PS : Parti Socialiste

Prouesse a écrit:

juju41 a écrit:

commentaire perso:
Hollande est en train de creuser la tombe du PS, je doute fort que les courants socio-démocrates acceptent de reformer la défunte Union de la Gauche...pour contrer le facteur, c'est vrai que c'est un combat vachement important!

Je suis du même avis

Moi aussi.

La maladie de la gauche française 15/09



Par Jean-Michel Aphatie le 15 septembre 2008, 09:41 -Le spectacle était étonnant, ce week-end, à la fête de l'Humanité.

François Hollande, premier secrétaire du parti socialiste, cotoyait Marie-George Buffet et Cécile Duflot, dirigeantes respectives du parti communiste et des Verts. Marie-George Buffet a plusieurs fois évoqué lors de ses différentes prises de parole "ses espérances révolutionnaires", tandis que Cécile Duflot a assuré, elle, que le "projet écologiste est à peu près aussi radical que celui du nouveau parti anticapitaliste" d'Olivier Besancenot. C'est pourtant avec les représentantes de ces deux partis que François Hollande a indiqué, samedi, vouloir construire un "gauche durable", nouvelle version de la "gauche plurielle", qui n'était elle même qu'un avatar de "l'union de la gauche". Comment François Hollande peut-il soutenir le réformisme "social et libéral" de Bertrand Delanoë dans les débats internes du PS et dialoguer de manière "constructive" avec des partenaires "révolutionnaires" ou "radicaux"? Il y a là un mystère dont l'épaisser doit désorienter plus d'un électeur du parti socialiste.

suite ici
http://blogs.rtl.fr/aphatie/index.php/post/2008/09/15/La-maladie-de-la-gauche-francaise-15/09

"La gauche plurielle a fait son temps", estime Julien Dray (PS)
PARIS, 15 sept 2008 (AFP) - 15/09/2008 10h00


Les socialistes François Hollande (d) et Julien Dray, le 2 avril 2008 à l'Assemblée nationale à Paris



Julien Dray, porte-parole du PS, a estimé lundi, au lendemain de la fête de l'Humanité, que "la gauche plurielle (PS-PCF-Verts) a fait son temps" et il a de nouveau souhaité la constitution d'"une grande coalition Arc en ciel" allant de l'extrême gauche au centre.
suite ici
http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?idrub=8&xml=newsmlmmd.2a40e0bfb21cfeb5c85515310a53b858.801.xml


commentaire perso:
il y en a qui fument trop la moquette au PS....

juju41 a écrit:

La maladie de la gauche française 15/09



Par Jean-Michel Aphatie le 15 septembre 2008, 09:41 -Le spectacle était étonnant, ce week-end, à la fête de l'Humanité.

François Hollande, premier secrétaire du parti socialiste, cotoyait Marie-George Buffet et Cécile Duflot, dirigeantes respectives du parti communiste et des Verts. Marie-George Buffet a plusieurs fois évoqué lors de ses différentes prises de parole "ses espérances révolutionnaires", tandis que Cécile Duflot a assuré, elle, que le "projet écologiste est à peu près aussi radical que celui du nouveau parti anticapitaliste" d'Olivier Besancenot. C'est pourtant avec les représentantes de ces deux partis que François Hollande a indiqué, samedi, vouloir construire un "gauche durable", nouvelle version de la "gauche plurielle", qui n'était elle même qu'un avatar de "l'union de la gauche". Comment François Hollande peut-il soutenir le réformisme "social et libéral" de Bertrand Delanoë dans les débats internes du PS et dialoguer de manière "constructive" avec des partenaires "révolutionnaires" ou "radicaux"? Il y a là un mystère dont l'épaisser doit désorienter plus d'un électeur du parti socialiste.

suite ici
http://blogs.rtl.fr/aphatie/index.php/post/2008/09/15/La-maladie-de-la-gauche-francaise-15/09

Je ne partage pas toujours les analyses d'Aphatie mais celle-ci est très juste et pose la bonne question, celle qui fâche et à laquelle les socialistes refusent de répondre, obsédés qu'ils sont par leur rassemblement de la gauche.

juju41 a écrit:

"La gauche plurielle a fait son temps", estime Julien Dray (PS)
PARIS, 15 sept 2008 (AFP) - 15/09/2008 10h00


Les socialistes François Hollande (d) et Julien Dray, le 2 avril 2008 à l'Assemblée nationale à Paris



Julien Dray, porte-parole du PS, a estimé lundi, au lendemain de la fête de l'Humanité, que "la gauche plurielle (PS-PCF-Verts) a fait son temps" et il a de nouveau souhaité la constitution d'"une grande coalition Arc en ciel" allant de l'extrême gauche au centre.
suite ici
http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?idrub=8&xml=newsmlmmd.2a40e0bfb21cfeb5c85515310a53b858.801.xml


commentaire perso:
il y en a qui fument trop la moquette au PS....

Commentaire perso n°1 : oui, c'est ça. Vas-y mon gars ! Essaie de faire une coalition arc-en-ciel et vous coulez tous. Ensuite on enverra une chaloupe récupérer les socio-démocrates pour les embarquer sur le navire Mouvement Démocrate, les autres seront sauvés par le capitaine Besancenot.

Commentaire perso n°2 : il devrait lire l'analyse d'Aphatie ci-dessus.

c'est ce que j'ai demandé à certains sympathisants PS... j'attends encore la réponse...
les élucubrations de Dray avec son arc en ciel, sont totalement iniques! qu'y a t'il de commun entre OB et FB?c'rest dérisoire tout ça! et le signe évident de ce malaise des électeurs, est que ce we , il y avait 3 partielles législatives, et que l'UMP a gagné les 3( pas de Modem), parce que les classes populaires n'ont pas voté ( 25% de participation dans les quartiers populaires, 70% dans les quartiers bourgeois), le petit peuple ne comprend plus rien aux borborigmes de la gauche...

libre a écrit:

Commentaire perso n°1 : oui, c'est ça. Vas-y mon gars ! Essaie de faire une coalition arc-en-ciel et vous coulez tous. Ensuite on enverra une chaloupe récupérer les socio-démocrates pour les embarquer sur le navire Mouvement Démocrate, les autres seront sauvés par le capitaine Besancenot.

Le PS est en train de chuté et il tente de se raccrocher à toutes les branches, quelles sôaent verts, rouges ou oranges.
Môa je lui propose un truc encore plus "conte de fée". Un arc en ciel qui va jusque dans les tons bleus. Un seul parti qui réunirait Verts, PC, PS, UMP, NC et Modem. Ouais ! Trop joli

juju41 a écrit:

qu'y a t'il de commun entre OB et FB ?

B

j'aurais du y penser..

Heureusement que Maître Jean-Luc est là. Comment ferions-nous sans lui ?

Prouesse a écrit:

Môa je lui propose un truc encore plus "conte de fée". Un arc en ciel qui va jusque dans les tons bleus. Un seul parti qui réunirait Verts, PC, PS, UMP, NC et Modem. Ouais ! Trop joli

Ca, c'est le projet de Sarko. Un parti unique avec un candidat unique : lui-même ou celui qu'il aura désigné comme son dauphin.

Parti socialiste : les raisons d'une crise profonde
LE MONDE | 15.09.08 | 14h21 •
A deux mois du congrès de Reims, les dirigeants socialistes jouent à se faire peur. Incapables, malgré des tractations et d'intenses conciliabules, de composer un rassemblement majoritaire, ils agitent - pour mieux appeler à l'unité - le spectre d'un congrès d'affrontement, comme le fut celui de Rennes, en 1990. Or ni Bertrand Delanoë, ni Ségolène Royal, ni Martine Aubry, ni l'outsider Pierre Moscovici n'entendent, pour l'heure, renoncer à leur ambition de succéder à François Hollande.



Mme Buffet appelle la gauche à "reprendre l'offensive""Arrêtons de reculer, d'hésiter, de jouer perso. A gauche, il est temps de prendre l'offensive", a lancé Marie-George Buffet, en clôture de la 73e édition de la Fête de L'Humanité. La secrétaire nationale du PCF, qui n'a pas rencontré Olivier Besancenot - présent au parc de La Courneuve -, a appelé "les forces de gauche" à se joindre à la "marche populaire" organisée le 27 septembre entre le siège du Medef et l'Elysée. Par ailleurs, le Conseil national interrégional des Verts a approuvé, samedi, le rassemblement des écologistes allant de José Bové à des proches de Nicolas Hulot, en vue des européennes de 2009. Daniel Cohn-Bendit s'est déclaré "candidat à l'une des deux têtes de listes en Ile-de-France".
Bloquée, la situation risque de conduire à la multiplication des motions sur lesquelles voteront les adhérents. La date limite de dépôt est fixée au 23 septembre, il ne reste plus beaucoup de temps pour éviter un éparpillement général des forces qui favoriserait les accords de circonstances et les arrangements artificiels. Bref, tout ce que, à les en croire, les responsables socialistes entendent désormais bannir.

Pour l'heure, l'opinion paraît porter sur eux un regard sévère. "Les Français considèrent que les socialistes sont absents, estime Stéphane Rozès, directeur général de l'institut CSA. D'après nos études, ils les perçoivent comme enfermés dans la critique de l'action gouvernementale, incapables de porter leurs valeurs à travers un projet positif, ce qu'ils étaient parvenus à faire lors des élections municipales." Les électeurs de gauche, ajoute M. Rozès, "n'accordent pas de crédibilité à Olivier Besancenot mais, à travers lui, une partie d'entre eux cherchent à adresser un message au PS".

Jérôme Fourquet, directeur général adjoint du département opinion de l'IFOP, constate, pour sa part, que "tous les indicateurs sont au rouge". Outre que "la crise dans laquelle se débat depuis si longtemps le PS apparaît dorénavant comme son état normal", il relève que personne, parmi ses dirigeants, n'a creusé l'écart en terme de popularité : "Bertrand Delanoë s'est installé en tête des sondages mais il est très loin des niveaux atteints par Ségolène Royal pendant les primaires ; en fait, on ne voit pas de leader socialiste suffisamment fort pour s'imposer mais, dans le même temps, aucun n'est trop faible pour jeter l'éponge."

suite ici
http://www.lemonde.fr/politique/article/2008/09/15/parti-socialiste-les-raisons-d-une-crise-profonde_1095310_823448.html

Juste une question : à la fête de l'Huma, Besancenot est-il allé au buffet prendre du hollande ?

La gauche durable risque de se faire attendre durablement



François Hollande propose de remplacer la «gauche plurielle» de l'époque Jospin par une «gauche durable». Le retour du PCF vers ses partenaires traditionnels donne plus de crédit à un futur rassemblement de la gauche. Mais la concurrence de l'extrême gauche et du centre risquent de renvoyer la «gauche durable» dans un lointain futur





suite ici

http://www.marianne2.fr/La-gauche-durable-risque-de-se-faire-attendre-durablement_a91285.html?voir_commentaire=oui#comments

Jean-Luc a écrit:

Juste une question : à la fête de l'Huma, Besancenot est-il allé au buffet prendre du hollande ?

Bravo ! Tu as trouvé le moyen de rassembler toute la gauche !

juju41 a écrit:

Parti socialiste : les raisons d'une crise profonde
LE MONDE | 15.09.08 | 14h21 •
A deux mois du congrès de Reims, les dirigeants socialistes jouent à se faire peur. Incapables, malgré des tractations et d'intenses conciliabules, de composer un rassemblement majoritaire, ils agitent - pour mieux appeler à l'unité - le spectre d'un congrès d'affrontement, comme le fut celui de Rennes, en 1990. Or ni Bertrand Delanoë, ni Ségolène Royal, ni Martine Aubry, ni l'outsider Pierre Moscovici n'entendent, pour l'heure, renoncer à leur ambition de succéder à François Hollande.



Mme Buffet appelle la gauche à "reprendre l'offensive""Arrêtons de reculer, d'hésiter, de jouer perso. A gauche, il est temps de prendre l'offensive", a lancé Marie-George Buffet, en clôture de la 73e édition de la Fête de L'Humanité. La secrétaire nationale du PCF, qui n'a pas rencontré Olivier Besancenot - présent au parc de La Courneuve -, a appelé "les forces de gauche" à se joindre à la "marche populaire" organisée le 27 septembre entre le siège du Medef et l'Elysée. Par ailleurs, le Conseil national interrégional des Verts a approuvé, samedi, le rassemblement des écologistes allant de José Bové à des proches de Nicolas Hulot, en vue des européennes de 2009. Daniel Cohn-Bendit s'est déclaré "candidat à l'une des deux têtes de listes en Ile-de-France".
Bloquée, la situation risque de conduire à la multiplication des motions sur lesquelles voteront les adhérents. La date limite de dépôt est fixée au 23 septembre, il ne reste plus beaucoup de temps pour éviter un éparpillement général des forces qui favoriserait les accords de circonstances et les arrangements artificiels. Bref, tout ce que, à les en croire, les responsables socialistes entendent désormais bannir.

Pour l'heure, l'opinion paraît porter sur eux un regard sévère. "Les Français considèrent que les socialistes sont absents, estime Stéphane Rozès, directeur général de l'institut CSA. D'après nos études, ils les perçoivent comme enfermés dans la critique de l'action gouvernementale, incapables de porter leurs valeurs à travers un projet positif, ce qu'ils étaient parvenus à faire lors des élections municipales." Les électeurs de gauche, ajoute M. Rozès, "n'accordent pas de crédibilité à Olivier Besancenot mais, à travers lui, une partie d'entre eux cherchent à adresser un message au PS".

Jérôme Fourquet, directeur général adjoint du département opinion de l'IFOP, constate, pour sa part, que "tous les indicateurs sont au rouge". Outre que "la crise dans laquelle se débat depuis si longtemps le PS apparaît dorénavant comme son état normal", il relève que personne, parmi ses dirigeants, n'a creusé l'écart en terme de popularité : "Bertrand Delanoë s'est installé en tête des sondages mais il est très loin des niveaux atteints par Ségolène Royal pendant les primaires ; en fait, on ne voit pas de leader socialiste suffisamment fort pour s'imposer mais, dans le même temps, aucun n'est trop faible pour jeter l'éponge."

suite ici
http://www.lemonde.fr/politique/article/2008/09/15/parti-socialiste-les-raisons-d-une-crise-profonde_1095310_823448.html

Marie-George ferait mieux de se "pacser" avec Olivier et d'aller ramasser les "bons morceaux" du PS quand il sera tout cassé.

D'ailleurs, à ce propos, François Bayrou n'a pas besoin de chercher à casser le PS. Les socialistes s'en chargent.

Le naufrage du socialisme démocratique français 16/09



Par Jean-Michel Aphatie le 16 septembre 2008, 09:52 A chacun son Lehman Brothers.

Hier, Ségolène Royal a indiqué ne plus faire "un préalable" de sa candidature à la tête du parti socialiste. Elle a tenté d'expliquer sa position sur TF1, lors du journal de 20 heures. Pour le moins, son intervention fut confuse. Un "préalable" à quoi? Pourquoi? Par raport à qui? A quoi? Il faut être plus qu'immergé, noyé, dans la cuisine du parti socialiste pour commencer, peut-être, à comprendre, un peu, ce qui se passe et qui se joue.

Pour l'essentiel, et pour tenter de rester compréhensible, Ségolène Royal a pris acte, publiquement, hier, de son affaiblissement. Elle voulait remplacer François Hollande à la tête du parti socialiste. Elle n'y a peut-être pas renoncé mais elle a compris que ce serait peu probable. Du coup, elle a drôlement formulé les choses. Que les uns et les autres mettent "au frigidaire les questions de candidature", a-t-elle conseillé.

Ainsi donc, la liste des interdits dans le débat pourrait s'allonger dans le débat des socialistes. 2012? N'y pensez plus? Le poste de premier secrétaire? N'en parlez pas. Et que reste-t-il, alors? Le fond camarade, la politique méchante du gouvernement, le capitalisme sournois en crise, et tutti quanti. Voilà pourtant des années que les socialistes débattent du "fond". Qui donc a compté les motions, textes, proclamations, programmes, déclaration de principes, écrits par les socialistes français depuis l'élection présidentielle perdue en 2002? Celui qui s'amuserait à ce petit jeu comptabiliserait des dizaines de textes, idées tortilées dans tous les sens, analyses formulées et reprises, propositions de ceci et de cela. Ségolène Royal, pour ne parler que d'elle, avait bien un programme pour l'élection présidentielle de l'an dernier. Le parti socialiste avançait bien des réponses dans son programme législatif de la même année. Et durant tous ces congrès dont on nous a rebattu les oreilles, Le Mans, Dijon, j'en oublie sans doute, ils en ont pondu des textes, les socialistes.

Que reste-t-il de tout ce travail intellectuel? Rien, visiblement. Les socialistes eux mêmes ne sauraient mieux dire en délaissant le matériau qu'il fabrique combien celui ci est artificiel, réthorique, voire mécanique. Ils ne sauraient mieux dire combien ils sont loin des réalités, combien leurs analyses paraissent étranges par rapport au monde tel qu'il est. La preuve, encore, par la mise en scène, samedi dernier, de feue "Union de la gauche", où l'on a vu le patron des socialistes qui s'autoproclament "réformistes" juger plausible une alliance gouvernementale avec les "communistes révolutionnaires" et les "Verts radicaux".

Au naufrage intellectuel s'ajoute désormais le naufrage organisationnel. La question même de la direction humaine devient impossible à trancher. Plongés depuis si longtemps dans le mensonge intellectuel, les dirigeants du socialisme français ont conçu les uns envers les autres une animosité telle qu'ils se trouvent incapables de dépasser leur propre personne pour entrevoir, rien qu'entrevoir, un soupçon de ce que pourrait être l'intérêt général de leur parti.

J'ai commencé à suivre le parti socialiste il y a exactement vingt ans. J'ai un souvenir précis du fameux congrès de Rennes, 1990, où la brutalité des ambitions avait dévoilé, dénudé, la profondeur du malaise dans lequel vivait le socialiste français. La crise actuelle apparait comme une réplique de ce moment funeste. Ce qui se joue devant nous ressemble fort non pas à la faillite du socialiste français, mais à la failite du modèle démocratique du socialisme français. Car déjà la relève pointe, d'un socialisme plus radical, et moins démocratique, incarné par un jeune homme qui doit se réjouir, aujourd'hui, du cadeau qui lui font ses lointains cousins.

http://blogs.rtl.fr/aphatie/index.php/post/2008/09/16/Le-naufrage-du-socialisme-democratique-francais-16/09

On ne pourrait pas mieux dire.


Qaunt à Ségolène Royal, elle est mal placée pour demander à ses petits camarades de mettre la question des candidatures au frigo : elle ne pense qu'à ça. A sa candidature pour 2012. Et si pour y arriver, il faut renoncer à prendre la tête du PS en novembre, alors allons-y.

L'explosion de la maison Strauss-Kahn

juju41 a écrit:

L'explosion de la maison Strauss-Kahn

Prochaine étape : l'explosion de la maison PS.

Suivi de la chute de la maison (pl)usher.

The Associated Press -
document.write(TRBshowDate('17/09/2008 10:12:38'))
17/09/08 à 10:12:38 - 241 mots
France


Arnaud Montebourg craint que le congrès de Reims "accouche d'un monstre"


"J'ai bien peur que ce congrès accouche d'un monstre, c'est-à-dire d'une absence de majorité" a déclaré mercredi le député socialiste Arnaud Montebourg, critiquant "les combinaisons autour des hommes" au lendemain du meeting de soutien de François Hollande à Bertrand Delanoë.
"Il faut de la super glue pour recoller les morceaux du Parti socialiste parce que les batailles personnelles ont pris le pas malheureusement sur l'intérêt général", a déclaré Arnaud Montebourg sur LCI.
"Je ne suis pas pour la multiplication des chapelles", a-t-il expliqué, assurant ne pas souhaiter présenter sa propre motion: "La nécessité du projet est plus importante que les alliances, les ralliements, les combinaisons autour des hommes".
M. Montebourg a salué la déclaration de Ségolène Royal qui ne fait plus de sa candidature au poste de Premier secrétaire un préalable : "Elle a fait un effort et nous pouvons l'en remercier".
Le député PS de Saône-et-Loire qui a rappelé qu'il était "opposé à la présidentialisation du parti" est resté vague sur les alliances qu'il pourrait nouer dans la perspective du congrès de Reims.
"Ce parti qui semble éternellement tombé dans le formol" va au devant de sévères désillusions, a regretté M. Montebourg, assurant avoir essayé en tant que "rénovateur" d'y rentrer "par la porte, par la fenêtre, par la cheminée", sans succès. AP

juju41 a écrit:

The Associated Press -document.write(TRBshowDate('17/09/2008 10:12:38')) 17/09/08 à 10:12:38 - 241 motsFranceArnaud Montebourg craint que le congrès de Reims "accouche d'un monstre""J'ai bien peur que ce congrès accouche d'un monstre, c'est-à-dire d'une absence de majorité" a déclaré mercredi le député socialiste Arnaud Montebourg, critiquant "les combinaisons autour des hommes" au lendemain du meeting de soutien de François Hollande à Bertrand Delanoë."Il faut de la super glue pour recoller les morceaux du Parti socialiste parce que les batailles personnelles ont pris le pas malheureusement sur l'intérêt général", a déclaré Arnaud Montebourg sur LCI."Je ne suis pas pour la multiplication des chapelles", a-t-il expliqué, assurant ne pas souhaiter présenter sa propre motion: "La nécessité du projet est plus importante que les alliances, les ralliements, les combinaisons autour des hommes".M. Montebourg a salué la déclaration de Ségolène Royal qui ne fait plus de sa candidature au poste de Premier secrétaire un préalable : "Elle a fait un effort et nous pouvons l'en remercier".Le député PS de Saône-et-Loire qui a rappelé qu'il était "opposé à la présidentialisation du parti" est resté vague sur les alliances qu'il pourrait nouer dans la perspective du congrès de Reims."Ce parti qui semble éternellement tombé dans le formol" va au devant de sévères désillusions, a regretté M. Montebourg, assurant avoir essayé en tant que "rénovateur" d'y rentrer "par la porte, par la fenêtre, par la cheminée", sans succès. AP

Un monstre à 5 têtes, minimum.

ça fait le pendant avec les 5 cerveaux de Sarko!

Pour Bertrand Delanoë, s'il il y a un "accord de fond" passé avec François Hollande, certains points ne sont pas négociables. Il veut reconstruire "un parti d'opposition, clairement à gauche" et refuse toute alliance avec le MoDem ou l'extrême gauche. "Nous avons besoin d'être clairs, a t-il déclaré. Rassembler du centre jusqu'à l'extrême gauche, c'est tout simplement impossible". Enfin, le maire de Paris réclame que le PS reste un "parti de militants". Il est, comme M. Hollande, plus que jamais opposé à l'organisation de primaires ouvertes pour la désignation du prochain candidat à l'élection présidentielle. Deux points sur lesquels il entretient sa distance avec M^me Royal.


http://www.lemonde.fr/politique/article/2008/09/17/francois-hollande-veut-convaincre-bertrand-delanoe-d-elargir-ses-soutiens_1096195_823448.html

Citation :

Il veut reconstruire "un parti d'opposition, clairement à gauche" et refuse toute alliance avec le MoDem ou l'extrême gauche.

Oui Bertrand, continue de te déporter sur la gauche, vas-y, oui, décale toi, monte sur le trottoir même, pour laisser la plus large avenue au Modem. Merci

C'est dingue le débat qu'il y a au PS. On à l'impression de jouer à un jeu de diplomatie entre pays en guerre en lisant le Monde.