Sarkozy vu de l'étranger

oui, c'est pour ça qu'on est mortifiés...

Bof.....

Cet aspect des choses me laisse complètement froid (...).

Comme je le disais, un Président qui ferait une excellente politique mais qui ferait quelques escapades à la rue Saint Denis me conviendrait très bien.

@Aptien

Ca nous coûterait moins cher aussi !

le pb est que primo il ne fait pas de bonne politique, secondo,c'est la pute qui est à l'Elysée...

Attention, ma réflexion ne visait personne en particulier.

"Un président";

dans l'absolu.

peut être celui de dans 15 ans, par exemple.

jusquà présent, on a toujours toléré les "incartades" présidentielles parce qu'elles étaient discrètes, et les Françai ont toujours apprécié ce petit côté" gaulois" , depuis des siècles, on se souvient de la mort de Félix Fauredans un ébat avec une prostituée en 1896, et la question: "as t'il encore sa connaissance?" réponse, "Non, elle est partie par l'escalier..."!

C'est sûr, blagues à part, que j'ai été profondément choqué de la vois exhiber (pour le coup le mot de Ségolène est juste) exhiber, donc, sa main sans alliance.

Quelle goujaterie.

On peut rester poli avec ses ex, tout de même.

et offrir la même bague à Cécilia et à Carla, il en a peut-être acheté un lot ...quelle goujaterie! moi je lui aurai envoyée à la figure pour être polie!ça se trouve toutes ses conquêtes ont la même, c'st sa marque quoi!

Citation :

et offrir la même bague à Cécilia et à Carla, il en a peut-être acheté un lot ...quelle goujaterie!

C'est clair en fait Carla c'est un peu la Cécilia bis. Surtout au vu de leur ressemblance physique

Ne dites pas aux Français que Sarkozy ressemble à Berlusconi


La vie politique française s'italianise – mais refuse de l'admettre – note, amusé, l'hebdomadaire transalpin l'Espresso. Extraits.
Arnaud Vaulerin
LIBERATION.FR : jeudi 24 janvier 2008


L’article, titré «Cabaret Sarkozy», est signée Ilvo Diamanti, politologue avisé et fin connaisseur de la carte politique italienne. Dans la dernière édition de l' hebdomadaire de centre-gauche L’Espresso, il porte un regard amusé sur les mutations de la scène politique française.

Il note que l’«on respire un drôle d’air à Paris». «Il est difficile de ne pas saisir la rupture par rapport au passé de la Ve République.» Diamanti écrit que la «vie privée des présidents, en France, était scrutée, mais pas exhibée et agitée sur la place médiatique. […] En quelques mois, cependant, tout semble changé. D’une manière irréversible» depuis l’arrivée de Sarkozy à l’Elysée.
Diamanti évoque Cécilia, convoque Carla Bruni, remarque que l’on assiste en France à une «désacralisation de l’Etat et de la vie publique». Il explique que le mot «pipolisation» est entré dans le dictionnaire. Pour dénoncer l’«américanisation de la politique nationale». Et ajoute qu’il est «difficile d’éviter d’autres références. Et en premier lieu, l’Italie. La politique comme spectacle imposée par Silvio Berlusconi. Ce dernier, une minute après le succès du nouveau président, commenta: “C’est moi, le modèle de Sarkozy, d’ailleurs c’est à moi qu’il a passé son premier coup de téléphone après la victoire.” Mais ne le dites pas aux Français», s’amuse Ilvo Diamanti qui a joué la provocation et récolté des«réactions péremptoires et indignées, même parmi ceux qui ne l’aiment pas».
Le politologue italien dresse un premier bilan de l’action de Sarkozy et estime que la France s’achemine vers un régime présidentiel, «un changement profond de la politique française». «C’est comme si les Français voulaient se libérer au plus vite du sacré qui a traditionnellement caractérisé les lieux, les formes et les autorités de la vie publique.» Diamanti porte l’estocade finale. C’est comme «si les Français nous ressemblaient». «Mais disons le à voix basse, pour ne pas les inquiéter. Car s’ils se regardaient dans le miroir italien, ils se détourneraient, effrayés. Tant qu’il s’agit de Carla Bruni, ça va. Mais Berlusconi – et tout le reste –, vraiment c’est trop.»

sarkonie cette comparaison !

courrier international 12/02

FRANCE • "Chirac, reviens, tu es pardonné !"

La plongée du président français dans les sondages n'a pas échappé à la presse européenne. Le "vaudeville" de Neuilly non plus. Revue de détail d'un impressionnant désamour.




Il y a quelques semaines à peine, le quotidien espagnol El Mundo consacrait un cahier spécial admiratif au président français. Il en faisait même sa "personnalité de l'année 2007". Un titre que son principal concurrent El País aurait préféré voir revenir roi d'Espagne, qui venait de célébrer ses 70 ans.

Deux mois plus tard, un des pères de l'Europe, le socialiste portugais Mario Soares, ancien Premier ministre et ancien président de son pays, prend la plume pour le quotidien Diário de Notícias pour un éditorial intitulé "La déception Sarkozy". "Il a fallu six mois", écrit le vieil homme, "pour que les Français si cartésiens se rendent compte que l'erratique, imprévisible et inquiétant Nicolas Sarkozy a de grandes chances d'être un désastre pour la France. Il y a même des Français pour crier aujourd'hui : 'Chirac, reviens, tu es pardonné !' En six petits mois, l'homme et son style ont été rejetés par les Français, qui déjà le méprisent."

Le quotidien britannique The Independent ne dit pas autre chose en consacrant dans son édition du 12 février un cahier spécial à cette simple question : "Quel est le problème, avec le président ?" Ou cette autre, plus cruelle encore : "Est-il à la hauteur du job ?" Dans le même genre, mais en Italie cette fois et dans les colonnes de La Repubblica, on se demande si "le super-Sarko d'il y a quelques mois ne serait pas soudain devenu un boulet pour les siens".

L'épisode de Neuilly, qualifié de "vaudeville" par tous les quotidiens, a fini par symboliser ce désamour des Français et d'une partie de la presse internationale. "On ne rigole plus", écrit Joëlle Meskens dans Le Soir de Bruxelles, "l'Elysée ne prend plus aucun risque, si ce n'est celui du ridicule".

Ridicule évoqué aussi dans les pages de La Libre Belgique, lorsque l'autre quotidien francophone de Bruxelles évoque le retrait de David Martinon de la course à la mairie de Neuilly : "Nul à Paris ne voit David Martinon maintenu très longtemps au poste de porte-parole de l'Elysée : difficile de parler au nom de quelqu'un qui, au pire, vous a laissé tomber, au mieux n'a pas empêché son propre fils [Jean Sarkozy] de vous humilier en direct devant les caméras du pays entier."

Décidément non, semble conclure La Repubblica, "le président bling-bling ne plaît plus aux Français", alors même que, pour Le Soir, "le psychodrame se poursuivait à Sarkoville".

Ah heureusement que les médias étrangers s'expriment , puis là le sarko , il ne peut absolument rien faire....

Une bonne "tole" aux municipales et c'est bon !

On ira danser sur leur tombe !

Jacqueline25 a écrit:

Une bonne "tole" aux municipales et c'est bon !

On ira danser sur leur tombe !

Espérons , espérons...

Plutôt dans la rue pour danser , non ?

oui tout à fait , marco dans l'image que j'avais : les rues des villes et des villages seront leur tombe.

ne rions pas trop ...
même si on arrive à le virer une fois, il peut revenir ...
voyez berslusconi en italie !!!

Les images de Sarko en Guyane sont assez inquiétante, on le voit parler à un micro à pied qu'il serre tres fort, crispé comme si il allait s'envoler, lui pas le micro. Ce gars ets en train de faire dans son slip!

comme johnny halliday ??

rasdepop

Je te rejoins parfaitement dans cette observation...

Oui enfin quoi qu'il arrive on devra le suporter jusqu'en Avril 2012

modorange a écrit:

Oui enfin quoi qu'il arrive on devra le suporter jusqu'en Avril 2012

Même avec une démission (qu'à mon avis il n'aura pas les couilles de donner), un coup d'état ou un décès subit (disons... une crise cardiaque ou un cancer fulgurant ) ?

Ou un suicide ....

Jean-Luc a écrit:

modorange a écrit:

Oui enfin quoi qu'il arrive on devra le suporter jusqu'en Avril 2012

Même avec une démission (qu'à mon avis il n'aura pas les couilles de donner), un coup d'état ou un décès subit (disons... une crise cardiaque ou un cancer fulgurant ) ?

C'est la question que je me pose depuis un moment :

Que se passerait-il en cas de démission de NS ?

(on peut rêver !!!!! en attendant jamais je n'aurais pensé qu'il chuterait aussi vite).

Intérim par le Président du Sénat puis élection, je crois.

mélanie a écrit:

Que se passerait-il en cas de démission de NS ?

Comme lors de la démission de De Gaulle en 1969 : intérim par le président du Sénat (Poher à l'époque) puis des nouvelles élections présidentielles. Et là, Bayrou aurait de très bonnes chances.

mélanie a écrit:

(on peut rêver !!!!! en attendant jamais je n'aurais pensé qu'il chuterait aussi vite).

Nous étions nombreux à nous y attendre, en espérant que ça se produirait dans l'année mais sans trop oser y croire. Mais comme il a été au-delà de nos pires craintes dans les domaines où on s'attendait à une certaine modération...