Espace de discussion pour tous les sympathisants du Mouvement Démocrate |
|
| Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) | |
|
+48democ-soc Alien64 johanono Urban Christine41 Miaou pourleboss melpat Prouesse modorange Narm toutoune librecour Dakota airlane hloben Bop ptitou29 yann 35 rêve orange mélanie Alain BERTIER nanou40 Korigan Hugo Fabiolo modem66 RONAN pascal47 Europium Nadette Aptien d'avalie noire raimo Eon755 signora khany Antonin LaChouette kinette ArnaudH marco11 Jacqueline25 nitou86 up9 Paladur Jean-Luc juju41 52 participants | |
Auteur | Message |
---|
juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 28 Aoû 2007 - 10:24 | |
| libération 28/08
La hausse de l’alimentaire plombe le pouvoir d’achat Conjoncture. L’inflation, modérée, est pourtant durement ressentie. Par CHRISTOPHE ALIX
Après l’été maussade, la rentrée coup de bambou ! Les répercussions de l’envolée des cours des matières premières sur les produits de grande consommation se font de plus en plus sentir, si bien que les hausses de prix risquent de peser sur la rentrée. Du blé aux yaourts en passant par la pâte à papier utilisée pour les cahiers d’écoliers, l’électricité ou les loyers, les prix de très nombreux produits et services ont ou vont augmenter
Une hausse sur fond de stagnation du pouvoir d’achat, comme le révèle l’enquête que vient de faire paraître 60 millions de consommateurs. Selon le mensuel de l’Institut national de la consommation, le pouvoir d’achat des Français n’a progressé que de 24 euros entre juin 2006 et juin 2007, soit une hausse de 0,8 % sur douze mois. Un chiffre quasi-identique à celui de 2005-2006, où le pouvoir d’achat n’avait progressé que de 0,9 %, déjà rogné par le logement et le carburant après la flambée des cours du brut. Mais pas encore par celle des matières premières. Pas étonnant, dans ces conditions, que près de deux tiers des Français ne fassent pas confiance au gouvernement pour augmenter leur pouvoir d’achat, comme l’indiquait il y a deux jours un sondage Ifop pour Dimanche Ouest-France.
Calculateur personnalisé. Cependant, selon l’Insee qui propose un «calculateur personnalisé d’inflation» sur son site afin de mieux intégrer les spécificités de la consommation de chaque ménage, l’inflation reste sage. 1,6 % en 2006 et une hausse toujours «maîtrisée» en 2007. L’Institut national de la statistique table pour sa part sur une augmentation du pouvoir d’achat de 3,2 % cette année, qu’il explique par une amélioration des revenus salariaux, les baisses d’impôts promises et une baisse de l’inflation. Par ailleurs, il n’intègre pas les achats de logements dans son calcul du pouvoir d’achat qu’il considère comme un investissement. D’après les experts de l’Insee, l’écart entre la réalité et la perception de la hausse des prix s’explique surtout par la plus grande attention portée par les consommateurs aux achats très récurrents comme l’alimentaire, qui ne représente pourtant plus que 15 % des dépenses des ménages. En résumé, les consommateurs se focalisent sur la hausse de produits à bas prix (pain, produits laitiers), très visible, et ignorent ceux dont les prix baissent… malgré des étiquettes stables en apparence. C’est le cas dans l’informatique et l’électronique grand public par exemple où l’innovation permet d’acheter un appareil bien plus performant d’une année sur l’autre pour le même prix. Résultat, ils ne sont pas moins chers. Les produits «dépassés» disparaissent simplement des rayons et sont déstockés sur des marchés de deuxième main.Conférence. Ces interprétations divergentes sur l’évolution du pouvoir d’achat devraient être au cœur du discours que Nicolas Sarkozy prévoit de prononcer jeudi à l’université d’été du Medef, à Jouy-en-Josas (Yvelines). Sans attendre la grande conférence sur le pouvoir d’achat que le gouvernement va convoquer à l’automne, il devrait annoncer de nouvelles mesures pour tenter de pallier une stagnation du porte-monnaie guère susceptible d’améliorer le moral des ménages. //
Encore des stats complètement décalées du monde réel, les gens pensent d'abord à trouver à manger, à se loger, à se chauffer, et à avoir un moyen de locomotion , toutes ces dépenses sont en hausse, j'imagine qu'un smicard n'a pas l'idée prioritaire de s"acheter le Mp3 à la mode, ni mêm la voiture de l'année.Ca m'énerve que les achts disons secondaires et non urgents ni répétitifs soient inclus dans les chiffres de l'insee, uniquement pour tromper les gens, et pour leur asséner des "Vous voyez , votre pouvoir d'achat a augmenté, alors, ne vous plaignez pas...) | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 28 Aoû 2007 - 10:42 | |
| La hausse de l’alimentaire plombe le pouvoir d’achat
Et pourtant, on aimerait bien consommer au sans-plombe... | |
| | | Paladur
Nombre de messages : 549 Age : 44 Localisation : Carrière-sous-Poissy 78 Date d'inscription : 25/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 28 Aoû 2007 - 14:09 | |
| Mme Lagarde nous dit le contraire sur I-Télé car selon elle, les francais consomment proportionnellement moins pour leur consommation almimentaire et plus en service immatériel. Bref que les francais sont soit de mauvaise foi ou soit ignorants lorsqu'ils soulignent la baisse de leur pouvoir d'achat. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 28 Aoû 2007 - 14:14 | |
| une fois à C dans l'air une femme se plaignait de ne pas pouvoir s'acheter à manger en faisant les courses et elle se promenait avec une oreillette bluetooth
peut être ne l'a t'elle pas payée aprés tout mais ca reflette bien une partie de cette mauvaise foi |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 28 Aoû 2007 - 14:18 | |
| j'en ai vu qui ne donnaient à manger qu'une fois par jour à leurs enfants mais ils avaient le dernier écran géant plasma. ce sont des exceptions, la plupart des gens pauvres se battent pour avoir de quoi manger en fin de mois, si les restos du coeur sont si demandés, les millions de repas distribués , c'est parce que les gens n'ont pas de quoi se payer le minimum vital, et doivent faire un choix entre le chauffage ou la bouffe par ex... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 28 Aoû 2007 - 14:19 | |
| je suis d'accord je connait des gens qui ont des problèmes
mais il est vrai que la "classe moyenne" se plaint beaucoup je trouve |
| | | Paladur
Nombre de messages : 549 Age : 44 Localisation : Carrière-sous-Poissy 78 Date d'inscription : 25/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 28 Aoû 2007 - 14:24 | |
| - vincent15 a écrit:
- je suis d'accord je connait des gens qui ont des problèmes
mais il est vrai que la "classe moyenne" se plaint beaucoup je trouve Ce sont quasiment les seuls a payé l' impôts sur le revenu... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 28 Aoû 2007 - 14:27 | |
| d'ailleurs pourquoi tout le monde ne paie pas l'impot sur le revenu pareillement
ce devrait être un impot fixe sur le revenu total percu par tout le monde sans exception, du RMIste au grand patron
c'est peut être idiot ce que je dit mais se serait plus juste non?
et aprés on rajoute l'impot sur la fortune des taxes sur les grosses voitures, ce genre de choses |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 28 Aoû 2007 - 14:33 | |
| - vincent15 a écrit:
- d'ailleurs pourquoi tout le monde ne paie pas l'impot sur le revenu pareillement
ce devrait être un impot fixe sur le revenu total percu par tout le monde sans exception, du RMIste au grand patron
c'est peut être idiot ce que je dis mais se serait plus juste non? Sans prendre de gants : oui. Parce qu'un RMIste ou même un smicard aurait bien du mal à payer (par exemple) ne serait-ce que 10% d'impôt sur ses ressources, tandis qu'un nanti pourrait payer 90% tout en disposant encore de 10 ou 100 fois plus de finances que le précédent. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 28 Aoû 2007 - 15:41 | |
| ben pourquoi pas un seul impot qui regrouperait aussi les charges et qui serait prélevé sur les salaires et allocations (pour les autres revenus c'est plus compliqué) |
| | | Paladur
Nombre de messages : 549 Age : 44 Localisation : Carrière-sous-Poissy 78 Date d'inscription : 25/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 28 Aoû 2007 - 18:16 | |
| Pour faire baisser le prix de l'alimentaire, il suffit de supprimer la TVA sur les produits alimentaires élémentaires et y interdire les marges arrières... Il suffit juste un peu de volonté politique. | |
| | | up9
Nombre de messages : 149 Localisation : Ile de France Date d'inscription : 22/08/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 28 Aoû 2007 - 18:45 | |
| Pendant un tout petit temps, certains magasins ont affiché les prix d'achat des produits agricoles dans les rayons. Certes en tout petit et dans l'ombre, mais quand même. Soyons constructifs (puisqu'il semble que ce forum soit lu) et proposons au Président d'imposer par la loi (et pas par une simple circulaire) sur l'étiquette dans le rayon le prix d'achat des produits agricoles ! Après, si le consommateur accepte de payer € 3,00 un produit acheté €1,00 au producteur, c'est son affaire. Ensuite, on rappellera à Madame la ministre des finances (ou de ce qu'il en reste) que la France se distingue par rapport à l'Europe par la puissance de la grande distribution. Au point qu'une multinationale lessivière avait été purement et simplement retirée des rayons pendant un bon moment pour avoir refusé les marges arrières. Du reste, si nous pouvons nous réjouir d'avoir des poids-lourds de la grande distribution au niveau mondial, c'est quand même au prix de leur puissance dans leur pays d'origine ! | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Le pouvoir d'achat s'est dégradé pour 2 salariés sur 3 Lun 17 Sep 2007 - 10:01 | |
| Le pouvoir d'achat s'est dégradé pour 2 salariés sur 3 Challenges.fr | 17.09.2007 | 07:13 |
La moitié des salariés estime aussi que la défiscalisation des heures sup' ne les incitera pas à travailler plus.
Plus de 2 salariés sur 3 estiment que leur pouvoir d'achat s'est dégradé “ces derniers temps“. C'est le résultat d'un sondage LH2-Randstad publié lundi 17 septembre pour Le Parisien. Ils sont 67% à considérer que leur pouvoir d'achat "s'est dégradé ces derniers temps", 29% estimant qu'il n'a "évolué ni en bien ni en mal", et seuls 4% ont perçu "une amélioration".
Moins pessimistes qu'en 2006
Plus de la moitié des salariés (54%) ont affirmé que "la défiscalisation des heures supplémentaires" votée pendant l'été ne les "incitera pas à travailler davantage". 1 sur 3 (33%) pensent le contraire, que cette mesure les "incitera à travailler davantage", et 12% disent ne pas "se sentir concerné par la mesure". Interrogé sur "la situation actuelle du marché de l'emploi" et les possibilités de "changer de travail" pour les salariés, 63% des sondés jugent la situation "défavorable", 34% l'estimant "favorable". Cependant, les salariés se dosent moins pessimistes qu'en janvier 2006. A cette époque, 17% seulement jugeaient le marché de l'emploi "favorable" et 79% "défavorable".
Ce sondage a été réalisé par téléphone les 7 et 8 septembre 2007, auprès d'un échantillon de 964 salariés représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Lun 17 Sep 2007 - 10:43 | |
| Ce qui me rappelle une chose qu'a dite FB hier :
Aus États-Unis, l'amélioration du pouvoir d'achat de ces dix dernières années a profité quasi exclusivement aux 5% les plus aisés, la moitié de ce gain allant aux 1% les plus fortunés.
95% de la population n'ont vu aucune amélioration, et pour un certain nombre se sont même appauvris.
Est-ce bien là ce que Sarko veut pour la France ? Parce que ses mesures vont exactement dans ce sens-là... | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Lun 17 Sep 2007 - 10:47 | |
| seuls 4% ont perçu "une amélioration".
ça correspond au x 5% des américains qui ont vu leurs pouvoir d'achat augmente. les cocus de Sarko seront bientôt légions, quand ils se rendront enfin compte qu'ils se sont fait roulés dans la farine, pillés pour alimenter les lobbies du Président.Je crains que le retour de bâton soit à la mesure de la déception. | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Lun 22 Oct 2007 - 10:23 | |
| Economie
Pain, viande, sucre, maïs, riz, tous plus chers avec la flambée du pétrole ECONOMIE | 09h23 La flambée du pétrole ne frappe pas que les automobilistes au portefeuille: elle pousse aussi à la hausse le prix des céréales, et donc des aliments les plus consommés au monde - pain, maïs, riz et pâtes - mais aussi par ricochet sucre, viandes, lait, oeufs et beurre.
Agrandir la taille du texte Réduire la taille du texte Imprimer l'article Envoyer par email Réagir sur l'article Recommander NEW YORK (AFP) | 22 Octobre 2007 | 09h23
La hausse des prix du brut, qui a établi la semaine écoulée un nouveau record de 90 dollars le baril, dope le développement des bio-carburants de substitution tirés du maïs ou du blé, expliquent les analystes.
L'éthanol ou le biodiesel deviennent un débouché croissant des grandes cultures, d'où une hausse générale des prix des productions végétales et animales, a récemment souligné la FAO, l'agence des Nations unies en charge des questions agricoles et alimentaires.
De l'ordre de 152 dollars en moyenne la tonne jusqu'en 2006, le blé vaut désormais 204 dollars la tonne, soit une hausse de plus de 25%, et va encore progresser lors de la campagne 2007/2008, selon la FAO et l'OCDE, le club des pays les plus riches de la planète.
Le maïs a lui bondi de 26%, passant de 103,6 dollars la tonne entre 2001-2006 à 140,4 dollars la tonne en 2006/2007, et devrait se hisser à 158,9 dollars cette année. Au Mexique, où cette céréale constitue la base de l'alimentation, le prix des tortillas (galettes) a bondi de 60%.
Cette progression substantielle touche aussi les huiles végétales (+11%), le sucre (+14%) et le riz (+23%).
Elle pousse à la hausse les prix de tous les aliments de base, y compris le lait et la viande, les céréales étant utilisés pour nourrir le bétail.
En Chine, le prix des porcs a augmenté de 20% en un an, tandis que celui du boeuf a crû de 6%, selon la FAO.
Aux Etats-Unis, le prix de gros du poulet sera cette année en moyenne de 10% plus haut qu'en 2006, selon le ministère de l'agriculture. Une douzaine d'oeufs y coûtera 21% de plus et le lait sera 14% plus cher.
Les prix du beurre, du fromage, du lait et de la viande vont aussi croître d'au moins 15% en 2008, souligne la FAO.
"Nous avons atteint des niveaux jamais vus. Ce qui est sûr c'est qu'on va aller encore plus haut, mais on ne saurait dire jusqu'où", explique Joe Victor, analyste chez Allendale. Les consommateurs "doivent s'attendre à des prix élevés du pain, pâtes, viande, graines, céréales au moins jusqu'à l'hiver 2008", souligne-t-il.
Le phénomène risque de se poursuivre en raison de l'utilisation encore plus élevée en 2007/2008 des céréales, du sucre, des graines oléagineuses et des huiles végétales pour la production des biocarburants.
Alors que seulement 16% de la récolte 2006 des céréales américaines avait servi à produire de l'éthanol, cette année près d'un tiers de la récolte de céréales y sera destinée, souligne US Agri.
"Les prix de la plupart des céréales vont poursuivre leur augmentation en raison de la demande conjointe de l'industrie agroalimentaire et de l'industrie énergétique", avance Bill Nelson, analyste chez A.G Edwards.
La production annuelle d'éthanol américaine à partir du maïs devrait doubler entre 2006 et 2016, tandis que dans l'Union européenne, les volumes d'oléagineux (principalement de colza) destinés à la production de biodiesel devraient passer d'un peu plus de 10 millions de tonnes (Mt) à 21 Mt au cours de la même période, d'après l'Institut français du Pétrole (IFP).
Sur les cinq dernières années, la croissance mondiale de la production de biocarburants a été de l'ordre de 15% par an, selon l'IFP.
Les prix des céréales restent par ailleurs soutenus par des facteurs conjoncturels comme la faiblesse du dollar ou la sécheresse, qui a compromis la récolte des pays comme l'Australie et le Brésil.
Merci aux suisses qui nous donnent les vrais chiffres , chez nous comme dit l'autre Madame Coué , TOUT VA BIEN!!!!!!
http://www.24heures.ch/pages/home/24_heures/l_actu/economie/detail_economie/(contenu)/149349 | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Lun 22 Oct 2007 - 16:03 | |
| Salaires, pouvoir d'achat : l'explosion des inégalités LE MONDE | 22.10.07 | 15h19 •
Le pouvoir d'achat est un sujet de controverse récurrent en France depuis que le passage à l'euro, en 2002, a amplifié l'écart entre ce que disent les chiffres et ce que ressent l'opinion. Le chef de l'Etat en fait une "priorité nationale" et le gouvernement lui consacre, mardi 23 octobre, une conférence sociale.
La conférence du 23 octobre Elle se tiendra au ministère des finances, à Paris, avec notamment les ministres Christine Lagarde (économie), Xavier Bertrand (travail), Luc Chatel (secrétaire d'Etat à la consommation), Martin Hirsch (haut-commissaire aux solidarités actives) et Robert Rochefort, directeur général du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Credoc). La matinée est consacrée aux salaires et à l'emploi, l'après-midi à la consommation. Deux tables rondes sont prévues avec les partenaires sociaux.
Les statisticiens de l'Insee sont formels, le pouvoir d'achat devrait, selon eux, progresser pour la troisième année consécutive : + 1,7 % en 2005, + 2,3 % en 2006, + 2,8 % en 2007. Quant à l'inflation, elle reste historiquement basse malgré une légère remontée en septembre (+ 1,5 %). Les ménages ont néanmoins du mal à se convaincre de la sagesse des prix quand ils voient valser les étiquettes de la baguette ou des yaourts. Et ils sont nombreux à penser qu'avec l'euro leur pouvoir d'achat s'est réduit comme une peau de chagrin.
Un net ralentissement depuis 2003. Qu'en est-il vraiment ? Sur une longue période, le pouvoir d'achat des ménages - c'est-à-dire l'ensemble de leurs revenus, net d'impôts et corrigé de la hausse des prix des produits consommés - a eu tendance à augmenter de moins en moins vite. Il a évolué grosso modo au même rythme que la croissance du produit intérieur brut (PIB) : à vive allure entre 1959 et le premier choc pétrolier (+ 5,7 % par an), beaucoup plus modérément depuis 1975 (+ 2,1 % par an).
Si l'on s'en tient aux dix dernières années, le constat est plus net encore. De 1998 à 2002, relève l'Insee dans l'édition 2007 de L'Economie française, le pouvoir d'achat a augmenté d'environ 3,4 % en moyenne par an, avant de retomber à 1,9 % par an entre 2003 et 2006. Autrement dit, les années Jospin ont été plutôt fastes et le quinquennat chiraquien a constitué une période de vaches maigres.
15,1 % de smicards. Ce ralentissement s'explique par la modération salariale mise en place dans les entreprises à la suite des deux chocs pétroliers et du tournant de la rigueur de 1983, puis des 35 heures, mais aussi par la persistance d'un chômage massif. Conséquence : dans le revenu disponible brut des ménages, le poids des revenus d'activité, salaires en tête, a baissé, passant de 77 % à la fin des années 1970 à 70 % depuis le début des années 1990.
Au fil du temps, la société s'est "smicardisée". La proportion de salariés rémunérés au niveau du salaire minimum est passée de 8,6 %, en 1991, à 15,1 % en 2006, ce qui constitue un record. A cette date, 27 % des travailleurs à temps complet des secteurs privé et semi-public, cantonnés aux emplois bénéficiant à plein des allégements de charges, touchaient moins de 1,3 smic. En ajoutant à ce stock celui des précaires (intérimaires, CDD, temps partiels), on n'est probablement pas loin du chiffre de 37,8 % de salariés percevant moins de 1,3 smic retenu par l'Insee en 2002.
42,6 % d'augmentation des plus hauts revenus. Cette "smicardisation" du salariat, d'une ampleur inédite en Europe, ne suffit pas, toutefois, à rendre compte de la réalité de l'évolution des revenus. Un chercheur de l'Ecole d'économie de Paris, Camille Landais, a montré que les hauts revenus avaient très fortement augmenté entre 1998 et 2005, à la différence des revenus moyens et médians. Ainsi, les 3 500 foyers les plus riches de France - sur un total de 35 millions de foyers fiscaux -, qui ont déclaré, en 2005, un revenu moyen de 1,88 million d'euros, ont vu leur revenu réel progresser de 42,6 % au cours de ces huit années.
Pendant la même période, a établi M. Landais, 90 % des foyers fiscaux ont dû se contenter d'une hausse de leur revenu réel de 4,6 %. Cette "explosion des inégalités", liée à l'envolée des revenus des capitaux mobiliers et des plus-values boursières, mais aussi à celle des très hauts salaires, a nourri dans une partie de la population, à commencer par les classes moyennes, le sentiment d'un déclassement.
75 % de dépenses contraintes pour les ménages modestes. Dans le même temps, la part des dépenses contraintes - logement, primes d'assurances, impôts, remboursements de crédit, etc. - est passée de 22 % à 45 % du budget des ménages entre 1960 et 2006. Et il ne s'agit que d'une moyenne, car ces dépenses absorbent 75 % du revenu courant des ménages modestes, ceux-là mêmes qui sont les plus exposés, du fait de leur structure de consommation, aux hausses des prix du tabac, des loyers, du fioul ou des produits de première nécessité.
Conscient de ces difficultés, le gouvernement veut mener à terme la réforme de la loi Galland, qui régit les relations entre la grande distribution et les producteurs, pour obtenir une baisse des prix. Côté salaires, il ne mentionne plus l'idée de conditionner les allégements de charges patronales à une politique salariale dynamique, évoquée par le candidat Sarkozy et réclamée par les syndicats. L'exécutif, qui a fait voter en juillet une baisse historique de la fiscalité au bénéfice des plus riches, s'en tient pour le moment à la détaxation des heures supplémentaires. La CGT lui prête aussi l'intention de vouloir supprimer l'indexation du smic sur les prix et le pouvoir d'achat du salaire horaire ouvrier.
Claire Guélaud http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-969727,0.html?xtor=RSS-3224 | |
| | | nitou86
Nombre de messages : 571 Age : 60 Localisation : poitou-charentes Date d'inscription : 17/10/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Lun 22 Oct 2007 - 23:36 | |
| Disons les choses clairement : la classe moyenne dont Vincent 15 parle n'aura plus lieu de se plaindre puisqu'elle va disparaître petit à petit.... | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 23 Oct 2007 - 10:15 | |
| Les vrais chiffres du pouvoir d'achat LE MONDE POUR MATINPLUS | 23.10.07 | 07h37 •
Deux ministres, Christine Lagarde (économie, finances et emploi) et Xavier Bertrand (travail et relations sociales), le secrétaire d'Etat à la consommation, Luc Chatel, le haut commissaire aux solidarités actives, Martin Hirsch, des représentants du patronat et des syndicats, plusieurs experts de Bercy, ainsi que Robert Rochefort, directeur général du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Credoc), participent aujourd'hui à une conférence sur l'emploi et le pouvoir d'achat à Bercy.
La difficile réforme des indices de prix Réconcilier les Français avec leurs indicateurs économiques et réduire l'écart entre l'inflation mesurée par l'Insee et l'inflation perçue par les consommateurs. Tel est le but du rapport remis jeudi dernier par le Conseil d'analyse économique. Parmi les mesures proposées : rapprocher l'indice des prix à la consommation de l'indice européen ; établir des profils types (familles monoparentales, jeunes actifs, retraités, etc.), pour mieux mesurer l'inégale exposition des ménages à la hausse des prix ; créer un indice élargi pour tenir compte des dépenses de logement, et des indices complémentaires intégrant l'évolution des normes de consommation ; enfin, mettre en place des indicateurs de "niveau de vie" et de "bien-être".
C'est peu dire que cette conférence, annoncée de longue date, tombe à pic. Bien que l'Insee prévoie une progression du pouvoir d'achat de 2,8 % cette année (après + 2,3 % en 2006), la flambée des prix d'un certain nombre de produits commence à inquiéter les consommateurs. Et la modération persistante des salaires contribue à persuader les ménages que leur niveau de vie a eu tendance, ces dernières années, à se détériorer. Le sujet est sensible pour Nicolas Sarkozy, qui, pendant la campagne électorale, s'est présenté comme "le président du pouvoir d'achat", et pour le gouvernement, confronté à une conjoncture économique difficile, qui réduit ses marges de manœuvre à quelques mois des élections municipales de mars 2008.
La valse des étiquettes. Le prix du pétrole s'envole littéralement. Le baril de brent (le brut européen) a dépassé pour la première fois, jeudi 18 octobre, les 90 dollars. C'est une augmentation de près de 50 % sur un an. Du coup, les tarifs du fioul domestique, pour les livraisons inférieures à 5 000 litres, ont augmenté de 4,71 % en un an, pour s'établir à 67,09 euros l'hectolitre en septembre, et ceux de l'essence à la pompe, qui frisent désormais 1,50 euro le litre, n'en finissent pas d'augmenter.
Si l'on y ajoute l'augmentation du prix du pain, liée à la hausse des céréales, et celle attendue des produits laitiers ( + 10,48 % chez Danone en novembre ; + 15 à 17 % chez Lactalis), on conçoit que les Français aient du mal à croire les statisticiens de l'Insee, lorsqu'ils soulignent le niveau "historiquement bas" de l'inflation, malgré la légère remontée enregistrée en septembre (+ 1,5 %).
Des salaires en berne. Bien qu'en légère diminution l'an dernier, la proportion de salariés payés au niveau du smic reste très élevée : elle est passée de 8,1 % à 15,1 % entre 1991 et 2006. A cette date, selon l'Insee, 27 % des salariés à temps complet du privé et du semi-public, cantonnés sur des emplois où les allègements de charges patronales jouent à plein, touchaient moins de 1,3 fois le smic. Si l'on y ajoute les travailleurs précaires employés en contrat à durée déterminée (CDD), à temps partiel ou sur des missions d'intérim, on n'est probablement pas loin des 37,8 % de personnes percevant un salaire mensuel de moins de 1,3 fois le smic, relevés par l'Insee en 2002 (dernier chiffre connu). La "smicardisation" de la société française, qui est d'une ampleur inédite en Europe, existe bien. Elle n'épuise pas, toutefois, la réalité de l'évolution des revenus.
L'envol des hauts revenus. A l'autre bout de l'échelle, en effet, les revenus les plus élevés ne cessent d'augmenter. Un chercheur de l'Ecole d'économie de Paris, Camillle Landais, a établi que, entre 1998 et 2005, les 3 500 foyers les plus riches de France ont vu leur revenu réel augmenter de 42,6 %, tandis que 90 % des foyers fiscaux devaient se contenter d'une hausse de 4,6 %. L'économiste explique le dynamisme des hauts revenus par la croissance des revenus de capitaux mobiliers et des plus-values boursières, mais aussi par la nette progression des très hauts salaires. Cette explosion des inégalités nourrit, bien sûr, le "ressenti" des ménages sur la détérioration de leur niveau de vie.
Des charges plus lourdes. Dans le budget des ménages, le poids des dépenses dites contraintes – celles sur lesquelles on n'a guère de prise à court terme, comme le logement (loyers, charges), les assurances, les remboursements des crédits ou encore les impôts et autres contributions sociales (CSG et CRDS) – n'a cessé d'augmenter. Il est passé de 22 % à 45 % du budget familial entre 1960 et 2006. Et encore, il ne s'agit que d'une moyenne, puisque ce type de charges absorbe les trois quarts du revenu disponible des plus modestes. Or ces derniers, du fait de leur mode de consommation, sont aussi ceux qui sont les plus touchés par la hausse des prix du tabac, des produits de première nécessité (pain, lait…), des loyers ou encore du fioul domestique.
Claire Guélaud | |
| | | Jacqueline25
Nombre de messages : 1139 Localisation : Doubs Date d'inscription : 13/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 23 Oct 2007 - 12:51 | |
| - nitou86 a écrit:
- Disons les choses clairement : la classe moyenne dont Vincent 15 parle n'aura plus lieu de se plaindre puisqu'elle va disparaître petit à petit....
j'ai un souvenir terrible. Lors d'une formation , il y a déjà longtemps, l'animateur a bien dérivé du sujet et nous parlait avec beaucoup de conviction, comme s'il avait été dans le secret ( il n'avait rien d'un bolchévique ), de la prochaine disparition des classes moyennes, comme un objectif de ceux qui dirigent le monde.. Son discours avait surpris tout le monde.. Mais on y arrive tout doucement, par le pouvoir d'achat justement.. Je fais ce constat depuis quelques années : Dans les années 60 : une famille avec un seul salaire moyen pouvait rêver d 'acheter une maison. Puis il a fallu un salaire de cadre ou deux salaires moyens. Aujourd'hui il faut deux salaires de cadres. Et il y a pratiquement obligation pour une famille que les deux parents travaillent et avec deux SMIG on a un train de vie pas terrible. Il ne faut pas rêver de partir une semaine au ski en famille.. Le deuxième salaire n'est plus un salaire d'appoint, mais une nécessité.. Comme le sentiment qu'on s'est fait avoir et que nos gouvernants ont profité de l'émancipation des femmes dans le travail pour pratiquer une politique de bas salairesEnfin pour ceux qui ont des enfants qui font des études loin de la maison et quand on voit la situation des étudiants ( obligés de travailler , comment faire de bonnes études dans ces conditions ). On leur a donné l'APL pour les aider. Les augmentations de loyer qui ont suivi immédiatement, ont vite récupéré cette nouvelle manne financière. C'est aussi un frein à l'élévation sociale et culturelle. On nous parle d'augmenter les droits d'inscription dans les facs.. Et l'autre naze vous fait l'éloge du travail : " travaillez braves gens, prenez de la peine" ( pour remplir nos poches ). L'autre jour la télé nous montrait la "jetset" dans les super boites de Los Angeles, dont l'entrée est ultra filtrée... ( mais fait déjà être c... pour aller se faire éjecter jusqu'à l'humiliation, et vu les tarifs pratiqués ). Ils ont enchainé avec les nouveaux hotels en ex Yougoslavie, parce que St Trop, c'est devenu ringard... Je repensais à ce que nous avait dit ce "formateur" : Voilà on y est !!!! Des gens passent trois mois ici, trois mois ailleurs, sans jamais travailler, ils se donnent rendez-vous à l'autre bout du monde.. Ca a toujours existé, mais il y a toute une bande de nouveaux riches, plus gourmands que les autres et qui font tourner l'argent entre eux et aspirent l'argent des gens qui travaillent pour eux. Ca ne me gêne pas qu'il y ait des gens riches. Peu importe qu'ils aient trois voitures haut de gamme chacun, du moment que ceux qui les fabriquent gagnent correctement leur vie. Puis ceux là consomment et en font travailler d'autres. Mais là on est tous fauchés, raquettés. Si l'autre naze veut vraiment valoriser le travail et relancer la croissance, il n'a qu'à multiplier le SMIG par deux.. Ce n'est pas possible, en effet ! tout est bien organisé pour celà : ils exploitent les chinois et les autres, et nous font du chantage.. Ce chantage aux bas salaires et au chomage existe aussi au niveau européen..( cf le TCE ) Ils ont trouvé la combine pour "devoir" faire des cadeaux fiscaux aux plus riches et supprimer l'ISF.. Le bouclier fiscal, c'est le ticket d'entrée dans ce club ! Après c'est tout bénéf.. On nous dit que la France est endettée , que la dette fiscale nous coute cher, avec ses charges financières, mais ils ont tout intéret à ce que nous soyons endettés : eux placent leur fric dans ces emprunts d'état garantis, qui rapportent plus que le livret A ! et comme ils sont au dessus du bouclier fiscal, c'est tout bénefice, alors que nous sommes imposés sur nos plans d'épargne... Un ménage n'a pas accès à ces emprunts : il faut bloquer ses économies pendant trop longtemps et pour nous c'est 2,5 % : l'inflation. Notre ami "badfriend" veut supprimer la sécu : il est fou ça rapporte trop à ses amis.. Allez placer votre argent à la bourse : les petits actionnaires se sont faits dépouiller avec Eurotunnel et récemment avec EADS. La coupe du monde de rugby : belle fête populaire .. vous avez vu le prix des places.. tout juste si on pouvait la voir sur écran géant.. TF1 a fait un procés à plusieurs villes. Ils ne se sont pas faits assez de tunes ??? Montez votre affaire !Je ne pense pas que juju me contredira .. Vous êtes transformés en collecteur d'impôts.. Dans d'autres domaines, on vous fait grossir en vous prétant de l'argent, puis on vous fait couler pour racheter votre affaire à bas prix. | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 23 Oct 2007 - 13:07 | |
| ça je ne pourrai pas te contredire! monter une affaire c'est prendre des risques ( perdre sa maison par exemple) engager la famille( même élargie en cas de coup dur) et surtout ne jamais rien espérer des banques , du fisc et de l'administration, par exemple savez vous que si j'oublie simplement de signer la déclarationde TVA mensuelle, allez hop 10% de plus, pourquoi se gêner, donc en plus de collecteur d'impôt j'ai intêret à ne pas faire connerie même infime car c'est moi qui paye... mais quand l'état me doit énormément d'argent (on travaille surtout avec lui, marchés publics etc..) alors là ça peut durer jusqu'à 1 an pour se faire payer avec des intêrets moratoires dérisoires. Monter une affaire , c'est parfois friser la dépression quand ça va mal, parce que on ne sait plus comment on va garder les emplois des salariés, parce qu'on peut se retrouver à la rue sans chomage, et sans maison , bref alllez y motez votre affaire et Bon courage! en france,les petits patrons sont vraiment la dernière roue du carosse, nous ne sommes pas au Medef, nous, ma 106 est pourrie, et je prends 15 jours de vacances par an, alors si il y en a que ça interesse.... | |
| | | marco11
Nombre de messages : 5812 Age : 58 Localisation : Ouest Date d'inscription : 14/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 23 Oct 2007 - 14:35 | |
| Merci Juju je préfère la jet-set. | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 23 Oct 2007 - 14:46 | |
| t'as raison, Marco, c'est la "crème" ou le "gratin" de la Nation, d'après sarko évidemment! regarde notre Jonnhy va rester Français, ça c'est une info majeure, voyez vous!, en parlant de gratin, mon mari travaille sur un chantier préstigieux et tous les 4 matins, il ya des bandes gros bourges genre préfet, Rotary club, etc qui veulent visiter le chantier, alors mon mari perd son temps à leur faire la visite , et le temps c'est de l'argent , mais ça il s'en fout le préfet, il est payé au mois...les vieilles rombières non plus, en plus elles ralent à cause des écahfaudages et que ça va abimer leurs talons aiguilles, pauvres tares.... | |
| | | marco11
Nombre de messages : 5812 Age : 58 Localisation : Ouest Date d'inscription : 14/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 23 Oct 2007 - 14:59 | |
| Il suffit qu'il pleuve et badaboum dans la boue...les nanti(e)s. | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 23 Oct 2007 - 15:06 | |
| même pas , c'est à l'intérieur ( église)...
ce qui est énervant c'est que ces gens là décident de venir "visiter" sans demander si ça peut gêner, on doit passer pour des "ouvriers" de bas étage, je ne sais même pas 'ils savent que mon mari est le patron, ils s'en foutent d'ailleur, ce mépris est caractéristique des gens friqués . | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) | |
| |
| | | | Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|