[mesure sarko] La franchise médicale

La liberté ne veut rien dire en tant que tel, on l'a suffisamment abordé ici.

Jean-Luc a écrit:

Est-ce qu'un salarié choisit réellement son lieu de travail ?

Tu veux dire que les médecins seraient salariés des patients et/ou de la Sécu ? Pourquoi pas remarque...

je suis tout à fait d'accord sur ce principe,d'ailleurs les pharmaciens sont bien obligés de s'installer selon certains critères.. je serais pour une obligation de démarrer sa carrière en zone rurale, ou manquant de médecins,durant 5 ans, et ensuite, possibilité de s'installer ailleurs, ou alors de favoriser les médecins de ces zones, en leur offrant de partir plus tôt à la retraite( trimestres offerts) à condition qu'ils fassent toute leur carrière dans cette zone.

il parait qu'il ya de plus en plus de médecins salariés au détriment des libéraux.

http://www.lefigaro.fr/sante/2010/04/13/01004-20100413ARTFIG00010-les-medecins-liberaux-sont-en-voie-de-disparition-.php

yann 35 a écrit:

La liberté ne veut rien dire en tant que tel, on l'a suffisamment abordé ici.

C'est surtout qu'il y a plusieurs façons de défendre la liberté comme on a expliqué un nombre incalculable de fois ici.

Mais la définition de base est simple à comprendre, non ?

yann 35 a écrit:

Jean-Luc a écrit:

Est-ce qu'un salarié choisit réellement son lieu de travail ?

Tu veux dire que les médecins seraient salariés des patients et/ou de la Sécu ? Pourquoi pas remarque...

Non. Seulement que la liberté du lieu d'exercice est un privilège dont ne bénéficient pas la majorité des travailleurs.

libre a écrit:

yann 35 a écrit:

La liberté ne veut rien dire en tant que tel, on l'a suffisamment abordé ici.

C'est surtout qu'il y a plusieurs façons de défendre la liberté comme on a expliqué un nombre incalculable de fois ici.

Mais la définition de base est simple à comprendre, non ?

Ben vas-y, on t'écoute pour la définition de base.

Pour moi les libertés fondamentales sont la liberté d'opinion, d'expression mentale et physique, de mouvement, de sentiment. En matière économique on pourrait rajouter la liberté de gestion et d'entreprise privée.

L'art de détourner le débat...

yann 35 a écrit:

libre a écrit:

yann 35 a écrit:

La liberté ne veut rien dire en tant que tel, on l'a suffisamment abordé ici.

C'est surtout qu'il y a plusieurs façons de défendre la liberté comme on a expliqué un nombre incalculable de fois ici.

Mais la définition de base est simple à comprendre, non ?

Ben vas-y, on t'écoute pour la définition de base.

Pour moi les libertés fondamentales sont la liberté d'opinion, d'expression mentale et physique, de mouvement, de sentiment. En matière économique on pourrait rajouter la liberté de gestion et d'entreprise privée.

Tu le fais exprès non ? La définition de base, je l'ai donné précédemment.

Pour le reste, le sujet a déjà été traité ici en long, en large et en travers. Tu n'as par conséquent qu'à rechercher ce qui a été dit sur le sujet.

Le sujet a été débattu mais jamais vraiment éclairci, enfin bref, toi libre es-tu pour un numerus clausus géographique concernant les médecins ?

Pourquoi pas, si ça peut régler le problème des déserts médicaux.

yann 35 a écrit:

Le sujet a été débattu mais jamais vraiment éclairci

De ton point de vue…

La faute à qui si tu refuses de comprendre ?

Quant à la liberté d'entreprendre, ne pas oublier que la liberté des uns s'arrête où commence celle des autres. Surtout si elle les prive de droits légitimes.

yann 35 a écrit:

Le sujet a été débattu mais jamais vraiment éclairci, enfin bref, toi libre es-tu pour un numerus clausus géographique concernant les médecins ?

POur.
Actuellement certaines régions passent des accords avec des étudiants en mèdecines qui partent continuer leurs études dans des pays de l'est (me rappelle pas lequel). Le concours d'entrée étant plus accessible, leurs études sont payées par la région et en échange ils doivent à cette région un nombre précis d'années de pratique.
A choisir je préfèrerais qu'ils fassent leurs études en France ...
Mais s'ils sont aidés on peut leur demander des années de présence en échange.

Jean-Luc a écrit:

yann 35 a écrit:

Le sujet a été débattu mais jamais vraiment éclairci

De ton point de vue…

La faute à qui si tu refuses de comprendre ?

Quant à la liberté d'entreprendre, ne pas oublier que la liberté des uns s'arrête où commence celle des autres. Surtout si elle les prive de droits légitimes.

La liberté des uns s'arrête où s'arrête celle des autres.

Donc puisqu on y revient : je suis pour une loi de repartition geographique / Inutile d inventer une usine à gaz d'aides et de punitions: augmentation du numerus clausus des etudiants et les trous du territoire se combleront
Ouvrir un cabinet c est pas cher , en racheter un le sera

yann 35 a écrit:

La liberté des uns s'arrête où s'arrête celle des autres.

La manière dont tu déformes cette règle fondamentale implique qu'il y aurait des zones où personne n'aurait de liberté. Absurde, non ?

Jean-Luc a écrit:

yann 35 a écrit:

La liberté des uns s'arrête où s'arrête celle des autres.

La manière dont tu déformes cette règle fondamentale implique qu'il y aurait des zones où personne n'aurait de liberté. Absurde, non ?

Bien sûr qu'il y a des zones sans liberté, c'est ton commentaire qui est absurde Jean-Luc ! (Je dis ça en toute amitié).

didier13100 a écrit:

Donc puisqu on y revient : je suis pour une loi de repartition geographique / Inutile d inventer une usine à gaz d'aides et de punitions: augmentation du numerus clausus des etudiants et les trous du territoire se combleront
Ouvrir un cabinet c est pas cher , en racheter un le sera

Pourquoi pas augmenter le numerus clausus mais on risque aussi d'assister à une rude concurrence dans les zones déjà occupées avant que des médecins consentent à s'installer dans une zone sans concurrence.

yann 35 a écrit:

Jean-Luc a écrit:

yann 35 a écrit:

La liberté des uns s'arrête où s'arrête celle des autres.

La manière dont tu déformes cette règle fondamentale implique qu'il y aurait des zones où personne n'aurait de liberté. Absurde, non ?

Bien sûr qu'il y a des zones sans liberté, c'est ton commentaire qui est absurde Jean-Luc ! (Je dis ça en toute amitié).

Quelles zones ?

Les zones du crime par exemple.

Ce n'est pas une zone.

Je répète donc : La liberté des uns s'arrête où commence celle des autres.

=> La liberté de tuer entre en conflit avec une liberté fondamentale qui est le droit à l'existence.

étrange votre conversation ...

Ça tourne souvent comme ça avec Yann.

Et encore, cette fois il n'a toujours pas demandé de chiffrage.

Donc il s'améliore ...

"La liberté des uns s'arrête où commence celle des autres", proverbe totalement imbécile qui sous-entend qu'on serait tous isolés les uns des autres, dans un espace personnel impénétrable.

Je préfère croire que tu le fais exprès...

Parce que tu sembles partir du principe que toute liberté est purement individuelle et personnelle. En suivant ton raisonnement, si quelqu'un marche sur un trottoir, personne d'autre ne pourrait le faire en même temps !

Non, ça c'est en partant de TON raisonnement comme quoi ma liberté de marcher sur un trottoir s'arrête dès que cette liberté commence pour un autre. Moi je préfère croire que depuis tout ce temps tu n'as jamais vraiment réfléchi au sens de ton proverbe.