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| Sarkozy, premier bilan | |
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Auteur | Message |
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juju41
Nombre de messages : 42846 Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Ven 22 Fév 2008 - 17:52 | |
| détail du sondage BVA les échos paru ce matin http://www.bva.fr/data/sondage/sondage_sondage/647/sondage_fichier/fichier/rapportbarobfm-lesechos-tph_5913a.pdf | |
| | | ferreirajdf
Nombre de messages : 170 Age : 67 Localisation : Essonne Date d'inscription : 19/09/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Sam 23 Fév 2008 - 20:44 | |
| Chef d’escadron en Europe
Tout en fanfaronnade, Sarko vient nous expliquer qu’il fallait faire passer le traité simplifié. Certes il fallait bien que la France se décide d’une manière ou d’une autre à entériner cette « constitution ». Il n’a pas pris les français en traite, n’en déplaise à certains, puisqu’il l’avait annoncé clairement en tant que candidat. Par contre de là à prétendre qu’il s’agit d’un traité simplifié, ceci est un mensonge puisque ce nouveau traité renvoie maintenant à l’ancien ou à d’autres traités. Le père spirituel de la première mouture, VGE, s’en est assez gaussé.
Mais là où Sarko devient dangereux c’est dans son comportement de chien fou, qui croit qu’il est le seul maître tant en France qu’en Europe. Qu’il puisse se prendre pour l’empereur français, cela amuse les européens. Mais qu’il puisse penser qu’il s’imposera comme le chef de l’Europe relève de tant de défauts : Schizophrénie, mensonge, utopie, prétention,…..folie. Il a déjà réussi à agacer l’Allemagne et le Luxembourg. Cela ne lui suffit pas, il va se mettre à dos toute l’Europe.
-Jean Claude Juncker répète que la France ne fait rien pour assainir ses finances publiques.
- Bruxelles répète sans cesse sa demande à la France de réduire ses déficits.
- Sarko promet à chaque gréviste qu’il lui donnera de l’argent et ce en contradiction avec les traités européens. La suspension des quotas de pêche, l’injection de deniers d’état dans une entreprise privée. La France aimerait faire sortir Siemens d’Areva ce qui fait grincer des dents du côté de Angela Merkel, des critiques continuelles sur la BCE. Report permanent, silences lourds sur la date de retour à l’équilibre des finances. Les foucades, revirements ( pour ou contre l’entrée de la Turquie ?) de notre président ne font rien pour rassurer nos voisins, bien au contraire. L’image qu’il donne est celle d’un jeune chien fou, en rut. Remise en cause de la PAC. Exigence de mettre au patrimoine mondial la cuisine française. Enfermer dés 2 ans les enfants. Garder à vie les êtres humains derrière les barreaux. Il est si fort notre président, qu’il se fait fort de contrarier le conseil constitutionnel à travers la cour de cassation. Une première. Un secrétaire d’état aux ordres qui décide de faire appliquer sur le territoire français des lois différentes selon que l’on soit de métropole ou des Iles. Du jamais vu. De Tocqueville doit se les mordre. Il y a vraiment rupture ! La présidence française bientôt à la tête de l’Europe va donner des sueurs froides à nos partenaires et déconsidérer davantage la France. De 4ème, passée au 6ème rang mondial, la France voudrait, grâce à notre hyper-président donner des leçons de démocratie. Plus de répression, plus d’enferment. On veut confier la construction et la gestion de prisons à Bouygues. Le président est affolé par son apparence, ses femmes, mais doit tout de même passer ses nuits à trouver les mots qui choquent pour le lendemain. C’est le feu nucléaire. Brandir le feu. Voilà ce qui le fait vibrer. Tant de réformes lancées et aucune d’aboutie. Le rythme des taxes, appliquées, lui s’accélère. Tonner, ordonner, diriger lui suffit et doit lui faire de l’effet. Monarchie élective ? Je ne saurai dire, mais quel le cacophonie entre ses femmes, son fils, sa mère, ses lieutenants, ses esclaves, ses fiefs. Ce n’est plus Dallas, c’est l’armée de grand papa en grande déroute. C’est Kafka en scène, le roi Léar. C’est la grande folle du régiment. Cet homme n’était pas fait pour être président, mais pour être chef d’escadron. La démocratie est en danger, la république reçoit chaque jour des coups de boutoirs qui nous ridiculisent. Chef d’escadron. | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Lun 25 Fév 2008 - 7:45 | |
| RTL
Les patrons des TPE pessimistes sur la situation économique ENTREPRISE lun 25 fév
Les dirigeants de très petites entreprises (moins de 20 salariés) sont en grande majorité pessimistes sur la situation économique en France, 67% n'ayant "pas le moral", contre 46% en juillet, selon le baromètre trimestriel Fiducial-IFOP publié lundi.
Selon ce sondage, "ils ne sont plus que 33% à être optimistes sur la situation en France", contre 40% en octobre et 54% en juillet.
"Au lendemain de l'élection présidentielle, le président Nicolas Sarkozy et son gouvernement avaient commencé à un niveau de confiance très élevé auprès des patrons de TPE" (65% d'opinions positives), rappelle l'étude.
Cependant en neuf mois, "la confiance dans le gouvernement a baissé de 19 points" auprès de ces patrons, ajoute-t-elle.
"A la différence des grands patrons, les dirigeants de TPE sont proches du citoyen lambda; or ils ont le sentiment que leur quotidien n'a pas changé depuis l'élection présidentielle", a indiqué à l'AFP Jean-Marc Jaumouillé, directeur des techniques professionnelles de Fiducial.
Parmi les facteurs d'inquiétude, 64% des patrons de TPE craignent une flambée des prix énergétiques, 42% une hausse de l'inflation, 24% une crise financière avec effondrement des marchés et durcissement du crédit, et 15% pensent à un krach boursier.
Ils ne sont plus que 17% à souhaiter se développer en 2008 en augmentant leurs effectifs alors qu'ils étaient 25% l'an passé, relève aussi l'étude. Parmi les freins, 75% des patrons évoquent le poids des charges sociales et fiscales.
Côté emploi, 2007 marque un fort recul, selon l'étude, avec une moyenne de 0,3% de création nette par trimestre (contre 3% en 2006), "ce qui correspond au niveau les plus bas de 2004 et 2005".
Depuis octobre 2007, environ 400.000 employeurs de TPE, soit 37% des 1,1 million de TPE employeurs- ont eu recours au dispositif des heures supplémentaires, souligne aussi l'enquête.
Seule une minorité de dirigeants (29%) jugent que la mise en oeuvre du dispositif pose problème mais ils ne sont que 36% à juger le dispositif efficace pour améliorer l'activité de leur entreprise.
Les dirigeants employeurs se montrent en revanche très favorables (78%) à la possibilité de négocier dans chaque entreprise la durée du temps de travail. Une large majorité (70%) souhaiterait même un retour aux 39 heures.
L'enquête a été réalisée par téléphone auprès d'un échantillon représentatif de 1.005 dirigeants de TPE du 21 au 4 février 2008, dont les résultats ont été redressés selon les données Insee. | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Mer 19 Mar 2008 - 19:33 | |
| Politique Sarkozy fait profil bas face à la "tempête économique" nouvelobs AP | 19.03.2008 | 15:48 L'après-municipales marque aussi pour Nicolas Sarkozy le retour aux réalités économiques. S'il a affirmé mercredi sa volonté de maintenir le cap de ses réformes, le chef de l'Etat a perdu en certitude, l'homme insistant désormais sur les difficultés en période de "tempête économique mondiale".
Devant le Premier ministre et les 37 membres du gouvernement Fillon III, dont les six nouveaux secrétaires d'Etat nommés la veille au soir, Nicolas Sarkozy a dessiné un sombre tableau de la situation économique. Il a ainsi évoqué à plusieurs reprises "une conjoncture que chacun perçoit comme plus difficile".
Une petite musique qu'il entonne depuis quelques semaines déjà, mettant en sourdine le volontarisme optimiste qu'il affichait depuis son élection. Il est vrai que les prévisions économiques sont inquiétantes. Hausse du prix du pétrole, des matières premières et de l'euro oblige, le FMI tablait en février sur une croissance de seulement 1,5% en France en 2008, quand le gouvernement espère toujours officiellement 2%.
Ce n'est donc pas cette année que Nicolas Sarkozy parviendra à arracher le point de croissance supplémentaire qu'il voulait "aller chercher". Quant à ses promesses de campagne sur une amélioration du pouvoir d'achat des Français, elles sont sérieusement battues en brèche.
Comme François Fillon avant lui, Nicolas Sarkozy a toutefois vu dans l'échec de la majorité aux municipales un appel à accélérer les réformes plus qu'une sanction de sa politique. Le chef de l'Etat a ainsi pris acte d'une "impatience" des électeurs, "une interrogation aussi sur la possibilité que les engagements de la campagne présidentielle puissent être tenus dans une conjoncture que chacun perçoit comme plus difficile".
Ces résultats l'ont tout de même poussé à revoir sa communication, pour adopter un style plus sobre, à renforcer le pôle politique de l'Elysée pour améliorer ses relations avec les parlementaires, et à renoncer à "l'ouverture" pour mettre la barre à droite en nommant au sein du gouvernement des nouveaux secrétaires d'Etat issus de la fidèle garde sarkozyste.
Pour le reste, "la plus mauvaise réponse serait de ralentir le changement", a affirmé Nicolas Sarkozy. "Dans la tempête économique mondiale, il faut tenir fermement le cap".
"Il faut continuer" les réformes, a-t-il martelé. "C'est la seule façon de répondre aux difficultés du moment". Dès lors, "il n'y aura pas de changement de cap. Il n'y aura pas de ralentissement des réformes". Mais il n'y aura pas non plus de "plan de rigueur", a-t-il assuré.
N'est-ce pas contradictoire avec sa volonté affichée de revenir à "l'équilibre des comptes" publics "à l'horizon 2012"? "Il n'y a pas du tout de contradiction", a assuré le nouveau porte-parole du gouvernement Luc Chatel. Il n'y aura "pas de plan de rigueur parce que ce serait absurde au moment où, justement, on a besoin de libérer la croissance. Il serait absurde d'aller anesthésier l'économie française".
Nicolas Sarkozy a appelé les Français à la patience, soulignant que "les résultats ne peuvent être immédiats". Il a défendu au passage le "paquet fiscal" adopté l'été dernier, alors que l'opposition estime que, par son coût de 15 milliards d'euros, il a privé le gouvernement de toute marge de manoeuvre budgétaire.
"Si la France a mieux résisté que d'autres au ralentissement, c'est sans doute en partie grâce à l'effort fiscal et social consenti dès le début du quinquennat", a-t-il rétorqué. "Celui-ci n'a pas diminué les marges de manoeuvre de notre politique. En réalité, dans la conjoncture actuelle, on se rend compte qu'il les a accrues".
Nicolas Sarkozy a ensuite détaillé à ses ministres ses priorités "pour les mois à venir": réforme de l'intéressement et de la participation, de la formation professionnelle, de l'assurance-chômage ou encore un nouvel assouplissement des 35 heures. Le projet de loi pour la modernisation de l'économie sera quant à lui "déposé dès le mois d'avril" au Parlement. La réforme des retraites, elle, "sera l'affaire du deuxième trimestre". AP | |
| | | ferreirajdf
Nombre de messages : 170 Age : 67 Localisation : Essonne Date d'inscription : 19/09/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Mer 19 Mar 2008 - 20:04 | |
| Sarkozy fait profil bas face à la "tempête économique"?
Quel leurre! Un parano reste un parano. Sarko n'est pas président, c'est un enfant difficile qui tient à son hochet. Ce n'est pas en nommant six secrétaires d'état supplémentaires que l'on réduira le déficit. Ce n'est pas en intégrant une "charretière" au gouvernement que le dialogue passera le mieux. Ce n'est pas en changeant les porte-parole que l'on changera les mots du président. Chassez le naturel, il reviendra au galop. Notre président est à l'image des français: psychopathe et fanfaron.
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| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Mer 19 Mar 2008 - 20:13 | |
| - ferreirajdf a écrit:
- Notre président est à l'image des français: psychopathe et fanfaron.
Comparer Sarko aux Français en général ? Tu nous insultes, là ! | |
| | | ferreirajdf
Nombre de messages : 170 Age : 67 Localisation : Essonne Date d'inscription : 19/09/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Mer 19 Mar 2008 - 20:21 | |
| Tu nous insultes, là !
Non, c'est un constat! Ce consta n'est pas simplement personnel. Les pays limitrophes réagissent de la m^me façon. Ce ne sont pas les étrangers qui ont élu Sarko, mais bien les français. Ils n'ont fait que choisir le leader qui correspondait le plus à leur sentiment. Mais on n peut pas voter pour et après cracher dessus. Dans tout système démocratique il faut assumer.Quoi de neuf en Sarkozie depuis les époque oùu le candidat était ministre de l'intérieur ou du budjet? Rien, si ce n'est l'affirmartion ou la confirmation de sa parano. Alors pourquoi l'avoir élu? Les français sont autant parano et psycho que lui. Tel maître, tel chien. Si tu te sens insulté c'est peut-être que tu as voté pour lui, ce que je ne pense pas. Dans ce cas il faudra bien regarder la vérité en face | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Mer 19 Mar 2008 - 20:30 | |
| ferreirajdf, ce sont moins de 43% des inscrits qui ont voté pour l'énergumène au second tour, et beaucoup n'ont réalisé que plus tard qu'ils s'étaient laissés abuser par de belles paroles.
Au premier tour, ce sont moins de 26% des inscrits qui ont décidé de notre sort. Et déjà pas mal de dupes parmi eux.
Donc merci de ne pas généraliser.
Je ne suis ni parano ni psycho, je n'ai donc évidemment pas voté pour ce fou dangereux ! Rien que l'idée que tu puisses pourtant le supposer est insultante ! | |
| | | ferreirajdf
Nombre de messages : 170 Age : 67 Localisation : Essonne Date d'inscription : 19/09/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Mer 19 Mar 2008 - 20:45 | |
| "Je ne suis ni parano ni psycho, je n'ai donc évidemment pas voté pour ce fou dangereux ! Rien que l'idée que tu puisses pourtant le supposer est insultante !" J'ai dit que je ne pensais pas qu tu ais voté pour lui. les pourcentages finaux, entre les abstentionnistes, les inscrits, ne changent rien à l'affaire. Ceux qui pouvaient voter ont été majoritaires pour le désigner. Mais je te rassure, nous avons un autre défaut: le manque de mémoire. Aujourdh'ui on vénère Napoléon et on nous l'enseigne. Moi je n'ai pas non plus voté pour Sarko et je ne pense pas être parano, mais je suis toujours dans le camp des perdants dans cette démocratie. J'ai voté Giscard, Barre et j'ai perdu. En 2002 j'ai voté au second tour pour Le Pen (dans l'enveloppe j'ai mis: facho) et j'ai voté pour Chirac (dans l'enveloppe j'ai mis: escroc). J'ai donc cette année là fait parti des non votants et j'ai donc encore subi. Mais la majorité démocratique a élu Mitterrand, Chirac, Chirac et Sarko. Et on se plaint depui 30 ans que ça ne va pas? Parano le français, je te dis. Même plus: MASO | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 13 Avr 2008 - 8:22 | |
| marianne 2 13/04
(Cruel) coup de rétroviseur sur les engagements d'un Président Nouvelle chronique de Juan qui a exhumé certaines promeses présidentielles. Dur, dur le retour du réel.
Les promesses sarkozystes ont fondu au soleil - C'était il y a un an, C'était il y a une éternité. Nicolas Sarkozy nous promettait d'oublier son clan Nicolas Sarkozy nous promettait la solidarité. Rappelez-vous, c'était le soir du 6 mai 2007, Salle Gaveau à Paris, à quelques encablures du ssiège national de l'UMP :
«Ma pensée va à tous les Français qui n'ont pas voté pour moi. Je veux leur dire que par-delà le combat politique, par-delà les divergences d'opinions, il n'y a pour moi qu'une seule France.
Je veux leur dire que je serai le Président de tous les Français, que je parlerai pour chacun d'entre eux. Je veux leur dire que ce soir, ce n'est pas la victoire d'une France contre une autre. Il n'y a pour moi ce soir qu'une seule victoire, celle de la démocratie, celle des valeurs qui nous unissent, celle de l'idéal qui nous rassemble. Ma priorité sera de tout mettre en œuvre pour que les Français aient toujours envie de se parler, de se comprendre, de travailler ensemble.»
Depuis cette date, Nicolas Sarkozy a servi prioritairement son camp politique - la droite, y compris la plus dure - et tout fait pour perturber durablement l'opposition : déstabilisation, vacarme, et politique de classe, voici les trois mamelles de la[ Sarkofrance]url:/http://sarkofrance.blogspot.com/search/label/sarkofrance. Et les 7 jours écoulés en furent l'illustration.
Déstabilisation Dès juin dernier, un journaliste de M6 rapportait ces propos du Président, au lendemain du scrutin législatif: «iJ['ai vidé l'extrême-droite, maintenant je vais m'occuper du centre- gauche. Depuis, Nicolas Sarkozy a pratiqué le débauchage à grande échelle parmi les éléments pyschologiquement les plus faibles et/ou narcissiques de l'opposition (Besson, Jouyet, Bockel, Kouchner, Lang, [Attali]url:http:/sarkofrance.blogspot.com/2008/04/sarkozy-naime-pas-les-commissions.html/, etc). Comme le rappelait encore cette semaine Marianne, l'état de fragilité permanente du Parti Socialiste aide beaucoup la démarche. L'effrondement de sa popularité et son échec aux élections municipales ont stoppé - momentanément - cette «ouverture politique;.
Mais Nicolas Sarkozy ne s'arrête pas là: il y a quelques jours, Le Monde publiait une note par Dominique Paillé pour Nicolas Sarkozy. Il y répertorie les trois pistes pour fragiliser François Bayrou : encourager les démissions du Modem (cf. le récent procès en «sectitude; de Jean Arthuis contre Bayrou), s'acheter les fidélités au sein de la famille centriste, et favoriser l'éparpillement centriste (Parti Radical, Nouveau Centre). Ensemble, tout est possible. Comme le résume Marielle de Sarnez, la tête de liste Modem à Paris: «une officine de l'Elysée s'occupe de l'élimination de Bayrou.»
Vacarme Nicolas Sarkozy a aussi lancé des Grenelle sur les thèmes qu'il jugeait secondaires dans son programme (Environnement, insertion, ...). Le Grenelle est rapidement apparu comme un moyen d'étouffer l'opposition en la noyant dans un débat médiatisé, organisé autour de trois règles simples: pas d'objectifs trop précis, inviter les contraires, et éviter les recommandations. Cette dernière semaine a confirmé l'analyse : la première (et seule ?) loi d'application du Grenelle de l'environnement les OGM, a été discutée et trahie la douleur Parlement. Le Grenelle de l'Insertion n'est pas mieux loti....
lire la suite http://www.marianne2.fr/-Cruel-coup-de-retroviseur-sur-les-engagements-d-un-President_a85622.html?PHPSESSID=7c9b7f97f1373d6e7d4fb54a335c63e9
Dimanche 13 Avril 2008 - 00:29 Juan | |
| | | signora
Nombre de messages : 17200 Localisation : lyon Date d'inscription : 15/07/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 13 Avr 2008 - 9:10 | |
| Et certains ne comprennent toujours pas !... Revenu de solidarité active, serait subordonné au redressement des comptes publics .... Donc, si je comprends bien il passe à la trappe !... Attaque sur les familles nombreuses, avant repli... Et de plus selon sa méthode habituelle, pour montrer sa grande mansuétude, il amplifie la mesure qui devrait s'étendre aux familles monoparentales.. Adieu l'équilibre budgétaire, quelle étonnante façon de gérer un pays : on lance des idées, sans aucune préparation et si l'opinion se manifeste on annule tout.La dette, la dette ... | |
| | | vigilance orange
Nombre de messages : 136 Age : 61 Localisation : lambesc (Bouches-du-rhône) Date d'inscription : 06/04/2008
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 13 Avr 2008 - 20:10 | |
| ENSEMBLE TOUT EST POSSIBLE... ...tout est n'importe quoi des électeurs l'on cru,ils seront(ou ils sont)cruellement déçus.
J'espére que certains ont compris. Tout etait dans le slogan de Sarkozy. | |
| | | signora
Nombre de messages : 17200 Localisation : lyon Date d'inscription : 15/07/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 13 Avr 2008 - 20:13 | |
| Ben, si, pour les sarkozystes ça va bien. L'émission riposte de ce soir était ... surprenante. Ce sont les journalistes qui interprètent mal leurs propos d'où les couacs apparents. | |
| | | raison_pure
Nombre de messages : 1068 Localisation : Aquitaine Date d'inscription : 19/06/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 13 Avr 2008 - 20:16 | |
| - signora a écrit:
Ce sont les journalistes qui interprètent mal leurs propos d'où les couacs apparents. Ben voyons !
Dernière édition par raison_pure le Dim 13 Avr 2008 - 20:17, édité 1 fois | |
| | | Dakota
Nombre de messages : 1135 Age : 70 Date d'inscription : 01/02/2008
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 13 Avr 2008 - 20:16 | |
| ah oui.
Le porte parole de l'UMP a été très clair.
La plus grande confusion a été de mise chez ses contradicteurs unis pour la circonstance.
Bravo à ce jeunne homme, des plus sympathiques!
Il est vrai qu'il est toujours plus facile de défendre un messge clair qu'un message confus....... | |
| | | signora
Nombre de messages : 17200 Localisation : lyon Date d'inscription : 15/07/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 13 Avr 2008 - 20:36 | |
| Je ne suis pas étonnée que tu aies ressenti les choses comme ça ! C'est ton côté preux chevalier, tu n'aimes pas voir un homme seul contre tous ... | |
| | | Dakota
Nombre de messages : 1135 Age : 70 Date d'inscription : 01/02/2008
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 13 Avr 2008 - 20:38 | |
| de toutes façons, il était sympathique, ce monsieur. Simple, clair.... bon, je n'étais pas d'accord avec tout, mais.... Au fait je n'étais pas là la semaine dernière, donc je n'ai pas pu échanger sur l'incident NKM. As tu vu que C Lepage a pris sa défense à 100%? (très bonne intervention de C. Lepage d'ailleurs) | |
| | | signora
Nombre de messages : 17200 Localisation : lyon Date d'inscription : 15/07/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 13 Avr 2008 - 21:12 | |
| Oui, j'ai vu. Etrange ce gvt qui met au pilori des gens courageux, qui tiennent à la parole donnée. | |
| | | raison_pure
Nombre de messages : 1068 Localisation : Aquitaine Date d'inscription : 19/06/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 13 Avr 2008 - 21:17 | |
| Etrange ? A bien y réfléchir ça ne manque pas de cohérence... | |
| | | Dakota
Nombre de messages : 1135 Age : 70 Date d'inscription : 01/02/2008
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 13 Avr 2008 - 21:17 | |
| C; Lepage avait dit: 1) qu'elle comprenait les difficultés de NKM, un peu inhérentes au poste de ministre de l'Environnement, qu'elle avait elle même occupé. 2) qu'on n'aurait jamais obligé un homme a s'excuser publiquement, toujours la machisme... 3) que sur le fond l'amendement qu'avait laissé passer NKM servait l'Environnement et que donc elle était d'accord. 4) que l'UMP était finalement tout comme le vieux RPR. Tout cela était très vrai et énoncé dans la plus grande clarté. Bravo pour Madame Lepage (et d'ailleurs pour NKM aussi) | |
| | | d'avalie noire
Nombre de messages : 2414 Age : 57 Localisation : France Date d'inscription : 11/05/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 13 Avr 2008 - 23:17 | |
| J'avais lu une interview de NKM sur un autre fil ou ailleurs. C'est vrai qu'elle mérite notre entier soutien. D'ailleurs, les ministre de l'environnement dans les gouvernement de droite ont toujours eu un boulot compliqué, et ont souvent pris le contre-pieds de la politique générale. Dans l'hypothése où il connaissaient un minimum leur sujet, ce qui n'est malheureusement pas toujours le cas, et ce qui est valable aussi pour des ministres de gauche (qui ne connaissent pas toujours correctement leurs sujets environnementaux...) | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 20 Avr 2008 - 16:28 | |
| rue89 Sarkozy, le gâcheur
Jean Matouk | Economiste | 20/04/2008 | 14H23
Les économies budgétaires sont une contrainte absolue. Mais pourquoi chaque mesure proposée suscite-t-elle des réactions systématiquement hostiles, des retours en arrière, des "couacs" gouvernementaux? Le responsable de ces ratés, c’est Nicolas Sarkozy, qui a gâché les chances de la France de redresser son Budget. Aucun économiste sérieux ne peut contester les objectifs budgétaires fixés par Nicolas Sarkozy, notamment dans son discours récent de Béziers. Quoiqu’en disent certains opposants systématiques, la dette publique est un fardeau que l’on ne peut laisser croître. Que d’autres pays soient plus endettés que nous (Belgique, Italie, Japon) ne saurait constituer une raison valable pour rester inertes. Accumuler, depuis trente ans, les déficits budgétaires, qui ont été à l’origine de cette dette, n’est pas plus responsable et doit cesser. Pour ce faire il n’y a qu’une alternative: réduire les dépenses de l’Etat ou augmenter les impôts. Les deux solution peuvent être cumulées. Avec 71 fonctionnaires, toutes catégories confondues, pour mille habitants, la France se situe parmi les pays les plus fonctionnarisés (Allemagne, Espagne, Italie en ont 45-50 pour mille). Avec 39 fonctionnaires centraux pour 1000 habitants, elle est en tête de tous les pays de l’OCDE. Il est donc légitime de poser le problème du nombre de fonctionnaires et d’en envisager la réduction. Leur proposer des "voies de sorties" vers d’autres activités, ou de leur affecter une part des économies réalisées, sous forme de hausse de salaires, est donc pertinent. Constater que le nombre d’élèves du secondaire diminue globalement et que, donc, des postes d’enseignants peuvent y être supprimés, n’est pas non plus illégitime. Ensuite peuvent venir les autres débats droite/gauche classique sur l’assurance maladie, les retraites, les allocations familiales. Mais les économies budgétaires sont une contrainte absolue. Alors pourquoi chaque mesure proposée dans ce sens suscite-t-elle des réactions systématiquement hostiles, des retours en arrière, des "couacs" gouvernementaux à répétition? On ne peut, comme l’affirment certains députés, évoquer seulement un défaut d’explications. Celles-ci ont été données. Le responsable de ces ratés, c’est Nicolas Sarkozy lui-même. Il a pour l’instant gravement gâché les chances de la France de redresser son Budget, par des erreurs économiques, politiques et symboliques. Le gaspillage de milliards d'euros, l'erreur économique L’erreur économique, c’est évidemment le gaspillage -car il n’y pas d’autre mot- en juillet, de 10 milliards d'euros pour 2008 et de 15 milliards en année pleine, pour des objectifs illégitimes ou absurdes. Illégitime d’abaisser encore des droits de succession qui étaient déjà très bas dans notre pays. La mesure, présentée comme bénéficiant aux revenus moyens, ceux qui, précisément, déjà, payent peu de droits, ne bénéficie en fait qu’aux revenus élevés. Instituer le bouclier fiscal aussi. Enfin, la détaxation des heures supplémentaires, en pleine période de ralentissement économique va coûter plus cher qu’elle ne rapportera, comme l’a démontré le président de la commission des Finances. Elle crée un effet d’aubaine, dans les entreprises ou les salariés effectuent déjà des heures supplémentaires, mais n’en suscitent aucune. Elle porte clairement la marque de gens qui ne connaissent rien à l’entreprise. Ajoutons à cela que le gouvernement avec plus de 45 ministres (Espagne 16) ne donne vraiment pas l’exemple des économies, sans parler de diverses autres dépenses fastueuses. Un président proche des riches et des Américains, la double erreur politique Erreur politique de politique intérieure et extérieure ensuite! A l’intérieur, c’est le versant politique de l’erreur économique. Le "ba-ba" d’une bonne politique consistait, à faire "passer" la pilule amère des économies par des objectifs de réduction des inégalités. En vingt ans la part des salaires dans la valeur ajoutée des entreprises a baissé de 9%; les 10% les plus riches possèdent 46% de fortune nationale; les 50% les plus pauvres, moins de 7%. Or le Président est apparu, au contraire, comme plus proche que jamais des plus riches, s’efforçant de partager le plus possible leur mode de vie. Quant à la politique internationale, que Nicolas Sarkozy le veuille ou non, les français sont, vis-à-vis des Etats-Unis, plutôt souverainistes. Ils avaient massivement adhéré à la posture de Jacques Chirac en 2003, quand les Américains avaient envahi l’Irak. On dit souvent qu’ils se désintéressent des questions internationales, et l’on trouvera moult sondages où ils mettent le pouvoir d‘achat et l’emploi largement devant. Mais, quand même, le virage pro-américain affiché par le nouveau Président n’a pas été fait pour lui rallier les populations. Il est vrai que nos officiers supérieurs aiment travailler dans l’Otan (position normale de techniciens; De Gaulle disait d’ailleurs drôlement que leurs femmes aimaient l’Otan pour les soirées où elles pouvaient exhiber leurs robes!) Mais la politique extérieure de la France ne se fait pas au QG des troupes au sol ou à la passerelle des porte-avions. Désacraliser la fonction pour faire post-moderne, l'erreur symbolique Erreur symbolique, enfin! Si Nicolas Sarkozy a annoncé la mort de mai 1968, il en est le parfait produit. A la modernité qui faisait marcher la France auparavant, a succédé la post-modernité, faite de refus de l’autorité et du projet, de l’individualisme, et du rejet du collectif imposé, au profit du "tout à l’égo". Trop de gens se sont extasiés devant l’affichage de cette liberté dans la vie privée du Président; trop de journalistes ont rejeté comme ringard, l’importance de la symbolique du pouvoir, l’importance de ne pas mélanger les deux "corps du roi". Malheureusement, les Français ne sont pas vraiment post-modernes. Pour rester dans ce paradigme, et emprunter la terminologie du sociologue, Gilles Lipovetsky, ils sont plutôt hyper-modernes, contents de leurs libertés, heureux de consommer, mais très craintifs devant l’avenir. Ils avaient donc besoin d’un "guide" qui garde un rien de sacralité. Non seulement les premiers mois de Nicolas Sarkozy ont été en sens contraire, mais, ensuite, alerté par les sondages, fondement de la post-modernité en politique, il a laissé annoncer qu’il allait "faire président". Ce qui pousse d’évidence Martin ou Durant à lui demander ce qu’il "faisait" jusqu’à présent! Pour ces trois raisons, et sans doute quelques autres, ce président qui voulait tout faire a plutôt gâché sa présidence et les chances d’entreprendre en France les indispensables réformes financières. http://rue89.com/2008/04/20/sarkozy-le-gacheur | |
| | | Alain BERTIER
Nombre de messages : 2692 Age : 85 Localisation : DREUX Date d'inscription : 07/12/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 20 Avr 2008 - 16:49 | |
| "Elle porte clairement la marque de gens qui ne connaissent rien à l’entreprise". Entre autres choses qu'ils semblent ignorer ou ne pas comprendre ... | |
| | | Korigan
Nombre de messages : 738 Age : 57 Localisation : gironde Date d'inscription : 01/10/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Dim 20 Avr 2008 - 17:08 | |
| je pense que la grande erreur a été de " dilapider" 15 milliards d euros en moins d un mois avec pour seul résultat ..les plus fortunés qui en profitent..pas de démagogie sur les heurs sup... annoncer que le pouvoir d achat il ne pouvait rien lors de la confèrence de presse des voeux..alors qu il ya des marges d actiosn tipp favoriser implantatiosnd es hards discouts...par exemple .et maintenant alors que depuis des années il aurait fallut sy attaquer - la réforme de l état bien qu approuvé majoritairement par les francais apparait comme une attaque contre les plus " modestes "... c est bien preuve que vitesse et précipiation ne sont pas boenn conseillere mais rien d étonnant Tzarko na aucune visoin à long terme et pire aucune culture économique... croire qu on gagne des points de croissance avec les dents ne est la pure demonstration... | |
| | | vigilance orange
Nombre de messages : 136 Age : 61 Localisation : lambesc (Bouches-du-rhône) Date d'inscription : 06/04/2008
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Lun 21 Avr 2008 - 7:15 | |
| Il devait y avoir quinze ministres(avec parité). Mais à chaque remaniement il rajoute des secrétaires d'état(qui n'ont pas rang de ministre). Combien sont-ils aujourd'hui? Combien nous coutent-ils?
Avec quelques couacs en prime! | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan Lun 21 Avr 2008 - 8:03 | |
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| Sujet: Re: Sarkozy, premier bilan | |
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| | | | Sarkozy, premier bilan | |
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