PS : Parti Socialiste

ca depend ..avec les diffèrents centre y pourrait y avoir centre extreme gauche...

ça y est je sais, le Centre en fait c'est un TROU NOIR qui est en train d'aspirer tout ce qui bouge....

juju41 a écrit:

ça y est je sais, le Centre en fait c'est un TROU NOIR qui est en train d'aspirer tout ce qui bouge....

Le trou noir est l'astre résultant de la mort des étoiles les plus massives .....


Une fin sombre

Selon le principe vu précédemment où les trous noirs aspirent irrémédiablement toute la matière les approchant, on peut se demander si l'univers ne finira pas par devenir à long terme un trou noir immense. En effet, on observe au centre même des galaxies des trous noirs géants qui auraient du se former à l'époque du Big-Bang.

Et ,maintenant du Bling-Bling !!

juju41 a écrit:

ça y est je sais, le Centre en fait c'est un TROU NOIR qui est en train d'aspirer tout ce qui bouge....

Tu as sans doute raison, car de même qu'on a pu dire que les trous noirs c'était troublant, le centre ça trouble pas mal de monde ...

juju41 a écrit:

ça y est je sais, le Centre en fait c'est un TROU NOIR qui est en train d'aspirer tout ce qui bouge....

On veut nous faire disparaître ? Et bien non ! NOUS allons faire disparaître tous les autres.

gillou a écrit:

Et ,maintenant du Bling-Bling !!

Il veut «une ligne claire» au Parti socialiste. Le maire de Lyon, accompagné de Jean-Noël Guérini, président du conseil général des Bouches-du-Rhône, et de Vincent Feltesse, président de la communauté urbaine de Bordeaux, a annoncé hier à Paris le dépôt d'une contribution commune pour le congrès du PS de Reims en novembre.



Le PS doit «redevenir un grand parti de l'innovation» a plaidé Gérard Collomb, prenant en exemple l'action des responsables socialistes dans les collectivités locales. «Il est urgent de mettre fin à la schizophrénie qui existe entre nos pratiques locales et un certain discours national», indique la contribution intitulée «la ligne claire». Le soir de sa réélection au premier tour des municipales, Gérard Collomb avait annoncé son intention de «peser sur les choix du PS» en défendant «la réussite du modèle lyonnais».

J. DEMARTHON / AFP



une de plus....

mais la question aujourdh ui n est plus le fond des idées ou ideés de fond..mais pour qui roule t il?....

Korigan a écrit:

mais la question aujourdh ui n est plus le fond des idées ou ideés de fond..mais pour qui roule t il?....

Pour nous ?

Sérieusement, maire d'une ville de gande tradition centriste, Gérard Collomb s'est converti au centrisme en gérant sa ville au centre.

Un congrès du PS ne se gagne plus forcément à gauche
LE MONDE | 23.05.08 | 14h55 •

Un congrès se gagne à gauche et s'achève par une synthèse générale. Plusieurs signes suggèrent que le rendez-vous de Reims, en novembre, pourrait ne plus sacrifier à cette grande tradition du PS. Au lendemain de leur défaite présidentielle de 2007, les socialistes n'ont pas renoué avec le vieux réflexe du "coup de barre à gauche".



La course au congrès lancée par Ségolène Royal et Bertrand Delanoë confirme que le centre de gravité politique du premier parti de l'opposition se déplace. Tenants d'une modernisation accélérée du PS, les deux prétendants à la succession de François Hollande avancent sans complexe un discours économique qui privilégie la redynamisation du secteur privé avant d'envisager la redistribution des richesses. Mme Royal et M. Delanoë prônent aussi la constitution d'une "vraie majorité" face à une minorité composée, dans leur esprit, de l'aile gauche du parti et des fabiusiens. D'autres indices révèlent que quelque chose bouge au PS : l'adoption d'une nouvelle déclaration de principes clairement "réformiste" ou encore l'émergence d'un débat assez inédit parmi les parlementaires sur le type d'opposition - frontale ou plus constructive - à mener face au gouvernement.

Pour l'heure, cette amorce de clarification est brouillée par les positionnements qu'engendre le jeu des contributions, ces textes d'avant-congrès qui permettent de tâter le terrain. Les rapports de forces étant très incertains, nombreux sont ceux qui refusent d'être contraints de choisir dès maintenant entre l'ancienne candidate et le maire de Paris. D'autant plus que, paradoxalement, tous deux disposent d'une base assez étroite au sein du parti.

A partir de ce constat, des initiatives sont lancées, aux allures de contre-feux. La plus récente est le texte notamment rédigé par Gérard Collomb, maire de Lyon, et Jean-Noël Guérini, élu de Marseille et représentant de la fédération des Bouches-du-Rhône. Constatant que "le PS n'a jamais totalement tranché entre ceux qui rêvent du "grand soir" et ceux qui assument leur choix réformiste", les signataires redoutent que "les nécessités tactiques induites par la lutte pour le pouvoir" n'engendrent "une alliance des contraires" au congrès.

Il est vrai que l'expérience, notamment le congrès de Rennes de 1990, enseigne que des socialistes d'accord sur l'essentiel sont tentés de surjouer leurs divergences - voire de s'en inventer - pour justifier leurs ambitions concurrentes. "Je ne veux plus que l'on me demande de choisir entre deux socialistes qui pensent la même chose", avait annoncé, en janvier, Jean-Marc Ayrault, président du groupe socialiste. Il n'a pas changé d'avis. "Je redoute que la confrontation entre les personnes ne prenne beaucoup trop d'ampleur si l'on ne parvient pas à s'entendre sur des règles du jeu pour aborder sereinement le congrès", dit-il.

Jean-Michel Normand

libre a écrit:

Korigan a écrit:

mais la question aujourdh ui n est plus le fond des idées ou ideés de fond..mais pour qui roule t il?....

Pour nous ?

Sérieusement, maire d'une ville de gande tradition centriste, Gérard Collomb s'est converti au centrisme en gérant sa ville au centre.

on peut toujours esperer...

oui, si c'est une bonne chose sur le fond, dans la forme, ça fait pas mal de concurrents pour FB au centre. Notre seule chance est qu'ils s'entredéchirent suffisamment pour accepter de soutenir Bayrou au bout du compte...mais avant d'en arriver là...

Prêt à prendre "ses responsabilités", sans se déclarer toutefois candidat à la tête du PS, Bertrand Delanoë a rassemblé samedi à Paris ses partisans, exhortant les membres du parti à réussir le congrès de Reims de novembre prochain. Si le PS n'est pas bon de 2008 à 2011, il perdra la présidentielle de 2012, a-t-il averti.
Devant quelques centaines de participants à cette journée de travail, dont l'ancien Premier ministre Lionel Jospin, M. Delanoë a lancé: "La question de 2012 ne se posera pas si nous ne réussissons pas le congrès de Reims" et si celui-ci "n'est pas porteur d'années de travail intenses, réussies, collectives et que reconnaîtront les Français".
"Il n'est pas interdit, y compris en 2008, de faire preuve d'un peu de sens politique", a poursuivi le maire de Paris. "Est-ce que vous connaissez, vous, les circonstances, l'analyse des rapports de force, des besoins de 2011? Moi pas. Mais j'ai une certitude, c'est que si le parti n'est pas bon de 2008 à 2011, si le parti n'est pas perçu par nos concitoyens comme celui qui a les idées, qui a le savoir-faire, qui a l'envie, vous pouvez désignez qui vous voulez, dans les conditions que vous voulez, nous perdrons 2012".
Sans se déclarer officiellement candidat, contrairement à Ségolène Royal, Bertrand Delanoë s'est en tout cas lancé cette semaine dans la bataille pour le Parti socialiste, avec la parution jeudi d'un livre, titré "De l'audace!". Dans celui-ci, M. Delanoë se présente comme un "libéral" au sens politique du terme et exprime ses doutes sur sa rivale. AP





voilà une analyse de bon sens..

Vivement le "libéralisme" au club Delanoë


Les amis de Bertrand Delanoë étaient réunis ce samedi 24 mai à la Maison de la Mutualité à Paris





Il aurait fallu être présent dès le matin pour suivre l’intégralité de cette réunion qui a rassemblé les amis du maire de Paris.

Ce dernier est en lice pour le poste de premier secrétaire du Parti socialiste ; aux journalistes, il ne dit pas s’il est candidat. Mais lorsqu’on écoute Elisabeth Guigou, députée de Seine-Saint-Denis, c’est clairement une réunion de soutien à la candidature du maire de Paris. "Je ne veux pas d’un premier secrétaire intérimaire, encore moins pour garder la place au chaud pour un autre", affirme la députée à la tribune. Elle soutient ouvertement le maire de Paris au poste de premier secrétaire et personne dans la salle ne se prive pour l’applaudir.



Environ 200 personnes dans la salle, essentiellement des militants. Au premier rang, quelques personnalités sont présentes : Bertrand Delanoë habillé relax ; sa première adjointe, Anne Hidalgo ; l’ancien ministre de la Défense, Alain Richard ; le député-maire de Grenoble, Michel Destot ; le député européen Harlem Désir et l’ancien Premier ministre, Lionel Jospin.

Ce dernier, impassible et seul à prendre des notes de façon assidue, fait figure de légende dont tout le monde se réclame et se réfère. Les réformes économiques du gouvernement Jospin (1997-2002) sont mises en avant par les différents intervenants pour justifier le terme "libéralisme" mis au goût du jour par Bertrand Delanoë lui-même.



Du libéralisme, beaucoup d’intervenants s’en réclament ; on sent d’ailleurs un soulagement, un sentiment décomplexé et un alignement sur la pensée de celui qu’on soutient désormais. Les conseillers généraux, régionaux, maires et autres élus se battent ainsi pour dire tout le bien qu’ils pensent du "libéralisme" voulu par le maire de Paris.

Un conseiller régional conclue ainsi son intervention sur son souhait de voir son parti devenir "libéral" ; "...et socialiste !" , se sent obligé d’ajouter Bertrand Delanoë...

La seconde partie de la réunion est consacrée à une introspection du Parti socialiste, jugé en "mauvais état" par le maire de Cergy (95), ancien strauss-kahnien et rallié au panache de Bertrand Delanoë. Il est clair pour les intervenants que les dernières victoires aux municipales ne doivent pas excuser une réforme de fond de la pensée socialiste. D’ailleurs, la réunion vise à élaborer une contribution, en vue du prochain grand congrès du Parti socialiste qui aura lieu à Reims du 14 au 16 novembre 2008.

La réunion se poursuit et je ne m’attarde pas. Je suis le maire de Paris pour le photographier à l’extérieur, mais ses six gardes du corps interdisent à tout photographe de prendre une image de Bertrand Delanoë en train de griller une cigarette... Seule Florence Muracciole du Journal du Dimanche a le privilège d’interviewer le maire de Paris en toute tranquilité.

Citation :

...
Les réformes économiques du gouvernement Jospin (1997-2002) sont mises
en avant par les différents intervenants pour justifier le terme
"libéralisme" mis au goût du jour par Bertrand Delanoë lui-même.
...

de l'humour ?!

Ben non !!!
Tout le monde est libéral...
C'est à la mode -décomplexés- qu'ils se disent.

Certes, mais de la à considérer "les réformes économiques du gouvernement Jospin (1997-2002)" comme libérales, faut oser !

Rappelle toi les tontons flingueurs :
" les cons ça osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnait ! "
M.A.


As-tu suivi le dialogue, JFKahn/JMarseille, ce matin sur Europe ? : un bijou ...

signora a écrit:

....

As-tu suivi le dialogue, JFKahn/JMarseille, ce matin sur Europe ? : un bijou ...

d'une oreille distraite ... je ne me souviens pas qu'ils aient proféré tellement de bêtises ?
je me souviens de l'anecdote sur le char Leclerc, outil militaire fort couteux et obsolète dès sa sortie vu que l'URSS avait disparu ...

ah non ! les tontons flingueurs c'est pour les socialistes.

Kahn/marseille
dans l'ensemble c'était excellent. vraiment.

mes propos sont un peu hachés, j'écoute le foot...

Sondage Le Parisien: Ni Royal ni Delanoë ne ferait un bon président de la République


Les Français estiment que ni Ségolène Royal ni Bertrand Delanoë ne ferait un bon président de la République, selon un sondage à paraître dimanche dans Le Parisien/Aujourd'hui en France.

Seuls 32% des Français pensent que Ségolène Royal ferait une bonne présidente de la République (58% pensent le contraire). Bertrand Delanoë ne semble guère plus convaincant, avec seulement 34% de Français voyant en lui un bon locataire pour l'Elysée (contre 47% persuadés du contraire).

Si l'on s'en tient au poste de premier secrétaire du PS, Bertrand Delanoë est plus convaincant que Ségolène Royal (59% contre 52%).

D'autre part, une majorité de Français considèrent que Ségolène Royal ne serait pas capable de réformer la France (56% contre 33% qui estiment le contraire) et n'a pas de vrai projet pour le pays (51% contre 36%).

Les sceptiques sont également majoritaires pour Bertrand Delanoë, mais l'écart avec les enthousisates est plus faible: 45% des Français pensent qu'il ne serait pas capable de réformer la France (contre 34% qui pensent le contraire) et 37% ne lui prêtent pas de vrai projet pour le pays (contre 35%).

Chez les sympathisants socialistes, les avis sont plus favorables: 55% pensent que Royal ferait une bonne présidente, contre 54% pour Delanoë. Et ils considèrement majoritairement que l'un comme l'autre serait capable de réformer le pays, avec un léger avantage à Royal (56%, contre 54% pour Delanoë) et qu'ils ont un vrai projet pour la France (64% pour Delanoë, 57% pour Royal).

Enfin, pour les Français, Ségolène Royal supplante Bertrand Delanoë en terme de courage (85%) et de dynamisme (77%). Mais le Maire de Paris est plus sympathique (76%), rassembleur (59%) et compétent (68%).

Sondage réalisé par téléphone les 20 et 21 mai auprès de 1.007 personnnes, selon la méthode des quotas.

Eric Feferberg AFP/Archives ¦ Bertrand Delanoë et Ségolène Royal le 6 février 2007 à Paris



© 2008 AFP

les sondages pour le régérendum pour la constitution avit donné le OUI gagnant avant l ouverture de la campagne... ...
la sondonite aigue evite aux francais de reflechir au long terme c est bien le but d ailleurs de ceux qui les commandent...on oriente les questions férmées ....
la Politk merite mieux que cela si on veut "esperer " à une élévation du débat....

pour ma part, les sondages ne sont pas une vue de l'opinion à un moment T, mais un moyen d'influencer l'opinion en affirmant détenir la vérité,on a bie vu toutes le manoeuves pour d'abord faire élire Ségo au PS, puis imposer les 2 challengers prédéterminés... le trublion Bayrou n'a été intégré que lorsqu'il est apparu clairement comme le grain de sable dans le système.
durant la campagne, nous avons eu jean-luc et moi le privilège d'avoir les sondages OFF directement des partis Politiques, sondages bruts sans manipulations ( grâce à un copain journaliste, les chiffres pour Bayrou le donnait 2 ème,jusqu'au vendredi soir,le dernier sondage officiel paru avant minuit donne alors Le Pen devant ségolène... dés le lendemain, et en 2 jours , Bayrou perd 5 points, à cause du vote utile et du syndrome du 21 Avril ...
Le 6 Mai Giacommeti patron du dit sondage est invité au Fouquet's, pour bons et loyaux services...

Donc, est ce que la prochaine fois, même si Bayrou fait une très bonne campagne, ça changera quelque chose?

suis d acocrd avec toi...juju41
en revanche pour le dernier sondage auquel tu fais référence je veux bien le lire ...il y a eu des rumeurs de Lepen ...devant Royale mais jamais cela na été vrai...
rumeur quand tu nous tiens...

Il n'y a pas que les sondages.

Les horoscopes, les test de personnalités, les guides de consommation, les coachs.
Tout est fait pour que le français e réfléchissent plus et suivent la vôax du consommateur qu'on lui a tracé.

Les sondages vont dans le même sens.

Il faut rééduquer le citoyen.

Je vais être nuancer dans mes paroles car ce que vous dîtes n'est pas tout à fait vrai. Je trouve que parler d'opinion, c'est un peu flou car les donages influencent uniquement les personnes indécises puisque dans l'opinion il existe aussi des personnes qui ont déjà une idée bien précise de ce qu'elles veuelnt et je ne epnse pas que les sondages influencent cette parrtie de l'opinion plus rigide dans ses choix.

Ce n'est pas dans le choix réellement que les sondages, et tous les autres points que j'ai énuméré avant, influencent, mais dans la vision même des choses.