleuse par la crise, plafonne le déficit public à 3% du PIB et la dette à 60%.
Pour ramener le déficit dans les clous en 2013, la France compte sur une croissance de 2,5% entre 2011 et 2013, après +1,4% attendu cette année.
Dans son communiqué, l'Insee souligne que le profil de la dette trimestrielle demeure révisable pendant plusieurs trimestres

La dette publique s’établit à 1 489,0 milliards d’euros

rapport insee

Pour un audit des finances publiques 6 mois avant les prochaines élections présidentielles !



Par Alain Lambert

juju41 a écrit:

Pour un audit des finances publiques 6 mois avant les prochaines élections présidentielles !



Par Alain Lambert

Je trouve l'idée excellente mais je doute que Sarko laisse faire.

Tic... Tac... Tic... Tac...

Boum ?

Quand ça fera "Boum !" je le saurai vite vu que je suis rémunéré par la collectivité...

libre a écrit:

Boum ?

Boum en effet.

les radiations volontaires vont se multiplier.