NC : Nouveau Centre

L’Express 8 mai Le Nouveau Centre se cherche un nom
Ludovic Vigogne

Les centristes qui ont quitté François Bayrou et rallié la majorité de Nicolas Sarkozy veulent changer le nom de leur parti. Cette quête patronymique en cache peut-être une autre, plus existentielle.Le Nouveau Centre se cherche un nom, et c'est un casse-tête. Au lendemain de l'élection présidentielle de 2007, Hervé Morin et les élus qui avaient choisi de quitter François Bayrou, après le premier tour, pour rejoindre Nicolas Sarkozy, avaient baptisé à la va-vite ce nouveau parti.
Formule magique? Aujourd'hui, ils sont en quête d'une appellation où les "valeurs du centre" soient davantage incarnées. Peut-on également se dire longtemps "nouveau", alors que l'on souhaite avoir une existence pérenne?
Hervé Morin a donc chargé une agence de conseil de lui fournir quelques propositions. Ligne directrice : faire comprendre à travers cette dénomination que le Nouveau Centre est la continuation de l'UDF. Futur n° 2 du parti, Jean-Christophe Lagarde, député-maire de Drancy, désirerait que les mots "centre" ou "démocrate" y figurent.
Les deux hommes auront-ils la "formule magique" à proposer lors du congrès fondateur de leur formation, les 16 et 17 mai, à Nîmes (Gard) ? Si ce n'est pas le cas, la question sera tranchée d'ici à l'automne. Il y a urgence : la composante centriste de la majorité veut se compter aux élections européennes de juin 2009. Sous son nom.

http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=471119

jeudi, 15 mai 2008


Quand le Nouveau Centre souligne son inutilité



François Vannson (UMP) et François Rochebloine (NC) sont les deux députés de la majorité qui, en s'abstenant mardi sur le texte sur les OGM, ont provoqué une crise dans la majorité. Ils justifient leur vote au Figaro.fr.

• Le député UMP qui s'est abstenu maintient, après coup, son opinion et son vote "Il serait très curieux que je regrette mon vote aujourd'hui. J'assume pleinement mon choix". Bravo.
  
• Le député Nouveau Centre précise que : "si j'avais connu le résultat à l'avance, j'aurai voté «oui»", et "Jusqu'à preuve du contraire, l'UMP dispose de la majorité absolue à elle seule, ils n'avaient qu'à être suffisamment nombreux dans l'Hémicycle… Je pensais que l'UMP avait pris ses dispositions."
  

Quelle aberration ce Nouveau Centre !

• Qui peut faire confiance à ce type de raisonnement qui n'a pas de conviction politique,
  
• Ils soulignent eux-mêmes leur inutilité en se disant dans la majorité, tout en soulignant que l'UMP qui a la majorité absolue à l'Assemblée Nationale, doit assumer seule ses responsabilités.
  

http://udfboulogne-billancourt.hautetfort.com/archive/2008/05/15/difference-d-attitude-entre-l-abstention-ump-et-celle-du-nou.html

C'est dingue ça !
La décision de M.Rochebloine n'est donc pas prise en fonction du texte de la loi mais suivant ses humeurs, ses envies, et celles de ses amis.
Imposteur !

Prouesse a écrit:

C'est dingue ça !
La décision de M.Rochebloine n'est donc pas prise en fonction du texte de la loi mais suivant ses humeurs, ses envies, et celles de ses amis.
Imposteur !

De gens qui changent d'avis comme de chemise, on ne peut pas espérer grand chose.

libre a écrit:

De gens qui changent d'avis comme de chemise, on ne peut pas espérer grand chose.

Si : qu'ils portent des chemises propres.

Jean-Luc a écrit:

libre a écrit:

De gens qui changent d'avis comme de chemise, on ne peut pas espérer grand chose.

Si : qu'ils portent des chemises propres.

Excellent.

et ils osent dire qu'ils sont indépendants. En fait, il a trop peur de se faire engueuler par morin et sauvadet qui eux auront pris un savon par sarko.

toutoune a écrit:

et ils osent dire qu'ils sont indépendants. En fait, il a trop peur de se faire engueuler par morin et sauvadet qui eux auront pris un savon par sarko.

Comme ça, il n'y aura pas que les chemises qui seront propres.

Jean-Luc a écrit:

toutoune a écrit:

et ils osent dire qu'ils sont indépendants. En fait, il a trop peur de se faire engueuler par morin et sauvadet qui eux auront pris un savon par sarko.

Comme ça, il n'y aura pas que les chemises qui seront propres.

Jean luc, tu es en pleine forme.

toutoune a écrit:

Jean-Luc a écrit:

toutoune a écrit:

et ils osent dire qu'ils sont indépendants. En fait, il a trop peur de se faire engueuler par morin et sauvadet qui eux auront pris un savon par sarko.

Comme ça, il n'y aura pas que les chemises qui seront propres.

Jean luc, tu es en pleine forme.

En super forme



Leroy Morin

l'interview complète dans le Figaro

http://www.lefigaro.fr/politique/2008/05/14/01002-20080514ARTFIG00532-ogm-les-deputes-qui-ont-fait-basculer-le-vote-s-expliquent.php

BFM le 15 mai : débat sur le thème Congrès du Nouveau Centre, réunion du bureau politique du Modem : la bataille du Centre ?


http://www.radiobfm.com/index.php?id=149&idemission=123

on parle d'ubn nouveau nom avec le terme démocrate dedans... de quoi ajouter encore plus de confusion pour l'électeur...

Le Nouveau Centre tente de faire peau neuve après un an d’existence
CHRISTOPHE FORCARI
QUOTIDIEN LIBERATION: vendredi 16 mai 2008.


Rien que du nouveau pour le Nouveau Centre (NC). Nouveau nom et nouvelle direction qui seront annoncés lors du congrès de ces ex-UDF ralliés à Nicolas Sarkozy, réunis à partir d’aujourd’hui en congrès à Nîmes.


Consigne. Les néocentristes, conduits par le ministre de la Défense Hervé Morin, veulent refermer l’album photos de leurs premiers pas. Au moment de la présidentielle de 2007, ils avaient fait le choix d’appeler à voter Sarkozy plutôt que de suivre la consigne de leur leader, François Bayrou, de ne pas donner un bulletin au candidat de l’UMP. La nouvelle appellation, secrètement gardée, sera révélée samedi. «Ce nom traduira nos valeurs sociales, libérales, démocrates et européennes», lâche Maurice Leroy, député du Loir-et-Cher, prochain porte-parole du Nouveau Centre nouvelle version. «Ce changement est normal. Cette formation politique s’est créée dans l’urgence il y a un an et son titre avait une signification dans le moment. Au départ, nous nous sommes créés autour d’un regroupement d’élus. Aujourd’hui nous voulons nous inscrire dans la durée. Ce congrès est celui de la renaissance d’une véritable formation du centre», se félicite un des dirigeants NC. «Vous verrez, vous aurez une surprise, promet même Maurice Leroy, ce ne sera pas une appellation ringarde. On risque même d’être un peu gaussés.»
Le NC qui revendique près de 7 500 adhérents, affirme avoir retrouvé à peu près le même nombre d’élus que la défunte UDF dont 40 maires de villes de plus de 10 000 habitants. «Notre positionnement ne change pas. Nous voulons occuper tout le centre de l’échiquier politique. Mais, avec cette nouvelle dénomination, nous voulons montrer qu’une page se tourne afin de permettre plus facilement l’arrivée de ceux qui souhaiteraient nous rejoindre», explique Maurice Leroy. Dominique Baudis, l’ancien maire de Toulouse, pourrait annoncer son arrivée dans les rangs de la formation.
Alliés. Les responsables de ce nouveau parti, assimilés à des alliés accommodants de la majorité, veulent rompre avec cette image. «La réforme des institutions ne pourra se faire sans nous. Nous sommes le pôle alternatif de la majorité», veut croire Maurice Leroy. Jean-Christophe Lagarde, député de Seine-Saint-Denis et futur numéro 2 du nouveau parti centriste, entend, lui, «créer des phases de tensions et de discussions avec l’UMP». Pour bien affirmer sa marge de manœuvre, la formation souhaite présenter des listes autonomes aux européennes dans chacune des grandes circonscriptions du territoire. «Nous serons présents à toutes les élections. Y compris à la présidentielle», précise un député NC.

Nouveau Centre. Un congrès pour s’affirmer
Le Nouveau Centre tient demain son congrès fondateur. Avec la volonté de s’affirmer et de se démarquer de l’UMP.



Un an après la présidentielle, le Nouveau Centre, lancé par les députés UDF qui avaient rejoint Nicolas Sarkozy, se cherche encore. Ses 22 parlementaires essaient toujours de prouver leur existence au sein de la majorité présidentielle, au côté de l’UMP. Ces difficultés seront abordées demain lors du congrès fondateur du parti à Nîmes, où Hervé Morin devrait être reconduit à la présidence. Première initiative : trouver un nouveau nom au parti qui refléterait mieux sa « filiation » UDF, selon le député Jean-Christophe Lagarde. Des listes aux européennes
Pour le député Maurice Leroy, futur porte-parole, le changement de nom vise aussi à faciliter l ’ arrivée de personnalités issues de l ’ UDF ou déçues du MoDem. Les 22 députés du Nouveau Centre se sont récemment rapprochés du groupe centriste du Sénat, présidé par Michel Mercier, un ex-proche de Bayrou. Le NC, qui estime ne pas avoir été suffisamment entendu par l ’ UMP lors de s municipales, envisage par ailleurs de se présenter sous sa propre bannière aux européennes de 2009. Le parti continue de porter certains combats défendus autrefois aux côtés de François Bayrou, comme la lutte contre la dette publique et l ’ introduction de la proportionnelle aux législatives. Des membres du NC anticipent d’ailleurs de nouvelles arrivées après les élections sénatoriales et européennnes.

Les échos:


Le Nouveau Centre et le PRG tiennent leur congrès ce week-end
[ 16/05/08 ]


Les deux formations tiennent congrès ce week-end et veulent, chacune à leur manière, occuper l'espace centriste. La première, le Nouveau Centre, lancée par les 22 députés UDF qui avaient rejoint Nicolas Sarkozy entre les deux tours de la présidentielle, tient son congrès fondateur samedi à Nîmes. Ce parti, qui revendique plus de 7.000 adhérents, doit reconduire à sa présidence le ministre de la Défense Hervé Morin. Et cherchera à tenir sur une ligne de crête : se démarquer de l'UMP tout en justifiant son appartenance à la majorité. L'objectif est double : être respecté au sein de la majorité et mieux contrer le Modem de François Bayrou. Lequel a « gagné l'acte I de la bataille médiatique et a réussi à faire passer pour des traîtres ceux qui ont voté Nicolas Sarkozy au second tour de la présidentielle », de l'aveu de Maurice Leroy, futur porte-parole du Nouveau Centre. Les membres de cette formation sont donc à la recherche d'un nouveau nom qui reflèterait mieux sa « filiation » UDF. Le congrès du Parti radical de gauche (PRG), à Paris, risque d'être légèrement plus compliqué pour son président Jean-Michel Baylet. S'il est assuré d'être reconduit, son orientation politique ne fait pas l'unanimité. Allié historique du PS, le sénateur du Tarn-et-Garonne juge que « les prochaines victoires électorales passent par l'occupation du terrain central et une sorte de pacte historique entre la gauche traditionnelle et les électeurs centristes ». Il souhaite discuter encore avec « les centristes traditionnels », au premier rang desquels les radicaux valoisiens de Jean-Louis Borloo, bien que leur « dialogue » engagé depuis un an soit resté dans les limbes. La fédération de Paris du PRG va présenter une motion excluant une « alliance avec les gens qui sont au pouvoir ».

quand on voit la façon de voter des NC, on voit bien les limites de leur indépendance... et mettre Momo comme porte-parole, c'est pas ce qu'il y a de plus intelligent, sa gouaille n'est pas forcément ce que les partisans du NC apprécient le plus, il est l'archétype du politique opportuniste, et je renverrais bien quelques unes des "injures particulièrement grossières" qu'il proférait contre sarkozy jusqu'à la veille du 22 Avril... il oublie un peu facilement qu'internet a la mémoire de ses outrances!

Le Nouveau Centre tente de faire peau neuve après un an d’existence
CHRISTOPHE FORCARI
libération QUOTIDIEN : vendredi 16 mai 2008

Rien que du nouveau pour le Nouveau Centre (NC). Nouveau nom et nouvelle direction qui seront annoncés lors du congrès de ces ex-UDF ralliés à Nicolas Sarkozy, réunis à partir d’aujourd’hui en congrès à Nîmes.

Consigne. Les néocentristes, conduits par le ministre de la Défense Hervé Morin, veulent refermer l’album photos de leurs premiers pas. Au moment de la présidentielle de 2007, ils avaient fait le choix d’appeler à voter Sarkozy plutôt que de suivre la consigne de leur leader, François Bayrou, de ne pas donner un bulletin au candidat de l’UMP. La nouvelle appellation, secrètement gardée, sera révélée samedi. «Ce nom traduira nos valeurs sociales, libérales, démocrates et européennes», lâche Maurice Leroy, député du Loir-et-Cher, prochain porte-parole du Nouveau Centre nouvelle version. «Ce changement est normal. Cette formation politique s’est créée dans l’urgence il y a un an et son titre avait une signification dans le moment. Au départ, nous nous sommes créés autour d’un regroupement d’élus. Aujourd’hui nous voulons nous inscrire dans la durée. Ce congrès est celui de la renaissance d’une véritable formation du centre», se félicite un des dirigeants NC. «Vous verrez, vous aurez une surprise, promet même Maurice Leroy, ce ne sera pas une appellation ringarde. On risque même d’être un peu gaussés.»

Le NC qui revendique près de 7 500 adhérents, affirme avoir retrouvé à peu près le même nombre d’élus que la défunte UDF dont 40 maires de villes de plus de 10 000 habitants. «Notre positionnement ne change pas. Nous voulons occuper tout le centre de l’échiquier politique. Mais, avec cette nouvelle dénomination, nous voulons montrer qu’une page se tourne afin de permettre plus facilement l’arrivée de ceux qui souhaiteraient nous rejoindre», explique Maurice Leroy. Dominique Baudis, l’ancien maire de Toulouse, pourrait annoncer son arrivée dans les rangs de la formation.
Alliés. Les responsables de ce nouveau parti, assimilés à des alliés accommodants de la majorité, veulent rompre avec cette image. «La réforme des institutions ne pourra se faire sans nous. Nous sommes le pôle alternatif de la majorité», veut croire Maurice Leroy. Jean-Christophe Lagarde, député de Seine-Saint-Denis et futur numéro 2 du nouveau parti centriste, entend, lui, «créer des phases de tensions et de discussions avec l’UMP». Pour bien affirmer sa marge de manœuvre, la formation souhaite présenter des listes autonomes aux européennes dans chacune des grandes circonscriptions du territoire. «Nous serons présents à toutes les élections. Y compris à la présidentielle», précise un député NC.

Euh, Juju, Gillou l'avait déjà posté un peu plus haut (8:56)...

arg!!! j'ai zappé !bon ben tant pis, alors pour rigoler un peu voici un article de francedemocrate...

Du Nouveau Centre, cherchez le garçon




Je lis dans L’Express qu’à l’occasion de sa fondation, l’ex-Parti Social Libéral Européen, devenu Nouveau Centre, se cherche un nouveau nom, inspiré de celui de l’UDF - vous savez, l’Union pour la Démocratie Française, fondée en 1978.




"Nouveau Centre" d’après montage-a-google

Donnons-leur un coup de main, aux mutants du Nouveau Centre. On pourrait imaginer un nom qui commence en U, mais va chercher des lettres dans la 2ème partie de l’alphabet ? Non, entre UNR et UMP, il n’est pas certain que l’identité "sociale libérale et européenne" ressortirait clairement.

Et puis, le U de Union, ça fait tout de même grotesque pour un parti qui, cinq mois après sa (première !) fondation, devait cumuler adhésion et "demandes" pour atteindre 4000. Il vaudrait peut-être mieux se référer au modèle historique, le CDP, composé des centristes pompidoliens… On peut donc suggérer CTF, comme "Cabine Téléphonique Familiale", ce serait plus honnête qu’UDF. Mais est-ce suffisamment rassembleur ?

Il faut garder la continuité avec l’UDF, mais sans le sigle et sans Union. Les deux points forts à conserver, finalement, c’est ce que Valéry Giscard d’Estaing avait mis dans le titre de son livre de 1976 : c’est le côté France et le côté Démocrate.

Oh là ! attention les amis, la marque est déposée. Et utilisée. À vendre, certes, mais comment dire… malgré le grand respect que j’ai pour notre diversité nationale, je refuserais l’argent blanchi en Polynésie



plus les commentaires ici



http://www.francedemocrate.info/spip.php?article504

Vu qu'ils pèsent bien moins qu'ils ne le pensent, je leur propose : ULM (Union Leroy-Morinesque).

Le centre, un chantier politique

Créé le 16/05/08
Il y a tout juste un an, entre les deux tours de la présidentielle, l’UDF explosait. Le Nouveau Centre tient ce week-end son congrès fondateur. Mais ce parti peine à trouver sa place à l’ombre de l’UMP. Il ne constitue de toute façon par la voie d’avenir pour le centre, selon le chef de file du MoDem François Bayrou.




Bâtir une vraie force politique au centre, c’est l’objectif de tous les acteurs. Qu’ils soient au MoDem ou au Nouveau Centre. Mais un an tout juste après l’explosion de l’UDF, entre les deux tours de la présidentielle, le centre ressemble surtout à une nébuleuse.


Le Nouveau Centre va tenter d’organiser ses forces ce week-end lors de son congrès fondateur à Nîmes dans le Gard. Principal challenge : se démarquer du "partenaire" UMP. Le Nouveau Centre revendique aujourd’hui plus de 7.000 adhérents. Son président, Hervé Morin, devrait être reconduit. En revanche, le nom du parti pourrait être modifié pour mieux refléter la filiation avec l’UDF.
Une filiation que revendique également le MoDem, la formation de François Bayrou, qui s’est elle construite en opposition à l’UMP. "François Bayrou a gagné l'acte I de la bataille médiatique et à réussi à faire passer pour des traîtres ceux qui ont voté Nicolas Sarkozy au second tour de la présidentielle", conteste le député Nouveau Centre Maurice Leroy.

Source : Europe 1.

Il n'y a qu'un seul centre : celui qui est réellement au centre (le MoDem). Le centre rangé à droite, ce n'est plus le centre. C'est aussi simple que ça.

Tout à fait d'accord.
Je me souviens de ce même Leroy qui affirmait juste après la présidentielle que le centre ne pouvait être qu'à droite. Quel paradoxe ! (moi qui aime ça).

c'est la philosophie"shadokienne" du Centre,le centre de droite...

Proposition de logo pour le NC :

"Frileux", le Nouveau Centre renonce finalement à changer de nom



Par Rue89 Confidentiel | 16/05/2008 | 14H00


La nouvelle est ce vendredi dans tous les journaux: le Nouveau Centre, le parti des ex-UDF qui ont rejoint la majorité présidentielle, va se choisir un nouvel organigramme de direction, définir ses orientations et... changer de nom. Tout ça, lors du congrès qui s'ouvre ce même jour à Nîmes.
"Ce nom traduira nos valeurs sociales, libérales, démocrates et européennes", précise même dans les colonnes de Libération Maurice Leroy, pourtant futur porte-parole de ce Nouveau Centre remanié.
Avant de glisser: "Vous verrez, vous aurez une surprise", promet même Maurice Leroy, "ce ne sera pas une appellation ringarde. On risque même d’être un peu gaussés."
Mais jeudi, tard dans la soirée, patatras! Réunis pour fignoler les actes du congrès, les principales figures du parti ont en fait renoncé à changer de nom, au moins pour le moment. "A cause de l'opposition de certains frileux", déplore l'un des participants.
Le même participant qui nous a tout de même révélé ce que devait être ce nouveau nom: le Solid, pour parti SOcial LIbéral Démocrate. Pas de quoi les "gausser" tant que ça!
Julien Martin