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| Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) | |
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Auteur | Message |
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Nadette
Nombre de messages : 2160 Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Sam 29 Déc 2007 - 23:52 | |
| Question très bizarre...pourquoi ne demande-t-on pas aux français s'ils ont confiance en Sarkozy pour le pouvoir d'achat? vu que le gouvernement ne sert à rien et que lui fait tout... | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Dim 30 Déc 2007 - 11:07 | |
| ... parce que ces chiffres-là (qui existent par ailleurs, je les ai vus : moins de 25% de confiance, il me semble) sont catastrophiques pour le petit Nicolas. | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Dim 30 Déc 2007 - 11:17 | |
| CQFD... | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Sam 5 Jan 2008 - 9:41 | |
| marianne2 .fr 5/1 Travailler plus »…Nous serions donc paresseux ? Guillaume Duval, rédacteur en chef d'Alternatives Economiques, redessine dans un essai les contours de la société française, trop souvent déformés par les adages populaires et le discours politique. « Le départ des baby-boomers va-t-il régler la question du chômage ? », « Pourquoi la France n'arrive-t-elle pas à réduire sa dette ? » « Pourquoi les Français descendent-ils si souvent dans la rue ? » : « fastoche ! » répliquerez-vous. On nous rebat tellement les oreilles avec ces sujets qu'il est aisé d'y répondre. Mais en dépit de leur simplicité, il y a fort à parier que ces questions ne puissent pas faire l'économie d'une analyse documentée, sans préjugés ni points de vue à l'emporte-pièce. C'est précisément le projet de Guillaume Duval, rédacteur en chef d'Alternatives Economiques, dans son essai Sommes nous des paresseux ?... et autres trente questions sur la France et les Français.
L'ouvrage est né d'un agacement face aux formules politiques qui, à l'instar du « travailler plus pour gagner plus » sarkozyste ou du tonitruant « La France est en faillite » de François Fillon, véhiculent des pseudo évidences sur la société française. Le constat que les Français souffraient d'un manque d'informations sur l'état de leur société au point de peiner grandement à se situer dans « le concert des nations » a été le second moteur de la rédaction du livre. Des sources statistiques et des études – celles de l'Insee mais aussi Eurostat et la base de données de la Commission européenne – éclairent les sujets abordés dans le livre : l'immigration, les inégalités, l'école ou encore le pouvoir d'achat. L'approche n'est pourtant pas menée sans parti pris : c'est sous le prisme des valeurs qui fondent selon lui l'identité française que Guillaume Duval, républicain chevronné, passe en revue la société.
Mais revenons au titre et premier chapitre du livre « Les Français sont-ils paresseux ? » Face aux slogans « travailler plus pour gagner plus », à la critique des 35 h et au projet de détaxation des heures supplémentaires, il était normal de finir par se le demander. Les chiffres invoqués par l'auteur parlent pourtant d'eux même : selon l'Insee européen, Eurostat, « au premier semestre 2007, les salariés de l'ex Europe des 15 disent avoir travaillé en moyenne 35,4 heures et les Français 35,3 heures. » Les Français n'ont autrement dit aucunement à rougir du temps qu'ils passent à travailler . Et l'auteur de rappeler de surcroît que le « travailler plus », comme travailler longtemps est une caractéristique de pays arriérés, revient à « préférer le modèle roumain au modèle scandinave ».
Sans pour autant donner de leçons, l'auteur rappelle des évidences parfois oubliées, comme celles sur l'école : non, elle ne réduit pas les inégalités, elle les renforce. L'origine sociale des parents est, en France, plus que dans aucun autre pays, le facteur qui explique les différences de résultats entre enfants. Même constat sur l'intégration des immigrés, que la création du fameux ministère de l'immigration a mise en cause. Rapportant les résultats du Pew Researcher Center, un organisme d'enquête américain, l'auteur souligne à titre d'exemple que les musulmans français sont 42% à s'estimer « d'abord citoyens français », contre 13% des musulmans allemands ou 3% des musulmans espagnols.
Sans provocation ni concessions excessives, l'auteur dresse le portrait d'une société française qui ne se connaît pas aussi bien qu'elle le prétend. Après la société, à quand un livre qui prendrait la température de notre sphère politique par rapport à nos voisins ? Les résultats risqueraient, là aussi, de réserver des surprises…
Guillaume Duval, Sommes-nous des paresseux?... et trente autres questions sur la France et les Français, Seuil, 2007, 217p., 15€.
Extraits de Sommes-nous des paresseux?
Année après année, les statistiques officielles indiquent que le pouvoir d'achat des Français progresse. Ces chiffres ne traduisent pourtant pas ce que ceux-ci ressentent au quotidien. Sont-ils atteints d'un pessimisme pathologique ? Non. Ils ont de bonnes raisons de s'inquiéter.
Selon l'Insee, le niveau de vie des Français n'a cessé de progresser ces dernières années : le pouvoir d'achat du « revenu disponible » des ménages, selon le jargon de la Comptabilité nationale1, aurait ainsi augmenté de 2,3% en 2006, après une hausse de 1,7 % en 2005 et de 2,6% en 2004. Premier bémol toutefois : comme la population continue d'augmenter en France, le pouvoir d'achat de chaque personne progresse déjà officiellement sensiblement moins vite. Il n'aurait ainsi gagné que 1,7 % en 2006. De plus, avec le vieillissement de la population et les évolutions que connaissent les structures familiales – accroissement de la fréquence des séparations, divorces… (voir infra p. 113) – le nombre de ménages s'accroît encore plus vite que la population. Et du coup, rapporté à chaque ménage, le pouvoir d'achat n'aurait plus gagné en moyenne, selon l'Insee, que 0,8 % en 2006. Quasiment trois fois moins que si on ne prend en compte que l'évolution de la masse globale des revenus. Or c'est généralement à ce niveau que les Français apprécient l'évolution de leur propre pouvoir d'achat. Et de tels écarts se cumulent d'année en année : le pouvoir d'achat des ménages, pris dans leur globalité, est censé avoir augmenté de 37 % entre 1990 et 2006, mais celui de chaque ménage, ne s'est plus accru officiellement que de 17 %, moitié moins. La forte diminution de la taille moyenne des ménages intervenue au cours des dernières décennies est une des causes principales du sentiment récurrent qu'ont les Français de connaître des fins de mois de plus en plus difficiles : en effet, que quatre personnes ou une seule vivent sous le même toit, il faut payer le logement, une voiture, l'abonnement au téléphone, les assurances…
L'Insee n'ignore pas non plus que les situations sont différentes selon les types de revenus. Entre 1998 et 2006, les prix à la consommation ne se seraient globalement accrus que de 14,9 %. Dans le même temps, les salaires mensuels du privé se sont accrus de 19,4 %, mais les retraites de la Sécurité sociale n'ont augmenté en revanche que de 13,9 % et les salaires de la fonction publique de 8,6 %. Retraités et fonctionnaires ont donc très officiellement perdu du pouvoir d'achat. Il n'empêche: la grande masse des Français est censée avoir vu celui-ci progresser sensiblement ces dernières années.
Les Français ne l'entendent pourtant pas de cette oreille : ils ont très majoritairement le sentiment que leur porte monnaie se vide de plus en plus. Ils ont accusé tout d'abord le passage à l'euro d'avoir renchéri les prix. Un changement de monnaie est en effet propice à la valse des étiquettes : les consommateurs ayant perdu leurs repères habituels, la tentation est forte pour les producteurs et les commerçants d'en profiter. D'autant que l'euro vaut plus que les monnaies qu'il a remplacées : les commerçants peuvent jouer sur l'illusion que 1,50 euro représenterait beaucoup moins d'argent que 10 francs. Quelles que soient les précautions prises par les pouvoirs publics, et les protestations solennelles, la main sur le coeur, des industriels et des distributeurs, ce phénomène s'est fréquemment produit immédiatement avant et juste après l'introduction de l'euro en 2002. Il n'a cependant aucune raison de se poursuivre indéfiniment : les consommateurs développent progressivement de nouveaux repères et cet « effet euro » ne peut expliquer, plusieurs années plus tard, la persistance du sentiment d'une inflation plus forte qu'officiellement annoncée. Un sentiment qui est d'ailleurs retombé dans les autres pays de la Zone euro.
Il faut donc chercher ailleurs la clé du mystère. Le chiffre global d'inflation affiché par l'Insee résulte de la combinaison d'évolutions très contrastées. Ainsi, les prix des voyages touristiques ont augmenté de 54,5 % entre 1998 et 2006, les cafés de 24,4 %, et les loyers de 18,9 % tandis que les automobiles neuves n'augmentaient que de 6,6 % et que le petit électroménager baissait de 8,2%… Suivant ses habitudes de consommation et sa sensibilité particulière au prix de tel ou tel bien ou service, on peut assez facilement être conduit à survaloriser une évolution par rapport à une autre. On tend en particulier facilement à donner trop d'importance à la hausse de prix des petites dépenses courantes, comme le café au bar, par rapport aux grosses dépenses peu fréquentes, du type achat d'une voiture ou d'un ordinateur. Or les premières correspondent en général à des activités de services dont les prix augmentent nettement plus vite que les secondes, qui consistent souvent en achats de biens industriels.
Cet effet, réel, ne suffit pourtant pas à expliquer à lui seul le sentiment répandu d'une inflation supérieure aux déclarations officielles. Dans son combat contre « la vie chère » (et pour accroître ses débouchés), le groupe de distribution Leclerc a voulu montrer pourquoi ce sentiment était justifié. Pour ce faire, il a construit, avec le Bureau d'informations et de prévisions économiques (BIPE), un indice du « pouvoir d'achat effectif du consommateur » en retranchant des revenus des ménages, tels que les considère l'Insee, les dépenses liées au logement, aux transports, aux assurances et aux remboursements de crédits, considérées comme des coûts incompressibles sur lesquels le consommateur n'a guère de prise réelle. Compte tenu du niveau plus élevé que la moyenne de la hausse des prix sur ces postes, on aboutit en effet à une perte de pouvoir d'achat des consommateurs de 1% en 2003 et de 0,7 % en 2005 sur le reste de leurs revenus. Ainsi qu'à des hausses beaucoup plus faibles que celles annoncées par l'Insee pour les autres années : plus 0,5 % seulement en 2006 par exemple.
Voilà qui commence à dissiper le mystère. Mais il faut aller encore un peu plus loin en s'arrêtant sur certaines dépenses en particulier. Notamment celles qui concernent le logement. La hausse vertigineuse de l'immobilier – les prix ont doublé en France en six ans – est une des raisons essentielles du scepticisme des consommateurs quant à la progression officielle de leur pouvoir d'achat. Pour le commun des mortels, l'évolution des prix de l'immobilier fait partie intégrante de l'appréciation de l'inflation. Pas pour l'Insee. Seuls entrent en compte dans l'indice des prix à la consommation, les loyers payés par les locataires et leur évolution. L'achat d'un logement est en effet considéré comme un investissement et non comme une dépense courante. Du coup, pour l'Insee, l'ensemble «Logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles » ne pèse que 13,7 % de l'indice des prix, alors que l'institut lui-même estime par ailleurs que le logement représentait en réalité, en 2005, 24,7% du budget des ménages. Quasiment le double ! Une différence qui s'explique par le fait que les dépenses des accédants à la propriété, en forte hausse du fait justement de l'augmentation des prix de l'immobilier, ne sont pas prises en compte dans l'indice des prix. C'est probablement la cause principale de la divergence d'appréciation entre les Français et l'Insee. Ce problème va d'ailleurs bien au-delà de la seule évolution du pouvoir d'achat : il est au coeur également des polémiques qui entourent les politiques monétaires menées par les Banques centrales. Elles qui placent constamment l'inflation au coeur de leurs préoccupations, pourquoi n'entreprennent-elles rien pour empêcher les prix de l'immobilier de flamber ? Mais c'est une autre affaire…
Pour ne rien arranger, la mesure des différents prix par l'Insee n'est elle-même pas exempte de reproches. Un peu technique, ce point mérite cependant toute notre attention. Une des difficultés centrales de toutes les mesures d'inflation concerne le traitement des produits nouveaux : comment prendre en compte leurs prix par rapport à celui du produit qu'ils remplacent ? Comment en particulier valoriser les qualités supplémentaires, les innovations qu'ils sont censés apporter ? Selon une étude réalisée en 2004 par Libre-service actualité (LSA), 48 % des produits sont ainsi renouvelés chaque année chez les Hard discounters, et 24% dans les hypermarchés. Ces renouvellements sont évidemment une occasion privilégiée pour les fabricants de donner un petit « coup de pouce » aux prix : dans les hypermarchés où LSA avait enquêté à l'époque, on notait une inflation de 2,7 % pour les produits qui ne changeaient pas, mais de 11,7 % pour ceux qui étaient renouvelés, soit un mix global d'inflation de 3,8 %. Or ce phénomène est très mal traduit dans les indices officiels : l'Insee considère en effet le plus souvent que l'augmentation des prix appliquée au moment du renouvellement des produits reflète les qualités supplémentaires que sont censés présenter ces produits nouveaux, limitant ainsi sensiblement leur impact sur la mesure de la hausse de prix. Alors même que ces améliorations sont pourtant souvent bien difficiles à détecter du point de vue du consommateur. Surtout lorsque, comme le produit ancien n'est plus en rayon, le client n'a de toute façon pas d'autre choix que de subir cette hausse «plein pot », qualité supplémentaire ou pas. Le cas des ordinateurs est probablement le plus emblématique : selon l'Insee, un PC qui valait 1 000 euros en 1998 est censé ne plus coûter que 190 euros en février 2007 (l'indice des prix des PC a en effet été divisé par plus de cinq). Or chacun sait que, même si les prix ont un peu baissé dans ce secteur, un PC ne vaut pas aujourd'hui cinq fois moins qu'en 1998. Les capacités de stockage, de traitement… se sont cependant beaucoup accrues. C'est ce qui conduit l'Insee à considérer que les prix des ordinateurs se sont effondrés : entre 1995 et 2005, le prix unitaire réel d'un PC a baissé en moyenne de 5,6 % par an mais l'indice officiel des prix a enregistré une baisse de 18,6 % par an du fait de cet « effet qualité »… Ces ordinateurs, qui ne valent presque plus rien selon l'Insee, pèsent pourtant aujourd'hui pour 0,74 % de l'indice officiel des prix contre 0,03 % en 1997, une multiplication par 25… De la même façon, les prix des services de téléphonie sont censés avoir baissé de 27 % depuis 1990, quand, dans le même temps, leur poids dans l'indice, qui reflète leur poids dans la consommation des ménages, est passé de 1,54 % à 2,73 %, un quasi doublement. En gros, si l'on croit l'Insee, chacun d'entre nous est censé passer plus de deux fois plus de coups de téléphone qu'en 1990. Cela fait beaucoup…
Bref, il existe en effet plusieurs bonnes raisons de douter de la qualité de l'appréciation statistique du pouvoir d'achat. Cela dit, la solution ne peut pas venir de la multiplication d'indices privés concurrents, ou de l'individualisation des indices que propose désormais l'Insee elle-même (puisque personne n'a confiance dans l'indice officiel, que chacun fasse son propre indice !). Une société a besoin pour fonctionner, de mesurer l'évolution de la quantité des richesses produites, répartir les subventions, faire évoluer les prestations sociales, déterminer les seuils d'imposition ou d'exonération…d'une norme commune dont la fiabilité soit socialement reconnue. | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Dim 6 Jan 2008 - 19:28 | |
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| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Lun 7 Jan 2008 - 12:43 | |
| la tribune 7/01
Le gouvernement évoque la possibilité de soldes "récurrents" Afin d'encourager la consommation, Christine Lagarde, ministre de l'Economie, évoque le principe de soldes récurrents voire permanents. Les soldes débutent mercredi dans un contexte de moral des ménages en berne.
Pour les commerçants, les soldes peuvent représenter jusqu'à 20% du chiffre d'affaires annuel. Les soldes d'hiver débutent mercredi dans toute la France et devraient s'achever au plus tard le 19 février inclus. En attendant, les magasins se préparent et mettent tout en place pour accueillir leurs clients. Car depuis les fêtes de Noël, les commerçants se plaignent de la désaffection des consommateurs dans les magasins. Et les commerçants devraient frapper fort avec des réductions de 50% voire de 70% pour tenter de redonner du tonus à la consommation. Pour les commerçants, les soldes peuvent représenter jusqu'à 20% du chiffre d'affaires annuel.
Interrogée ce lundi matin sur Canal+, Christine Lagarde, ministre de l'Economie, a jugé que la période des rabais commençait "sous de bons auspices", même si les soldes vont s'ouvrir dans un contexte de moral des ménages en berne face à l'inflation croissante.
La ministre de l'Economie a estimé que l'organisation des soldes en France pourrait changer, évoquant notamment le principe de soldes "récurrents". "Je pense que ça changera", a dit la ministre à propos de l'organisation des soldes, qui sont aujourd'hui d'une durée maximale de six semaines respectivement en hiver et en été. "Je pense que ce qui va encourager la consommation sera examiné, donc je pense que la question des soldes sera examinée", a-t-elle ajouté.
Evoquant "plusieurs possibilités, plusieurs options", Christine Lagarde a même déclaré envisager des soldes permanents. "Ca consiste à avoir dans une partie d'un magasin, petit, moyen ou grand, un département, une zone qui soit réservé à des articles soldés", a-t-elle expliqué. "Je crois que contrairement à une idée reçue, des soldes récurrents sont propices à la consommation. Aujourd'hui, ce que nous souhaitons, c'est encourager le moteur de la consommation, qui est un de ceux qui marchent bien, et je pense que des soldes récurrents seraient propices de ce point de vue là", a-t-elle dit. La ministre de l'Economie a également évoqué la possibilité "d'avoir des soldes plus répétés". "Ce que nous ferons, nous le ferons en concertation avec tous les acteurs, et ça comprendra à la fois les associations de consommateurs, les associations de commerçants-détaillants et les grands distributeurs", a-t-elle encore affirmé.
Les déclarations du ministre de l'Economie viennent confirmer un sondage Ifop paru dans le Journal du Dimanche en date du 6 janvier selon lequel une majorité de Français estime que la règlementation qui limite les soldes à deux périodes annuelles devrait être assouplie.
latribune.fr | |
| | | d'avalie noire
Nombre de messages : 2414 Age : 57 Localisation : France Date d'inscription : 11/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 8 Jan 2008 - 11:56 | |
| Traduction : pour augmenter son pouvoir d'achat, il suffit d'acheter en solde. Punaise, ça c'est une idée. Aprés "si l'essence est trop chére, qu'ils roulent en vélo", voilà notre chére christine qui continue dans le concours de l'idée la plus....curieuse. Je pense que nous devrions tous y réfléchir. C'est vrai, quoi. Comment n'avons nous pas penser avant cette intervention que pour faire des économies, nous pourrions acheter en solde. Que nous sommes stupides. Heureusement que Christine Lagarde est là pour nous éclairer. Merci madame, de nous conseiller si bien. | |
| | | marco11
Nombre de messages : 5812 Age : 58 Localisation : Ouest Date d'inscription : 14/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 8 Jan 2008 - 12:24 | |
| Oui bravo à elle pour toutes ces bourdes , pourvu que ça dure ! Le seul avantage est de nous faire rire (jaune). | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 8 Jan 2008 - 15:29 | |
| Chatel: vers l'assouplissement des soldes et l'élargissement de la vente à perte nouvelobs AP | 08.01.2008 | 14:39 Le secrétaire d'Etat à la Consommation Luc Chatel plaide pour un assouplissement des soldes et un élargissement de "la vente à perte", à la veille de l'ouverture des soldes d'hiver 2008.
Constatant que les "les pratiques ont changé" en matière de soldes, avec "Internet, les "périodes de promotion, les low-cost, les fins de série, les ventes flash", M. Chatel estime dans "Le Parisien/Aujourd'hui en France" de mardi qu'"il serait bon d'assouplir la réglementation, avec un dispositif qui prenne en compte les périodes de soldes et d'autres dispositifs ponctuels".
"Je pense qu'on pourrait élargir la pratique de la vente à perte, pour des cas précis, bien encadrés", ajoute-t-il.
Le secrétaire d'Etat au Commerce annonce son intention d'installer "d'ici fin janvier un groupe de travail qui va réfléchir à comment articuler tous ces dispositifs de baisse des prix, dans l'intérêt du consommateur". Ce comité "devra rendre son travail à temps "pour qu'il figure dans le projet de loi sur la modernisation de l'économie, discuté au Parlement en avril", précise-t-il. AP | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mer 9 Jan 2008 - 9:29 | |
| libération.fr 9/01 Hausse de l'indice de référence des loyers de 2,49% au 3e trimestre L'indice de référence des loyers (IRL), qui sert de base à la révision annuelle des loyers en France, a progressé de 2,49% au troisième trimestre 2007, après une hausse de 2,76% au deuxième trimestre, selon les chiffres publiés mercredi par l'Insee. Mercredi 9 janvier 2008 08:52 | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mer 9 Jan 2008 - 17:01 | |
| POUVOIR D'ACHAT Pouvoir d'achat : la "logique" du gouvernement n'est pas de "faire des cadeaux" NOUVELOBS.COM | 09.01.2008 | 16:27 26 réactions Revenant sur les propos de Nicolas Sarkozy mardi, selon qui le gouvernement n'a aucune marge pour faire augmenter le pouvoir d'achat, Laurent Wauquiez redit qu'il n'y aura pas de "chèques en bois sans lendemain" La "logique" du gouvernement n'est pas de "faire des cadeaux" aux Français ou de leur distribuer "des chèques en bois sans lendemain" pour augmenter leur pouvoir d'achat, a souligné mercredi 9 janvier Laurent Wauquiez, alors que Nicolas Sarkozy avait avoué la veille que ses marges de manoeuvre étaient quasiment inexistantes.
Notre "logique" n'est "pas de dire 'on va faire des cadeaux avec des chèques destinés à donner telle ou telle mesure à telle catégorie de Français', parce que ce n'est pas comme ça qu'on remédiera aux problèmes de fond du pouvoir d'achat", a martelé le porte-parole du gouvernement au terme du conseil des ministres.
"Le seul message du président, c'est de dire: 'je ne suis pas là pour vous faire des chèques en bois sans lendemain (...), mais pour faire en sorte qu'on réactive ensemble le moteur travail'", a-t-il expliqué. "Le problème de fond du pouvoir d'achat en France, c'est le problème du travail".
"D'autres chantiers"
La question du pouvoir d'achat est "évidemment un domaine d'action fondamental" pour le gouvernement, a concédé Laurent Wauquiez. Mais "on a aussi d'autres chantiers sur lesquels les Français nous attendent!", a-t-il aussitôt ajouté.
La veille, Nicolas Sarkozy avait avoué qu'il ne disposait sur ce sujet que de faibles marges de manoeuvre: "Qu'est-ce que vous attendez de moi? Que je vide des caisses qui sont déjà vides? Que je donne des ordres à des entreprises à qui j'ai pas à donner d'ordres?", a lancé le président lors de sa conférence de presse. AP | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mer 9 Jan 2008 - 17:50 | |
| - Citation :
- Notre "logique" n'est "pas de dire 'on va faire des cadeaux avec des chèques destinés à donner telle ou telle mesure à telle catégorie de Français', parce que ce n'est pas comme ça qu'on remédiera aux problèmes de fond du pouvoir d'achat", a martelé le porte-parole du gouvernement au terme du conseil des ministres.
Alrs que c'est la première chose qu'ils ont fait l'été dernier avec le « paquet fiscal » : de jolis cadeaux à une catégorie de Français déjà financièrement à l'aise et qui n'envisageait pas de dépenser plus... | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 15 Jan 2008 - 10:20 | |
| La Tribune.fr - 15/01/08 à 10:08 - 692 mots
Conjoncture Les prix à la consommation à 2,6%, au plus haut en France depuis mai 2004 Les prix à la consommation en France ont progressé de 0,4% en décembre par rapport à novembre, soit une hausse de 2,6% sur les 12 derniers mois, un record depuis mai 2004, selon les chiffres publiés ce mardi par l'Insee. L'indice des prix de l'alimentation a progressé de 0,6% le mois dernier (+3,1% sur un an) tandis que l'indice des prix de l'énergie s'est accru plus légèrement (+0,5%). Les prix à la consommation en France ont progressé de 0,4% en décembre par rapport à novembre, soit une hausse de 2,6% sur les 12 derniers mois, un record depuis mai 2004, annonce ce mardi l'Insee. Hors tabac, l'indice des prix à la consommation de l'ensemble des ménages progresse également de 0,4% en décembre et affiche une hausse de 2,5% par rapport à décembre 2006.
Le taux d'inflation moyen sur l'ensemble de l'année 2007 ne sera pas publié avant quelques jours, a indiqué l'Institut national de la statistique à l'Agence France Presse.
L'indice des prix IPCH (qui permet une comparaison au niveau européen) affiche également une hausse de 0,4% le mois dernier, sa progression s'établissant à 2,8% sur un an. Les 24 économistes interrogés par Reuters tablaient sur une hausse de 0,3% de l'indice IPCH en décembre, correspondant à une inflation sur un an de 2,6%.
"L'accroissement de l'indice des prix à la consommation du mois de décembre résulte en grande partie de la hausse des prix de l'alimentation hors produits frais et des autres services", souligne l'Insee dans un communiqué. L'indice des prix de l'alimentation a progressé de 0,6% en décembre (+3,1% sur un an) et celui de l'alimentation hors produits frais de 0,9% (+3% sur un an). L'indice des prix de l'énergie s'est en revanche accru plus légèrement en décembre (+0,5% après une augmentation de 4,1% le mois précédent). En rythme annuel, sa progression passe de 10,2% en novembre à 10,6% en décembre.
Commentant les statistiques, Olivier Gasnier de la Société Générale déclaré: "c'est un peu plus élevé que ce que nous attendions. La surprise vient de l'énergie dont l'indice des prix porogresse encore de 0,5% alors que nous attendions un léger recul. Il y a là un petit problème. Même quand les prix du pétrole baissent un peu, leur baisse a du mal à se transmettre aux prix de détail. Nous constatons une accélération de l'inflation qui va continuer... en particulier avec le léger rebond des prix de l'énergie au début du mois de janvier".
Même constant pour Mathieu Kaiser de BNP-Paribas: "l'inflation sous-jacente, c'est à dire hors prix volatils (énergie, alimentation, tabac), a continué de progresser lentement mais sûrement, à 1,8% en décembre (après 1,7% en novembre). Le décalage persistant entre ces deux mesures reflète le poids de l'évolution du prix des matières premières énergétiques et alimentaires dans l'inflation totale. Les records successifs battus par le prix du baril en fin d'année en sont le symbole, mais l'accélération des prix alimentaires est également impressionnante, presque un point de plus en un mois. Parallèlement, le prix des services de logement est demeuré sur une pente bien supérieure à 3% l'an depuis mi-2004 (3,4% en décembre 2007). Les seuls loyers effectifs affichaient également une hausse de 3,3% en glissement annuel. L'inflation pourrait rester bien au-dessus de 2% durant la majeure partie de l'année, avec un pic autour de 3% durant le premier trimestre, poussée par les tensions sur le prix des matières premières et des effets de base défavorables. Elle serait de 2,5% en moyenne en 2008. Pour sa part, l'inflation sous-jacente ne dépassera probablement pas les 2%, un reflux étant envisageable à partir du deuxième trimestre en ligne avec une activité ralentie." | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 15 Jan 2008 - 11:12 | |
| - Citation :
- Pour sa part, l'inflation sous-jacente ne dépassera probablement pas les 2%.
Ouais. Eh bien, explique ça à ma partie sous-jacente, ma tête est malade. | |
| | | Jacqueline25
Nombre de messages : 1139 Localisation : Doubs Date d'inscription : 13/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mar 15 Jan 2008 - 23:28 | |
| En raison de la baisse de mon pouvoir d'achat, je vais résilier l'abonnement de mon mobile.
Ca fait tout de même dans les 400 € par an et puis avant on vivait bien sans ce bazar. Ca évitera aussi de payer la taxe destinée à compenser le manque de ressources pubilicitaires des chaînes publiques..(alors que tsar co avait parlé de faire baisser le prix des abonnements ). | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mer 16 Jan 2008 - 7:50 | |
| le prix devrait baisser, c'est une directive européene je crois
bien sur le président prendra les lauriers comme d'hab (sans hésiter à cracher sur l'europe dès qu'une loi sera mauvaise) |
| | | marco11
Nombre de messages : 5812 Age : 58 Localisation : Ouest Date d'inscription : 14/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mer 16 Jan 2008 - 9:56 | |
| - Jacqueline25 a écrit:
- En raison de la baisse de mon pouvoir d'achat, je vais résilier l'abonnement de mon mobile.
Ca fait tout de même dans les 400 € par an et puis avant on vivait bien sans ce bazar.
Ca évitera aussi de payer la taxe destinée à compenser le manque de ressources pubilicitaires des chaînes publiques..(alors que tsar co avait parlé de faire baisser le prix des abonnements ). Simplifie toi la vie , prends un "mobicarte". | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mer 16 Jan 2008 - 11:41 | |
| «Le billet d'1 euro peut jouer sur le pouvoir d'achat»Samuel Potier (lefigaro.fr) 16/01/2008 | Mise à jour : 10:37 | . Louis Giscard d'Estaing (Jean-Christophe Marmara / Le Figaro) INTERVIEW - Le député UMP du Puy-de-Dôme Louis Giscard d'Estaing propose la création de ce billet plus que symbolique, à l'image du mythique billet d'1 dollar. C'est son combat à lui. Louis Giscard d'Estaing présentait mercredi matin à l'Assemblée sa proposition de création d'un billet de banque d'1 euro. Avec deux autres parlementaires, le député UMP du Nord Sébastien Huyghe et son collègue des Yvelines Pierre Lequiller, ils comptent porter leur projet au niveau européen. Entretien avec le fils de l'ancien président de la République, dont l'idée a germé dès 2002. LEFIGARO.FR. - Que changerait votre billet d'1 euro dans la vie quotidienne des Français ? Louis GISCARD D'ESTAING. Nous avons la même réflexion que celle menée aux Etats-Unis avec le billet d'1 dollar. Un billet d'un euro, par rapport à une pièce d'une même valeur, peut avoir un réel impact psychologique sur le pouvoir d'achat. Aux Etats-Unis, la pièce d'un dollar existe, mais reste très peu utilisée. Avoir beaucoup de billets, même d'1dollar seulement, donne l'impression d'avoir de l'argent. A l'argument psychologique s'ajoute aussi un côté pratique. Quand vous payez un journal ou une baguette de pain avec un billet de cinq euros, on vous rend une grande quantité de pièces. Elles pèsent dans les poches ! Et puis dès que vous voyagez hors zone euro, c'est très désavantageux : les pièces ne peuvent pas être échangés à un bureau de change. Le billet d'1 euro, c'est un réel «plus» pour les consommateurs. Comment l'Etat accueille votre proposition ? Lorsqu'en 2002 j'en avais parlé au gouverneur de la Banque de France de l'époque, Jean-Claude Trichet (aujourd'hui à la tête de la BCE, ndlr), il n'émettait pas de critiques sur le fond du projet. Ses réserves étaient plus d'ordre technique. Pour lui, un billet d'1 euro coûte aussi cher à fabriquer qu'un billet de 500 euros ! Les coûts de fabrication ont toutefois baissé, pour atteindre environ 6 centimes d'euro l'unité. A quelle échéance pourrait-il atterrir dans le porte-monnaie des consommateurs ? L'horizon 2010 semble réaliste. Tout dépend des décisions prises par le conseil des gouverneurs des banques nationales. Ils peuvent modifier la gamme des sept billets actuels, sans forcément en augmenter le nombre. Par exemple, le billet de 200 euros se justifie-t-il encore ? Par ailleurs, je compte bien inscrire ma démarche pendant la présidence française de l'Union européenne au second semestre 2008. J'aimerais que le chef de l'Etat appuie ma proposition. Les 27 de l'Europe doivent y réfléchir. Et pas besoin de référendum pour se décider ! | |
| | | marco11
Nombre de messages : 5812 Age : 58 Localisation : Ouest Date d'inscription : 14/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mer 16 Jan 2008 - 11:53 | |
| C'est la plus belle sottise sortie en ce début d'année ! | |
| | | Jacqueline25
Nombre de messages : 1139 Localisation : Doubs Date d'inscription : 13/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mer 16 Jan 2008 - 11:58 | |
| - marco11 a écrit:
- Jacqueline25 a écrit:
- En raison de la baisse de mon pouvoir d'achat, je vais résilier l'abonnement de mon mobile.
Ca fait tout de même dans les 400 € par an et puis avant on vivait bien sans ce bazar.
Ca évitera aussi de payer la taxe destinée à compenser le manque de ressources pubilicitaires des chaînes publiques..(alors que tsar co avait parlé de faire baisser le prix des abonnements ). Simplifie toi la vie , prends un "mobicarte". Mais c'est de de la grosse arnaque avec des cartes valables seulement huit jours ou quinze jours..!!!!!! http://www.meilleurmobile.com/forfaits/fiche-prepaye.jsp?prepaidLineId=2 Eventuellement une carte à 5 € de manière ponctuelle pour se sécuriser, par exemple lors d'une rando en solitaire ( enfin si ça passe ! c'est assez rare ). | |
| | | Bop
Nombre de messages : 565 Age : 49 Localisation : Finistère Date d'inscription : 20/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mer 16 Jan 2008 - 12:01 | |
| Juju... Cela me fait penser à l'histoire du kg de plumes et du kg de plomb ! "Un réel impact psychologique sur le pouvoir d'achat..." N'importe quoi ! Tiens, ça me rappelle une ministre... Il nous prend vraiment pour des c**s ! | |
| | | marco11
Nombre de messages : 5812 Age : 58 Localisation : Ouest Date d'inscription : 14/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mer 16 Jan 2008 - 12:09 | |
| Au niveau "gestion" et liberté je trouve que c'est le meilleur moyen. Mais sur le prix des sms , c'est vrai ils se moquent de nous. ça leur revient 1centime € et ils nous le taxent 10 centimes d'€ ! Fleurissant et juteux comme marché... | |
| | | Jean-Luc
Nombre de messages : 17976 Age : 73 Localisation : Pays de Flandre Date d'inscription : 15/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mer 16 Jan 2008 - 12:14 | |
| - Jacqueline25 a écrit:
- Mais c'est de de la grosse arnaque avec des cartes valables seulement huit jours ou quinze jours..!!!!!!
http://www.meilleurmobile.com/forfaits/fiche-prepaye.jsp?prepaidLineId=2 Évidemment, si tu prends l'opérateur le plus arnaqueur des 3 ! Pour avoir un max de validité : - Orange : 100 € (3h, soit 56c/mn) validité 5 mois (20 €/mois) - SFR : 95 € (2h52, soit 55c/mn) validité 4 mois (23,75 €/mois) - Bouygues : 60 € (2h30, soit 40c/mn) validité 6 mois (10 €/mois) Le moins cher propose aussi la plus longue durée de validité... | |
| | | raimo
Nombre de messages : 610 Age : 69 Localisation : 90-Territoire de Belfort Date d'inscription : 25/06/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mer 16 Jan 2008 - 12:34 | |
| Moi j'ai un forfait nrj mobile à 7€/mois (20 mn de comm) et ça me suffit bien.
En vente au CIC ou credit Mutel (pas sur nrj mobile en direct) | |
| | | hloben
Nombre de messages : 6861 Age : 51 Localisation : LILLE, Zouzou II l'Espérantroll Date d'inscription : 09/01/2008
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Mer 16 Jan 2008 - 13:44 | |
| cette histoire de billet de 1 euro ça paraît très très très con au départ (1 euro, c'est un euro, en billet ou en pièce... parler d'effet psychologique, c'est vraiment prendre les gens pour des cons !) mais est ce que vu l'augmentation du prix des métaux, ça ne coute pas moins cher de faire un billet plutôt qu'une pièce ? quoique la durée de vie des billets... je dis ça... c'est peut être la seconde grosse idiotie de la journée (oops, pardon !) | |
| | | juju41
Nombre de messages : 42846 Age : 70 Localisation : Blois Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Tout sur le pouvoir d’achat des ménages (chapitre 1) Jeu 24 Jan 2008 - 14:35 | |
| Qund il n'y a plus de "sous" , il y en a encore...mais où va t'il trouver le pognon , pour rattrapper ses"vieux"? ce type(Sarko) est vraiment une calamité ambulante... latribune.fr 24/01
Xavier Bertrand promet une hausse des retraites en 2008 Le gouvernement augmentera les pensions cette année si l'inflation dépasse 1,1%, ce qui est une quasi certitude, a annoncé jeudi le ministre du Travail. Une revalorisation des petites retraites pourrait être annoncée le 6 février par le chef de l'Etat. Les retraités sont l'objet de toutes les attentions des pouvoirs publics. Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, leur a quasiment promis une hausse du montant de leurs pensions cette année. En effet, la seule condition posée par le gouvernement est une inflation au-dessus de 1,1%, "comme ce semble être le cas", a affirmé jeudi le ministre sur RMC et BFM-TV. Les retraites ont été revalorisées de 1,1% au 1er janvier, ce qui ne permettra pas de garantir le pouvoir d'achat des retraités comme promet de le faire le gouvernement "dès l'année 2008".
Les prix à la consommation en France ont en effet augmenté de 0,4% en décembre par rapport à novembre, soit une hausse de 2,6% sur les douze derniers mois, selon l'Insee. La France n'a pas connu un tel niveau d'inflation depuis le printemps 2004. "On va savoir au premier trimestre ce que sera l'inflation et dans le cadre du rendez-vous des retraites (...) au premier semestre, on va voir les choses", a précisé Xavier Bertrand.
Les personnes âgées, qui comptent parmi les plus fidèles soutiens électoraux de Nicolas Sarkozy, se montrent déçues par sa politique, sur le fond comme sur la forme. Un sondage Ifop publié le 20 janvier par le Journal du Dimanche indique que le chef de l'Etat a perdu dix points de confiance en deux mois dans cette catégorie de son électorat. Si bien que le la promesse de campagne de revaloriser le minimim vieillesse de 25% pourrait trouver assez rapidement un début de concrétisation, avant les municipales tout au moins.
Le député UMP Frédéric Lefebvre, proche du président de la république, a par ailleurs laissé entendre mercredi soir que le chef de l'Etat préciserait le 6 février "le calendrier et la méthode" de la revalorisation des petites retraites. Nicolas Sarkozy a prévu ce jour-là de tenir une réunion sur la protection sociale. "Je ne doute pas qu'il s'exprimera à cette occasion sur les retraites", a affirmé le député lors d'une réunion publique à Nîmes. | |
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