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| "Le Soleil de Walpurgis" .... | |
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+11yann 35 bobmo Tamaris Walpurgis signora Floran hloben _Christophe_ Prouesse Jean-Luc SaPa 15 participants | |
Auteur | Message |
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SaPa
Nombre de messages : 7452 Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Ven 27 Mar 2009 - 13:39 | |
| "... sauf que – entre autres "détails" – l'activité solaire actuelle est tout à fait normale, pas plus élevée qu'il y a un siècle ou deux."JL
Tout a fait exact...! L'activité solaire est normale ... C'est notre bouclier de protection qui filtrait les rayonnements solaires hautement energetiques qui lui est détérioré ...
c'était tout simplement évident ...!!!
Et si la Nasa a prouvé que les canicules étaient bien causées par la détérioration de la couche d'ozone ...
alors les UV- B sont également capables de faire fondre la Banquise à la vitesse grand V ... ( Signe de degel de la banquise non prévu par les modéles mathématiques du GIEC ...)
Ce qui est confirmé par les observations des scientifiques ... Un réchauffement du au gaz à effet de serre aurait mis beaucoup plus de temps pour faire fondre la banquise ...
De toute façon ... on discute pour rien ... car maintenant La Nasa et tous les scientifiques connaissent la vérité ... Al gore a du interrompre sa campagne ... il s'est fait moqué par le porte parole de la maison blanche .. "Al Gore se trompe ..."
Reste à savoir pourquoi , ils continuent de ne pas dire la vérité à la population ..
Et quand va t'on enfin prendre des mesures pour protéger et restaurer la Couche d'ozone ... maintenant que l'on sait que c'est sa détérioration qui est responsable des déréglements climatiques...
Pour hloben ...
Je suis d'accord avec toi ... Mais le probléme est que nos dirigeants continuent d'ignorer superbement le probléme de la couche d'ozone ...
pourquoi ...? il faudrait peut être leur demander ... et pour moi , hloben il y a des priorités ... si l'on veut avoir une chance de ne pas atteindre le point de non retour ... on aurait plutot intérêt de se bouger ...
nos dirigeants eux , ont déjà baissé les bras et se préparent déja au pire ...
Et quand je te rappelle que même les rayons UV-C , proche des rayons X ..( les mêmes que pour les radiographies.) parviennent jusqu'au sol ...
et que les enfants en pleine croissance sont les plus vulnérables , reconsulte le programme "Intersun" ...
que , comme tous rayonnement ,les effets sont cumulatifs .. on prend sa dose pour la vie ... je n'ai pas envie de te faire peur ... mais reconnais , qu'il y a urgence d'agir ...!!
Et il est totalement inconscient de ne pas le faire ... et en ce moment , on nage en pleine inconscience ... c'est démentiel ... Je crois qu'il est grand temps de changer de dirigeants ..
"C'est toi qui dis ça ? Toi qui es plus coincé dans cette idée absurde qu'un rongeur dans un piège à rat ?" JL
Et en ce qui concerne les rats ... je te rappelle qu'on est tous dans le même navire ... | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Ven 27 Mar 2009 - 13:59 | |
| http://photomaniak.com/upload/out.php/i551732_Rchauffementclimatique.pdf
"La théorie du rechauffement climatique , phénoméne de société de nos jours, est bien ancrée dans les moeurs, à tel point qu'elle semble irréfutable .celui qui s'y oppose , passerait pour un fou..!!
et pourtant , elle repose sur des bases fragiles ; en effet en 2005 une commission d'enquête a été mis en place par la chambre des Lords(Angleterre) afin d'examiner les preuves scientifiques de l'impact humain sur le rechauffement climatique ..;
Lord Lawson of Blaby ( ancien ministre des finances dans les années 80 qui fut l'un des premiers à débloquer des fonds pour la recherche sur le rechauffement global, s'est en particulier interressé de prés à ce probléme .. des scientifiques du monde entier ont participé à cette commission d'enquéte ..."
Voici les resultats de cette enquête ...: | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Ven 27 Mar 2009 - 14:03 | |
| On nous dit souvent que le climat se dérègle de plus en plus, ce à cause de notre impact sur l’environnement. « La glace fond, la mer monte, les températures grimpent, les catastrophes naturelles se multiplient : et tout ça est de notre faute » Voilà ce qu’on entend de nos jours. Pourquoi ? La panique de la population par le biais des médias est un argument politique de choix. Par exemple, à la télévision, on nous montre la banquise, sur laquelle se promènent ours blancs et pingouins, qui fond et on nous dit que c’est à cause de ça que le niveau de la mer monte. C’est complètement absurde ! C’est le principe du glaçon dans le verre : le poids du glaçon qui flotte est ‘égal’ au volume d’eau qui s’en dégagera lorsque celui-ci fondra, ce qui fait que le niveau de l’eau ne changera pas. On nous dit n’importe quoi. Les seules glaces pouvant avoir un impact potentiel sur le niveau marin sont les glaces de l’Antarctique, qui elles, proviennent d’eau douce (précipitations) et sont stockées sur un continent (l’Antarctique est un continent, il y a un sol sous la glace, et ce n’est pas un bloc de glace flottant comme
la banquise de l’Hémisphère Nord) | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Ven 27 Mar 2009 - 14:09 | |
| La théorie du réchauffement climatique, phénomène de société de nos jours, est bien ancrée dans les moeurs, à un tel point qu’elle semble irréfutable. Celui-ci qui s’y oppose passerait pour un fou. Et pourtant, elle repose sur des bases fragiles. En effet, en 2005, une commission d’enquête a été mise en place par la Chambre des Lords (Angleterre) afin d’examiner les preuves scientifiques de l’impact humain sur le réchauffement climatique Lord Lawson of Blaby (ancien ministre des finances dans les années 80, qui fut l’un des premiers à débloquer des fonds pour la recherche sur le réchauffement global) s’est en particulier intéressé de très près à ce problème. Des scientifiques du monde entier ont participé à cette commission d’enquête : Dr Piers Corbyn, Climate Forecaster Weather Action Dr Roy Spencer, Weather Satellite Team Leader, NASA James Shikwati Economist & Author ]; Nigel Calder, Former Editor, New Scientist Patrick Moore, Co-founder, ex-Greenpeace Pr Carl Wunsch, Océanographe, MIT Pr Eigil Friis-Christensen, Director of Danish National Space Centre Pr Frederick Singer, Dpt of environmental science, University of Virginia Pr Ian Clark, Dpt of Earth Science, University of Ottawa Pr John Christy, Lead Author IPCC, Dpt of Atmospheric Science, University of Alabama Pr Nir Shaviv, [/sizeInstitute of Physics, University of Jerusalem Pr Patrick Michaels, Dpt of Environmental Sciences, University of Virginia Pr Paul Reiter, IPCC & Pasteur Institute of Paris Pr Philip StottDpt of Biogeography, University of London Pr Richard Lindzen, IPCC, Dpt of Meteorology, M.I.T Pr Syun-Ichi Akasofu, [/size][size=12]International Arctic Research Center Pr Tim BallDpt of Climatology, University of Winnipeg
Résultats de l’enquête : Les preuves scientifiques sont faibles et incertaines. Voici quelques grandes lignes de cette enquête | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Ven 27 Mar 2009 - 14:10 | |
| 1 – Un cycle naturel Il faut savoir que d’un point de vue géologique, le climat de la Terre a connu de nombreuses variations périodiques, celui-ci est loin d’être stable. Notons plusieurs types de cycles, à plusieurs échelles de temps et de différentes amplitudes : - Microvariations du climat (périodes chaudes / froides), à petite échelle de temps (quelques siècles) de 1°C (en moyenne) d’amplitude au maximum. o Exemples : Lors des périodes appelées « pic de l’holocène » (à l’âge du bronze, entre -7000 et - 4000) et « optimum médiéval » (entre 1000 et 1400 environ), il faisait plus chaud qu’aujourd’hui. Pour le Moyen-Âge, on cultivait la vigne dans le Nord de la France et dans la cité de Londres. Lors du « petit âge glaciaire » (entre 1400 et 1800), nous étions dans une période froide, les hivers étaient rudes (Tamise gelée l’hiver, illustré par de nombreuses gravures et tableaux) - Périodes glaciaires / interglaciaires, à plus grande échelle de temps (environ 100 000ans), de 8 à 10°C (en moyenne) d’amplitude. o Exemple : glaciation du Würm - Périodes de « green house » / périodes de « ice house », à très grande échelle de temps (millions, voire dizaines de millions d’années) parfois de plus de 30°C (en moyenne) d’amplitude. o Exemples : Notre « Ice House » a commencé il y a 35Ma environ (l’hémisphère Sud est gelé en premier, l’hémisphère Nord se voit recouvert de glace il y a 3Ma seulement) Au mésozoïque (Trias, Jurassique, Crétacé), il faisait très chaud (20 à 25°C de plus qu’aujourd’hui en moyenne) et il n’y avait pas de glace au pôle. Au carbonifère et début du permien, nous étions en « Ice House » Au précambrien, les glaces auraient enveloppé toute notre Terre, jusqu’à l’équateur (Théorie de la Snow Ball) - Notons aussi que la température de la Terre varie beaucoup aux pôles et est plus stable à l’équateur lors d’une modification de climat, d’où le fait de parler de température moyenne de la Terre et non d’une température précise. (Exemple : aujourd’hui en Antarctique, au pôle sud, les températures dépassent -80°C, alors qu’en période de « green house », nous sommes sur un continent non gelé, c’est-à-dire au dessus de 0°C) - Notons aussi que les périodes de ‘Ice House’ sont plus courtes et plus rares dans l’histoire de la Terre que les périodes de ‘Green House’. - Retenons également qu’une glaciation se met en place lentement (refroidissement très progressif, très long), alors qu’un réchauffement est beaucoup plus rapide. Tout cela pour dire que le climat a déjà changé auparavant, sans l’intervention nécessaire de l’être humain. Nous observons aujourd’hui : - à petite échelle de temps : nous sommes en réchauffement (micropériode ‘chaude’), dans une époque interglaciaire, en période de « Ice House »
- à grande échelle de temps : une tendance au refroidissement | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Ven 27 Mar 2009 - 14:12 | |
| 2 - Production industrielle = responsable ? * Le réchauffement est initié depuis le milieu du 19e siècle. La température s’est élevée de 0,6°C depuis 1840 environ à nos jours. Notons que le réchauffement commence avant l’invention des voitures et des avions (début de l’industrialisation au début du 20e siècle) * Remarquons également que la plus grande part du réchauffement s’est faite avant 1940. Nous n’avons encore que peu d’industries à cette époque. * Entre 1940 et 1975, nous notons un petit refroidissement, or l’industrie se développe très fortement à cette époque (voitures, électroménager…). Une période de refroidissement de 35 ans, alors que l’industrie est en plein essor après la guerre, et que le CO2 rejeté dans l’atmosphère augmente. D’où un problème, car d’après la théorie du réchauffement climatique, la température devrait augmenter si on accroît la quantité de gaz à effet de serre de l’atmosphère. Or ce n’est pas le cas. Deux solutions : soit notre impact est négligeable, soit ce ne sont pas les gaz à effet de serre qui sont responsables du réchauffement. * Après 1975 : le réchauffement continu jusqu’à aujourd’hui.
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| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Ven 27 Mar 2009 - 14:13 | |
| 3 - Et les gaz à effet de serre ? Composition de l’atmosphère : - Azote : 78% - O2 : 21% - Autres : 1 %, dont : - gaz inertes, diatomiques : 0,9% - gaz à effet de serre (CO2, CH4, O3…) : 0,1% (les seuls à avoir une influence sur le rayonnement solaire et le climat) - Particules, aérosols, vapeur d’eau Le CO2, dont on entend toujours parler en tant que « polluant » est un gaz à effet de serre mineur et représente au total 0,054% des gaz de l’atmosphère. La portion que l’homme relargue est un très petit chiffre comparé à celui-ci. Les gaz à effet de serre sont une très petite portion de l’atmosphère, mais leur rôle est quand même remarquable. S’ils n’étaient pas dans l’atmosphère, la température moyenne de la Terre serait d’environ -18°C. Notons tout de même que 95% de ces gaz à effet de serre sont constitués par la vapeur d’eau (le plus puissant gaz à effet de serre). Remarquons que ces gaz sont situés dans une partie de l’atmosphère : la troposphère (10/12km d’altitude). D’où le fait que, lors d’une augmentation des gaz à effet de serre ou lors d’un apport thermique plus important, le maximum de réchauffement se situe à 10km d’altitude dans l’atmosphère, et non en surface (principe basé sur le fonctionnement de l’effet de serre) Egalement, remarquons que le CO2 n’est pas un « polluant » : c’est un gaz naturel produit par le vivant. De plus, l’homme est loin d’être la source principale de CO2, avec seulement 6,5Gt/an relargués dans l’atmosphère. Les volcans produisent chaque année autant que usines, voitures et avions. Les bactéries et animaux relarguent plus de 100Gt/an. La décomposition intervient aussi. Enfin, l’océan, et de très loin, est la plus grande source de CO2 sur Terre. Or, un constat a été fait, d’après de nombreuses mesures par satellite et par ballon-sonde en divers points du monde (dirigées par le Pr John Christy) : Il n’y a pas de réchauffement conséquent dans l’atmosphère par rapport au réchauffement de la surface terrestre. Conclusion : le réchauffement n’est pas dû aux gaz à effet de serre, mais à autre chose. L’impact de l’Homme serait alors plus faible qu’on ne le pense en ce qui concerne les rejets dans l’atmosphère.
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| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Ven 27 Mar 2009 - 14:14 | |
| 4 – Un lien CO2/température pensé à l’envers… Dans le film devenu très populaire, de Al Gore, nommé ‘une vérité qui dérange’, il est dit que le CO2 et la température sont liés. C’est entièrement vrai. En revanche, il est dit aussi que lorsque le taux de CO2 atmosphérique augmente, la température augmente à son tour. Ceci est faux, et a été démontré par le Pr Ian Clark, grâce à des études sur des carottes de glace dans l’Antarctique. Par le biais des isotopes et du CO2 contenu dans les échantillons prélevés, il a pu retracer une courbe d’étude du climat et du taux de CO2. Voici la courbe du forage de Vostok : Nous remarquons que quand la température augmente, le CO2 suit cette température et augmente à son tour, mais avec un décalage de 800ans, et vis-versa lors d’un refroidissement. Le CO2 n’est pas une cause primaire d’un réchauffement. Il faut qu’il y ait un changement de température amorcé pour que le CO2 augmente dans l’atmosphère. Le CO2 ne cause pas un réchauffement, il le suit. Ensuite et seulement ensuite celui-ci pourra éventuellement prendre part au réchauffement, bien que ce soit un gaz à effet de serre mineur. Par quel principe le CO2 suit la température ? L’océan est un grand réservoir de CO2. Or la température favorise ou non sa dissolution dans l’eau. Ce qui fait que du CO2 est émit si l’océan se réchauffe, ou est dissout si océan se refroidit. Notons aussi que les océans sont grands et profonds, d’où le fait que la température de l’eau est plus longue à varier que celle de l’atmosphère, d’où un
délai de 800ans entre température atmosphérique et émission/dissolution de CO2. | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Ven 27 Mar 2009 - 14:16 | |
| 5 - Si ce ne sont pas les gaz à effet de serre, quoi d’autre ? Le Pr Eigil Friis-Christensen, Directeur du ‘Danish National Space Centre’, a étudié les cycles du Soleil et s’est intéressé aux tâches solaires, qui apparaissent à la surface de notre étoile de temps à autre. Ces tâches solaires sont d’intenses champs magnétiques, et indiquent une forte activité solaire. Dans l’histoire de la science, quelques astronomes s’étaient déjà intéressé à ces tâches et avaient remarqué qu’elles avaient un lien avec la température de la Terre : plus il y en a, plus il fait chaud. Ainsi, Edward Maunder, astronome britannique du 19e siècle constata que lors du ‘Petit âge de Glace’, il y avait peu de tâches solaires, d’où une faible activité solaire. On appelle cette période de faible activité solaire le « minimum de Maunder ». Voici des courbes issues des études menées par le Pr Eigil Friis-Christensen. En rouge, la température ; en bleu, l’activité solaire. On note que sur les 100 ainsi que sur les 400 dernières années (observations directes, études électromagnétiques sur des forages et histoire des sciences), la courbe des températures terrestres suit parfaitement celle de l’activité solaire. L’activité du soleil serait le moteur des variations de températures terrestres. Pas étonnant, vu que c’est lui qui nous envoie son rayonnement et sa chaleur. De plus, et d’après une étude récente (par l’astrophysicien Nir Shaviv et le géologue Jan Veizer), le Soleil influe sur la formation des nuages. Des rayons cosmiques provenant de l’espace (supernovae…) bombardent la Terre (1) constamment et favorisent la formation des nuages, par évaporation des molécules d’eau. Or, nous savons que la présence de nuage refroidit la Terre, car les rayons solaires sont réfléchis vers l’espace. (2) Mais, quand l’activité solaire augmente, les rayons cosmiques venant de l’espace sont déviés (3) et moins de nuages
sont alors formés. S’il y a moins de nuages, alors la surface terrestre est mieux réchauffée par le Soleil. (4) | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Ven 27 Mar 2009 - 14:17 | |
| 6 - Origine et histoire de la théorie du réchauffement global : Dans les années 1970, lors du micro-refroidissement, on parlait à la télé d’une baisse des températures qui provoquerait un nouvel âge glaciaire. Et on disait que était responsable des catastrophes naturelles de l’époque. Le scientifique Bert Bollin, à cette même époque, pensait que le fait de brûler des énergies fossiles (charbon, pétrole) pouvait avoir un effet positif sur le climat de l’époque et le réchauffer. Une théorie peu prise au sérieux à l’époque, mais c’est de là qu’est partie l’idée d’une théorie sur le réchauffement climatique. A la fin des années 1970, le réchauffement climatique commençait à s’amorcer. Et c’est à cause d’événements liés à cette époque que la théorie verra le jour. Après les chocs pétroliers et des incidents politiques (grève de mineurs entre autres), le sujet d’un réchauffement climatique et des énergies fossiles commença à devenir un argument politique de choix afin de favoriser l’énergie nucléaire dans les pays en développement. Margaret Thatcher et la Mat Office britannique mettent en place une unité de recherche (le GIEC) et versent de l’argent à des scientifiques afin de trouver des ‘preuves’ du réchauffement climatique et de l’impact des gaz à effet de serre, notamment le C02. On a mis volontairement l’accent sur les émissions d’origine anthropique comme responsables des changements environnementaux, parfois en censurant ce que disait la communauté scientifique. Mais, comme le savent les bons scientifiques, objectifs, lorsque l’on étudie un système (ici : le climat terrestre), il faut essayer de prendre en compte tout les paramètres qui s’y appliquent (Soleil, nuages, gaz à effet de serre, océan), et pas seulement celui qui nous arrangerait pour l’étude (CO2). D’ailleurs, souvent, des scientifiques ont démissionné après que leur publication pour le rapport du GIEC ait été modifiée, mais leur nom est quand même resté sur ce rapport, ce qui le faisait paraître plus sérieux et lui donnait un certain poids politique et médiatique. Les écologistes du monde se rallient à cette cause du réchauffement climatique et se politisent de plus en plus tentant de limiter le développement économique et la mondialisation afin de brimer le système capitaliste qu’ils considèrent comme mauvais. Ce n’est plus de la science mais de la politique à part entière. Puis, dans les années 1990, le sujet s’est fortement médiatisé. On devient de plus en plus alarmiste. Depuis l’époque de l’élection de Bush père aux USA, les fonds versés à la recherche sur le climat se sont multipliés par 15, atteignant des sommes de 3 milliards de dollars par an. Ce financement exubérant a perverti la communauté scientifique, qui se bat depuis toujours afin d’obtenir une aide de l’état pour alimenter ses recherches. Egalement, des résultats impressionnants ou spectaculaires ont plus de chance d’être publiés et plairont aux médias. Par exemple : dans les modèles d’études du C02 avec lesquels on prédit que la température de la Terre dans les 100 ans à venir, on a ajouté 1% de CO2 (représentant les apports anthropiques) du CO2 contenu normalement dans l’atmosphère (soit 0,054% normaux + 0,00054% ajoutés). Alors qu’en réalité, depuis trente ans, on en rejette : 0,49% pour ces dix dernières années, 0,42% pour les dix années précédentes, 0,43% pour les dix années encore avant. Soit, pour simplifier, on a ajouté plus du double par rapport à ce qu’on rejette réellement. Il n’est donc pas étonnant que les modèles prédisent une augmentation ‘forte’ de la température sur 100 ans. On obtient des résultats impressionnants qui peuvent être médiatisés, mais ceux-ci sont loin de la réalité et peu fidèles. De nos jours, à chaque fois qu’il y a une catastrophe naturelle, on nous dit que cela est dû au réchauffement climatique qui perturbe le système. Météorologiquement, ceci est faux, voici pourquoi : La source principale des perturbations météorologiques est due à la différence de température entre les pôles et les tropiques. Or, dans un monde plus chaud, cet écart de température diminue (tropiques/équateur : température stable ; pôles : plus chauds). Egalement, pas de quoi s’alarmer pour la fonte des glaces. Lors de l’optimum médiéval (entre 1000 et 1400), il faisait plus chaud qu’aujourd’hui, et les glaces du Groenland n’ont que très peu bougé. Il y a 8000 ans (optimum de l’holocène, ‘âge de bronze’), le permafrost de Sibérie avait partiellement dégelé, mais c’est la période la plus chaude depuis plus de 10000 ans. Retenons aussi que la fonte des glaces fait parti d’un cycle naturel, dû aux saisons. Il y a dégel l’été et formation de glace l’hiver, alors attention aux images des médias. De plus, le fait que les glaces de l’Antarctique (celle de l’Arctique étant déjà sur l’eau, elles n’ont pas d’influence) fondent influerait peu sur le niveau marin. En effet, l’eustatisme (ou niveau marin absolu) est surtout contrôlé par le fonctionnement des dorsales océaniques, produisant de la chaleur par leur activité et dilatant l’eau. Les dorsales sont le facteur principal de la montée du niveau marin. De même, on nous dit souvent que les maladies et leurs vecteurs se déplaceraient vers le Nord à cause du réchauffement. Ceci est totalement faux. La malaria, par exemple, n’est pas une maladie exclusivement tropicale, même si dans nos pays, elle apparaît comme éradiquée. Son vecteur est le moustique, or on trouve des moustiques jusqu’en Arctique. Notons que dans les années 1920, une épidémie de malaria a touché 13 millions de personnes en un an, en Russie, et a fait plus de 600 000 morts. Archangel, au-delà du cercle polaire Nord, a connu 30 000 cas touchés par cette maladie.
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| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Ven 27 Mar 2009 - 14:20 | |
| Conclusion Ainsi donc, les gaz a effet de serre ne sont pas responsables de ce réchauffement climatique. Celui-ci est dû à une cause astronomique : l’activité du Soleil, ce qui est un phénomène entièrement naturel. Le réchauffement climatique existe donc bien, mais le réchauffement climatique tel qu’on en entend parler aujourd’hui est entièrement maquillé. C’est devenu une affaire purement politique et la science n’a plus rien à voir avec ceci. Ceci est dangereux, et il sera dur de s’en défaire, tant les médias ont influencé les esprits. C’est un
phénomène de société, basé sur des arguments biaisés et des preuves trafiquées.
http://photomaniak.com/upload/out.php/i551732_Rchauffementclimatique.pdf | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Ven 27 Mar 2009 - 19:12 | |
| Je ne vais pas perdre mon temps à démonter un par un ces raisonnements fumeux, qui utilisent le même principe que celui-ci : « Je connais des gros fumeurs qui ont vécu jusqu'à plus de 80 ans sans attraper le cancer du poumon, donc le tabac n'est pas responsable des cancers du poumon. » SaPa, si tu es incapable de logique, tant pis pour toi. Tchao. | |
| | | hloben
Nombre de messages : 6861 Age : 51 Localisation : LILLE, Zouzou II l'Espérantroll Date d'inscription : 09/01/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Ven 27 Mar 2009 - 20:56 | |
| j'admire les certitudes de l'un et l'autre... pour moi, les certitudes n'ont pas lieu d'être ... c'est d'ailleurs dans l'esprit du dernier document de SaPa
"Résultats de l’enquête : Les preuves scientifiques sont faibles et incertaines"
tous ces gens : Dr Piers Corbyn, Climate Forecaster Weather Action ; Dr Roy Spencer, Weather Satellite Team Leader, NASA ; James Shikwati,Economist & Author ; Nigel Calder, Former Editor, New Scientist ; Patrick Moore, Co-founder, ex-Greenpeace ; Pr Carl Wunsch,Océanographe, MIT ; Pr Eigil Friis-Christensen, Director of Danish National Space Centre ; Pr Frederick Singer, Dpt of environmental science, University of Virginia ; Pr Ian Clark, Dpt of Earth Science, University of Ottawa ; Pr John Christy, Lead Author IPCC, Dpt of Atmospheric Science, University of Alabama ; Pr Nir Shaviv, Institute of Physics, University of Jerusalem ; Pr Patrick Michaels, Dpt of Environmental Sciences, University of Virginia ; Pr Paul Reiter, IPCC & Pasteur Institute of Paris ; Pr Philip Stott, Dpt of Biogeography, University of London ; Pr Richard Lindzen, IPCC, Dpt of Meteorology, M.I.T ; Pr Syun-Ichi Akasofu, International Arctic Research Center ; Pr Tim Ball, Dpt of Climatology, University of Winnipeg.
m'ont l'air très respectables...
je ne suis pas scientifique moi même... j'écoute les uns et les autres | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Sam 28 Mar 2009 - 9:02 | |
| - hloben a écrit:
- pour moi, les certitudes n'ont pas lieu d'être ...
1) Le réchauffement climatique en cours est une certitude : jamais dans le passé il n'y a eu d'augmentation aussi rapide de la température moyenne du globe. Et de loin. 2) Les propriétés physiques des gaz à effet de serre sont un fait. La complexité du processus au niveau planétaire due aux rétroactions tant positives que négatives ne permet pas de minimiser ces effets. 3) Le principe de précaution veut que l'on en finisse au plus vite avec les émissions de ces gaz. Pendant qu'il en est encore temps. S'il n'est pas déjà trop tard. Et même dans ce dernier cas, ça limitera les dégâts. | |
| | | hloben
Nombre de messages : 6861 Age : 51 Localisation : LILLE, Zouzou II l'Espérantroll Date d'inscription : 09/01/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Sam 28 Mar 2009 - 9:39 | |
| oui, mais le fait que ce soit, que ce soit la couche d'ozone en premier facteur ou les gaz à effet de serre ou l'activité solaire... personne ne le sait vraiment avec certitude ce qui n'empêche pas d'agir sur les 2 problèmes. | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Sam 28 Mar 2009 - 9:50 | |
| La couche d'ozone n'est en aucun cas le premier facteur, et encore moins l'unique comme voudrait le faire croire SaPa : sa détérioration a pour principal effet de laisser passer davantage d'UV, or ces rayonnements, si nocifs soient-ils pour les êtres vivants, ne constituent qu'une faible part de l'énergie solaire qui nous parvient. La capacité de piégeage des infrarouges par la vapeur d'eau, le CO², etc. a des effets de loin plus importants.
La détérioration de la couche d'ozone n'est qu'un dommage collatéral de la pollution avec une légère rétroaction positive (dans le sens qu'elle accentue le déséquilibre, pas qu'elle va dans le bon sens). | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Sam 28 Mar 2009 - 14:16 | |
| Il y a pas si longtemps ...
On brûlait les Hérétiques sur des bûchers ...ceux qui disaient que la Terre était ronde ..
Le pire dans cette histoire ...
C'est que les politiques empêchent les scientifiques de s'exprimer...
Hloben ...je te l'avais dit ...
ils ne reconnaitront jamais qu'ils se sont trompés ou qu'ils ont maquillé l'affaire ...
Tout ce que je réclame ...
c'est que les politiques cessent d'empêcher le Monde scientifique de s'exprimer ...
les politiciens nous ménent droit dans le mur ....!!! | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Sam 28 Mar 2009 - 14:42 | |
| - SaPa a écrit:
- C'est que les politiques empêchent les scientifiques de s'exprimer...
Hloben ...je te l'avais dit ...
ils ne reconnaitront jamais qu'ils se sont trompés ou qu'ils ont maquillé l'affaire ... On ne va pas dire qu'on a tort alors qu'on a raison ! Même pour te faire plaisir... C'est toi qui ferais bien de réfléchir un chouia, une intelligence ordinaire – associé à un soupçon de logique – suffit amplement à comprendre où se situe le coeur du problème. | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Sam 28 Mar 2009 - 22:14 | |
| Alors , laissons s'exprimer les scientifiques ...
Documentaire de la BBC la télévision publique du Royaume Uni ( Angleterre ).
https://www.dailymotion.com/video/x21zq2_partie-1-arnaque-du-rechauffement-c_politics
https://www.dailymotion.com/video/x21zot_partie-2-arnaque-du-rechauffement-c_politics
https://www.dailymotion.com/video/x21zmb_partie-3-arnaque-du-rechauffement-c_politics
https://www.dailymotion.com/video/x21zjs_partie-4-arnaque-du-rechauffement-c_politics | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Mar 31 Mar 2009 - 15:43 | |
| James Shikwati Economist and Author..
c'est l'histoire d'occidentaux qui évoquant la menace de désastres climatiques .. pour empêcher les progrés industriels vitaux dans les pays en voie de developpement
"une chose claire qu'on peut voir dans n'importe quel débat gouvernemental est qu'il y a quelqu'un qui a envie de tuer le rêve africain .. et le rêve africain est de se développer ..." | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Mar 31 Mar 2009 - 16:38 | |
| http://www.nasa.gov/worldbook/global_warming_worldbook.html Global Warming Global warming is an increase in the average temperature of Earth's surface. Since the late 1800's, the global average temperature has increased about 0.7 to 1.4 degrees F (0.4 to 0.8 degrees C). Many experts estimate that the average temperature will rise an additional 2.5 to 10.4 degrees F (1.4 to 5.8 degrees C) by 2100. That rate of increase would be much larger than most past rates of increase. Scientists worry that human societies and natural ecosystems might not adapt to rapid climate changes. An ecosystem consists of the living organisms and physical environment in a particular area. Global warming could cause much harm, so countries throughout the world drafted an agreement called the Kyoto Protocol to help limit it. Causes of global warming Climatologists (scientists who study climate) have analyzed the global warming that has occurred since the late 1800's. A majority of climatologists have concluded that human activities are responsible for most of the warming. Human activities contribute to global warming by enhancing Earth's natural greenhouse effect. The greenhouse effect warms Earth's surface through a complex process involving sunlight, gases, and particles in the atmosphere. Gases that trap heat in the atmosphere are known as greenhouse gases. The main human activities that contribute to global warming are the burning of fossil fuels (coal, oil, and natural gas) and the clearing of land. Most of the burning occurs in automobiles, in factories, and in electric power plants that provide energy for houses and office buildings. The burning of fossil fuels creates carbon dioxide, whose chemical formula is CO2. CO2 is a greenhouse gas that slows the escape of heat into space. Trees and other plants remove CO2 from the air during photosynthesis, the process they use to produce food. The clearing of land contributes to the buildup of CO2 by reducing the rate at which the gas is removed from the atmosphere or by the decomposition of dead vegetation. A small number of scientists argue that the increase in greenhouse gases has not made a measurable difference in the temperature. They say that natural processes could have caused global warming. Those processes include increases in the energy emitted (given off) by the sun. But the vast majority of climatologists believe that increases in the sun's energy have contributed only slightly to recent warming. The impact of global warming | Thousands of icebergs float off the coast of the Antarctic Peninsula after 1,250 square miles (3,240 square kilometers) of the Larsen B ice shelf disintegrated in 2002. The area of the ice was larger than the state of Rhode Island or the nation of Luxembourg. Antarctic ice shelves have been shrinking since the early 1970's because of climate warming in the region. Image credit: NASA/Earth Observatory |
Continued global warming could have many damaging effects. It might harm plants and animals that live in the sea. It could also force animals and plants on land to move to new habitats. Weather patterns could change, causing flooding, drought, and an increase in damaging storms. Global warming could melt enough polar ice to raise the sea level. In certain parts of the world, human disease could spread, and crop yields could decline. Harm to ocean life Through global warming, the surface waters of the oceans could become warmer, increasing the stress on ocean ecosystems, such as coral reefs. High water temperatures can cause a damaging process called coral bleaching. When corals bleach, they expel the algae that give them their color and nourishment. The corals turn white and, unless the water temperature cools, they die. Added warmth also helps spread diseases that affect sea creatures. Changes of habitat Widespread shifts might occur in the natural habitats of animals and plants. Many species would have difficulty surviving in the regions they now inhabit. For example, many flowering plants will not bloom without a sufficient period of winter cold. And human occupation has altered the landscape in ways that would make new habitats hard to reach or unavailable altogether. Weather damage Extreme weather conditions might become more frequent and therefore more damaging. Changes in rainfall patterns could increase both flooding and drought in some areas. More hurricanes and other tropical storms might occur, and they could become more powerful. Rising sea level Continued global warming might, over centuries, melt large amounts of ice from a vast sheet that covers most of West Antarctica. As a result, the sea level would rise throughout the world. Many coastal areas would experience flooding, erosion, a loss of wetlands, and an entry of seawater into freshwater areas. High sea levels would submerge some coastal cities, small island nations, and other inhabited regions. Threats to human health Tropical diseases, such as malaria and dengue, might spread to larger regions. Longer-lasting and more intense heat waves could cause more deaths and illnesses. Floods and droughts could increase hunger and malnutrition. Changes in crop yields Canada and parts of Russia might benefit from an increase in crop yields. But any increases in yields could be more than offset by decreases caused by drought and higher temperatures -- particularly if the amount of warming were more than a few degrees Celsius. Yields in the tropics might fall disastrously because temperatures there are already almost as high as many crop plants can tolerate. Limited global warming Climatologists are studying ways to limit global warming. Two key methods would be (1) limiting CO2 emissions and (2) carbon sequestration -- either preventing carbon dioxide from entering the atmosphere or removing CO2 already there. Limiting CO2 emissions Two effective techniques for limiting CO2 emissions would be (1) to replace fossil fuels with energy sources that do not emit CO2, and (2) to use fossil fuels more efficiently. Alternative energy sources that do not emit CO2 include the wind, sunlight, nuclear energy, and underground steam. Devices known as wind turbines can convert wind energy to electric energy. Solar cells can convert sunlight to electric energy, and various devices can convert solar energy to useful heat. Geothermal power plants convert energy in underground steam to electric energy. Alternative sources of energy are more expensive to use than fossil fuels. However, increased research into their use would almost certainly reduce their cost. Carbon sequestration could take two forms: (1) underground or underwater storage and (2) storage in living plants. Underground or underwater storage would involve injecting industrial emissions of CO2 into underground geologic formations or the ocean. Suitable underground formations include natural reservoirs of oil and gas from which most of the oil or gas has been removed. Pumping CO2 into a reservoir would have the added benefit of making it easier to remove the remaining oil or gas. The value of that product could offset the cost of sequestration. Deep deposits of salt or coal could also be suitable. The oceans could store much CO2. However, scientists have not yet determined the environmental impacts of using the ocean for carbon sequestration. Storage in living plants Green plants absorb CO2 from the atmosphere as they grow. They combine carbon from CO2 with hydrogen to make simple sugars, which they store in their tissues. After plants die, their bodies decay and release CO2. Ecosystems with abundant plant life, such as forests and even cropland, could tie up much carbon. However, future generations of people would have to keep the ecosystems intact. Otherwise, the sequestered carbon would re-enter the atmosphere as CO2. Agreement on global warming Delegates from more than 160 countries met in Kyoto, Japan, in 1997 to draft the agreement that became known as the Kyoto Protocol. That agreement calls for decreases in the emissions of greenhouse gases. Emissions targets Thirty-eight industrialized nations would have to restrict their emissions of CO2 and five other greenhouse gases. The restrictions would occur from 2008 through 2012. Different countries would have different emissions targets. As a whole, the 38 countries would restrict their emissions to a yearly average of about 95 percent of their 1990 emissions. The agreement does not place restrictions on developing countries. But it encourages the industrialized nations to cooperate in helping developing countries limit emissions voluntarily. Industrialized nations could also buy or sell emission reduction units. Suppose an industrialized nation cut its emissions more than was required by the agreement. That country could sell other industrialized nations emission reduction units allowing those nations to emit the amount equal to the excess it had cut. Several other programs could also help an industrialized nation earn credit toward its target. For example, the nation might help a developing country reduce emissions by replacing fossil fuels in some applications. Approving the agreement The protocol would take effect as a treaty if (1) at least 55 countries ratified (formally approved) it, and (2) the industrialized countries ratifying the protocol had CO2 emissions in 1990 that equaled at least 55 percent of the emissions of all 38 industrialized countries in 1990. In 2001, the United States rejected the Kyoto Protocol. President George W. Bush said that the agreement could harm the U.S. economy. But he declared that the United States would work with other countries to limit global warming. Other countries, most notably the members of the European Union, agreed to continue with the agreement without United States participation. By 2004, more than 100 countries, including nearly all the countries classified as industrialized under the protocol, had ratified the agreement. However, the agreement required ratification by Russia or the United States to go into effect. Russia ratified the protocol in November 2004. The treaty was to come into force in February 2005. Analyzing global warming Scientists use information from several sources to analyze global warming that occurred before people began to use thermometers. Those sources include tree rings, cores (cylindrical samples) of ice drilled from Antarctica and Greenland, and cores drilled out of sediments in oceans. Information from these sources indicates that the temperature increase of the 1900's was probably the largest in the last 1,000 years. Computers help climatologists analyze past climate changes and predict future changes. First, a scientist programs a computer with a set of mathematical equations known as a climate model. The equations describe how various factors, such as the amount of CO2 in the atmosphere, affect the temperature of Earth's surface. Next, the scientist enters data representing the values of those factors at a certain time. He or she then runs the program, and the computer describes how the temperature would vary. A computer's representation of changing climatic conditions is known as a climate simulation. In 2001, the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), a group sponsored by the United Nations (UN), published results of climate simulations in a report on global warming. Climatologists used three simulations to determine whether natural variations in climate produced the warming of the past 100 years. The first simulation took into account both natural processes and human activities that affect the climate. The second simulation took into account only the natural processes, and the third only the human activities. The climatologists then compared the temperatures predicted by the three simulations with the actual temperatures recorded by thermometers. Only the first simulation, which took into account both natural processes and human activities, produced results that corresponded closely to the recorded temperatures. The IPCC also published results of simulations that predicted temperatures until 2100. The different simulations took into account the same natural processes but different patterns of human activity. For example, scenarios differed in the amounts of CO2 that would enter the atmosphere due to human activities. The simulations showed that there can be no "quick fix" to the problem of global warming. Even if all emissions of greenhouse gases were to cease immediately, the temperature would continue to increase after 2100 because of the greenhouse gases already in the atmosphere. Contributors: Michael D. Mastrandrea, B.S., Graduate Fellow, School of Earth Sciences, Geological and Environmental Sciences, Stanford University. Stephen H. Schneider, Ph.D., Professor of Biological Sciences, Stanford University. How to cite this article: To cite this article, World Book recommends the following format: Mastrandrea, Michael D., and Stephen H. Schneider. "Global warming." World Book Online Reference Center. 2005. World Book, Inc. http://www.worldbookonline.com/wb/Article?id=ar226310. | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Mar 31 Mar 2009 - 17:02 | |
| Le réchauffement global est une augmentation de la température moyenne de la surface terrestre. Depuis le 1800's en retard, la température moyenne globale a augmenté environ 0,7 à 1,4 degrés des degrés de C) de F (0,4 à 0,8. Beaucoup d'experts estiment que la température moyenne s'élèvera des 2,5 à 10,4 degrés additionnels des degrés de C) de F (1,4 à 5,8 par 2100. Ce taux d'accroissement serait beaucoup plus grand que les la plupart des taux d'accroissement de passé. Les scientifiques s'inquiètent que les sociétés humaines et les écosystèmes normaux ne pourraient pas s'adapter aux changements climatiques rapides. Un écosystème comprend la matière organique et l'environnement physique dans un secteur particulier. Le réchauffement global pourrait causer beaucoup de mal, ainsi les pays ont dans le monde entier rédigé un accord appelé le protocole de Kyoto pour aider à le limiter.
Causes du réchauffement global Les Climatologists (scientifiques qui étudient le climat) ont analysé le réchauffement global que cela s'est produit depuis le 1800's en retard. Une majorité de climatologists ont conclu que les activités humaines sont responsables de la majeure partie du chauffage. Les activités humaines contribuent au réchauffement global par l'effet de la serre normal de la terre de amélioration. L'effet de serre chauffe la surface terrestre par un processus complexe impliquant la lumière du soleil, les gaz, et les particules dans l'atmosphère. Des gaz qui emprisonnent la chaleur dans l'atmosphère sont connus comme gaz à effet de serre. Les activités humaines principales qui contribuent au réchauffement global sont le burning des combustibles fossiles (charbon, pétrole, et gaz naturel) et le dédouanement de la terre. La majeure partie du burning se produit dans des automobiles, dans les usines, et aux centrales électriques qui fournissent l'énergie pour des maisons et des immeubles de bureaux. Le burning des combustibles fossiles crée l'anhydride carbonique, dont la formule chimique est CO2. Le CO2 est un gaz à effet de serre qui ralentit l'évasion de la chaleur dans l'espace. Les arbres et d'autres usines éliminent le CO2 de l'air pendant la photosynthèse, le processus qu'ils emploient pour produire la nourriture. Le dédouanement de la terre contribue à l'habillage du CO2 en réduisant le taux auquel le gaz est enlevé de l'atmosphère ou par la décomposition de la végétation morte. Un nombre restreint de scientifiques arguent du fait que l'augmentation en gaz à effet de serre n'a pas fait une différence mesurable dans la température. Ils disent que les processus normaux pourraient avoir causé le réchauffement global. Ces processus incluent des augmentations de l'énergie émise (dégagé) par le soleil. Mais la grande majorité de climatologists croient que les augmentations de l'énergie du soleil ont contribué seulement légèrement au chauffage récent.
Le réchauffement global continu a pu avoir beaucoup d'effets préjudiciables. Il pourrait nuire aux plantes et aux animaux qui vivent en mer. Il pourrait également forcer des animaux et des plantes sur la terre à se déplacer à de nouveaux habitats. Les modèles de temps pourraient changer, entraînant l'inondation, sécheresse, et une augmentation d'endommager donne l'assaut à. Le réchauffement global a pu fondre assez de glace polaire pour soulever le niveau de la mer. Dans certaines régions du monde, la maladie humaine pourrait se répandre, et les rendements de récolte pourraient diminuer. Mal à la vie d'océan Par le réchauffement global, les eaux de surface des océans ont pu devenir réchauffeur, augmentant l'effort sur des écosystèmes d'océan, tels que les récifs coraliens. Les températures d'hautes eaux peuvent causer un processus préjudiciable appelé le blanchiment de corail. Quand les coraux blanchissent, ils expulsent les algues qui leur donnent leur couleur et alimentation. Les coraux tournent blanc et, à moins que la température de l'eau se refroidisse, ils meurent. Les aides supplémentaires de chaleur également écartent les maladies qui affectent des créatures de mer.
Changements d'habitat Les décalages répandus pourraient se produire dans les habitats normaux des animaux et des plantes. Beaucoup d'espèces auraient la difficulté survivre dans les régions qu'elles habitent maintenant. Par exemple, beaucoup d'usines fleurissantes ne fleuriront pas sans période suffisante du froid d'hiver. Et le métier humain a changé le paysage des manières qui rendraient de nouveaux habitats durs pour atteindre ou indisponible tout à fait. Dommages de temps Les conditions atmosphériques extrêmes pourraient devenir plus fréquentes et donc plus préjudiciables. Les changements des modèles de précipitations ont pu augmenter l'inondation et la sécheresse dans quelques secteurs. Plus d'ouragans et d'autres orages tropicaux pourraient se produire, et ils pourraient devenir plus puissants. Niveau de la mer en hausse Le réchauffement global continu pourrait, au-dessus des siècles, des grands nombres de fonte de glace d'une vaste feuille qui des couvertures plus de l'Antarctique occidental. En conséquence, le niveau de la mer monterait dans le monde entier. Beaucoup de régions côtières éprouveraient l'inondation, l'érosion, une perte de marécages, et une entrée d'eau de mer dans des secteurs d'eau douce. Les niveaux de haute mer submergeraient des certains villes côtières, petites nations d'île, et autre des régions habitées. Menaces pour la santé des personnes Les maladies tropicales, telles que la malaria et la dengue, pourraient s'écarter à de plus grandes régions. Plus de la forte chaleur de vagues plus durables et ont pu causer plus de décès et de maladies. Les inondations et les sécheresses ont pu augmenter la faim et la malnutrition. Changements des rendements de récolte Le Canada et les régions de la Russie pourraient tirer bénéfice d'une augmentation des rendements de récolte. Mais toutes les augmentations des rendements ont pu être plus que compensées par des diminutions provoquées par sécheresse et températures plus élevées -- en particulier si la quantité de chauffage étaient plus que quelques degrés Celsius. Les rendements dans les tropiques pourraient tomber désastreusement parce que les températures là sont déjà presque pendant que haut autant de plantes cultivées peuvent tolérer.
Réchauffement global limité Les Climatologists étudient des manières de limiter le réchauffement global. Deux méthodes principales seraient (1) limitant des émissions de CO2 et (2) la séquestration de carbone -- empêchant l'anhydride carbonique d'écrire l'atmosphère ou d'éliminer le CO2 déjà là. Limitation des émissions de CO2 Deux techniques efficaces pour limiter des émissions de CO2 seraient (1) pour remplacer des combustibles fossiles par les sources d'énergie qui n'émettent pas le CO2, et (2) pour employer des combustibles fossiles plus efficacement. Les sources d'énergie alternatives qui n'émettent pas le CO2 incluent le vent, la lumière du soleil, l'énergie nucléaire, et la vapeur souterraine. Les dispositifs connus sous le nom de turbines de vent peuvent convertir l'énergie éolienne en énergie électrique. Les piles solaires peuvent convertir la lumière du soleil en énergie électrique, et les divers dispositifs peuvent convertir l'énergie solaire en chaleur utile. Les centrales géothermiques convertissent l'énergie en vapeur souterraine en énergie électrique. Les sources d'énergie alternatives sont plus chères d'employer que des combustibles fossiles. Cependant, la recherche accrue sur leur utilisation réduirait presque certainement leur coût. La séquestration de carbone a pu prendre deux formes : (1) stockage souterrain ou sous-marin et (2) stockage aux plantes vivantes. Le stockage souterrain ou sous-marin impliquerait d'injecter les émissions industrielles du CO2 dans les formations géologiques souterraines ou l'océan. Les formations souterraines appropriées incluent les réservoirs normaux dont de pétrole et de gaz la majeure partie de pétrole ou de gaz a été enlevée. Le CO2 de pompage dans un réservoir aurait l'avantage supplémentaire de le faciliter pour enlever le pétrole ou le gaz restant. La valeur de ce produit a pu compenser le coût de séquestration. Les dépôts profonds du sel ou du charbon ont pu également convenir. Les océans ont pu stocker beaucoup de CO2. Cependant, les scientifiques n'ont pas encore déterminé les incidences sur l'environnement d'employer l'océan pour la séquestration de carbone. Stockage aux plantes vivantes Les plantes vertes absorbent le CO2 de l'atmosphère pendant qu'elles se développent. Elles combinent le carbone du CO2 avec de l'hydrogène pour faire les sucres simples, qu'elles entreposé dans leurs tissus. Après que les usines meurent, leurs corps délabrent et libèrent le CO2. Les écosystèmes avec la flore abondante, telle que les forêts et même le cropland, ont pu attacher beaucoup de carbone. Cependant, les générations futures de personnes devraient maintenir les écosystèmes intacts. Autrement, le carbone séquestré réintroduirait l'atmosphère comme CO2.
Accord sur le réchauffement global Les délégués de plus de 160 pays se sont réunis à Kyoto, Japon, en 1997 pour rédiger l'accord qui est devenu notoire comme protocole de Kyoto. Que l'accord réclame des diminutions des émissions des gaz à effet de serre. Cibles d'émissions Trente-huit nations industrialisées devraient limiter leurs émissions du CO2 et de cinq autres gaz à effet de serre. Les restrictions se produiraient de 2008 à 2012. Les différents pays auraient différentes cibles d'émissions. Dans son ensemble, les 38 pays limiteraient leurs émissions à une moyenne annuelle d'environ 95 pour cent de leurs émissions 1990. L'accord n'impose pas des restrictions aux pays en voie de développement. Mais il encourage les nations industrialisées à coopérer aux émissions de aide de limite de pays en voie de développement volontairement. Les nations industrialisées ont pu également acheter ou vendre des unités de réduction des émissions. Supposez qu'une nation industrialisée a coupé ses émissions davantage qu'a été exigé par l'accord. Que le pays pourrait vendre d'autres unités de réduction des émissions de nations industrialisées permettant à ces nations d'émettre la quantité égale à l'excès il avait coupé. Plusieurs autres programmes ont pu également aider une nation industrialisée à gagner le crédit vers sa cible. Par exemple, la nation pourrait aider un pays en voie de développement pour réduire des émissions en remplaçant des combustibles fossiles dans quelques applications. Approbation de l'accord Le protocole entrerait en vigueur comme traité si (1) au moins 55 pays le ratifiaient (formellement approuvé), et (2) les pays industrialisés ratifiant le protocole ont eu des émissions de CO2 en 1990 qui a égalé au moins 55 pour cent des émissions de chacun des 38 pays industrialisés en 1990. En 2001, les Etats-Unis ont rejeté le protocole de Kyoto. Le Président George W. Bush a déclaré que l'accord pourrait nuire à l'économie américaine. Mais il a déclaré que les Etats-Unis fonctionneraient avec d'autres pays pour limiter le réchauffement global. D'autres pays, spécialement les membres de l'Union européenne, acceptés pour continuer l'accord sans participation des Etats-Unis. D'ici 2004, plus de 100 pays, incluant presque tous les pays classifiés comme industrialisés sous le protocole, avaient ratifié l'accord. Cependant, l'accord a exigé de la ratification par la Russie ou les Etats-Unis d'entrer dans l'effet. La Russie a ratifié le protocole en novembre 2004. Le traité était d'entrer en vigueur en février 2005.
Analyse du réchauffement global L'information d'utilisation de scientifiques de plusieurs sources pour analyser le réchauffement global cela s'est produite avant que les gens aient commencé à utiliser des thermomètres. Ces sources incluent des anneaux d'arbre, des noyaux (échantillons cylindrique) de glace forés d'Antarctique et du Groenland, et des noyaux percés des sédiments dans les océans. L'information de ces sources indique que l'augmentation de la température du 1900's était probablement la plus grande pendant les 1.000 dernières années. Les climatologists d'aide d'ordinateurs analysent les changements climatiques passés et prévoient de futurs changements. D'abord, un scientifique programme un ordinateur avec un ensemble d'équations mathématiques connues sous le nom de modèle de climat. Les équations décrivent comment les divers facteurs, tels que la quantité de CO2 dans l'atmosphère, affectent la température de la surface terrestre. Après, le scientifique saisit des données représentant les valeurs de ces facteurs à un certain temps. Lui ou elle lance alors le programme, et l'ordinateur décrit comment la température varierait. Une représentation d'ordinateur de changer des conditions climatiques est connue comme simulation de climat. En 2001, le panneau intergouvernemental sur le changement climatique (IPCC), un groupe commandité par les Nations Unies (UN), résultats édités des simulations de climat dans un rapport sur le réchauffement global. Les Climatologists avaient l'habitude trois simulations pour déterminer si les variations normales du climat ont produit le chauffage des 100 dernières années. La première simulation a pris en considération les deux processus normaux et activités humaines qui affectent le climat. La deuxième simulation a pris en considération seulement les processus normaux, et le tiers seulement les activités humaines. Les climatologists ont alors comparé les températures prévues par les trois simulations aux températures réelles enregistrées par des thermomètres. Seulement la première simulation, qui a pris en considération les deux processus normaux et activités humaines, a produit les résultats qui ont correspondu étroitement aux températures enregistrées. L'IPCC a également édité des résultats des simulations qui ont prévu les températures jusqu'à 2100. Les différentes simulations ont pris en considération les mêmes processus normaux mais différents modèles d'activité humaine. Par exemple, les scénarios ont différé dans les quantités de CO2 qui écriraient l'atmosphère due aux activités humaines. Les simulations ont prouvé qu'il ne peut y avoir aucun « dépannage rapide » au problème du réchauffement global. Même si toutes les émissions des gaz à effet de serre étaient de cesser immédiatement, la température continuerait à augmenter après 2100 en raison des gaz à effet de serre déjà dans l'atmosphère. Contribuants : Michael D. Mastrandrea, B.S., camarade gradué, école des sciences de sciences de la terre, géologiques et environnementales, Stanford University. Stephen H. Schneider, Ph.D., professeur des sciences biologiques, Stanford University. Comment citer cet article : Pour citer cet article, le livre du monde recommande le format suivant : Mastrandrea, Michael D., et Stephen H. Schneider. « Réchauffement global. » Centre de référence en ligne de livre du monde. 2005. World Book, Inc. http://www.worldbookonline.com/wb/Article?id=ar226310. . | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Mar 31 Mar 2009 - 17:13 | |
| http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.stanford.edu/~mikemas/cv.htm&ei=JDLSSei-OsyrjAfy0OnsBg&sa=X&oi=translate&resnum=1&ct=result&prev=/search%3Fq%3DMichael%2BD.%2BMastrandrea,%2BB.S%26hl%3Dfr%26sa%3DG
Michael D. Mastrandrea, Ph.D. Shared 2007 Prix Nobel de la paix en tant que Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) auteur (12/2007)
Contributing Author to IPCC Fourth Assessment Report, Working Group II Chapter 19, “Assessing Key Working Group II Chapter 19, “Assessing Key Vulnerabilities and the Risk from Climate Change,” and Working Group III Chapter 3, “Issues Related to Mitigation in the Long-Term Context” (9/2004-6/2007) Contribuer Auteur de quatrième rapport d'évaluation du GIEC, le Groupe de travail II, chapitre 19, "Assessing clés du Groupe de travail II, chapitre 19,« L'évaluation des vulnérabilités clés et des risques de changement climatique ", et le Groupe de travail III, chapitre 3,« Questions relatives à l'atténuation de la longue terme »(9/2004-6/2007)
Editorial Board, Climatic Change (11/2006-Present) Comité de rédaction, les changements climatiques (11/2006-Present)
Woods Institute for the Environment Inter-University Scholar—provided training in communicating climate change to policymakers (11/2006) Woods, de l'environnement Institut Inter-University Scholar fourni la formation à la communication du changement climatique pour les décideurs (11/2006)
Department of Energy Global Change Education Program (GCEP) Fellow (6/2000-9/2004) Department of Energy Global Change Education Program (GCEP) Fellow (6/2000-9/2004) | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Mar 31 Mar 2009 - 17:26 | |
| http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.environmentwriter.org/scienceandthenews/bios/mmastrandrea.htm&ei=bzPSSaaqApy6jAfX7vTiBg&sa=X&oi=translate&resnum=7&ct=result&prev=/search%3Fq%3DMichael%2BD.%2BMastrandrea%26hl%3Dfr%26sa%3DG
Michael D. Mastrandrea, Ph.D. Michael D. Mastrandrea, Ph.D., est un chercheur post-doctoral à la Stanford University, où ses foyers de recherches sur des questions scientifiques avec des implications politiques et sociales et leur traduction précise et efficace pour le grand public et les décideurs politiques en particulier. Ses intérêts de recherches incluent la modélisation intégrée d'évaluation du climat et de l'économie comme outil pour l'analyse de politique de climat international et domestique ; analyse probabiliste du potentiel pour le changement climatique « dangereux » ; développement des cadres conceptuels pour la gestion des risques du changement climatique ; et analyse des effets du changement climatique global sur des écosystèmes du monde. Mastrandrea est le premier diplômé du programme gradué interdisciplinaire dans l'environnement et les ressources (IPER) à la Stanford University, et il a été un ministère de l'énergie le camarade global de programme éducatif de changement. Il a édité des traitements populaires des issues scientifiques pour des sources telles qu'Encarta, livre du monde, et Wiley et fils. Des parties de son travail de dissertation sont publiées à plusieurs journaux, y compris des papiers en la Science et bientôt en nature. . | |
| | | SaPa
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| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Mar 31 Mar 2009 - 17:37 | |
| On appelle souvent chercheur post-doctoral[1] (ou en abrégé « post-doc ») un chercheur docteur (généralement depuis moins de dix ans) engagé en contrat à durée déterminée. http://fr.wikipedia.org/wiki/Chercheur_post-doctoral
Vous n’en êtes encore qu’au stade ou vous vous demandez si un postdoc est nécessaire, et si c’est vraiment votre tasse de thé. Seul vous pouvez répondre, avec tout ce que ça implique de choix personnels, qui vous engageront pour bien plus que les mois du postdoc eux-mêmes
Est-ce bien un postdoc qu’il me faut faire alors que je voudrais bosser dans l’industrie ? La plus importante question que vous devez vous poser est de savoir comment le postdoc que vous envisagez s’intègre dans votre projet professionnel.
Combien de temps je me donne pour que ce post-doc débouche sur quelque chose de concret?
Comment je fais avec mon /ma /mes copain /copine /mari /femme /enfants ? idem, mais sur le plan pratique: visa, travail du conjoint, éducation des marmots ... Comment vais-je cotiser à la retraite ? Comment vais-je me fournir en alcool anisé ?
Rappellons dès à présent que bien que le postdoc soit de plus en plus demandé pour faire une carrière dans la recherche publique, il peut s’averer un sérieux handicap pour les autres projets de carrière. Ce n’est un secret pour personne : les entreprises préfèrent les gens jeunes et frais sortis de leur formation initiale plutôt que ceux qui ont erré jusqu’à plus de 30 ans dans les couloirs d’une université, puis d’une ou plusieurs autres. Comme le disait Cl. Jablon, président de l’ABG et directeur de la R & D chez Total-Fina-Elf lors du colloque 2001 des Ecoles Doctorales :
«Le choix d’un séjour postdoctoral présente un certain risque pour une insertion dans l’entreprise »
http://guilde.jeunes-chercheurs.org/Alire/guide/apres/apresse6.html
CE SONT LES FAMEUX SCIENTIFIQUES DU GIEC (IPCC) ???
Qui soutiennent la fameuse théorie des Gaz à effet de serre ...??? | |
| | | SaPa
Nombre de messages : 7452 Age : 68 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: "Le Soleil de Walpurgis" .... Mer 1 Avr 2009 - 14:31 | |
| http://www.drzz.info/article-10616576.html La pétition de l'Oregon 17'800 scientifiques diplômés ont signé une pétition pour démentir l'origine humaine du réchauffement ! Et que dire ce ceci : AFP, 1er juin 2007, 11:30 Réchauffement climatique : la NASA sceptique Le patron de la NASA Michael Griffin a affirmé qu'il n'était pas certain que le réchauffement climatique soit un problème qu'il est nécessaire de combattre. ''Je n'ai aucun doute sur le fait qu'il y a une tendance au réchauffement du climat de la planète'', a-t-il déclaré sur la radio publique nationale (NPR). Mais ''je ne suis pas sûr qu'il soit exact de dire qu'il s'agit d'un problème http://www.oism.org/pproject/ Global Warming Petition We urge the United States government to reject the global warming agreement that was written in Kyoto, Japan in December, 1997, and any other similar proposals. The proposed limits on greenhouse gases would harm the environment, hinder the advance of science and technology, and damage the health and welfare of mankind. There is no convincing scientific evidence that human release of carbon dioxide, methane, or other greenhouse gasses is causing or will, in the foreseeable future, cause catastrophic heating of the Earth's atmosphere and disruption of the Earth's climate. Moreover, there is substantial scientific evidence that increases in atmospheric carbon dioxide produce many beneficial effects upon the natural plant and animal environments of the Earth. |
This petition has been signed by over 31,000 American scientists. To sign this petition. | Research Review of Global Warming Evidence
Enclosed is a twelve-page review of information on the subject of "global warming," a petition in the form of a reply card, and a return envelope. Please consider these materials carefully. The United States is very close to adopting an international agreement that would ration the use of energy and of technologies that depend upon coal, oil, and natural gas and some other organic compounds. This treaty is, in our opinion, based upon flawed ideas. Research data on climate change do not show that human use of hydrocarbons is harmful. To the contrary, there is good evidence that increased atmospheric carbon dioxide is environmentally helpful. Click here to see the rest of this letter from the past president of the National Academy of Sciences. | Environmental Effects of Increased Atmospheric Carbon Dioxide A review of the research literature concerning the environmental consequences of increased levels of atmospheric carbon dioxide leads to the conclusion that increases during the 20th Century have produced no deleterious effects upon global weather, climate, or temperature. Increased carbon dioxide has, however, markedly increased plant growth rates. Predictions of harmful climatic effects due to future increases in minor greenhouse gases like CO2 are in error and do not conform to current experimental knowledge. Click here to see this peer reviewed research paper |
Note: The Petition Project has no funding from energy industries or other parties with special financial interests in the "global warming" debate. Funding for the project comes entirely from private non-tax deductible donations by interested individuals. See Dr. Noah Robinson's Video Presentation: http://www.discovery.org/v/30Download Dr. Art Robinson's Power Point Presentation: http://www.oism.org/pproject/ARPresentation/Presentations.zip | |
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